Archives de catégorie : Actualité de la gestion

RGPD : pourquoi Mark Zuckerberg lui dit merci ?

L’application du Règlement Général sur la Protection des Données au 25 mai 2018 entre en résonance avec la récente déposition de Mark Zuckerberg auprès du Congrès Américain selon laquelle il est favorable à plus de régulation quant à la collecte et à l’exploitation des données personnelles.

Mark Zuckerberg RGPD

Mark Zuckerberg serait-il devenu altruiste ?

Google et Facebook se nourrissent de nos données Google et Facebook reçoivent, en fonction des estimations, entre la moitié et les trois-quarts des dépenses de publicité digitale dans le monde et cette part de marché incroyable semble devoir croître. Du fait de l’échec de Google à développer une réelle plateforme de media social, ces deux entreprises ne sont pas en concurrence frontale. Elles peuvent ainsi continuer de croître sans risquer de se confronter. Une telle concentration de puissance sur un marché ne peut qu’inquiéter car elle mène, fatalement, à des abus. Tout autant inquiétant est le contrôle exercé par ce duopole sur les informations personnelles de la majorité de la population connectée. Car, si les données personnelles sont le carburant de la publicité digitale, cette dernière vient à son tour les enrichir, les rendant encore plus précieuses pour optimiser de nouvelles publicités digitales qui à leur tour…

La mainmise sur le marché de la publicité digitale et l’exploitation des données personnelles sont plus que liées – ce sont les deux faces d’une même pièce.

Ceux que la mainmise de Google et de Facebook inquiète – j’en fais partie – tendaient à penser qu’une régulation plus forte, tant au niveau des données personnelles que de l’anticartel aiderait à atténuer le pouvoir grandissant de ces entreprises. Le raisonnement était que si les législateurs et les juges ne brisaient pas ces nouveaux titans, quelques contraintes apportées à leur capacité à collecter et à exploiter les informations personnelles limiteraient quelque peu leur expansion. Hélas, avec le nouveau règlement prenant effet sous 15 jours, il devient soudain clair que la réalité va être très différente de ce qui avait été anticipé.

Le RGPD va renforcer encore plus Google et Facebook

Loin de l’affaiblir, il va rendre le duopole encore plus puissant en le protégeant encore mieux de ses concurrents actuels et futurs. La raison en est simple : se mettre en conformité avec le RGPD, particulièrement complexe, coûte beaucoup d’argent et de temps. C’est un fardeau proportionnellement bien plus élevé pour les petits acteurs ou pour les porteurs de projets que pour les gros. Google et Facebook ont déjà des armées de lobbyistes, d’avocats et de développeurs pour gérer le RGPD, avec énormément d’argent disponible pour investir dans les programmes de mise en conformité.

Google et Facebook sont déjà conformes et cela leur a été indolore

Tant pis pour vous si vous gérez un petit réseau publicitaire, un réseau social ou un moteur de recherche. Non seulement les coûts de mise en conformité risquent d’être ruineux. Mais, pire encore, le RGPD peut donner envie à vos clients annonceurs d’aller voir les joueurs dominants. Car dans un environnement d’incertitude juridique les entreprises cherchent la sécurité et la sécurité se trouve… chez les gros joueurs.

Mark Zuckerberg le savait bien quand il a annoncé au Congrès Américain qu’il était en faveur de plus de régulation. Je ne milite pas contre le RGPD. Il pourra sans doute protéger le public d’abus ou, du moins, lui procurer une vue plus claire de ce qui se passe avec ses données personnelles. Ce je regrette c’est que la réalité des TPE-PME et même des ETI, n’ait pas été prise en compte par le RGPD. Pas plus que la réalité du marché de la publicité digitale. Voyez le G29, l’organisme fédérant les Cnil européennes, qui n’a pas encore terminé de publier ses guides de bonnes pratiques alors qu’il a eu 2 ans pour les réaliser. Ce que je dis c’est que le RGPD, imposé à partir d’une tour d’ivoire par une bureaucratie pour qui la réalité des entreprises et des entrepreneurs n’a aucune sorte d’importance, a comme effet « inattendu » de réduire encore plus la concurrence sur le marché de la publicité digitale et donc de renforcer ce duopole. Quand madame Falque-Pierrotin, présidente de la Cnil et ancienne présidente du G29 affirme que « Le RGPD remet les acteurs européens et internationaux à égalité de concurrence » je ne peux que me dire que Zuck lui dit merci.

Article de Jean-Paul Crenn, fondateur de VUCA Strategy, cabinet conseil en e-commerce et transformation digitale

Universum, le cabinet d’études et de conseil en Marque Employeur, racheté par StepStone

Universum, spécialiste et leader international de la Marque Employeur, a été racheté par l’entreprise d’e-recrutement StepStone, appartenant elle-même au plus important groupe de médias d’Europe, Axel Springer. Le cabinet d’étude et de conseil en Marque Employeur dont le siège est à Stockholm et qui possède des bureaux dans 6 continents, a connu une expansion rapide ces dernières années et continue toujours à diffuser l’enquête carrière la plus importante au monde.

Universum pour 2000 employeurs

Fondé en 1988, Universum travaille avec plus de 2 000 employeurs du monde entier. L’entreprise propose des services allant de la recherche et analyse de données, aux prestations de conseil et d’activation pour le développement de la Marque Employeur, et a déployé de nouvelles solutions digitales uniques dans le secteur telles qu’Acess et Acess Social. Le cabinet, à la palette de services très diversifiés, aide les entreprises à devenir plus attractives auprès des talents. Une part significative des plus attrayantes et des plus grandes entreprises du monde sont clientes d’Universum.

« Nous avons minutieusement recherché la bonne entreprise pour notre rachat. Nous avons refusé plus d’une proposition car nous cherchions un acquéreur possédant toutes les pièces manquantes à l’accélération de notre développement. Nous pensons sincèrement qu’Axel Springer et StepStone possèdent la culture et les ambitions qui nous permettront d’atteindre nos objectifs » déclare Petter Nylander, CEO d’Universum.

Axel Springer, dont le siège social est à Berlin, opère dans plus de 40 pays et a enregistré un Chiffre d’Affaires de 3.3 milliards d’euros en 2016. Stepstone est une entreprise d’e-recrutement appartenant augroupe de médias. Ils détiennent également des journaux tels que Bild, Die Welt, Business Insider ou encore Politico Europe.

Depuis 2013, Universum s’est appliqué à se digitaliser et à s’internationaliser. Auparavant, le chiffre d’affaires provenait majoritairement de contenus papiers et de publicités dans les pays nordiques.

Aujourd’hui, ce sont avant tout les services digitaux d’Universum, déployés dans 58 pays, qui font la part du lion.

Ces cinq dernières années, nous nous sommes concentrés sur deux principaux chantiers : passer d’une entreprise régionale à internationale et de canaux traditionnels à digitaux. Les cinq prochaines années, il s’agira de nous intégrer au sein de notre nouvelle structure, et de tirer profit des ressources de notre nouvel écosystème » Rajoute Petter Nylander.

Universum continuera d’agir comme une entreprise autonome et indépendante. La marque est reconnue pour ses données de grande qualité sur l’attractivité des employeurs, sources d’informations essentielles pour les employés et les employeurs. L’activité quotidienne et les équipes d’Universum resteront également inchangées. Dans l’avenir, Universum bénéficiera des solides ressources du groupe StepStone, permettant d’étoffer son offre de produits et de services dans le souci permanent d’aider ses clients à optimiser leurs recrutements et leur image.

L’ambition d’Axel Springer et de Stepstone est de faire de la Marque Employeur une nouvelle activité, dont Universum sera le moteur.

Ralf Baumann, CEO de Stepstone, précise : « Nous sommes très impressionnés par la position internationale d’Universum mais aussi par ses salariés, clients et offres de services dans le domaine de la Marque Employeur fondées sur des données et études globales. Nous souhaitons accélérer l’expansion d’Universum en combinant nos atouts organisationnels et leur connaissance du marché ».

 

À propos d’Universum

Universum est le Leader international de la Marque Employeur. Ces 30 dernières années, Universum a étendu son expertise sur plus de 60 marchés dans le monde et nos équipes sont réparties dans une vingtaine de pays. Parmi nos différents services, nous proposons aux entreprises des prestations de conseil, de recherche et d’analyse de données, de développement de Promesse Employeur, des stratégies de Marque Employeur, des solutions de communication sur les réseaux sociaux fondées sur nos données…

Nous travaillons aujourd’hui avec plus de 1700 clients à travers la planète, incluant de nombreuses entreprises classées parmi les « Fortune 500 » et établissons des partenariats avec les plus grands médias internationaux, qui publient chaque année nos classements et études.

Nous collaborons avec plus de 2000 universités, Grandes Écoles, associations d’Alumni et organisations professionnelles afin de récolter chaque année plus d’1,5 millions de réponses à notre enquête carrière.

Les résultats de cette enquête menée auprès des étudiants et des expérimentés nous permettent de connaître leurs aspirations, objectifs de carrière et préférences professionnelles et ainsi de conseiller les entreprises sur les éléments qui vont leur permettre d’attirer et de retenir les talents qui partagent leur culture et leurs valeurs.

www.universumglobal.com

Universum

XXE lance Yellow Angels pour faciliter le conseil business facturé à la minute

La plateforme freelance XXE révolutionne l’accès à l’expertise avec ce service unique de conseils business à la demande facturés à la minute. Yellow Angels, rattaché à la plateforme XXE, donne un nouveau souffle à la prestation intellectuelle qui en a bien besoin et offre une solution à la pénurie de talents dans les métiers du numérique en rendant disponible les meilleurs experts à tout moment. Bien plus qu’une nouvelle forme de conseil, ce service donne la possibilité à tous de devenir indépendant quelques minutes par jour ou par semaine.

Yellow Angels, une révolution pour tous les acteurs de l’expertise en France

  • Les entreprises peuvent résoudre une problématique business de manière quasi instantanée en faisant appel aux meilleurs experts du numérique facturés à la minute
  • L’expert freelance détermine son TMM (Taux Minute Moyen) et s’offre un complément de revenu qui peut aller jusqu’à plusieurs centaines d’euros. Il a enfin un outil pour faire facturer son avant et après-vente
  • L’expert salarié peut devenir Yellow Angels en exerçant sur son temps libre une seconde activité indépendante pour valoriser son expertise et générer un revenu supplémentaire en plus de son salaire.

Yellow Angels révolutionne l’accès à l’expertise pour les entreprises

Avec cet outil, la plateforme XXE, qui met en relation directe sans intermédiaire et sans commission plus de 12 000 freelances et 2 500 entreprises, entre dans une nouvelle dimension : celle de l’accès à l’expertise à tout moment en quelques clics.

La Commission européenne a estimé la pénurie de compétences dans le numérique en Europe à quelques 900 000 emplois vacants à l’horizon 2020. Cette pénurie pénalise de nombreuses entreprises françaises dans leur course à l’innovation, qui doivent faire appel à de nouvelles techniques de recrutement et à l’externalisation des compétences.

En donnant la possibilité aux entreprises de faire appel à des experts du numérique pour une mission de conseil à un instant T, XXE propose un service inédit, qui fait tomber les barrières de la prestation de services et de l’externalisation en France.

Tout professionnel s’est retrouvé face à une problématique business qui dépassait son domaine de compétences. Et si un expert avait pu nous aider rapidement et de manière éphémère pour nous sortir de cette impasse ? Et si tout d’un coup les meilleurs experts du numérique devenaient disponibles ? Yellow Angels permet de répondre à la demande à une problématique business que seule un expert peut résoudre avec succès.

Grâce à une architecture technique d’audio et de visio-conférence développée par XXE, les entreprises peuvent rechercher un expert en fonction de ses compétences clés et demander un rendez-vous pour une prestation facturée à la minute. En fin de conversation, le client reçoit sa facture et le freelance sa rémunération. Un système de scoring de la prestation est ensuite à remplir pour juger de la qualité des conseils.

Yellow Angels offre un complément de revenu aux freelances

Les freelances passent parfois beaucoup de temps au téléphone avec un prospect avant de commencer une mission… si elle se concrétise ! Le potentiel de Yellow Angels devient alors très important pour les indépendants : le service permet enfin de faire payer son avant-vente, ce qui n’était pas possible jusqu’à présent. Si le client est satisfait de ses conseils à la minute, il peut ainsi refaire appel au freelance pour une mission plus longue afin de mettre en œuvre ses idées. Et pourquoi pas repasser par le service Yellow Angels pour demander des conseils en fin de mission !   Yellow Angels peut représenter un complément de revenu intéressant pour l’indépendant, qui peut utiliser le service de manière ponctuelle ou plus régulière. Ainsi, il pourra augmenter son CA avec une demi-heure de prestation pendant sa pause déjeuner 2 jours par semaine, ou se libérer un créneau en fin de journée pour caler une ou plusieurs prestations.

L’indépendant, préalablement inscrit sur la plateforme XXE, actionne simplement le bouton Yellow Angels sur son profil pour activer le service. Il détermine à ce moment son TMM, son Tarif Minute Moyen selon son expertise et son expérience.

Yellow Angels donne la possibilité aux salariés d’exercer une seconde activité indépendante

Ce nouveau service d’XXE vient s’inscrire non seulement dans la formidable dynamique de la révolution freelancing, mais aussi au cœur de ce que l’on nomme le slashing. En France, on décompte plus de 4 millions de professionnels en pluriactivité, soit 16% de la population active (Source Salon SME). Ce chiffre va évoluer dans les années à venir du fait notamment de certaines mesures comme le doublement du plafond du statut auto-entrepreneur ou encore de la perte d’attractivité du sacro-saint CDI, de moins en moins plébiscité par les jeunes actifs.

Chaque personne a une expertise qu’il a acquis tout au long de sa carrière, et tout professionnel a déjà conseillé un ami ou une organisation sur son temps libre. Et si on pouvait enfin rémunérer ces conseils ? Selon le vieil adage, tout travail mérite salaire !

Le service Yellow Angels offre alors une première porte d’entrée à cette activité indépendante. Un salarié peut très bien devenir slasher et générer un complément de revenu en plus de son salaire, ou commencer une première activité commerciale et avoir ainsi de premiers retours clients précieux avant de se lancer dans son activité à plein temps.

« En créant un outil capable d’offrir une prestation intellectuelle à la minute, on révolutionne la connexion entre les entreprises et les experts freelance, notre vocation depuis le début de l’aventure XXE. Avec ce nouveau service, c’est toute une transformation de la société que nous cherchons à accompagner dans une logique de post uberisation, vers une meilleure qualité de vie avec toujours plus d’indépendance pour les professionnels et vers un meilleur accès à l’expertise pour les entreprises. La pénurie de talents dans le numérique est plus que jamais un problème et nous espérons que les dirigeants sauront déceler à travers cette phase expérimentale le potentiel unique de Yellow Angels ! » conclut Laurent Levy, Président d’INOP’S et XXE.

www.xxe.fr

Yellow Angels XXE

Mission d’évaluation et de contrôle sur l’évaluation du financement public de la recherche dans les universités

La mission d’évaluation et de contrôle sur l’évaluation du financement public de la recherche dans les universités dont les rapporteurs sont Mmes Amélie de MONTCHALIN (REM, Essonne) Danièle HÉRIN (REM, Aude) et M. Patrick HETZEL (LR, Bas‑Rhin) procédera, jeudi 19 avril 2018, aux auditions suivantes à l’Assemblée Nationale :

À 14 heures

– Audition de l’Agence nationale de la recherche (ANR) : M. Thierry DAMERVAL, président directeur général ;

À 15 heures

– Audition de l’Agence nationale de la recherche (ANR) : M. Thierry DAMERVAL, président directeur général ;

L’audition de la Cour des comptes  (Mme Sophie MOATI, présidente de la 3e chambre, M. Philippe Rousselot, président de section, et Mme Anastasia ILINE, auditeur) est annulée.

À 16 heures

– Audition commune de la Direction Générale de la Recherche et de l’Innovation (DGRI) : M. Thierry BERGEONNEAU, chef du Service de la performance, du financement et de la contractualisation avec les organismes de recherche (SPFCO), du Gfi Informatique : M. Philippe PINTO, directeur Secteur Public Branche Conseil ; de l’Agence de mutualisation des universités et établissements (AMUE) : M. Stéphane ATHANASE, directeur, M. Hugues PONCHAUT, adjoint au directeur et directeur du département stratégie et programmation SI, M. Pierre-Marie MARTIN, directeur du département construction SI, M. Pascal PEROTIN, coordinateur Projets recherche – chef de projet Caplab ; de la Direction générale du CNRS : M. Christophe COUDROY, directeur général délégué aux ressources, et M. Jean-Marc VOLTINI, directeur des systèmes d’information.

Jeudi 19 avril 2018

à partir de 14 heures

Salle n°6350 (Palais-Bourbon, 1er étage)

Diffusion en direct sur le site de l’Assemblée nationale :

http://videos.assemblee-nationale.fr/direct.html

recherche dans les universités

Intervention intégrale de Muriel Penicaud sur la réforme de la formation et de l’apprentissage

Muriel Penicaud, la ministre du Travail, est venu présenter la réforme de la formation professionnelle et de l’apprentissage engagée par le gouvernant lors d’une table ronde sur les enjeux liés à la formation professionnelle sur Brétigny-sur-Orge (Essonne) le jeudi 12 avril 2018.

Muriel Penicaud choisit l’Essonne pour expliquer la réforme

C’est dans la salle Maison-neuve de Brétigny-sur-Orge que le projet de réforme de la formation professionnelle, a été présenté par la ministre du Travail lors d’une réunion publique, un chantier au coeur du gouvernement et de la majorité présidentielle.

Voir le début de l’intervention
sur le compte Facebook de LaRSG

muriel penicaud reforme formation professionnelle et apprentissage

Comment y voir plus clair : dans le noir !

Accueillie par une centaine de manifestants, qui avaient répondu à l’appel de la CGT, un transformateur électrique n’aura pas résisté aux assauts des protestations plongeant les invités – jalousement protégés par des forces de l’ordre bien organisées – dans le noir complet.

C’est à la lumière des propos de Muriel Penicaud, complété utilement par quelques lampes torches et de téléphones portables que la ministre aura continué son intervention.

Voir la suite de l’intervention
sur le compte Facebook de LaRSG

Delville Management double son CA en 2017 en management de transition

Créé en 2010, Delville Management est aujourd’hui l’un des leaders du management de transition en France. Une position confirmée par les derniers chiffres de croissance de l’entreprise qui double son CA sur l’année 2017 (de 6,3 M€ à 13M€). Cette croissance, purement organique, appuyée par l’essor du marché du management de transition en France (+15% – Etude Xerfi 2017), entend se poursuivre sur l’année 2018 avec des objectifs ambitieux : réaliser un taux de croissance de 40% et confirmer sa place dans le TOP 3 des cabinets français de management de transition.

Bilan 2017 : de 6,3 à 13M€ de CA… sa plus belle progression depuis sa création

En croissance constante depuis 2010, Delville Management a réalisé, en 2017, sa plus forte progression en doublant son CA de 6,3 M€ à 13M€. Une progression appuyée en interne par le renforcement de ses équipes de 14 à 25 salariés, mais également par le démarrage de plus d’une centaine de missions auprès de ses clients, Grands Groupes comme ETI.

Fort du 1er réseau français et international de managers de transition (400 membres en Europe), Delville Management propose des accompagnements sur les fonctions du top et middle management. En 2017, les missions de transition proposées par Delville ont ainsi concerné des postes au sein des :

  • Direction administrative et financière et Direction des Ressources Humaines (50%),
  • Direction des opérations (30%),
  • Direction Générale (15%),
  • Direction juridique (5%)…

… auprès des secteurs :

  • Industrie (60%)
  • Services / Banques / IT (40%)

Une croissance 2 fois plus rapide que le marché (T1) du management de transition

Venant de conclure son 1er trimestre d’activités, Delville Management fait état d’un CA en progression de 30% par rapport à la même période l’année dernière, soit une croissance deux fois supérieure à celle du marché. En effet, le management de transition, représentant près de 300 millions d’euros de CA en 2016, et en plein essor depuis maintenant 5 ans, affiche une croissance annuelle de 15% (source Xerfi 2017).

Misant sur ces perspectives favorables, l’entreprise ambitionne d’accélérer encore cette croissance avec un objectif de + 40% d’ici la fin de l’année 2018, au soutien de plusieurs enjeux stratégiques :

  • le renforcement de son implantation au Royaume-Uni où Delville Management est présent depuis ses débuts (Londres) ;
  • le renforcement de ses équipes parisiennes (5 nouveaux recrutements sur le 1er semestre 2018) ;
  • et l’accélération de son déploiement international, notamment avec l’augmentation du nombre de ses missions en Allemagne et en Suisse, et aussi en Europe du Sud.

« Libéralisation du marché du travail, rajeunissement de sa population, émergence des cabinets de chasse de tête traditionnels sur ce segment… le marché du management de transition est aujourd’hui en pleine mutation ! Si le métier est déjà plus installé dans le Nord de l’Europe, la France demeure encore un marché récent disposant donc de formidables perspectives de croissance qui nous confortent, plus que jamais, dans nos choix comme dans nos ambitions de développement pour l’année à venir » explique Patrick Abadie, le co-fondateur de Delville Management.

À propos de Delville Management

Créé en 2010 par Patrick Abadie et Anthony Baron, Delville Management est un cabinet de management de transition présent à Paris et à Londres. Depuis sa création, le Cabinet a accompagné 300 clients à travers 450 missions. Delville est intervenu sur la plupart des fonctions de l’entreprise (DG, DAF, DRH ou Opérations), sans limitation sectorielle (industrie, services, grande distribution, etc.). Le thème récurrent des interventions est la transformation des organisations qui occupe 80% des missions. Avec 13 M€ de CA pour l’année 2017, le double par rapport à l’année 2016, le cabinet est aujourd’hui dans le Top 3 des cabinets français.

Delville Management s’appuie sur le Club Delville, un réseau de 400 décideurs en France et à l’international. Ce club comprend les managers de transition ainsi que les clients et autres experts (fonds d’investissement, avocats, coachs, experts-comptables, etc.). Fédérateur, le Club Delville permet de capitaliser sur les expériences de ses membres, de se former ou d’assurer le suivi des missions. Il permet également d’identifier, en un temps record, les meilleurs managers, à impliquer chez les clients sur des missions d’une durée moyenne de 7 mois.

delville management management de transition

70% des entreprises considèrent la responsabilité sociale et sociétale comme importante

Aujourd’hui, les résultats financiers seuls ne suffisent plus, l’entreprise doit également s’intéresser à son impact sur son environnement et l’ensemble de ses parties prenantes, dont la responsabilité sociale. Tel est le principal enseignement de l’étude Deloitte sur les tendances ressources humaines, intitulée ” L’entreprise sociétale, un nouvel essor “, et à laquelle plus de 11 000 leaders Business et RH (dont 261 en France) ont participé à travers 124 pays. Cette étude permet de mesurer le degré de maturité des ressources humaines face aux défis et aux nouvelles priorités auxquels elles sont confrontées, mais également l’importance qu’elles y accordent.

  • Les entreprises dont les dirigeants collaborent activement ont 26% de chance de plus d’obtenir une croissance de 10% supérieure à celles dont les dirigeants travaillent en silos
  • Seulement 5% des répondants perçoivent leur organisation comme très efficace dans le développement d’une politique de rémunération personnalisée et flexible
  • Seulement 18% des dirigeants aident et responsabilisent leurs collaborateurs dans le développement de nouveaux parcours de carrière
  • 73% des organisations déclarent que les dispositifs de bien-être au travail sont essentiels pour fidéliser leurs collaborateurs
  • Si 79% des employeurs en France pensent qu’avoir plus de 55 ans n’est pas un inconvénient, ils sont seulement 10% à créer des rôles spécifiques aux profils seniors
  • Seulement 26% des entreprises se sentent matures sur le sujet de l’intelligence artificielle, de la robotisation et de l’automatisation

« Cette année, 70% de nos répondants pensent que les questions sociales et sociétales sont importantes. Cette montée de la prise en compte de l’empreinte sociale n’est pas seulement due au développement d’une conscience collective, c’est également le fruit d’une réflexion rationnelle économique. Ainsi 30% des entreprises ont développé des programmes sociaux essentiellement pour développer leur marque employeur, 18% pour fidéliser leurs salariés et 18% pour leur image de marque. Elles doivent donc intégrer ces changements et se transformer en entreprise sociétale : une organisation se souciant autant de ses résultats financiers que de son empreinte sur son écosystème, qui est exemplaire et qui favorise la coopération » estime Philippe Burger, Associé responsable Capital humain chez Deloitte.

Les 4 tendances majeures en ressources humaines identifiées par Deloitte

La symphonie des dirigeants

Pour être en capacité de se transformer et d’être performantes, les organisations doivent répondre aux défis, internes comme externes, de façon cohérente et unique. Cette harmonie commence par les dirigeants. Ainsi, les entreprises dont les dirigeants collaborent activement ont 26% de chance de plus d’obtenir une croissance de 10% supérieure à celles dont les responsables travaillent en silos. Si les entreprises ont conscience de l’importance de cette forte collaboration au niveau des dirigeants (78%), celle-ci n’existe réellement que dans 30% des organisations.

Personnalisation : une exigence

L’hyperconnectivité et la transparence de plus en plus accrue, qui permettent à chacun d’affirmer son individualité, exacerbent l’importance de la personnalisation et de l’intérêt porté au collaborateur. Dans un souci de performance globale, les organisations doivent donc réinventer en profondeur leur approche du management, et réussir à engager l’ensemble de leur main d’œuvre tout en coordonnant les besoins de chacun. En effet alors que l’Europe, l’Inde et les Etats-Unis comptent 77 millions de freelancers1, seulement 10% des entreprises ont clairement définit une stratégie pour ce type de collaborateurs.

La rénovation des politiques RH passe aussi par de nouvelles stratégies de rétribution puisque seulement 5% des répondants perçoivent leur organisation comme très efficace dans le développement d’une politique de rémunération personnalisée et flexible.

Enfin, les organisations doivent insuffler une culture de l’apprentissage et créer de nouvelles expériences de carrière. Si 82% des parcours de carrière des entreprises ne sont plus fondés sur une évolution hiérarchique, seulement 18% des dirigeants aident et responsabilisent leurs collaborateurs dans le développement de nouvelles expériences de carrière.

L’empreinte citoyenne

Dans un monde toujours plus concurrentiel et ouvert, les organisations ne peuvent plus ignorer l’importance de l’empreinte sociale, elles doivent engager un dialogue avec les citoyens et démontrer leur capacité à s’emparer de problématiques sociétales majeures. En effet, 70% des entreprises jugent important de savoir faire preuve de leadership sur les enjeux sociétaux tout en améliorant leur performance et leur productivité. Pour l’instant seules 20% d’entre elles font de la responsabilité sociale une priorité inscrite dans leur stratégie.

L’étude note que le bien-être des collaborateurs contribue significativement à la création d’un capital social. Même si 73% des organisations déclarent que les dispositifs de bien-être au travail sont essentiels pour fidéliser leurs collaborateurs, il existe toujours de larges écarts entre les dispositifs proposés et les attentes des salariés.

De plus avec l’allongement des carrières, les entreprises doivent adopter de nouvelles stratégies pour s’entourer de talents seniors et rester compétitives. Si 79% des employeurs en France pensent qu’avoir plus de 55 ans n’est pas un inconvénient, ils sont seulement 10% à créer des rôles spécifiques à cette population.

Technologies et croissance durable 

Globalement, pour 87%2 des dirigeants, la transformation digitale générera plus d’égalité, de stabilité et influencera la construction de la société du futur. Si l’automatisation est désormais bien établie dans les organisations, celles-ci doivent travailler sur la collaboration Homme & Machine. En effet, 69% des entreprises affirment que l’intelligence artificielle aura un impact sur la composition de leur main d’œuvre dans les 3 à 5 prochaines années mais seulement 26% se sentent matures sur ce sujet.

La nouvelle approche du travail est façonnée par les évolutions technologiques, la création d’espaces de travail flexibles et le développement d’un leadership collaboratif. Ce sont 68% des répondants qui considèrent que les nouveaux outils de communication améliorent leur productivité personnelle.

Couplées aux compétences humaines, ces technologies peuvent également permettre de réaliser de nouvelles tâches. Les entreprises réalisent ainsi des investissements importants dans des systèmes d’information pour le traitement des données collaborateurs, la gestion de leurs talents et pour assurer leur développement opérationnel : 67% sont déjà impliquées dans des projets majeurs d’analyse et d’intégration des données dans les processus de décision mais seulement 11% se sentent vraiment matures pour faire face au challenge de la protection des données.

« En 2018, il est primordial que les entreprises se focalisent sur la création d’un capital social, par l’observation tant de leur écosystème interne qu’externe, l’implication de leurs collaborateurs et des parties prenantes, la définition du sens de leur mission et l’engagement sur les nouveaux enjeux sociétaux. Pour réussir ce changement, elles pourront s’appuyer sur les nouvelles technologies pour leur permettre d’assembler et d’analyser un grand nombre de données. De plus, elles devront se montrer cohérentes et alignées, d’où l’importance de la collaboration à tous les niveaux, surtout au niveau des dirigeants » souligne Gabriel Bardinet, Directeur de l’Observatoire du Capital humain chez Deloitte.

1 Ben Matthews, “Freelance statistics: The freelance economy in numbers.”

  1. Deloitte, The Fourth Industrial Revolution is here – are you ready?, Deloitte Insights, January 2018, pp.3-4

Convention : Modes managériales et modes managériaux

Modes managériales et modes managériaux

Les nouveautés managériales depuis 15-20 ans ne manquent pas :

  • courants de pensée : développement durable, gouvernance, éthique, santé au  travail, diversité, entreprise libérée, holacratie, plaisir et qualité de vie au travail…
  • thématiques : confiance, communication managériale, entreprise apprenante,  management relationnel, intelligence émotionnelle,  knowledge management, équilibre vie privée – vie professionnelle, résilience,  risques psychosociaux, employabilité, engagement,  génération Y et seniors, bienveillance, bonheur au  travail…
  • pratiques : e-learning, coaching, 360º, innovation participative, assertivité, méditation, communauté de pratiques, MOOC, mentorat inversé, télétravail, serious games, réseaux sociaux internes, applis de  rencontres…

Quels sont leurs véritables  apports ? Comment faire la différence entre une  réelle innovation et une ancienne méthode joliment marketée par des consultants imaginatifs ? Quoi de nouveau vraiment sous le soleil du  management ?

Programme de la convention

8h45 – Accueil

9h15 – Introduction par Philippe Détrie

1. Etat des lieux, panorama des modes managériales

Objectif : définir la nature des modes managériales, leur importance, leur actualité : apportent-elle de la valeur pour leurs utilisateurs ou pour leurs promoteurs ? Comment faire d’une théorie inefficace un phénomène de mode en entreprise ?

2. Deux études de cas : l’entreprise libérée, la méditation animées par Frédéric Henrion, directeur du développement des compétences du Groupe SUEZ

Objectif : faire témoigner pour chaque étude de cas 2 intervenants : 1 pour (5’), 1 contre (5’) puis faire débattre et voter la salle (15’). C’est une joute verbale : seront goûtés le plaisir de l’argumentation, l’humour et la mauvaise foi éventuelle comme savent le faire parfois si bien les avocats !

– L’entreprise libérée
pour : Pierre Sinodinos, président-fondateur d’Aneo
contre : Loïc Le Morlec, conseil en management, membre de l’AfraME

– La méditation en entreprise
pour : Christine Barois, psychiatre, fondatrice du 1er Bar à méditation, auteure de Pas besoin d’être tibétain pour méditer
contre : Martin Richer, fondateur du blog Management & RSE

Débats avec la salle et votes

11h – Pause

3. Qu’en pensez-vous ? Atelier animé par Frédéric Henrion

Objectif : distinguer les meilleures et les moins bonnes innovations managériales de ces 20 dernières années en fonction de 4 critères :

1. Originalité du nouveau mode de management, caractère novateur
2. Apports en termes de performance pour l’entreprise
3. Apports en termes d’engagement des salariés
4. Faisabilité : simplicité de mise en œuvre et ressources allouées, reproductibilité, universalité

Débat en grappes puis avec les intervenant.e.s

4. Perspectives sur les tendances du management de demain

Objectif : revisiter l’histoire des fausses bonnes idées du management des organisations et des personnes et donner les évolutions à attendre

– Romain Zerbib, rédacteur en chef adjoint de la Revue des Sciences et Gestion, chercheur associé à la chaire ESSEC de l’Innovation Managériale et l’Excellence Opérationnelle

Débat en grappes puis avec les intervenant.e.s

12h45 – Buffet convivial

Participation gratuite pour les adhérent.e.s de la Maison du Management, de 400€ HT pour les non-adhérent.e.s
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Grand Prix ESSEC : Monoprix récompensé avec le groupe Casino

Le 14 février, au ministère de l’Économie et des Finances, Brune Poirson, secrétaire d’État à la transition écologique et solidaire, a présidé la 4e édition du Grand Prix ESSEC du Commerce Responsable, qui vise à récompenser les enseignes du commerce pour leurs initiatives en matière de RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises). Le groupe Casino et ses enseignes Monoprix et Franprix ont été mis à l’honneur en remportant 4 Prix dont le Grand Prix 2018.

Le groupe Casino récompensé

Le groupe Casino s’est ainsi vu remettre quatre prix à l’occasion de cet événément :

  • le prix « ressources humaines » pour le groupe Casino pour son engagement en faveur de la lutte contre le sexisme avec le réseau C avec Elles ;
  • le prix « services et information au bénéfice du consommateur » pour Monoprix et son offre de service à domicile Shop & Give, participant à la lutte contre le gaspillage ;
  • la « mention spéciale des étudiants » pour Franprix et sa démarche de recrutement innovante qui révolutionne le processus de recrutement classique en utilisant les nouvelles technologies ;
  • le prestigieux « Grand Prix RSE » pour Monoprix, saluant l’entreprise pour l’ensemble de sa démarche RSE et le caractère innovant des initiatives mises en place. L’enseigne a en effet su convaincre le jury grâce à la cohérence des projets menés, à leur ampleur et surtout à sa vision, en attestant d’un engagement global pour une distribution plus durable et responsable.

Jean-Charles NAOURI, Président directeur général du groupe Casino déclare : « Je suis très fier de voir les initiatives du groupe Casino et de ses enseignes récompensées. Ces prix illustrent la capacité du Groupe à repenser et à faire évoluer la distribution en répondant aux attentes et aux préoccupations citoyennes des clients, des collaborateurs et des acteurs du secteur ».

La 4e édition du Grand Prix ESSEC a été marquée par une forte mobilisation des enseignes du secteur, puisque 94 dossiers de candidatures ont été reçus. Ce Grand Prix ESSEC est soutenu activement depuis son origine par les fédérations professionnelles FCD (Fédération du Commerce et de la Distribution), FCA (Fédération du Commerce Coopératif et Associé) et FEVAD (Fédération du E-commerce et de la Vente À Distance).

Focus sur les initiatives innovantes du groupe Casino et de ses enseignes

Le groupe Casino réaffirme son engagement dans la lutte contre le sexisme

Engagé depuis plus de 20 ans dans une politique de lutte contre les discriminations et de promotion de la diversité,  le groupe Casino a décidé de s’attaquer de façon volontariste au sexisme ordinaire, véritable frein à l’égalité professionnelle. En 2016, avec le concours du réseau mixité du Groupe C avec Elles, il a ainsi lancé une campagne d’information interne en réalisant un guide de sensibilisation sur la lutte contre le sexisme ordinaire qui précise les attitudes managériales attendues. Plus de 11 000 guides ont été mis à disposition dans les magasins, entrepôts et les sites administratifs, avec à l’appui une campagne d’affichage.

Monoprix participe à la lutte contre le gaspillage avec son offre de service à domicile Shop & Give

Lancé en juillet dernier, Shop & Give permet aux consommateurs de réaliser un geste solidaire et écologique lors d’une livraison à domicile. Les clients peuvent donner des produits alimentaires non périmés qui seront ensuite redistribués à des associations mais aussi des piles ou ampoules usagées qui seront recyclés.

Franprix révolutionne son processus de recrutement classique grâce aux nouvelles technologies

Ce projet innovant appelé projet « Papillon » vise à révolutionner le processus de recrutement classique en utilisant les nouvelles technologies. En 2017, Franprix a opté pour une solution tout à fait inédite à travers un partenariat avec la start-up de l’économie sociale et solidaire Chance.co qui propose de révéler les talents invisibles à eux-mêmes et au monde du travail, en développant leur performance professionnelle. Chance propose un service semi-virtuel de recrutement pour des postes opérationnels, utilisant l’intelligence artificielle.

groupe Casino

Lancement de la deuxième promotion du doctorat en sciences de gestion par la VAE

De façon expérimentale, Université Paris-Est et la FNEGE ont décidé fin 2016, de monter un dispositif innovant permettant de favoriser l’obtention d’un doctorat en sciences de gestion par la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE). L’objectif de ce programme est de permettre aux candidats d’obtenir ce diplôme au terme d’une formation d’accompagnement délivrée par la FNEGE. Pendant deux ans, huit séminaires ont ainsi été dispensés, qu’il s’agisse d’épistémologie, de méthodologies, d’aide à la rédaction de design de recherche ou encore d’aide à la publication. Si de nombreux candidats de bon niveau ont alors postulé, n’avaient été retenus que ceux qui avaient déjà des productions académiques pouvant faire l’objet d’une validation d’acquis en recherche.

Un accompagnement personnalisé et un diplôme valorisant

Quatre candidats suivent aujourd’hui ce dispositif, qui s’achèvera fin 2018. Les sujets traitent de thématiques aussi diverses que « l’excellence commerciale sur les marchés BtoB », « les systèmes d’information des ressources humaines », « l’expérience du magasinage en boutique de luxe », ou encore « le rôle du consommateur dans la lutte contre la contrefaçon ». Au cours de cette formation, les candidats sont accompagnés par un directeur de recherche, qu’ils rencontrent environ une fois par mois. Ils rédigent, d’une part, un article scientifique qui sera soumis à une revue de recherche de sciences de gestion, et d’autre part, un mémoire de VAE qui sera soutenu au terme du dispositif devant un jury de validation.

Une nouvelle promotion pour ce doctorat en sciences de gestion en 2018

Université Paris-Est et la FNEGE ont décidé de renouveler le dispositif fin 2018 en procédant à la sélection d’une nouvelle promotion en juin et septembre de cette année. Ce dispositif s’adresse prioritairement à des candidats ayant une solide formation de base (troisième cycle universitaire, grande école de commerce ou d’ingénieur), une expérience de haut niveau en gestion et ayant déjà quelques productions académiques (joindre toutes publications significatives, voire rapports d’études ou de recherche). Il peut s’agir également de docteurs d’autres disciplines avec une expérience professionnelle ou de recherche de plus de 3 ans dans le domaine de la gestion et du management ; et enfin de professeurs agrégés de l’enseignement secondaire qui enseignent en gestion dans l’enseignement supérieur et ont une expérience substantielle de recherche.

doctorat en sciences de gestion VAE FNEGE

Retrait de l’Exposition Universelle 2025 : Jean-Christophe FROMANTIN s’exprime

Exposition universelle 2025 : Jean-Christophe FROMANTIN, les partenaires du Comité EXPOFRANCE2025 ainsi que ses soutiens dénoncent la décision brutale du Premier ministre de retrait de la candidature de la France et rétablissent la vérité.

Fin de la partie pour Exposition Universelle 2025

À la suite de l’annonce du Premier ministre de l’abandon de la candidature de la France à l’Exposition Universelle de 2025, Jean-Christophe FROMANTIN, Président du Comité EXPOFRANCE 2025, entouré des partenaires et des soutiens de ce projet dont il est à l’initiative et qu’il mène à bien depuis plus de sept ans, a souhaité rétablir la vérité face à des allégations erronées et dénoncer les méthodes employées par Matignon à l’occasion d’une conférence de presse.

Un modèle économique 100% privé, solide et innovant sans impact sur les finances publiques, contrairement à ce qu’affirme Matignon.

Alors que le schéma économique a été spécialement pensé pour ne pas engager les finances publiques, les arguments posés brutalement par le Premier ministre pour renoncer à ce projet questionnent.

Le modèle économique repose sur une double valorisation : celle du territoire pour adosser les investissements et celle de la billetterie pour financer l’exploitation. Dans un cas comme dans l’autre les hypothèses de calcul ont été construites en accord avec les services de l’État, de concert avec les entreprises, et présentées dans le dossier de candidature déposé le 28 septembre au Bureau International des Expositions par l’État français.

Pour Jean-Christophe FROMANTIN, président du Comité EXPOFRANCE2025, « les arguments invoqués par Matignon sont faux. C’est justement parce que nous étions soucieux de la dépense publique que nous avons, depuis le début, construit ce modèle privé qui a séduit de nombreux partenaires économiques.

Une telle probité devrait être exigée à tous les grands événements internationaux que la France organise ».

Une méthode employée par Matignon irrespectueuse à l’égard des porteurs du projet

« La façon dont ce retrait a été annoncé unilatéralement par le Premier ministre traduit un mépris vis-à-vis de tous ceux qui sont investis depuis 2011 dans ce projet. C’est par le Journal du Dimanche que j’ai appris la nouvelle samedi soir, suivi par un appel du cabinet du Premier ministre. Édouard PHILIPPE n’a pas daigné consacrer, ne serait-ce que quelques minutes, pour partager sa position.

Les casseurs de Notre Dame des Landes ont le droit à plus d’égard que tous ceux qui ont pris des risques, qui ont entrepris et investis pour que la France ait rendez-vous avec le monde ! Car derrière cette candidature, ce sont des centaines de jeunes, des entreprises, des élus locaux, des parlementaires et des milliers de Français qui se sont engagés dans cette aventure et qui s’interrogent aujourd’hui sur le sens de ce renoncement et le mépris affichés pour eux, ceux qui veulent agir pour leur pays », déclare Jean-Christophe FROMANTIN.

Un renoncement lourd de conséquences pour les territoires

La décision de retrait est d’autant plus surprenante qu’elle intervient au lendemain du comité interministériel du tourisme présidé par Édouard PHILIPPE sur le thème de l’attractivité des territoires.

Il s’agit d’une déception considérable pour le Grand Paris, Paris-Saclay, comme pour les 17 territoires qui se sont mobilisés à travers toute la France et qui espéraient de grandes perspectives pour 2025. Dans les travaux coordonnés par l’économiste Christian de BOISSIEU, ce sont en effet près de 23 milliards d’euros de retombées économiques, 0,5 points de croissance et plus de 130 000 emplois durables qui étaient attendus.

« Alors que le Président prône une France qui rayonne qui gagne, comment une telle décision peut-elle raisonnablement être prise ? Quel crédit donner à la parole de l’État après ce nouveau renoncement ? » interroge Jean-Christophe FROMANTIN.

« Ce sont des choix technocratiques qui neutralisent l’élan politique et entrepreneuriale de la France (…) Dans quelques semaines, nous présenterons un projet d’Exposition internationale fidèle à l’esprit d’innovation, d’audace et de créativité que la France avait su impulser au XIXème quand les ingénieurs et les artistes étaient aux manettes de ces grands rendez-vous avec le monde », annonce le président du Comité EXPOFRANCE2025 entouré des nombreux partenaires.

Depuis samedi soir, le Comité EXPOFRANCE2025 a reçu des centaines de messages de soutien. L’incompréhension de déclaration d’abandon du projet est partagée par des élus, parmi lesquelles : l’ancien premier ministre Manuel VALLS sur France Inter qui considère que « le projet d’Exposition Universelle 2025 n’engageait pas d’argent public, les élus franciliens ne comprennent pas cette décision brutale, qui met un coup d’arrêt à de nombreux projets et abîme l’image de la France », le sénateur Bruno RETAILLEAU pour qui « la décision d’abandonner l’exposition universelle est brutale et incompréhensible. Son modèle économique ne reposait pas sur la subvention publique » ou encore le Maire de Reims Arnaud ROBINET qui déclare être « déçu pour La France, pour Reims et notre territoire et pour tous ceux qui se sont mobilisés, que ce soient les services de la collectivité et celles et ceux qui se sont mobilisés ».

Exposition universelle 2025 Jean-Christophe FROMANTIN, les partenaires du Comité EXPOFRANCE2025
Crédit photo : Cyrille George Jerusalmi

Vincenzo Esposito Vinzi nommé Directeur général de l’ESSEC Business School

Lors de sa séance du mercredi 20 décembre, le Conseil de surveillance a, sur proposition du Directoire et après avoir reçu l’agrément du Recteur de l’Institut Catholique de Paris, nommé à l’unanimité Vincenzo Esposito Vinzi Directeur général de l’ESSEC.

Vincenzo Esposito Vinzi spécialiste de statistiques

Le processus de recrutement, qui s’est déroulé dans le strict respect des statuts de l’École, a conduit la commission de recrutement à proposer la candidature de Vincenzo Esposito Vinzi au poste de Directeur Général.

Vincenzo Esposito Vinzi, né en 1970, a été Professeur de Statistique à l’Université Federico II de Naples en Italie, professeur invité et conférencier dans de nombreuses universités et centres de recherche à travers l’Europe, les États-Unis et l’Asie. Il est Docteur en Statistique de l’Université Federico II de Naples, et a également un Master en économie et gestion d’entreprise. C’est en 2007 qu’il a rejoint l’ESSEC comme Professeur de Statistique. Il a été élu en décembre 2011 à la fonction de Doyen des Professeurs par l’ensemble du Corps Professoral Permanent. Il a été réélu pour un second mandat en 2015 avec 93% des voix. Membre du Comité Exécutif de l’ESSEC en tant que Directeur Général Adjoint aux Affaires Académiques depuis 2011, il était responsable de la gestion et du développement du corps professoral. Reconnu à l’international pour son expertise, il est l’auteur d’environ 80 ouvrages et articles scientifiques publiés dans des revues internationales sur des thèmes allant du Big Data au Business Analytics, et qui totalisent plus de 7 000 citations. Entre 2012 et 2015, Vincenzo Esposito Vinzi a été Président de la Société internationale de la statistique pour l’industrie et le business (ISBIS). Durant la période d’intérim, il a assuré une transition réussie, avec le soutien de l’ensemble de la communauté ESSEC.

Le Conseil de surveillance se félicite du très haut niveau des candidatures reçues dans le cadre de ce recrutement et remercie l’ensemble des parties prenantes et des candidats pour leur implication tout au long de ce processus.

Succédant à Jean-Michel Blanquer, Directeur général de l’ESSEC durant la période 2013- 2017 désormais Ministre de l’Éducation Nationale, le nouveau Directeur général aura pour double défi de poursuivre le développement de l’Ecole au plus haut niveau des standards internationaux et de maintenir sa spécificité d’Ecole d’excellence à la française.

« C’est avec joie et honneur que j’accueille ma nomination au poste de Directeur Général de l’ESSEC. Je tiens à remercier les instances de gouvernance et toutes les parties prenantes pour leur confiance. Dès demain, je m’attellerai à rassembler toute la communauté ESSEC pour faire de notre école une business school de référence. Nous développerons un modèle pérenne conjuguant innovation et excellence pour co-construire les savoirs et les solutions de demain au service de l’économie, de la société, de l’humain. Alliant ancrage local et impact global, l’ESSEC sera amenée à se transformer pour renforcer encore et toujours sa place d’école de premier plan au niveau international, reconnue pour sa singularité et sa capacité à former des leaders influents dans un monde en perpétuelle mutation. » précise Vincenzo Esposito Vinzi.

L’ensemble des parties prenantes de l’ESSEC souhaite à Vincenzo Esposito Vinzi plein succès dans ses nouvelles fonctions et l’assure de toute leur confiance pour porter au plus haut les couleurs de l’ESSEC pour les prochaines années.

Vers une généralisation de la notation extra-financière

27 grands signataires et soutiens viennent de signer une Déclaration « vers la généralisation de la notation extra-financière ». Ce collectif nous fait suivre un communiqué que nous diffusons en intégralité, et sans commentaire. Pour aller plus loin sur le sujet. English version below.

Pour une notation extra-financière

Nous, investisseurs, gérants, assureurs, privés, publics et mutualistes, et infrastructures de marché, signataires de cette déclaration, invitons les émetteurs à une communication de leur notation ESG – Environnement, Social et Gouvernance –, à l’instar et en complément de leur notation financière.

  • Parce que nous avons la conviction que les facteurs sociaux, environnementaux, éthiques et de gouvernance constituent des territoires de risques ayant une influence sur la qualité de crédit, la valorisation des entreprises et qu’ils sont porteurs de création de valeur future ;
  • Parce que notre responsabilité est notamment d’orienter l’épargne publique et l’épargne privée vers une croissance soutenable, inclusive, moins intense en carbone et relevant le défi du changement climatique, tout en préservant le capital et en recherchant un rendement cohérent avec cet objectif ;
  • Parce qu’en particulier des grands investisseurs institutionnels avec des engagements à très long terme expriment le besoin d’analyse de la soutenabilité des modèles d’activité des entreprises ou des projets dans lesquels ils envisagent d’investir ;
  • Parce que l’intégration de ces facteurs dans les produits d’épargne et d’assurance vie, confortée par les labels dont le label ISR, contribuent au renouvellement de la confiance des épargnants envers la finance.

À cet égard, la collecte, le traitement et la qualification de l’information par des agences spécialisées permettent d’éclairer les investisseurs dans leur décision autonome d’investissement ou de financement de projet. Ils leur permettent d’apprécier à quel point les émetteurs intègrent les questions de gouvernance et leurs enjeux sociaux et environnementaux à leur stratégie comme à leurs opérations, et en maîtrisent les risques. Ces informations participent du bon fonctionnement des marchés, d’une allocation optimale des capitaux et de la réduction de l’asymétrie de l’information.

La viabilité de ces agences suppose une évolution de leur modèle économique actuel, qui pourrait passer par le paiement de leur notation par les émetteurs. Ces derniers pourraient alors solliciter le ou les fournisseurs de leur choix lors de leurs opérations de financement : émissions obligataires, financement de projets, entrée en Bourse… Les agences devraient en conséquence leur fournir des garanties d’indépendance, de transparence méthodologique et une plus grande proximité et réactivité en leur direction.

Constatant que de plus en plus d’entreprises mesurent l’intérêt que représente la valorisation indépendante de leur engagement dans la voie d’un développement durable tant en termes d’attractivité, de réputation que de potentielle création de valeur, nous sommes favorables à l’ouverture en ce sens d’un dialogue approfondi entre les parties concernées.

Nous apportons ainsi notre contribution à l’ambition de l’Europe visant à promouvoir une finance durable et responsable, qui se concrétise en particulier par les travaux du groupe d’experts sur la finance durable sous l’égide de la Commission européenne. À cet égard, notre initiative constitue une première étape en vue d’un dialogue avec les émetteurs et les investisseurs au plan européen.

Nous entendons également contribuer par cette initiative à la consolidation d’acteurs européens et mondiaux indépendants sur le marché international de l’analyse extra-financière.

Les signataires de cette déclaration : Maurice Ronat, Président du groupe AESIO ; André Renaudin, Directeur Général d’AG2R La Mondiale ; Yves Perrier, Directeur Général d’Amundi ; Patrick Dixneuf, Directeur Général d’AVIVA France ; Thomas Buberl, Directeur Général d’AXA ; Frédéric Janbon, Administrateur-Directeur Général de BNP Paribas Asset Management Holding ; Virginie Chapron-du Jeu, Directrice des Finances du groupe Caisse des Dépôts et Consignations ; Naïm Abou-Jaoudé, Directeur Général de Candriam Investors Group ; Olivier Vaillant, Directeur Général de CM-CIC Asset Management ; Frédéric Lavenir, Directeur Général de CNP Assurances ; Nicolas Moreau, Directeur Général de Deutsch Asset Management ; Nicolas Demont, Directeur Général d’EGAMO ; Philippe Desfossés, Directeur de l’Établissement de Retraite Additionnelle de la Fonction Publique ; Stéphane Boujnah, Directeur Général et Président du Directoire d’Euronext ; Yves Chevalier, Membre du Directoire du Fonds de Réserve pour les Retraites ; Philippe Setbon, Directeur Général de Groupama Asset Management ; Stéphane Junique, Président d’Harmonie Mutuelle ; Jean-Pierre Costes, Président du Conseil d’Administration de l’Ircantec ; Daniel Roy, Président du Directoire de La Banque Postale Asset Management ; Roland Berthilier, Président du groupe MGEN ; Laurent Mignon, Directeur Général de Natixis ; Jean-Pierre Grimaud, Directeur Général d’OFI Asset Management.

Avec le soutien : Paris Europlace, l’Association Française de la Gestion Financière, l’Association Française des Investisseurs Institutionnels, la Fédération Française de l’Assurance et la Fédération Française de la Mutualité Française.


English version

Towards a wider application of non-financial rating

We, investors, asset managers, insurers, from the private, public and mutual sectors, and market infrastructures, signatories of this declaration, invite issuers to a communication of their ESG rating – Environment, Social and Governance – as and in addition to their financial rating.

  • Because we are convinced that social, environmental, ethical and governance factors constitute real areas of risk that have an influence on the quality of credit and the intrinsic value of companies, and
  • that they are drivers for future value creation;
  • Because our responsibility is, in particular, to direct public and private savings towards sustainable, inclusive, less carbon-intensive growth and meeting the challenge of climate change, while preserving capital and seeking returns that are consistent with this objective;
  • Because, in particular, large institutional investors with very long-term commitments express the need to analyse the sustainability of the business models of the companies, or projects, in which they plan to invest;
  • Because the integration of these factors in savings and life insurance products, reinforced by labels, such as the SRI label, contributes to the renewal of savers’ confidence in finance.

In this respect, the collection, processing and qualification of information by specialised agencies helps to inform investors in their autonomous investment or project financing decision. They allow them to appreciate the extent to which issuers integrate social, environmental, and governance issues into their strategies and operations, and mitigate their risks. This information contributes to the smooth functioning of the markets, the optimal allocation of capital and the reduction of information asymmetry.

The viability of these agencies requires a change in their current economic model, possibly through issuers’ payment of their ratings. The latter would then solicit the supplier(s) of their choice during their financing operations: bond issuances, project financing, IPO… The agencies should therefore have to provide them with guarantees of independence, methodological transparency, greater proximity, and responsiveness towards them.

 

Observing that more and more companies are measuring the value of independent assessment of their commitment to sustainable development in terms of attractiveness, reputation and potential value creation, we support the opening of an in-depth dialogue between the parties concerned.

We are thus contributing to Europe’s ambition to promote sustainable and responsible finance, which is reflected in particular in the work of the High-Level Experts Group on Sustainable Finance under the auspices of the European Commission. In this respect, our initiative is a first step towards a dialogue with issuers and investors at European level.

We also intend to contribute, through this initiative, to the consolidation of independent European and global players in the international market for extra-financial analysis.

Co-signatories of this declaration: Maurice Ronat, President of the AESIO group; André Renaudin, Managing Director of AG2R La Mondiale; Yves Perrier, Managing Director of Amundi; Patrick Dixneuf, Managing Director of AVIVA France; Thomas Buberl, Directeur Général d’AXA; Frédéric Janbon, Chief Executive Officer of BNP Paribas Asset Management Holding; Virginie Chapron-du Jeu, Financial Director of the Caisse des Dépôts et Consignations group; Naïm Abou-Jaoudé, Managing Director of the Candriam Investors Group; Olivier Vaillant, Managing Director of CM-CIC Asset Management ; Frédéric Lavenir, Managing Director of CNP Assurances; Nicolas Moreau, Global Head of Deutsch Asset Management; Nicolas Demont, Managing Director of EGAMO; Philippe Desfossés, Director of the Établissement de Retraite Additionnelle de la Fonction Publique (Institution for Civil Service Supplementary Pensions); Stéphane Boujnah, Managing Director and Chairman of the Managing Board of Euronext; Yves Chevalier, Board Member of the Fonds de Réserve pour les Retraites (Board governing the Reserve Fund for Pensions); Philippe Setbon, Managing Director of Groupama Asset Management; Stéphane Junique, President of Harmonie Mutuelle; Jean-Pierre Costes, Chairman of the Board of Directors of Ircantec; Daniel Roy, Chairman of the Managing Board of La Banque Postale Asset Management; Roland Berthilier, President of the MGEN group; Laurent Mignon, Chief Executive Officer of Natixis; Jean-Pierre Grimaud, Managing Director of OFI Asset Management.

With the backing of: Paris Europlace, the Association Française de la Gestion Financière (French Association of Financial Management), the Association Française des Investisseurs Institutionnels (French Association of Institutional Investors), the Fédération Française de l’Assurance (French Insurance Federation) and the Fédération Nationale de la Mutualité Française (French Federation of French Mutuality).

FNEGE : Michel BON assurera l’intérim de la présidence

Suite à la démission de Monsieur Bruno LAFONT de la présidence de la FNEGE, Monsieur Michel BON a accepté, à la demande du Conseil, d’assurer l’intérim de la présidence de la Fondation.

Michel Bon reviens parmi les tiens

“Je tiens à remercier Monsieur Bruno LAFONT pour son soutien, son engagement personnel et son action à la présidence de la Fondation, ainsi que Monsieur Michel BON d’avoir accepté cet intérim. Je remercie également tous ceux qui, de différentes manières et par différents canaux, ont pu exprimer à cette occasion leur attachement, leurs attentes et leur soutien à la Fondation.

Ces événements me donnent l’occasion de rappeler quelques informations à propos de la FNEGE. Créée en 1968 en application de la loi d’orientation sur la formation professionnelle du 3 décembre 1966, la Fondation est administrée par un Conseil composé de plusieurs collèges de membres désignés par différents Ministères, de professeurs de l’enseignement supérieur, de personnes qualifiées représentant le monde économique et social et de représentants des entreprises. Le président du Conseil d’Administration est élu par le C.A. parmi ses membres dirigeants d’entreprise. Les professeurs actuellement au Conseil sont Messieurs Frank BOURNOIS, Jean-Pierre HELFER, Pierre-Michel MENGER, Jérôme RIVE, Loïck ROCHE et Daniel VITRY. Actuellement, les activités de la Fondation sont financées à 85% par ses propres activités et services.

Le C.A. vient donc de commencer la recherche de son futur président et je ne manquerai pas de vous tenir informé de l’avancement de ce processus. Outre sa présidence du C.A., le rôle du président de la FNEGE ces dernières années a toujours été d’aider la Fondation dans ses activités, de promouvoir son image dans tous les milieux de la société et d’accompagner par ses conseils le Délégué Général.

2018 sera une grande année avec la Semaine du Management et le cinquantenaire de la FNEGE. Les anniversaires sont des commémorations mais aussi le temps des nouveaux départs. C’est une occasion pour un grand nombre de membres de notre communauté de se retrouver et d’envisager l’avenir. Merci à tous ceux qui ont participé en 2017 aux nombreuses activités de la Fondation, réunions, études, jurys, séminaires, etc. et bienvenue à ceux qui nous rejoindront en 2018.

En vous souhaitant de joyeuses fêtes de Noël.

Maurice THÉVENET”
Délégué Général de la FNEGE

« Songez que du haut de ces pyramides, quatre siècle vous contemplent » disait Napoléon…