Archives de catégorie : Actualité de la gestion

Académie des Sciences Commerciales : Jean-Paul Aimetti nouveau président

Lors de la dernière Assemblée Générale de la prestigieuse Académie des Sciences Commerciales, Jean-Paul Aimetti a été élu président du bureau, en lieu et place d’Alain Metton, qui exerçait la fonction depuis plusieurs années. Cette réunion du 12 juin 2018 fut l’occasion d’échanges forts sympathiques et constructifs autour des implications de l’intelligence artificielle dans le secteur commercial.

Jean-Paul Aimetti
Jean-Paul Aimetti

Une Académie des Sciences Commerciales qui suit l’actualité du secteur

Pour Jean-Paul Aimetti, Professeur émérite – Chaire Marketing du CNAM  : “L’Académie des Sciences Commerciales doit pouvoir vivre d’un nouvel élan dans ce monde qui bouge en permanence. La mutation numérique en cours bouleverse les méthodes et les initiatives commerciales avec des bénéfices incontestables mais également des dérives potentielles que je développe dans mon récent ouvrage “No Data, Quelle liberté dans un monde numérique ?” Analyser cet environnement en modification perpétuelle est ainsi une tâche ardue, d’autant plus si l’on veut comprendre les faits qui forgeront les tendances des prochaines années.”

Pour Alain Metton, Docteur en géographie et Docteur es-Lettres. Professeur émérite de l’Université de Paris-Est Créteil, il est “en effet important que l’Académie puisse suivre l’évolution du secteur commercial. Chaque année nous récompensons les meilleurs travaux professionnels au travers de la remise des Prix et médailles. J’ai eu le plaisir, à l’occasion de ma dernière présidence, d’accueillir Philippe Houzé comme Président du Directoire du groupe Galeries Lafayette pendant la 56e célébration rassemblée au sein de l’ESCP Europe et lui remettre le Diplômes d’Honneur de notre Académie. Grâce à la gratitude de professionnels de cette envergure, nous pouvons continuer inlassablement à adapter notre dictionnaire. C’est d’ailleurs un projet qui nous a valu dernièrement une reconnaissance dans le cadre des échanges internationaux que la France assure avec la Russie.”

Un nouveau membre

Un nouveau membre a été accepté avec enthousiasme et à l’unanimité par l’Académie : Yves Soulabail, secrétaire général de rédaction de LaRSG, bien connu dans le milieu de la distribution pour son ouvrage sur Carrefour et ses travaux sur les débuts de l’expérience entreprise par Edouard Leclerc, fondateur de l’enseigne bien connue du grand public.

Yves Soulabail Académie des Sciences Commerciales
Yves Soulabail
Gérard Gallo, Yves Soulabail et Alain Metton
De g. à d. : Gérard Gallo, Yves Soulabail et Alain Metton

Une vision de l’intelligence artificielle

En fin d’assemblée générale, Julien Levy, professeur affilié à HEC et Directeur du Centre Digital d’HEC – a donné l’occasion d’échanges en profondeur entre les membres de l’Académie suite à son exposé remarquable sur l’impact de l’Intelligence artificielle et ses implications pour les entreprises.

Jean-Paul Aimetti
De g. à d. : Jean-Paul Aimetti, Julien Levy et Alain Metton
Claude Brosselin, Alain Metton, Michel-Alexandre Bailly, Thérèse Angué et Alain Metton
De g. à d. : Claude Brosselin, Alain Metton, Michel-Alexandre Bailly, Thérèse Angué et Jean-Paul Aimetti

Mission santé au travail, en attendant la publication du rapport 

Fin novembre 2017, les ministres du travail et de la santé Muriel Pénicaud et Agnès Buzyn annonçaient le lancement d’une mission sur la santé au travail, confiée à la députée LREM Charlotte Lecocq. Le rapport est attendu pour le mois de juin 2018.

La santé au travail : un sujet d’actualité

Au vu des différentes consultations et à la veille de la publication du rapport de « la mission santé au travail » les axes de réflexions qui semblent se dégager sont les suivants :

  • Au regard de la multiplicité des acteurs dans la santé au travail se pose la question de la nécessité de centralisation des informations pour mieux accompagner les entreprises
  • Le développement des actions de prévention devrait s’accentuer dans les prochains mois en entreprise, à voir si une politique de prévention des addictions sera mise en place dans le milieu de l’entreprise …
  • Quid de la coordination entre la médecine de ville et la médecine du travail par rapport aux questions de DMP et de prévention de la désinsertion professionnelle ?
  • Et enfin un accent sur la pédagogie devrait voir le jour en entreprise pour rendre la collecte de données de santé possible sur les lieux de travail et ainsi mieux identifier les enjeux de santé des prochaines année en entreprise

Propos de Karine Laurent
de la société Klen Impact
Pharmacienne consultante sur la santé au travail
contact@klen-impact.fr

santé au travail

BAC 2018 : les formations et métiers qui mènent au chômage

Comme chaque année, Qapa.fr, l’agence d’intérim 100%, dévoile son baromètre des métiers et des formations qui mènent au chômage après le BAC. Une analyse du marché de l’emploi destinée à mieux orienter les jeunes bacheliers afin qu’ils puissent en toutes connaissance de cause choisir leurs formations ou leurs secteurs professionnels en fonction des débouchés et des offres d’emploi.

Chaque année, les nouveaux bacheliers sont précipités dans la vie active ou avec des rêves de futurs métiers plein la tête. Mais la plupart n’ont aucune connaissance de la dure réalité de l’offre et de la demande. Qui plus est, beaucoup de choses changent d’une année sur l’autre. Ainsi, certaines formations qui risquaient de mener au chômage après le BAC en 2017, sont en 2018 devenues plus attractives, comme les métiers liés à la psychologie ou à la communication. Un changement dû pour ces métiers au fort développement de l’e-commerce et des startups françaises qui boostent le recrutement.

Top 5 des métiers qui recrutent le moins

Classé en sixième position en 2017, le métier de journaliste est aujourd’hui en tête des professions parmi les moins attractives en 2018. Les documentalistes restent en deuxième position, juste devant les employés de banque, les imprimeurs ou les artistes.

TOP 5 des métiers qui recrutent le moins
Classement Métiers
2017 2018
N°1 Opérateur Industrie textile (H/F) Journaliste (H/F)
N°2 Documentaliste (H/F) Documentaliste (H/F)
N°3 Psychologue (H/F) Employé de banque (H/F)
N°4 Animateur socioculturel (H/F) Imprimeur (H/F)
N°5 Professeur d’EPS (H/F) Artiste  (H/F)

Top 3 des formations les moins recruteuses après le BAC

En 2017, les formations dans les secteurs de l’Industrie textile, le Journalisme, l’Edition, l’Imprimerie et la Chimie, faisaient partie du trio de tête des moins recruteuses. En 2018, tout change ! Ainsi, ce sont les formations de géographe qui prennent la première place, suivies des arts du spectacle et du cinéma / audiovisuel.

Top 3 des formations qui recrutent le moins
Classement Formations
2017 2018
N°1 Industrie textile, cuir & confection Géographe
N°2 Journalisme / Edition / Imprimerie Arts du spectacle
N°3 Chimie Cinéma et audiovisuel

Les pires régions pour l’emploi après le BAC

L’emplacement géographique semble également avoir une incidence sur l’emploi après le BAC. Ainsi, la Corse, reste en tête des régions où les recrutements sont les plus bas depuis deux ans. L’Occitanie a été détrônée par la région Centre – Val de Loire et la Bourgogne Franche-Comté reste à la troisième place du classement.

Où les recrutements sont-ils les plus bas ?
Classement Régions
2017 2018
N°1 Corse Corse
N°2 Occitanie Centre – Val de Loire
N°3 Bourgogne-Franche-Comté Bourgogne Franche-Comté

TOP 5 des métiers qui recrutent le plus

Paradoxalement, les 5 métiers en pénurie de profils ne nécessitent pas tous forcément l’obtention du BAC. Ainsi, les recruteurs manquent cruellement de candidats en 2018 pour des métiers de caristes, de chauffeurs livreurs avec permis C ou EC, de comptables, mais également de soudeurs, tourneurs-fraiseurs, chaudronniers et de techniciens industriels.

TOP 5 des métiers qui recrutent le plus
Classement Métiers
2017 2018
N°1 Préparateurs de commande (H/F) Cariste (H/F)
N°2 Aides à domicile (H/F) chauffeurs livreurs avec permis C ou EC (H/F)
N°3 Techniciens de maintenance (H/F) Comptable (H/F)
N°4 Cuisiniers (H/F) Soudeur, tourneur-fraiseur, chaudronnier (H/F)
N°5 Télé-conseillers (H/F) Technicien dans l’industrie (H/F)

* Méthodologie : baromètre basé sur l’analyse de plus de 450.000 offres d’emploi, toutes fonctions confondues, déposées par les 135.000 recruteurs qui publient leurs offres d’emploi sur Qapa.fr (commerçants, artisans, TPE, PME, grosses entreprises depuis janvier 2017 jusqu’à fin mai 2018). Ces offres d’emploi concernent tous les secteurs d’activité partout en France métropolitaine et sur une base de plus de 4,5 millions de candidats. Parmi ces candidats, 50% d’entre eux sont des non-cadres et 50% sont des cadres. Les chiffres et statistiques représentent un état des lieux de l’emploi en France pour l’ensemble de l’année 2017 et 2018. Toutes les informations mises en avant par les candidats et par les recruteurs sont déclaratives.

BAC

Les Français vont-ils travailler pendant la Coupe du Monde de football ?

A quelques jours du premier coup de sifflet de la Coupe du Monde de football, Qapa.fr, partenaire emploi de tous les français a interrogé plus de 4,5 millions de personnes afin de savoir comment ils allaient gérer leur travail et les retransmissions des matchs. Un sondage* qui montre qu’en France travail et football semblent aller de paire.

“La Coupe du Monde de la FIFA est un événement qui crée un très grand nombre d’emploi, en particulier dans le pays organisateur. En France, 6 secteurs comptent parmi les plus favorisés par ce pic d’activité : la restauration, la logistique, la livraison de repas, le tourisme, les magasins d’électroménager et de sport et le monde de la pub. Des points très positifs qui, nous l’espérons, feront pencher la balance du bon côté puisque les Français risquent d’être moins présents et opérationnels à leur poste de travail durant toute la période des matchs” précise Stéphanie Delestre, fondatrice de Qapa.fr.

Des sociétés à fond dans le foot pendant la Coupe du Monde de football !

Les entreprises françaises ne sont clairement pas indifférentes au phénomène de la Coupe du Monde de football. Ainsi, plus de 64% des Français interrogés déclarent que leur société va organiser des retransmissions des matchs.

Votre entreprise va-t-elle organiser des retransmissions Coupe du Monde au bureau ?
Réponses Global Femmes Hommes
Oui 64% 61% 66%
Non 36% 39% 34%

Pour les personnes dont les entreprises n’ont pas prévu de retransmission, les réponses sont claires également : 90% des répondants aimeraient avoir la chance de pouvoir regarder les matchs au travail (88% pour les femmes et 92% pour les hommes).

Si non, aimeriez-vous que votre entreprise le fasse ?
Réponses Global Femmes Hommes
Oui 90% 88% 92%
Non 10% 12% 8%

Mieux vaut tôt…

Si la majorité des Français (57%) ont prévu de partir plus tôt de leur travail afin de pouvoir mieux regarder les matchs de la Coupe du Monde, les hommes sont cependant nettement plus nombreux (67%) que les femmes (46%).

Allez-vous à partir plus tôt du travail pour voir les matchs ?
Réponses Global Femmes Hommes
Oui 57% 46% 67%
Non 43% 54% 33%

Pas le temps de travailler, y a match !

La productivité risque d’en prendre un sacré coup en juin. En effet, 52% des Français avouent qu’ils vont regarder des matchs pendant leur travail. Dans le détail, ce sont les hommes qui seront les plus nombreux dans ce cas avec 81% de réponses positives alors que les femmes ne seront que 22%. De plus, 66% des hommes déclarent qu’ils regarderont les matchs à n’importe quel moment de la journée quand les femmes sont 41% à privilégier les pauses pour y assister.

Allez-vous à regarder des matchs pendant votre travail ?
Réponses Global Femmes Hommes
Oui 52% 22% 81%
Non 48% 78% 19%
Si oui :
Réponses Global Femmes Hommes
A n’importe quel moment 44% 22% 66%
Pendant le repas du midi 29% 37% 20%
Pendant les pauses uniquement 27% 41% 14%

Même pas peur !

Globalement, les Français ne craignent absolument pas de visionner la Coupe du Monde sur leur lieu de travail puisque plus de 75% des personnes interrogées déclarent qu’elles ne se cacheront pas du tout pour regarder les matchs.

Allez-vous vous cacher pour regarder les matchs ? 
Réponses Global Femmes Hommes
Oui 25% 13% 36%
Non 75% 87% 64%

Le PC avant la TV

Même si la TV arrive en deuxième position pour le choix de l’écran avec 45% de représentativité, c’est sur PC que 59% des Français pourront regarder les matchs. A noter que les Smartphones enregistrent 22% et les tablettes 24% d’usage.

Vous allez regarder les matchs au travail :
Réponses Global Femmes Hommes
Sur un écran PC 59% 58% 61%
Sur une TV 45% 42% 48%
Sur un smartphone 22% 12% 32%
Sur une tablette 24% 21% 26%

Des matchs entre collègues

L’aspect festif se ressent dans la manière de regarder les matchs au travail. Ainsi, plus de 59% des répondants disent qu’ils visionneront la Coupe du Monde en compagnie de leurs collègues de bureau. Seulement 21% préfèrent regarder les matchs en solitaire et très peu (7%) le feront avec leur patron ou supérieur hiérarchique.

Suivrez-vous des matchs avec :
Réponses Global Femmes Hommes
Vos collègues de bureau 59% 48% 69%
Votre équipe 13% 15% 11%
Personne 21% 31% 12%
Votre patron ou supérieur hiérarchique 7% 6% 8%

Que du positif

La notion même de partager des événements sportifs semble être une valeur importante pour la majorité des Français. Ainsi, 83% des personnes interrogées considèrent que regarder les matchs en entreprise est positif pour la société.

Vous pensez que regarder les matchs est un point positif pour l’entreprise ?
Réponses Global Femmes Hommes
Oui 83% 77% 89%
Non 17% 23% 11%

à où il y a de la gêne…

A la question “Etes-vous gêné(e) dans votre travail par les personnes qui regardent les matchs ?“, plus de 75% des répondants déclarent que “non”.

Etes-vous gêné(e) dans votre travail par les personnes qui regardent les matchs ?
Réponses Global Femmes Hommes
Oui 25% 21% 29%
Non 75% 79% 71%

TOP et FLOP des régions

Une fois n’est pas coutume, il n’existe pas de très gros écarts entre les régions de France afin de départager celle où les entreprises sont les plus nombreuses à regarder les matchs de la coupe du monde. Cependant, la région PACA arrive en tête avec 9%, devant les autres régions qui enregistrent entre 8% et 7%.

Classement des régions où les Français regardent le plus les matchs en entreprise
Régions Pourcentages
PACA 9%
Occitanie / Pyrénées-Méditerranée 8%
Île-de-France 8%
Normandie 8%
Auvergne-Rhône-Alpes 8%
Bretagne 8%
Nouvelle Aquitaine 8%
Hauts-de-France 8%
Centre – Val de Loire 7%
Pays-de-Loire 7%
Grand Est 7%
Corse 7%
Bourgogne Franche-Comté 7%

Les 18-30 ans hyper motivés au travail… pour regarder les matchs !

Selon une répartition par âges, deux tranches se distinguent des autres. Les 46-60 ans sont les plus nombreux (66%) à travailler dans une société qui va organiser des retransmissions de la coupe du monde. Pour celles-et ceux qui dont la société ne fait rien, ils sont également 91% à vouloir que cela change. Enfin, 61% des 46-60 ans regarderont les matchs avec leurs collègues.

La tranche des 18-30 ans est la plus représentée dans ce sondage. Ainsi, ils sont 67% à déclarer partir plus tôt du travail pour ne rien louper. Ils seront les plus nombreux (59%) à regarder la Coupe du Monde au travail, et ce à n’importe quel moment (52%). 38% d’entre eux se cacheront pour le faire et la plupart (61%) sur un écran de PC. Enfin, 86% des 18-30 ans considèrent le fait de regarder les matchs au boulot comme très positif pour l’entreprise, sans que cela ne les gènes dans leur travail (84%).

Questions Réponses 18-30 ans 31-45 ans 46-60 ans + de 60 ans
Votre société va-t-elle organiser des retransmissions de matchs au bureau ? Oui 63% 63% 66% 63%
Non 37% 37% 34% 37%
Si non, aimeriez-vous que votre entreprise le fasse ? Oui 92% 90% 91% 88%
Non 8% 10% 9% 12%
Allez-vous à partir plus tôt du travail pour voir les matchs ? Oui 67% 61% 50% 49%
Non 33% 39% 50% 51%
Allez-vous à regarder des matchs pendant votre travail ? Oui 59% 55% 49% 47%
Non 41% 45% 51% 53%
Si oui : A n’importe quel moment 52% 43% 42% 40%
Pendant le repas du midi 30% 29% 26% 31%
Pendant les pauses uniquement 24% 29% 29% 25%
Allez-vous vous cacher pour regarder les matchs ? Oui 38% 26% 22% 15%
Non 62% 74% 78% 85%
Vous allez regarder les matchs au travail : Sur un écran PC 61% 60% 59% 55%
Sur une TV 41% 48% 46% 44%
Sur un Smartphone 31% 29% 16% 12%
Sur une tablette 30% 28% 20% 18%
Suivrez-vous des matchs avec : Vos collègues de bureau 55% 60% 61% 59%
Votre équipe 17% 15% 11% 10%
Personne 24% 21% 20% 19%
Patron ou supérieur hiérarchique 4% 4% 8% 12%
Vous pensez que regarder les matchs est un point positif pour l’entreprise ? Oui 86% 85% 82% 80%
Non 14% 15% 18% 20%
Etes-vous gêné(e) dans votre travail pour les personnes qui regardent les matchs ? Oui 16% 28% 26% 30%
Non 84% 72% 74% 70%

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* Méthodologie : sondage effectué par e-mailing et réseaux sociaux auprès de 4,5 millions de personnes inscrites sur la base Qapa.fr et plus de 135.000 recruteurs (commerçants, artisans, TPE, PME, grosses entreprises), entre le 18 et 23 mai 2018. Profils des personnes interrogées : 51% de femmes et 49% d’hommes. Tranches d’âges : 8% de 18-24 ans, 21% de 25-34 ans, 39% de 35-44 ans, 28% de 45-54 ans et 4% de plus de 55 ans. Toutes les informations mises en avant sont déclaratives.

coupe du monde 2018

ESTP Paris accompagne les étudiants dans la création de start-up

49% des fondateurs de start-up ont un diplôme d’ingénieur selon un rapport de la Conférence des grandes écoles paru en 2017. L’ESTP Paris, avec près de 40 créations d’entreprises durant les 3 dernières années par d’anciens élèves, suit la tendance et a ouvert en 2017 un parcours entrepreneuriat destiné à former des élèves-ingénieurs capables de monter leur start-up en fin de programme. Pour cette première année, 10% des élèves se lanceront dans un projet entrepreneurial. L’ESTP Paris va également mettre à disposition des étudiants un pré-incubateur de start-up avant la fin 2018.

estp paris

De plus en plus de diplômés de Grandes Écoles d’ingénieur fondent une start-up

5,3% de diplômés de Grandes Écoles se lancent dans la création de start-up en France, selon un rapport de la Conférence des grandes écoles paru en 2017. Selon cette même étude, 76% des fondateurs de start-up sont diplômés d’une Grande École, et 49% ont un diplôme d’ingénieur.

L’ESTP Paris, école d’ingénieur spécialisée dans la construction et les Travaux Publics, ne fait pas exception à cette tendance : près de 40 start-ups ont déjà été fondées durant les 3 dernières années par d’anciens élèves de l’école.

Un parcours entrepreneuriat à l’ESTP Paris depuis 2017

A l’ESTP Paris, un parcours entrepreneuriat a été lancé en 2017 sous la houlette de Jean-Philippe Etienne, Directeur du Développement et des Relations Entreprises, dans l’objectif de former des élèves-ingénieurs capables à la fin du programme de monter leur propre entreprise.

Ce parcours s’étale sur les 3 années d’études d’ingénieur et se déroule en 3 principales étapes :

  • une soirée « Etincelle » en première année
  • un « Start-up Thinking » en 2e année : deux journées de hackathon autour de travaux par équipes, d’ateliers de développement personnel en groupes permettant aux étudiants de déterminer leur profil d’entrepreneur, et d’interventions sur l’innovation, d’exposés ainsi que de conférences d’experts
  • et une option de spécialisation de 3 mois en dernière année, incluant coaching personnalisé, apprentissages en mode projet et ateliers pratiques.

« Cette première année est un beau succès, la nouvelle option a réuni 30 élèves, 8 entreprises partenaires, une cinquantaine d’intervenants et coachs issus du monde de l’entreprise ou institutionnel, tous experts dans leur domaine (finance, propriété industrielle, marketing, création d’entreprise …). Nous tablions sur un objectif ambitieux de 30% de projets de création d’entreprise. 10% au final des élèves se lanceront cette année, mais c’est déjà très satisfaisant. » explique Jean-Philippe Etienne.

La première édition de l’option entrepreneuriat, qui s’est déroulée de décembre 2017 à février 2018, s’est clôturée le 1er mars dernier avec un grand jury : une dizaine d’équipes sont ainsi venues pitcher leur projet de start-up devant les représentants des 8 entreprises partenaires (Acorus, Bouygues Construction, Colas, Eurovia, Vinci, Mazars, Saint-Gobain, Spie Batignolles). Une première occasion de faire connaître leurs projets, de se constituer un solide réseau et de se faire repérer.

La soirée « Etincelle » a eu lieu en avril dernier sur le campus de Cachan, pour lancer le parcours entrepreneuriat des étudiants de 1ère année du cursus ingénieur. Au programme : des ateliers d’idéation et d’entraînement au pitch, une conférence « chantiers connectés » avec Spie Batignolles et la Design Thinking School de Stanford représentée par les Ponts et Chaussées, et une finale de pitchs.

La formation à l’entrepreneuriat, nouveau critère dans le classement des écoles d’ingénieur

La création, la reprise et le développement d’une start-up nécessitent une préparation de haut niveau. C’est pourquoi de plus en plus d’écoles d’ingénieurs, dont l’ESTP Paris, développent des initiatives destinées à développer et accompagner l’esprit entrepreneurial chez leurs élèves, en les formant à la création de start-up.

Ces écoles adaptent leur offre de formation avec la mise en place de spécialisations dédiées à l’entrepreneuriat, la création de pré-incubateurs et d’incubateurs, le développement de hackathons, etc. Des initiatives vouées à se multiplier à l’heure où Emmanuel Macron veut faire de la France une “start-up nation”, et sachant que l’entrepreneuriat est en train de devenir un critère opérant dans le classement des grandes écoles.

De nombreuses start-ups françaises sont nées au sein d’incubateurs d’écoles. Pour accompagner ses étudiants dans la maturation de leurs projets, l’ESTP Paris va aussi mettre à leur disposition un pré-incubateur avant la fin 2018.

Cette nouvelle approche pédagogique active de l’ESTP Paris s’inscrit dans une démarche de modernisation entamée par l’école dans le cadre de son plan stratégique ESTP 2030, qui a été présenté à la presse le 17 mai dernier.

RGPD : pourquoi Mark Zuckerberg lui dit merci ?

L’application du Règlement Général sur la Protection des Données au 25 mai 2018 entre en résonance avec la récente déposition de Mark Zuckerberg auprès du Congrès Américain selon laquelle il est favorable à plus de régulation quant à la collecte et à l’exploitation des données personnelles.

Mark Zuckerberg RGPD

Mark Zuckerberg serait-il devenu altruiste ?

Google et Facebook se nourrissent de nos données Google et Facebook reçoivent, en fonction des estimations, entre la moitié et les trois-quarts des dépenses de publicité digitale dans le monde et cette part de marché incroyable semble devoir croître. Du fait de l’échec de Google à développer une réelle plateforme de media social, ces deux entreprises ne sont pas en concurrence frontale. Elles peuvent ainsi continuer de croître sans risquer de se confronter. Une telle concentration de puissance sur un marché ne peut qu’inquiéter car elle mène, fatalement, à des abus. Tout autant inquiétant est le contrôle exercé par ce duopole sur les informations personnelles de la majorité de la population connectée. Car, si les données personnelles sont le carburant de la publicité digitale, cette dernière vient à son tour les enrichir, les rendant encore plus précieuses pour optimiser de nouvelles publicités digitales qui à leur tour…

La mainmise sur le marché de la publicité digitale et l’exploitation des données personnelles sont plus que liées – ce sont les deux faces d’une même pièce.

Ceux que la mainmise de Google et de Facebook inquiète – j’en fais partie – tendaient à penser qu’une régulation plus forte, tant au niveau des données personnelles que de l’anticartel aiderait à atténuer le pouvoir grandissant de ces entreprises. Le raisonnement était que si les législateurs et les juges ne brisaient pas ces nouveaux titans, quelques contraintes apportées à leur capacité à collecter et à exploiter les informations personnelles limiteraient quelque peu leur expansion. Hélas, avec le nouveau règlement prenant effet sous 15 jours, il devient soudain clair que la réalité va être très différente de ce qui avait été anticipé.

Le RGPD va renforcer encore plus Google et Facebook

Loin de l’affaiblir, il va rendre le duopole encore plus puissant en le protégeant encore mieux de ses concurrents actuels et futurs. La raison en est simple : se mettre en conformité avec le RGPD, particulièrement complexe, coûte beaucoup d’argent et de temps. C’est un fardeau proportionnellement bien plus élevé pour les petits acteurs ou pour les porteurs de projets que pour les gros. Google et Facebook ont déjà des armées de lobbyistes, d’avocats et de développeurs pour gérer le RGPD, avec énormément d’argent disponible pour investir dans les programmes de mise en conformité.

Google et Facebook sont déjà conformes et cela leur a été indolore

Tant pis pour vous si vous gérez un petit réseau publicitaire, un réseau social ou un moteur de recherche. Non seulement les coûts de mise en conformité risquent d’être ruineux. Mais, pire encore, le RGPD peut donner envie à vos clients annonceurs d’aller voir les joueurs dominants. Car dans un environnement d’incertitude juridique les entreprises cherchent la sécurité et la sécurité se trouve… chez les gros joueurs.

Mark Zuckerberg le savait bien quand il a annoncé au Congrès Américain qu’il était en faveur de plus de régulation. Je ne milite pas contre le RGPD. Il pourra sans doute protéger le public d’abus ou, du moins, lui procurer une vue plus claire de ce qui se passe avec ses données personnelles. Ce je regrette c’est que la réalité des TPE-PME et même des ETI, n’ait pas été prise en compte par le RGPD. Pas plus que la réalité du marché de la publicité digitale. Voyez le G29, l’organisme fédérant les Cnil européennes, qui n’a pas encore terminé de publier ses guides de bonnes pratiques alors qu’il a eu 2 ans pour les réaliser. Ce que je dis c’est que le RGPD, imposé à partir d’une tour d’ivoire par une bureaucratie pour qui la réalité des entreprises et des entrepreneurs n’a aucune sorte d’importance, a comme effet « inattendu » de réduire encore plus la concurrence sur le marché de la publicité digitale et donc de renforcer ce duopole. Quand madame Falque-Pierrotin, présidente de la Cnil et ancienne présidente du G29 affirme que « Le RGPD remet les acteurs européens et internationaux à égalité de concurrence » je ne peux que me dire que Zuck lui dit merci.

Article de Jean-Paul Crenn, fondateur de VUCA Strategy, cabinet conseil en e-commerce et transformation digitale

Universum, le cabinet d’études et de conseil en Marque Employeur, racheté par StepStone

Universum, spécialiste et leader international de la Marque Employeur, a été racheté par l’entreprise d’e-recrutement StepStone, appartenant elle-même au plus important groupe de médias d’Europe, Axel Springer. Le cabinet d’étude et de conseil en Marque Employeur dont le siège est à Stockholm et qui possède des bureaux dans 6 continents, a connu une expansion rapide ces dernières années et continue toujours à diffuser l’enquête carrière la plus importante au monde.

Universum pour 2000 employeurs

Fondé en 1988, Universum travaille avec plus de 2 000 employeurs du monde entier. L’entreprise propose des services allant de la recherche et analyse de données, aux prestations de conseil et d’activation pour le développement de la Marque Employeur, et a déployé de nouvelles solutions digitales uniques dans le secteur telles qu’Acess et Acess Social. Le cabinet, à la palette de services très diversifiés, aide les entreprises à devenir plus attractives auprès des talents. Une part significative des plus attrayantes et des plus grandes entreprises du monde sont clientes d’Universum.

« Nous avons minutieusement recherché la bonne entreprise pour notre rachat. Nous avons refusé plus d’une proposition car nous cherchions un acquéreur possédant toutes les pièces manquantes à l’accélération de notre développement. Nous pensons sincèrement qu’Axel Springer et StepStone possèdent la culture et les ambitions qui nous permettront d’atteindre nos objectifs » déclare Petter Nylander, CEO d’Universum.

Axel Springer, dont le siège social est à Berlin, opère dans plus de 40 pays et a enregistré un Chiffre d’Affaires de 3.3 milliards d’euros en 2016. Stepstone est une entreprise d’e-recrutement appartenant augroupe de médias. Ils détiennent également des journaux tels que Bild, Die Welt, Business Insider ou encore Politico Europe.

Depuis 2013, Universum s’est appliqué à se digitaliser et à s’internationaliser. Auparavant, le chiffre d’affaires provenait majoritairement de contenus papiers et de publicités dans les pays nordiques.

Aujourd’hui, ce sont avant tout les services digitaux d’Universum, déployés dans 58 pays, qui font la part du lion.

Ces cinq dernières années, nous nous sommes concentrés sur deux principaux chantiers : passer d’une entreprise régionale à internationale et de canaux traditionnels à digitaux. Les cinq prochaines années, il s’agira de nous intégrer au sein de notre nouvelle structure, et de tirer profit des ressources de notre nouvel écosystème » Rajoute Petter Nylander.

Universum continuera d’agir comme une entreprise autonome et indépendante. La marque est reconnue pour ses données de grande qualité sur l’attractivité des employeurs, sources d’informations essentielles pour les employés et les employeurs. L’activité quotidienne et les équipes d’Universum resteront également inchangées. Dans l’avenir, Universum bénéficiera des solides ressources du groupe StepStone, permettant d’étoffer son offre de produits et de services dans le souci permanent d’aider ses clients à optimiser leurs recrutements et leur image.

L’ambition d’Axel Springer et de Stepstone est de faire de la Marque Employeur une nouvelle activité, dont Universum sera le moteur.

Ralf Baumann, CEO de Stepstone, précise : « Nous sommes très impressionnés par la position internationale d’Universum mais aussi par ses salariés, clients et offres de services dans le domaine de la Marque Employeur fondées sur des données et études globales. Nous souhaitons accélérer l’expansion d’Universum en combinant nos atouts organisationnels et leur connaissance du marché ».

 

À propos d’Universum

Universum est le Leader international de la Marque Employeur. Ces 30 dernières années, Universum a étendu son expertise sur plus de 60 marchés dans le monde et nos équipes sont réparties dans une vingtaine de pays. Parmi nos différents services, nous proposons aux entreprises des prestations de conseil, de recherche et d’analyse de données, de développement de Promesse Employeur, des stratégies de Marque Employeur, des solutions de communication sur les réseaux sociaux fondées sur nos données…

Nous travaillons aujourd’hui avec plus de 1700 clients à travers la planète, incluant de nombreuses entreprises classées parmi les « Fortune 500 » et établissons des partenariats avec les plus grands médias internationaux, qui publient chaque année nos classements et études.

Nous collaborons avec plus de 2000 universités, Grandes Écoles, associations d’Alumni et organisations professionnelles afin de récolter chaque année plus d’1,5 millions de réponses à notre enquête carrière.

Les résultats de cette enquête menée auprès des étudiants et des expérimentés nous permettent de connaître leurs aspirations, objectifs de carrière et préférences professionnelles et ainsi de conseiller les entreprises sur les éléments qui vont leur permettre d’attirer et de retenir les talents qui partagent leur culture et leurs valeurs.

www.universumglobal.com

Universum

XXE lance Yellow Angels pour faciliter le conseil business facturé à la minute

La plateforme freelance XXE révolutionne l’accès à l’expertise avec ce service unique de conseils business à la demande facturés à la minute. Yellow Angels, rattaché à la plateforme XXE, donne un nouveau souffle à la prestation intellectuelle qui en a bien besoin et offre une solution à la pénurie de talents dans les métiers du numérique en rendant disponible les meilleurs experts à tout moment. Bien plus qu’une nouvelle forme de conseil, ce service donne la possibilité à tous de devenir indépendant quelques minutes par jour ou par semaine.

Yellow Angels, une révolution pour tous les acteurs de l’expertise en France

  • Les entreprises peuvent résoudre une problématique business de manière quasi instantanée en faisant appel aux meilleurs experts du numérique facturés à la minute
  • L’expert freelance détermine son TMM (Taux Minute Moyen) et s’offre un complément de revenu qui peut aller jusqu’à plusieurs centaines d’euros. Il a enfin un outil pour faire facturer son avant et après-vente
  • L’expert salarié peut devenir Yellow Angels en exerçant sur son temps libre une seconde activité indépendante pour valoriser son expertise et générer un revenu supplémentaire en plus de son salaire.

Yellow Angels révolutionne l’accès à l’expertise pour les entreprises

Avec cet outil, la plateforme XXE, qui met en relation directe sans intermédiaire et sans commission plus de 12 000 freelances et 2 500 entreprises, entre dans une nouvelle dimension : celle de l’accès à l’expertise à tout moment en quelques clics.

La Commission européenne a estimé la pénurie de compétences dans le numérique en Europe à quelques 900 000 emplois vacants à l’horizon 2020. Cette pénurie pénalise de nombreuses entreprises françaises dans leur course à l’innovation, qui doivent faire appel à de nouvelles techniques de recrutement et à l’externalisation des compétences.

En donnant la possibilité aux entreprises de faire appel à des experts du numérique pour une mission de conseil à un instant T, XXE propose un service inédit, qui fait tomber les barrières de la prestation de services et de l’externalisation en France.

Tout professionnel s’est retrouvé face à une problématique business qui dépassait son domaine de compétences. Et si un expert avait pu nous aider rapidement et de manière éphémère pour nous sortir de cette impasse ? Et si tout d’un coup les meilleurs experts du numérique devenaient disponibles ? Yellow Angels permet de répondre à la demande à une problématique business que seule un expert peut résoudre avec succès.

Grâce à une architecture technique d’audio et de visio-conférence développée par XXE, les entreprises peuvent rechercher un expert en fonction de ses compétences clés et demander un rendez-vous pour une prestation facturée à la minute. En fin de conversation, le client reçoit sa facture et le freelance sa rémunération. Un système de scoring de la prestation est ensuite à remplir pour juger de la qualité des conseils.

Yellow Angels offre un complément de revenu aux freelances

Les freelances passent parfois beaucoup de temps au téléphone avec un prospect avant de commencer une mission… si elle se concrétise ! Le potentiel de Yellow Angels devient alors très important pour les indépendants : le service permet enfin de faire payer son avant-vente, ce qui n’était pas possible jusqu’à présent. Si le client est satisfait de ses conseils à la minute, il peut ainsi refaire appel au freelance pour une mission plus longue afin de mettre en œuvre ses idées. Et pourquoi pas repasser par le service Yellow Angels pour demander des conseils en fin de mission !   Yellow Angels peut représenter un complément de revenu intéressant pour l’indépendant, qui peut utiliser le service de manière ponctuelle ou plus régulière. Ainsi, il pourra augmenter son CA avec une demi-heure de prestation pendant sa pause déjeuner 2 jours par semaine, ou se libérer un créneau en fin de journée pour caler une ou plusieurs prestations.

L’indépendant, préalablement inscrit sur la plateforme XXE, actionne simplement le bouton Yellow Angels sur son profil pour activer le service. Il détermine à ce moment son TMM, son Tarif Minute Moyen selon son expertise et son expérience.

Yellow Angels donne la possibilité aux salariés d’exercer une seconde activité indépendante

Ce nouveau service d’XXE vient s’inscrire non seulement dans la formidable dynamique de la révolution freelancing, mais aussi au cœur de ce que l’on nomme le slashing. En France, on décompte plus de 4 millions de professionnels en pluriactivité, soit 16% de la population active (Source Salon SME). Ce chiffre va évoluer dans les années à venir du fait notamment de certaines mesures comme le doublement du plafond du statut auto-entrepreneur ou encore de la perte d’attractivité du sacro-saint CDI, de moins en moins plébiscité par les jeunes actifs.

Chaque personne a une expertise qu’il a acquis tout au long de sa carrière, et tout professionnel a déjà conseillé un ami ou une organisation sur son temps libre. Et si on pouvait enfin rémunérer ces conseils ? Selon le vieil adage, tout travail mérite salaire !

Le service Yellow Angels offre alors une première porte d’entrée à cette activité indépendante. Un salarié peut très bien devenir slasher et générer un complément de revenu en plus de son salaire, ou commencer une première activité commerciale et avoir ainsi de premiers retours clients précieux avant de se lancer dans son activité à plein temps.

« En créant un outil capable d’offrir une prestation intellectuelle à la minute, on révolutionne la connexion entre les entreprises et les experts freelance, notre vocation depuis le début de l’aventure XXE. Avec ce nouveau service, c’est toute une transformation de la société que nous cherchons à accompagner dans une logique de post uberisation, vers une meilleure qualité de vie avec toujours plus d’indépendance pour les professionnels et vers un meilleur accès à l’expertise pour les entreprises. La pénurie de talents dans le numérique est plus que jamais un problème et nous espérons que les dirigeants sauront déceler à travers cette phase expérimentale le potentiel unique de Yellow Angels ! » conclut Laurent Levy, Président d’INOP’S et XXE.

www.xxe.fr

Yellow Angels XXE

Mission d’évaluation et de contrôle sur l’évaluation du financement public de la recherche dans les universités

La mission d’évaluation et de contrôle sur l’évaluation du financement public de la recherche dans les universités dont les rapporteurs sont Mmes Amélie de MONTCHALIN (REM, Essonne) Danièle HÉRIN (REM, Aude) et M. Patrick HETZEL (LR, Bas‑Rhin) procédera, jeudi 19 avril 2018, aux auditions suivantes à l’Assemblée Nationale :

À 14 heures

– Audition de l’Agence nationale de la recherche (ANR) : M. Thierry DAMERVAL, président directeur général ;

À 15 heures

– Audition de l’Agence nationale de la recherche (ANR) : M. Thierry DAMERVAL, président directeur général ;

L’audition de la Cour des comptes  (Mme Sophie MOATI, présidente de la 3e chambre, M. Philippe Rousselot, président de section, et Mme Anastasia ILINE, auditeur) est annulée.

À 16 heures

– Audition commune de la Direction Générale de la Recherche et de l’Innovation (DGRI) : M. Thierry BERGEONNEAU, chef du Service de la performance, du financement et de la contractualisation avec les organismes de recherche (SPFCO), du Gfi Informatique : M. Philippe PINTO, directeur Secteur Public Branche Conseil ; de l’Agence de mutualisation des universités et établissements (AMUE) : M. Stéphane ATHANASE, directeur, M. Hugues PONCHAUT, adjoint au directeur et directeur du département stratégie et programmation SI, M. Pierre-Marie MARTIN, directeur du département construction SI, M. Pascal PEROTIN, coordinateur Projets recherche – chef de projet Caplab ; de la Direction générale du CNRS : M. Christophe COUDROY, directeur général délégué aux ressources, et M. Jean-Marc VOLTINI, directeur des systèmes d’information.

Jeudi 19 avril 2018

à partir de 14 heures

Salle n°6350 (Palais-Bourbon, 1er étage)

Diffusion en direct sur le site de l’Assemblée nationale :

http://videos.assemblee-nationale.fr/direct.html

recherche dans les universités

Intervention intégrale de Muriel Penicaud sur la réforme de la formation et de l’apprentissage

Muriel Penicaud, la ministre du Travail, est venu présenter la réforme de la formation professionnelle et de l’apprentissage engagée par le gouvernant lors d’une table ronde sur les enjeux liés à la formation professionnelle sur Brétigny-sur-Orge (Essonne) le jeudi 12 avril 2018.

Muriel Penicaud choisit l’Essonne pour expliquer la réforme

C’est dans la salle Maison-neuve de Brétigny-sur-Orge que le projet de réforme de la formation professionnelle, a été présenté par la ministre du Travail lors d’une réunion publique, un chantier au coeur du gouvernement et de la majorité présidentielle.

Voir le début de l’intervention
sur le compte Facebook de LaRSG

muriel penicaud reforme formation professionnelle et apprentissage

Comment y voir plus clair : dans le noir !

Accueillie par une centaine de manifestants, qui avaient répondu à l’appel de la CGT, un transformateur électrique n’aura pas résisté aux assauts des protestations plongeant les invités – jalousement protégés par des forces de l’ordre bien organisées – dans le noir complet.

C’est à la lumière des propos de Muriel Penicaud, complété utilement par quelques lampes torches et de téléphones portables que la ministre aura continué son intervention.

Voir la suite de l’intervention
sur le compte Facebook de LaRSG

Delville Management double son CA en 2017 en management de transition

Créé en 2010, Delville Management est aujourd’hui l’un des leaders du management de transition en France. Une position confirmée par les derniers chiffres de croissance de l’entreprise qui double son CA sur l’année 2017 (de 6,3 M€ à 13M€). Cette croissance, purement organique, appuyée par l’essor du marché du management de transition en France (+15% – Etude Xerfi 2017), entend se poursuivre sur l’année 2018 avec des objectifs ambitieux : réaliser un taux de croissance de 40% et confirmer sa place dans le TOP 3 des cabinets français de management de transition.

Bilan 2017 : de 6,3 à 13M€ de CA… sa plus belle progression depuis sa création

En croissance constante depuis 2010, Delville Management a réalisé, en 2017, sa plus forte progression en doublant son CA de 6,3 M€ à 13M€. Une progression appuyée en interne par le renforcement de ses équipes de 14 à 25 salariés, mais également par le démarrage de plus d’une centaine de missions auprès de ses clients, Grands Groupes comme ETI.

Fort du 1er réseau français et international de managers de transition (400 membres en Europe), Delville Management propose des accompagnements sur les fonctions du top et middle management. En 2017, les missions de transition proposées par Delville ont ainsi concerné des postes au sein des :

  • Direction administrative et financière et Direction des Ressources Humaines (50%),
  • Direction des opérations (30%),
  • Direction Générale (15%),
  • Direction juridique (5%)…

… auprès des secteurs :

  • Industrie (60%)
  • Services / Banques / IT (40%)

Une croissance 2 fois plus rapide que le marché (T1) du management de transition

Venant de conclure son 1er trimestre d’activités, Delville Management fait état d’un CA en progression de 30% par rapport à la même période l’année dernière, soit une croissance deux fois supérieure à celle du marché. En effet, le management de transition, représentant près de 300 millions d’euros de CA en 2016, et en plein essor depuis maintenant 5 ans, affiche une croissance annuelle de 15% (source Xerfi 2017).

Misant sur ces perspectives favorables, l’entreprise ambitionne d’accélérer encore cette croissance avec un objectif de + 40% d’ici la fin de l’année 2018, au soutien de plusieurs enjeux stratégiques :

  • le renforcement de son implantation au Royaume-Uni où Delville Management est présent depuis ses débuts (Londres) ;
  • le renforcement de ses équipes parisiennes (5 nouveaux recrutements sur le 1er semestre 2018) ;
  • et l’accélération de son déploiement international, notamment avec l’augmentation du nombre de ses missions en Allemagne et en Suisse, et aussi en Europe du Sud.

« Libéralisation du marché du travail, rajeunissement de sa population, émergence des cabinets de chasse de tête traditionnels sur ce segment… le marché du management de transition est aujourd’hui en pleine mutation ! Si le métier est déjà plus installé dans le Nord de l’Europe, la France demeure encore un marché récent disposant donc de formidables perspectives de croissance qui nous confortent, plus que jamais, dans nos choix comme dans nos ambitions de développement pour l’année à venir » explique Patrick Abadie, le co-fondateur de Delville Management.

À propos de Delville Management

Créé en 2010 par Patrick Abadie et Anthony Baron, Delville Management est un cabinet de management de transition présent à Paris et à Londres. Depuis sa création, le Cabinet a accompagné 300 clients à travers 450 missions. Delville est intervenu sur la plupart des fonctions de l’entreprise (DG, DAF, DRH ou Opérations), sans limitation sectorielle (industrie, services, grande distribution, etc.). Le thème récurrent des interventions est la transformation des organisations qui occupe 80% des missions. Avec 13 M€ de CA pour l’année 2017, le double par rapport à l’année 2016, le cabinet est aujourd’hui dans le Top 3 des cabinets français.

Delville Management s’appuie sur le Club Delville, un réseau de 400 décideurs en France et à l’international. Ce club comprend les managers de transition ainsi que les clients et autres experts (fonds d’investissement, avocats, coachs, experts-comptables, etc.). Fédérateur, le Club Delville permet de capitaliser sur les expériences de ses membres, de se former ou d’assurer le suivi des missions. Il permet également d’identifier, en un temps record, les meilleurs managers, à impliquer chez les clients sur des missions d’une durée moyenne de 7 mois.

delville management management de transition

70% des entreprises considèrent la responsabilité sociale et sociétale comme importante

Aujourd’hui, les résultats financiers seuls ne suffisent plus, l’entreprise doit également s’intéresser à son impact sur son environnement et l’ensemble de ses parties prenantes, dont la responsabilité sociale. Tel est le principal enseignement de l’étude Deloitte sur les tendances ressources humaines, intitulée ” L’entreprise sociétale, un nouvel essor “, et à laquelle plus de 11 000 leaders Business et RH (dont 261 en France) ont participé à travers 124 pays. Cette étude permet de mesurer le degré de maturité des ressources humaines face aux défis et aux nouvelles priorités auxquels elles sont confrontées, mais également l’importance qu’elles y accordent.

  • Les entreprises dont les dirigeants collaborent activement ont 26% de chance de plus d’obtenir une croissance de 10% supérieure à celles dont les dirigeants travaillent en silos
  • Seulement 5% des répondants perçoivent leur organisation comme très efficace dans le développement d’une politique de rémunération personnalisée et flexible
  • Seulement 18% des dirigeants aident et responsabilisent leurs collaborateurs dans le développement de nouveaux parcours de carrière
  • 73% des organisations déclarent que les dispositifs de bien-être au travail sont essentiels pour fidéliser leurs collaborateurs
  • Si 79% des employeurs en France pensent qu’avoir plus de 55 ans n’est pas un inconvénient, ils sont seulement 10% à créer des rôles spécifiques aux profils seniors
  • Seulement 26% des entreprises se sentent matures sur le sujet de l’intelligence artificielle, de la robotisation et de l’automatisation

« Cette année, 70% de nos répondants pensent que les questions sociales et sociétales sont importantes. Cette montée de la prise en compte de l’empreinte sociale n’est pas seulement due au développement d’une conscience collective, c’est également le fruit d’une réflexion rationnelle économique. Ainsi 30% des entreprises ont développé des programmes sociaux essentiellement pour développer leur marque employeur, 18% pour fidéliser leurs salariés et 18% pour leur image de marque. Elles doivent donc intégrer ces changements et se transformer en entreprise sociétale : une organisation se souciant autant de ses résultats financiers que de son empreinte sur son écosystème, qui est exemplaire et qui favorise la coopération » estime Philippe Burger, Associé responsable Capital humain chez Deloitte.

Les 4 tendances majeures en ressources humaines identifiées par Deloitte

La symphonie des dirigeants

Pour être en capacité de se transformer et d’être performantes, les organisations doivent répondre aux défis, internes comme externes, de façon cohérente et unique. Cette harmonie commence par les dirigeants. Ainsi, les entreprises dont les dirigeants collaborent activement ont 26% de chance de plus d’obtenir une croissance de 10% supérieure à celles dont les responsables travaillent en silos. Si les entreprises ont conscience de l’importance de cette forte collaboration au niveau des dirigeants (78%), celle-ci n’existe réellement que dans 30% des organisations.

Personnalisation : une exigence

L’hyperconnectivité et la transparence de plus en plus accrue, qui permettent à chacun d’affirmer son individualité, exacerbent l’importance de la personnalisation et de l’intérêt porté au collaborateur. Dans un souci de performance globale, les organisations doivent donc réinventer en profondeur leur approche du management, et réussir à engager l’ensemble de leur main d’œuvre tout en coordonnant les besoins de chacun. En effet alors que l’Europe, l’Inde et les Etats-Unis comptent 77 millions de freelancers1, seulement 10% des entreprises ont clairement définit une stratégie pour ce type de collaborateurs.

La rénovation des politiques RH passe aussi par de nouvelles stratégies de rétribution puisque seulement 5% des répondants perçoivent leur organisation comme très efficace dans le développement d’une politique de rémunération personnalisée et flexible.

Enfin, les organisations doivent insuffler une culture de l’apprentissage et créer de nouvelles expériences de carrière. Si 82% des parcours de carrière des entreprises ne sont plus fondés sur une évolution hiérarchique, seulement 18% des dirigeants aident et responsabilisent leurs collaborateurs dans le développement de nouvelles expériences de carrière.

L’empreinte citoyenne

Dans un monde toujours plus concurrentiel et ouvert, les organisations ne peuvent plus ignorer l’importance de l’empreinte sociale, elles doivent engager un dialogue avec les citoyens et démontrer leur capacité à s’emparer de problématiques sociétales majeures. En effet, 70% des entreprises jugent important de savoir faire preuve de leadership sur les enjeux sociétaux tout en améliorant leur performance et leur productivité. Pour l’instant seules 20% d’entre elles font de la responsabilité sociale une priorité inscrite dans leur stratégie.

L’étude note que le bien-être des collaborateurs contribue significativement à la création d’un capital social. Même si 73% des organisations déclarent que les dispositifs de bien-être au travail sont essentiels pour fidéliser leurs collaborateurs, il existe toujours de larges écarts entre les dispositifs proposés et les attentes des salariés.

De plus avec l’allongement des carrières, les entreprises doivent adopter de nouvelles stratégies pour s’entourer de talents seniors et rester compétitives. Si 79% des employeurs en France pensent qu’avoir plus de 55 ans n’est pas un inconvénient, ils sont seulement 10% à créer des rôles spécifiques à cette population.

Technologies et croissance durable 

Globalement, pour 87%2 des dirigeants, la transformation digitale générera plus d’égalité, de stabilité et influencera la construction de la société du futur. Si l’automatisation est désormais bien établie dans les organisations, celles-ci doivent travailler sur la collaboration Homme & Machine. En effet, 69% des entreprises affirment que l’intelligence artificielle aura un impact sur la composition de leur main d’œuvre dans les 3 à 5 prochaines années mais seulement 26% se sentent matures sur ce sujet.

La nouvelle approche du travail est façonnée par les évolutions technologiques, la création d’espaces de travail flexibles et le développement d’un leadership collaboratif. Ce sont 68% des répondants qui considèrent que les nouveaux outils de communication améliorent leur productivité personnelle.

Couplées aux compétences humaines, ces technologies peuvent également permettre de réaliser de nouvelles tâches. Les entreprises réalisent ainsi des investissements importants dans des systèmes d’information pour le traitement des données collaborateurs, la gestion de leurs talents et pour assurer leur développement opérationnel : 67% sont déjà impliquées dans des projets majeurs d’analyse et d’intégration des données dans les processus de décision mais seulement 11% se sentent vraiment matures pour faire face au challenge de la protection des données.

« En 2018, il est primordial que les entreprises se focalisent sur la création d’un capital social, par l’observation tant de leur écosystème interne qu’externe, l’implication de leurs collaborateurs et des parties prenantes, la définition du sens de leur mission et l’engagement sur les nouveaux enjeux sociétaux. Pour réussir ce changement, elles pourront s’appuyer sur les nouvelles technologies pour leur permettre d’assembler et d’analyser un grand nombre de données. De plus, elles devront se montrer cohérentes et alignées, d’où l’importance de la collaboration à tous les niveaux, surtout au niveau des dirigeants » souligne Gabriel Bardinet, Directeur de l’Observatoire du Capital humain chez Deloitte.

1 Ben Matthews, “Freelance statistics: The freelance economy in numbers.”

  1. Deloitte, The Fourth Industrial Revolution is here – are you ready?, Deloitte Insights, January 2018, pp.3-4

Convention : Modes managériales et modes managériaux

Modes managériales et modes managériaux

Les nouveautés managériales depuis 15-20 ans ne manquent pas :

  • courants de pensée : développement durable, gouvernance, éthique, santé au  travail, diversité, entreprise libérée, holacratie, plaisir et qualité de vie au travail…
  • thématiques : confiance, communication managériale, entreprise apprenante,  management relationnel, intelligence émotionnelle,  knowledge management, équilibre vie privée – vie professionnelle, résilience,  risques psychosociaux, employabilité, engagement,  génération Y et seniors, bienveillance, bonheur au  travail…
  • pratiques : e-learning, coaching, 360º, innovation participative, assertivité, méditation, communauté de pratiques, MOOC, mentorat inversé, télétravail, serious games, réseaux sociaux internes, applis de  rencontres…

Quels sont leurs véritables  apports ? Comment faire la différence entre une  réelle innovation et une ancienne méthode joliment marketée par des consultants imaginatifs ? Quoi de nouveau vraiment sous le soleil du  management ?

Programme de la convention

8h45 – Accueil

9h15 – Introduction par Philippe Détrie

1. Etat des lieux, panorama des modes managériales

Objectif : définir la nature des modes managériales, leur importance, leur actualité : apportent-elle de la valeur pour leurs utilisateurs ou pour leurs promoteurs ? Comment faire d’une théorie inefficace un phénomène de mode en entreprise ?

2. Deux études de cas : l’entreprise libérée, la méditation animées par Frédéric Henrion, directeur du développement des compétences du Groupe SUEZ

Objectif : faire témoigner pour chaque étude de cas 2 intervenants : 1 pour (5’), 1 contre (5’) puis faire débattre et voter la salle (15’). C’est une joute verbale : seront goûtés le plaisir de l’argumentation, l’humour et la mauvaise foi éventuelle comme savent le faire parfois si bien les avocats !

– L’entreprise libérée
pour : Pierre Sinodinos, président-fondateur d’Aneo
contre : Loïc Le Morlec, conseil en management, membre de l’AfraME

– La méditation en entreprise
pour : Christine Barois, psychiatre, fondatrice du 1er Bar à méditation, auteure de Pas besoin d’être tibétain pour méditer
contre : Martin Richer, fondateur du blog Management & RSE

Débats avec la salle et votes

11h – Pause

3. Qu’en pensez-vous ? Atelier animé par Frédéric Henrion

Objectif : distinguer les meilleures et les moins bonnes innovations managériales de ces 20 dernières années en fonction de 4 critères :

1. Originalité du nouveau mode de management, caractère novateur
2. Apports en termes de performance pour l’entreprise
3. Apports en termes d’engagement des salariés
4. Faisabilité : simplicité de mise en œuvre et ressources allouées, reproductibilité, universalité

Débat en grappes puis avec les intervenant.e.s

4. Perspectives sur les tendances du management de demain

Objectif : revisiter l’histoire des fausses bonnes idées du management des organisations et des personnes et donner les évolutions à attendre

– Romain Zerbib, rédacteur en chef adjoint de la Revue des Sciences et Gestion, chercheur associé à la chaire ESSEC de l’Innovation Managériale et l’Excellence Opérationnelle

Débat en grappes puis avec les intervenant.e.s

12h45 – Buffet convivial

Participation gratuite pour les adhérent.e.s de la Maison du Management, de 400€ HT pour les non-adhérent.e.s
Pour vous inscrire cliquez ICI

Grand Prix ESSEC : Monoprix récompensé avec le groupe Casino

Le 14 février, au ministère de l’Économie et des Finances, Brune Poirson, secrétaire d’État à la transition écologique et solidaire, a présidé la 4e édition du Grand Prix ESSEC du Commerce Responsable, qui vise à récompenser les enseignes du commerce pour leurs initiatives en matière de RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises). Le groupe Casino et ses enseignes Monoprix et Franprix ont été mis à l’honneur en remportant 4 Prix dont le Grand Prix 2018.

Le groupe Casino récompensé

Le groupe Casino s’est ainsi vu remettre quatre prix à l’occasion de cet événément :

  • le prix « ressources humaines » pour le groupe Casino pour son engagement en faveur de la lutte contre le sexisme avec le réseau C avec Elles ;
  • le prix « services et information au bénéfice du consommateur » pour Monoprix et son offre de service à domicile Shop & Give, participant à la lutte contre le gaspillage ;
  • la « mention spéciale des étudiants » pour Franprix et sa démarche de recrutement innovante qui révolutionne le processus de recrutement classique en utilisant les nouvelles technologies ;
  • le prestigieux « Grand Prix RSE » pour Monoprix, saluant l’entreprise pour l’ensemble de sa démarche RSE et le caractère innovant des initiatives mises en place. L’enseigne a en effet su convaincre le jury grâce à la cohérence des projets menés, à leur ampleur et surtout à sa vision, en attestant d’un engagement global pour une distribution plus durable et responsable.

Jean-Charles NAOURI, Président directeur général du groupe Casino déclare : « Je suis très fier de voir les initiatives du groupe Casino et de ses enseignes récompensées. Ces prix illustrent la capacité du Groupe à repenser et à faire évoluer la distribution en répondant aux attentes et aux préoccupations citoyennes des clients, des collaborateurs et des acteurs du secteur ».

La 4e édition du Grand Prix ESSEC a été marquée par une forte mobilisation des enseignes du secteur, puisque 94 dossiers de candidatures ont été reçus. Ce Grand Prix ESSEC est soutenu activement depuis son origine par les fédérations professionnelles FCD (Fédération du Commerce et de la Distribution), FCA (Fédération du Commerce Coopératif et Associé) et FEVAD (Fédération du E-commerce et de la Vente À Distance).

Focus sur les initiatives innovantes du groupe Casino et de ses enseignes

Le groupe Casino réaffirme son engagement dans la lutte contre le sexisme

Engagé depuis plus de 20 ans dans une politique de lutte contre les discriminations et de promotion de la diversité,  le groupe Casino a décidé de s’attaquer de façon volontariste au sexisme ordinaire, véritable frein à l’égalité professionnelle. En 2016, avec le concours du réseau mixité du Groupe C avec Elles, il a ainsi lancé une campagne d’information interne en réalisant un guide de sensibilisation sur la lutte contre le sexisme ordinaire qui précise les attitudes managériales attendues. Plus de 11 000 guides ont été mis à disposition dans les magasins, entrepôts et les sites administratifs, avec à l’appui une campagne d’affichage.

Monoprix participe à la lutte contre le gaspillage avec son offre de service à domicile Shop & Give

Lancé en juillet dernier, Shop & Give permet aux consommateurs de réaliser un geste solidaire et écologique lors d’une livraison à domicile. Les clients peuvent donner des produits alimentaires non périmés qui seront ensuite redistribués à des associations mais aussi des piles ou ampoules usagées qui seront recyclés.

Franprix révolutionne son processus de recrutement classique grâce aux nouvelles technologies

Ce projet innovant appelé projet « Papillon » vise à révolutionner le processus de recrutement classique en utilisant les nouvelles technologies. En 2017, Franprix a opté pour une solution tout à fait inédite à travers un partenariat avec la start-up de l’économie sociale et solidaire Chance.co qui propose de révéler les talents invisibles à eux-mêmes et au monde du travail, en développant leur performance professionnelle. Chance propose un service semi-virtuel de recrutement pour des postes opérationnels, utilisant l’intelligence artificielle.

groupe Casino