Archives de catégorie : Actualité de la gestion

Nouveau à la centrale des cas : “l’emploi de travailleurs handicapés”

TRANS-LOGISTOR : Intégration et maintien dans l’emploi de travailleurs handicapés

Auteurs : Aude d’ANDRIA – Katia RICHOMME-HUET

Etablissements créateurs : Université d’Evry Val d’Essonne – EUROMED Management

Le groupe TRANS-LOGISTOR se définit comme le logisticien du froid en Europe. Avec ses hommes, spécialistes du froid et de la logistique, ses outils (entrepôts, plates-formes, véhicules) et son savoir-faire dans les systèmes d’information, le groupe TRANS-LOGISTOR est présent sur tous les segments de la logistique sous températures de -25 à +15° C. Au-delà d’une importante charge opérationnelle, le groupe TRANS-LOGISTOR s’efforce depuis longtemps d’intégrer le social et l’environnemental à chacune de ses missions dans une approche de développement durable.

Assistant(e) junior, depuis quatre mois au sein de la Direction des Ressources Humaines du groupe, il vous est confié le dossier de synthèse concernant l’application de l’accord 2007-2009 sur l’emploi des travailleurs handicapés dans le groupe. A partir des données extraites de cet accord, du diagnostic réalisé par un Cabinet Conseil et d’un entretien avec une responsable chargée de la mise en application dans son service, il vous est demandé d’analyser le dispositif sur l’emploi des travailleurs handicapés mis en place par le groupe TRANSLOGISTOR et de faire des propositions là où vous le jugeriez nécessaire…

Objectifs pédagogiques

Le cas TRANS-LOGISTOR peut être abordé selon trois types d’objectifs, non mutuellement exclusifs.

1 – Sensibiliser l’apprenant à une démarche générale de sensibilisation à l’intégration de la diversité dans l’entreprise et/ou de responsabilité sociale et économique (RSE) en traitant de la problématique sur le handicap et sur le dispositif législatif relatif à l’insertion des travailleurs handicapés en milieu professionnel.

2 – Plus globalement, proposer une lecture en termes de changement dans une organisation et des implications nécessaires de la part des managers pour introduire et faciliter la réussite de ce changement.

3 – Mettre en place et suivre un plan de communication avec création de supports (de la plaquette papier à l’intranet et au portail).

Sujets

Cas de synthèse – Cas d’examen – Cas ‘à tiroirs’ – Responsabilité Sociale de l’Entreprise – Organisation et structure – Image de l’entreprise – Communication interne dans l’entreprise – Gestion de la diversité – Conduite de changement – Gestion des Compétences – Handicap – Insertion professionnelle.

Public(s)

Pas de pré-requis spécifiques ; Tous publics : IUT (2e année ; LP) et Université (L3 ; M1 et M2) – ESC (1re, 2e et 3e année). – Option : Ressources Humaines ou Management des Organisations.

Secteur d’activité

Entreposage et stockage frigorifique

Caractéristiques particulières

Il peut faire l’objet d’un examen (4 heures) ou servir de cas de synthèse en TD. La note pédagogique fournit les éléments de réponse. Une série de 17 slides est également fournie à l’attention du formateur dans le cadre de l’analyse du cas.

Prix HT : Adhérents : 360 € / Non-adhérents : 720 € http://www.ccmp.fr

Temps d’utilisation : + de 3 heures

Nombre de pages : 11 – 8 page(s) en annexe

Note pédagogique : OUI – 20 page(s)

Date de situation : 2009

Diffusion aux entreprises : OUI

L’INNOVATION AU SERVICE DU “MIEUX VIVRE ENSEMBLE”

Nous avons le plaisir de vous informer que l’éditorial de janvier du Réseau de Recherche sur l’Innovation, « INNOVATION SOCIALE ET ÉCONOMIE SOCIALE : L’INNOVATION
AU SERVICE DU “MIEUX VIVRE ENSEMBLE” », est disponible ici :
http://rrifr.univ-littoral.fr/?p=165

 

Henri JORDA

Responsable des relations avec les médias

Réseau de Recherche sur l’Innovation

http://rri.univ-littoral.fr

Pépinière Paris Soleillet : 20 ans, 296 entreprises, 1 300 emplois

La Chambre de commerce et
d’industrie de Paris a créé, dès 1989, la première et l’unique pépinière

d’entreprises généraliste à Paris : Paris Soleillet. Cette structure, qui fête aujourd’hui ses 20 ans, a accueilli 296 entreprises qui ont généré environ 1 300

emplois. 45 jeunes entreprises y sont actuellement installées, représentant quelque 200 emplois.

La pépinière propose à l’entrepreneur un hébergement et un accompagnement sur mesure pendant, si besoin, quatre ans.
Une enquête, réalisée en septembre auprès des entreprises encore en activité qui ont été ou sont encore hébergées à Paris Soleillet. 78 entreprises y ont répondu. L’enquête révèle notamment que
le goût d’entreprendre arrive en tête des motivations qui ont poussé les entrepreneurs à s’installer dans cette pépinière avec 74 % de réponses, devant l’envie d’indépendance (59 %).

95 % des entreprises créées à la pépinière Soleillet passent le cap des 5 ans, contre 37 % en moyenne en
Ile-de-France. La moitié des entreprises qui sont passées par la pépinière, dont certaines créées il y a 20 ans, sont toujours en activité.

Par ailleurs, les résultats de l’enquête montrent que ces entreprises se portent bien, malgré le contexte actuel.
Elles sont ainsi 74 % à prévoir une hausse de leur activité dans les 12 prochains mois et 67 % une hausse de leurs effectifs. 95 % des entrepreneurs se déclarent satisfaits des services de la
pépinière.

Christine Lagarde publie le rapport sur les normes comptables

Pascal Morand, Directeur de l’ESCP-Europe et Didier
Marteau, ont remis leur rapport sur les normes comptables et la crise financière à Christine Lagarde, Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi.

Ce rapport conduit tout d’abord une réflexion sur les fondements des normes comptables IFRS. Il s’intéresse également aux évolutions actuellement débattues au sein de l’IASB s’agissant de la valorisation des instruments financiers. A cet égard, il analyse l’impact de ces normes sur la volatilité des comptes qui peut se transmettre à l’ensemble de l’économie.

Le rapport examine enfin les questions de gouvernance de la normalisation comptable et conclut que les représentants d’intérêt général (comme les autorités de supervision) sont insuffisamment représentés au sein de la gouvernance de l’IASB.

Christine Lagarde se félicite de cette contribution particulièrement utile au moment où l’Union européenne examine des projets de l’IASB dont elle estime qu’ils répondent insuffisamment aux attentes formulées par le Conseil ECOFIN et le G20.

Le rapport est consultable sur notre site : www.economie.gouv.fr

Le nouveau guide « Careers in Banking & Finance » de eFinancialCareers

Le premier site français d’offres d’emploi spécialisé en banque et finance, annonce la sortie de son nouveau guide « Careers in Banking & Finance 2009/10 », désormais disponible aux étudiants et jeunes diplômés sur toute l’Europe.

Le principal objectif de ce guide est de permettre aux étudiants et jeunes diplômés de prendre la bonne direction pour débuter leur carrière dans les secteurs de la banque et de la finance. Cet ouvrage de 80 pages propose un grand nombre d’informations pour trouver un stage, des détails sur les principaux Graduate Programme disponibles et des conseils pour se préparer aux entretiens. Le guide analyse également 16 secteurs financiers et ce à l’échelle européenne
(marchés de capitaux, compliance, banque de financement, assurance, systèmes d’information, conseil en management….). Chacune des rubriques comporte tout un éventail de données factuelles, de chiffres et d’informations utiles, recueillis auprès de professionnels
du secteur, mettant en avant les opportunités de carrière offertes aux étudiants et jeunes diplômes dans chaque secteur.

L’édition 2009/2010 du Guide « Careers in Banking & Finance », analyse également les changements ayant touché les secteurs de la Banque et de la Finance au cours de l’année dernière, avec une rétrospective des métiers qui sont toujours en vogue après la crise financière.

Comme l’année dernière, le guide comporte une rubrique supplémentaire où les employeurs présentent les dates limites d’envoi des candidatures, des informations détaillées sur les postes proposés par les différentes divisions de l’entreprise, ou encore le nombre de jeunes diplômés et de stagiaires recrutés l’année précédente en Europe.
Le guide « Careers in Banking & Finance », présente aussi les opportunités de carrière en France et en Europe et sera distribué pour la première fois sur des marchés émergents comme la Pologne, La République tchèque et la Russie.

« 2009 a été une année remplie de challenges pour le recrutement des jeunes diplômés. Cependant, les candidatures des étudiants les plus brillants et ambitieux qui seront diplômés l’année prochaine devraient intéresser les entreprises du secteur financier. Il en va de même pour les étudiants de second cycle qui souhaitent améliorer leurs compétences et connaissances financières ; ce complément d’études devrait augmenter leur chance de décrocher un emploi. « Careers in Banking & Finance » est le guide de référence pour tous ces étudiants, il a été spécialement conçu pour les aider à obtenir un stage ou participer à un ‘graduate programme’ », déclare John Benson fondateur et PDG d’eFinancialCareers.com.

« Careers in Banking & Finance 2009/10 » peut être téléchargé sur l’Espace Jeunes Diplômés du site eFinancialCareers.fr (www.efinancialcareers.fr).

CERAM Business School et Groupe ESC Lille dans le top 25 du FT

Le Financial Times vient de publier son classement des 50 meilleurs Masters mondiaux en
Management. Le Groupe ESC Lille et le CERAM Business School qui ont annoncé leur fusion en juin dernier se classent respectivement 17e et
23e
sur les 50 écoles européennes, américaines et asiatiques sélectionnées.

Cette performance confirme ainsi le nouveau groupe comme une Business School de premier plan
international.  

La nouvelle école se distingue particulièrement sur les critères déterminants suivants :

          l’évolution de carrière : le CERAM figure en 3ème position du palmarès et première école française sur ce critère

          la
mobilité internationale des diplômés : le groupe ESC Lille est classé au 3ème rang du palmarès et 2e école française

          la
féminisation du corps professoral et des promotions : sur ces critères de diversité, les 2 écoles figurent dans le top 5.

« La présence de nos deux écoles dans le haut de ce classement est une
reconnaissance pour le travail de fond accompli depuis plusieurs années et consacre nos stratégies communes d’excellence académique et professionnelle, résolument tournées vers
l’international » explique Jean Pierre Raman,  Directeur Général du groupe ESC Lille et Délégué Général de la nouvelle école.

 « Notre fusion s’inscrit
dans une dynamique résolument internationale, via un projet de développement multi-campus atypique et innovant : s’implanter là où s’invente le monde économique de demain. La dimension
internationale du nouveau groupe, nos programmes, ainsi reconnus parmi les meilleurs au monde, sont autant d’atouts pour conforter nos ambitions » précise Alice Guilhon, Directrice Générale
du CERAM et du nouveau groupe
.

Classement FT des Masters : HEC maintient son leadership mondiales

Le Financial Times a publié ce lundi 5 octobre 2009 le ranking annuel des « Masters in
Management » qui n’est désormais plus européen mais véritablement mondial. En effet, ce classement regroupe cette année 50 écoles et universités en Europe, en Amérique du Nord et en
Asie.

Le premier Master classé est le CEMS MiM*. Avec son programme « Grande Ecole », HEC Paris demeure depuis 5
ans la 1re business school au monde sur le segment des Masters pré-expérience devant ESCP Europe (3e), London School of Economics (4e), Essec (5e) et
EM Lyon (6e).

« Cette double consécration prouve qu’HEC a su s’adapter aux défis du
monde d’aujourd’hui et préparer ses étudiants aux évolutions de demain. L’excellence et l’ouverture d’esprit sont les valeurs essentielles qui nous guident au
quotidien 
», souligne Bernard Ramanantsoa, Directeur Général d’HEC Paris.

Depuis plusieurs années, les efforts d’HEC s’intensifient dans les domaines de l’internationalisation, de
l’ouverture sociale, du développement de la recherche, de la proximité avec le monde des entreprises et de l’innovation pédagogique, notamment à travers des filières dédiées au développement
durable et au « social business ».

 

* Le CEMS MiM est un Master créé par la CEMS, alliance regroupant 27 écoles leaders
chacune dans leur pays (HEC, membre fondateur, étant la seule institution française de ce réseau). Le CEMS MiM est une spécialisation proposée en 3e année aux élèves de la Grande
Ecole.

 

Sources :
Financial Times, édition du 5 octobre 2009

Contrepartie formation de la baisse de la TVA dans la restauration

Laurent WAUQUIEZ, secrétaire d’Etat chargé de l’Emploi, et Hervé NOVELLI, secrétaire d’État chargé du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services et
de la Consommation, réuniront l’ensemble des acteurs de la formation professionnelle du secteur de la restauration pour faire le point sur la mise en œuvre des engagements du contrat d’avenir en
matière d’alternance le mardi 1er septembre 2009 à 14h00 au Ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi à Paris.

En effet, en contrepartie de la baisse de la TVA dans la restauration, les professionnels du secteur ont pris des engagements en matière d’emploi, portant notamment sur l’embauche de
20 000 jeunes en alternance sur une période de 3 ans. En réunissant ainsi l’ensemble des acteurs de la formation professionnelle du secteur, Laurent WAUQUIEZ et Hervé NOVELLI pourrons
établir avec la profession les conditions de mise en œuvre de cet engagement et de l’avenir de l’alternance, voie d’excellence de l’accès à la vie professionnelle.

Jeunes diplômés en finance, savoir être prêt pour la relance

La crise financière a été violente en 2009. 25 % des offres d’emploi pour les jeunes diplômés ont disparu depuis l’an dernier en raison de l’obligation des sociétés à un ralentissement de leurs besoins économiques et d’un avenir incertain.

L’ampleur du déclin est « sans précédent », pour reprendre les termes de l’Association britannique des recruteurs de jeunes diplômés (AGR), et les services financiers sont au premier rang des secteurs touchés. Dans le quartier de la City, à Londres, le nombre d’emplois réservés aux débutants a chuté de 56 % dans les banques d’investissement.

Toutefois, la situation n’est pas aussi morose qu’elle aurait pu l’être car plus qu’un arrêt, c’est un ralentissement qui s’est produit. « On peut relever de positif que la plupart des entreprises ont conservé leurs programmes destinés aux jeunes diplômés, ce qui n’avait pas été le cas lors de la dernière récession », explique Carl Gilleard, directeur général de l’AGR.

La Royal Bank of Scotland (RBS) qui, cette année, a accueilli moins de jeunes diplômés au Royaume-Uni (300 au lieu de 483 en 2008), est assez représentative des ‘grandes banques’.
« Heureusement cette fois-ci, les établissements financiers n’ont pas totalement renoncé au recrutement de jeunes diplômés », enchérit Steve Huxham, président de la Recruitment Society.
« Les grandes enquêtes sont valables et utiles, mais elles ne reflètent pas entièrement la vérité étant donné qu’elles ont tendance à se focaliser sur les grandes banques. Or, beaucoup d’établissements et de boutiques plus modestes ont continué à recruter, percevant la crise comme une opportunité d’embaucher des talents qui, d’habitude, gravitent autour d’autres enseignes. »

Une certaine vitalité persiste dans le secteur mais cela fait plus de dix ans que les jeunes diplômés n’avaient pas été confrontés à un marché du travail aussi dur. La preuve en est le nombre de postulants pour les offres d’emploi réservés aux débutants. Selon l’AGR, il y aurait en moyenne 48 candidatures pour chaque poste vacant, tous secteurs confondus, mais ce chiffre passe à 76 dans le secteur bancaire et à 82 dans la banque d’investissement. Les recruteurs n’ont peut-être que l’embarras du choix mais ils ont des décisions difficiles à prendre.

Le contexte étant ce qu’il est, quelle tactique doit adopter un recruteur qui veut profiter des opportunités mais éviter les dangers ? Voici quelques conseils :

Avoir une vision à long terme

Le DANGER : le danger est l’enfermement. La tentation est inévitable : en période de crise, on se barricade pour ne laisser entrer aucun élément extérieur. Lorsqu’à la nécessité de réduire les coûts s’ajoute un volume de travail qui semble diminuer, il est facile de penser que de nouvelles recrues sont inutiles. Cependant, une telle vision à court terme peut vous placer en situation de pénurie de sang neuf lorsque les conditions s’améliorent. Vous affichez également, à votre détriment, un manque de confiance dans vos perspectives. Les recruteurs de jeunes diplômés doivent se faire violence et résister aux pressions de recul du siège. « Continuer la chasse de têtes est ce qu’il y a de plus difficile à justifier en interne pour les recruteurs des RH car leurs besoins dans deux ou trois ans sont incertains », poursuit Steve Huxham. « Leur meilleur argument est que dans une Europe vieillissante et de plus en plus concurrentielle, il risque d’y avoir une pénurie de jeunes talents. En réduisant les embauches maintenant, on risque de le payer plus tard. Il est essentiel de conserver une vision à long terme.
La meilleure façon de pérenniser les recrues est de sélectionner des candidats flexibles et adaptables, qui peuvent facilement être formés et mutés dans d’autres services au fur et à mesure de l’évolution des besoins. »

L’opportunité : c’est l’occasion de se préparer pour la relance, en sachant que la récession ne durera pas éternellement. « Les sociétés tournées vers l’avenir continuent à recruter des jeunes diplômés dans les mêmes proportions », affirme Charlie Ball, directeur adjoint de recherche au HECSU (UK Higher Education Careers Service Unit).
« Elles savent que le secteur de la finance a besoin d’un flux stable de talents, d’idées neuves et de nouveaux produits. Elles savent aussi que recruter maintenant leur évitera une pénurie de talents, le risque étant que dans cinq ou six ans, elles n’aient pas de managers expérimentés. C’est ce qui est arrivé à l’industrie informatique : après le crash des sociétés Internet, celles-ci ont cessé d’embaucher et lorsque la situation s’est améliorée, il leur a été impossible de trouver des personnes expérimentées si bien qu’elles n’ont pas pu se
développer. »

La clé pour gérer une campagne de recrutement en période incertaine est de contrôler de près l’activité de l’entreprise, en surveillant ses besoins et en adaptant rapidement la stratégie de recrutement au fur et à mesure qu’ils évoluent. « Bien que cela ne soit pas une mince affaire, nous suivons désormais les besoins de la société à intervalles hebdomadaires », confie Karen Martin, chargée du recrutement des jeunes diplômés au sein du groupe RBS. « Par exemple, comme les marchés de la finance à effet de levier sont calmes, nous avons moins besoin de jeunes diplômés dans ce secteur. À l’inverse, nous pensons que de jeunes diplômés dans des filières technologiques pourraient nous être utiles. Nous nous efforçons de réagir rapidement et de
tirer des leçons des erreurs que nous avons commises dans le passé. Voilà pourquoi, les faits et les chiffres font l’objet d’une surveillance constante en RH. Il est plus important que jamais d’être au plus près de l’activité de l’entreprise. »

protéger votre réputation

Le danger : veillez à ne pas ternir votre réputation. Si, à un moment donné, une organisation qui recrute habituellement auprès des écoles de commerce et des universités, cesse de le faire alors que son concurrent, lui, continue, sa réputation risque d’en souffrir. Le bouche-à-oreille étant très efficace chez les jeunes diplômés, les étudiants des promotions futures auront tendance à se tourner vers ce concurrent. Le risque de dommage à la marque s’applique également aux universités et aux écoles de commerce : ne détruisez pas une relation qui a peut-être mis des années à se construire. « Pensez à la rétention à long terme », explique Charlie Ball. « Si vous cessez d’embaucher des jeunes diplômés pendant un ou deux ans,
lorsque vous reprendrez votre campagne de recrutement, les nouvelles recrues auront du mal à s’adapter à cause de la différence d’âge et elles partiront. » Si le flux s’arrête et que les maillons vitaux de la chaîne manquent, les jeunes employés pourront être tentés d’aller voir ailleurs. Il est nécessaire de créer un vivier de talents dans lequel vous pouvez puiser lorsque vous en avez besoin.

L’opportunité : c’est l’occasion pour vous de vous démarquer. Vos concurrents sont moins vigilants : profitez-en ! Faites en sorte que les jeunes diplômés ne vous oublient pas. Établissez ou consolidez votre statut de marque sérieuse et fiable ayant une stratégie claire et une vision à long terme.

L’enquête 2008 des carrières choisies par les étudiants d’Oxford et de Cambridge (parue sur le site TopEmployers) montre que 2 étudiants sur 3 ayant choisi la banque d’investissement comme filière ont du mal à faire la distinction entre les employeurs. Faites en sorte d’être reconnu et reconnaissable, et le bouche-à-oreille fera le reste. Passez du temps à améliorer les relations stratégiques avec les universités et les écoles de commerce en veillant à être plus visible que jamais. Un salon de recrutement ponctuel est insuffisant. « Ces relations sont cruciales et doivent être préservées », insiste Karen Martin. « Il n’a pas toujours été facile pour RBS d’être présent sur les campus mais nous nous sommes efforcés de ne jamais interrompre nos
relations avec les universités : cela est vital pour maintenir notre statut auprès des jeunes diplômés. »

Gérer les attentes

Le danger : attention à ne pas ternir votre marque de recruteur ! Soyez positif, pensez à long terme et préparez-vous pour la relance mais soyez également réaliste quant à vos perspectives. Si la crise est grave et s’il y a peu de chances pour que des postes se libèrent, alors mieux vaut ne pas donner de faux espoirs. Si les stages ne débouchent pas sur des emplois ou si vous faites des offres que vous retirez ensuite, votre marque sera moins respectée et se verra coller une étiquette ‘peu fiable’ dont elle aura du mal à se défaire. Évitez la propagation de rumeurs néfastes concernant des revirements soudains de stratégie de recrutement, comme cela est arrivé à plusieurs banques en 2003. Il est préférable d’agir rapidement et efficacement plutôt que de laisser les gens dans l’expectative. « Il serait dommage que les jeunes diplômés vous perçoivent comme une société qui ne tient pas ses promesses », explique Charlie Ball.
L’honnêteté est la meilleure politique : c’était aussi ce que pensait Morgan Stanley lorsque la société a annoncé l’an dernier qu’elle renonçait provisoirement au recrutement en masse de
jeunes diplômés. Certes, il s’agit d’une stratégie risquée qu’il vaut mieux laisser à de grands noms comme Morgan Stanley, suffisamment confiants pour savoir que les jeunes diplômés reviendront à la minute où ils auront donné le bon signal.

L’opportunité : c’est l’occasion d’apprendre à gérer les attentes avec soin. Vous êtes le recruteur : c’est vous qui choisissez et vous n’aurez probablement que l’embarras du choix, mais veillez à ce que les candidats aient eux aussi de bonnes raisons de vous choisir. Étalez vos qualités. Les enquêtes montrent, par exemple, que l’éthique arrive en tête des facteurs les plus importants dans le travail pour la majorité des jeunes diplômés, à égalité avec l’équilibre entre le travail et la vie privée, ainsi que la diversité du travail, bien loin devant le lieu de travail, le salaire ou les opportunités internationales. D’après l’enquête 2009 réalisée par l’AGR concernant le recrutement des jeunes diplômés, un jeune diplômé sur trois pense que son employeur n’a pas répondu à ses attentes : nul doute que ce message sera transmis et diffusé.

A l’inverse, un environnement propice à l’apprentissage, valorisant l’innovation et les idées nouvelles, inspire deux fois plus de loyauté. Offrir aux étudiants plus de flexibilité, en leur donnant par exemple la possibilité de prendre des congés pour voyager ou préparer un MBA, est également une stratégie gagnante : elle vous permet de vous distinguer des autres et montre que vous êtes prêt à investir dans vos collaborateurs. Afin d’équilibrer le recrutement, des cabinets d’avocats de Londres n’ont pas hésité, au début de l’année, à verser des milliers de livres sterling à de jeunes diplômés pour reporter leur date d’embauche. Tous les cabinets d’avocats souhaitaient que les étudiants retardent leurs stages de six à douze mois au minimum. Allen and Overy, Clifford Chance, Linklaters et Eversheds sont de ces trente-neuf cabinets qui ont offert à de jeunes diplômés entre 5 000 et 10 000 livres sterling pour repousser leur stage.

De même, en début d’année, Simmons & Simmons a demandé aux stagiaires qui devaient commencer en septembre 2009 et en mars 2010 de reporter leur date d’embauche et de préparer à la place un
MBA juridique payé par le cabinet auprès du BPP College of Professional Studies. En plus d’avoir eu leurs études payées par Simmons & Simmons, les étudiants ont également perçu une bourse
d’entretien de 15 000 livres sterling pour couvrir leurs frais de subsistance.

Conclusion : l’avenir

Personne ne sait avec certitude combien de temps va durer la récession et si les bourgeons de la relance vont périr ou éclore, mais il est raisonnable de penser que le pire est derrière nous.
Même s’il ne faut guère compter sur un retour à la normale avant 2011, le secteur de la finance connaît un regain de dynamisme. Les résultats extrêmement performants de JP Morgan Chase et de Goldman Sachs confortent les optimistes – ainsi que les recruteurs de jeunes diplômés avides de persuader leur siège de laisser la chasse de têtes ouverte. Les prévisions laissent entrevoir une reprise économique en 2010 mais l’emploi mettra plus de temps à récupérer. En 2010, les niveaux de recrutement de jeunes diplômés devraient rester aussi bas qu’en 2009 pour remonter l’année
suivante. « La plupart des employeurs reviendront certainement à leurs niveaux habituels de recrutement dès les premiers signes d’une relance économique », explique Carl Gilleard. Le processus de sélection est plus crucial que jamais. Il est important de choisir des personnes flexibles qui ont envie de travailler pour vous. Une surveillance constante et étroite des besoins de l’entreprise est également primordiale. Il est conseillé d’agir tôt : « Depuis janvier 2009, nous avons donné aux candidats la possibilité de nous communiquer leur intérêt pour 2010 : nous avons donc leurs coordonnées et pouvons les contacter en cas de besoin. Il nous faut des personnes intelligentes pour accompagner la société vers l’avenir », conclut Karen Martin.

Nicol Degli Innocenti

Naissance de BPCE, acteur majeur du paysage bancaire français

Christine LAGARDE, ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, salue la naissance de BPCE, nouvel organe central commun aux réseaux Banques Populaires et Caisses d’Epargne.

La création de BPCE, approuvée aujourd’hui par les actionnaires de la Banque Fédérale des Banques Populaires (BFBP), de la Caisse Nationale des Caisses d’Epargne (CNCE) et de BPCE, marque
l’aboutissement du rapprochement des deux groupes annoncé le 26 février 2009.

Autorisée par la loi du 18 juin 2009 relative à l’organe central des caisses d’épargne et des banques populaires, la création de BPCE a reçu l’approbation de toutes les autorités compétentes,
notamment l’Autorité des marchés financiers le 14 mai 2009, l’Autorité de la concurrence le 22 mai 2009, le Comité des établissements de crédit et des entreprises d’investissement (CECEI) le 23
juin 2009.

Le Ministre se félicite du bon déroulement de ce processus que l’Etat a accompagné et soutenu dans le contexte de la crise financière.

Afin d’asseoir la solidité financière du groupe, l’Etat, via la société de prise de participation de l’Etat (SPPE), a souscrit ce jour 3 milliards d’euros d’actions de préférence sans droit de
vote, éligibles en fonds propres « core tier one » et de bons de souscription d’actions émis par le nouvel organe central du groupe BPCE. Les actions de préférence présentent les mêmes
caractéristiques financières que les actions de préférence déjà souscrites par la SPPE. Les bons de souscription d’actions pourront être exercés à partir du cinquième anniversaire de la date
d’émission des actions de préférence.

L’apport en fonds propres de l’Etat au titre de la 2e tranche de renforcement des fonds propres des banques s’élève pour le groupe à 5 milliards d’euros, conformément à l’autorisation
de la Commission européenne du 8 mai 2009.

L’Etat sera représenté au sein du conseil de surveillance de BPCE jusqu’au remboursement de son apport en fonds propres.

La participation financière de l’Etat dans BPCE s’inscrit dans le cadre du plan de financement de l’économie au titre duquel les groupes bancaires ont notamment pris des engagements de
soutien au crédit aux ménages et aux entreprises.

Impact de la crise sur les priorités des managers

Spécialiste international du recrutement, le groupe Robert Half a consulté* les managers financiers et ressources humaines
de 20 pays pour « prendre la température » de leurs préoccupations actuelles. En cette période de crise, quelles sont leurs priorités ? Placée désormais pour beaucoup sous des
auspices incertains, la carrière est devancée par la famille qui devient de façon unanime LA priorité. Mais les préoccupations professionnelles ne sont pas loin : la formation arrive en
3e position, sans doute un moyen pour mieux affronter la période actuelle.

 

« Famille, je vous aime ! »

La famille remporte, toutes réponses confondues dans cette enquête, 47% des suffrages. Mais il est des pays où cette priorité prime davantage
encore dépassant les 50% : l’Espagne extrêmement touchée par la crise (59%), l’Italie et la République Tchèque (56%) puis les Etats-Unis (55 %)…

 

Carrière, la prudence est de mise…

La méfiance liée au climat économique actuel ne permet plus de dire que l’emploi est La priorité, trop d’incertitudes pour cela. Le cap est
alors mis sur la famille. Toutefois, dans 3 pays, la position est quelque peu différente… Sous des cieux économiques encore propices a priori, carrière et famille sont autant prioritaires l’une
que l’autre comme par exemple à Dubaï (respectivement 42 et 41%) et au Luxembourg (44 et 46%). Quant au Brésil, il se démarque totalement : la carrière (47% des suffrages) arrive devant la
famille (30%).

 

Est-ce l’heure de se former ?

Si les formations purement professionnelles sont effectuées aujourd’hui en nombre, celles qui touchent au développement personnel (sur la
motivation, la gestion du stress, du temps…) sont également très recherchées (3e réponse à la question avec 10% des suffrages). C’est aux Pays-Bas que la formation est perçue le plus
comme une priorité (22%), puis à Hong-Kong (17%) ainsi qu’en Autriche et au Brésil (16%).

 

Les loisirs avant le bénévolat

Se changer les idées ? Ce besoin est devenu plus fort et passe largement (7%) devant l’idée d’un engagement social (3%). La nécessité de
loisirs serait le plus ressenti au Japon (14%), en Allemagne et en Autriche (11%) ainsi qu’au Royaume-Uni et en Nouvelle-Zélande (9%). Et si le bénévolat interpelle, c’est davantage aux Pays-Bas
(9%), puis en Suisse (6%) et en Allemagne, Belgique et Espagne (5%) que l’engagement social est une préoccupation.

 

Zoom sur la France :

·                     Ordre des priorités des managers français en cette période de crise : leur famille (48%), leur carrière (27%), la formation (10%), les
loisirs (7%), l’engagement social (4%)

·                     Accepter en 2009 une baisse de salaire pour un poste qui offrirait un meilleur équilibre vie professionnelle / vie privée ? Pas si sûr…
Si 16% des Français sont plus intéressés par cette idée qu’en 2008, 56% le sont autant, mais 27% le sont moins…dans la droite ligne des autres pays interrogés (respectivement 18%, 59% et
23%)

 

 

* Robert
Half a réalisé cette enquête internationale en février et mars 2009 auprès de plus 5 3000 DRH et Directeurs Financiers dans 20 pays : Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Brésil, Dubaï,
Espagne, France, Hong-Kong, Irlande, Italie, Japon, Luxembourg, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas, République Tchèque, Royaume-Uni, Singapour, Suisse, Etats-Unis. Echantillon sectoriel
représentatif.

Publication du tableau de bord de l’innovation

Le « tableau de bord de l’innovation » regroupe une vingtaine d’indicateurs clés illustrant les principales évolutions
du développement de l’innovation technologique en France. Les indicateurs sont répartis en quatre rubriques : capitaux, entrepreneurs, technologies et usages. Des indicateurs du tableau de
bord européen de l’innovation permettent une comparaison des performances des pays membres de l’Union européenne en termes de capacité d’innovation.

Sur l’ensemble de l’année 2008, les créations d’entreprises dans des secteurs technologiquement innovants ralentissent (13 000
créations en 2008, 13 500 l’année précédente). 76% de ces créations se font dans le secteur informatique et 12% dans les activités audiovisuelles. La croissance des effectifs travaillant dans les
secteurs innovants s’est interrompue au second semestre 2008. Globalement, ils atteignent 1,6 millions de salariés, et continuent de progresser dans le domaine de l’informatique.

L’indice de chiffre d’affaires des secteurs innovants augmente en 2008 à un rythme annuel de 6%, notamment dans les services
informatiques et l’audiovisuel. Toutefois, il recule dans le secteur des équipements de communication, dans l’industrie chimique et la pharmacie.

L’utilisation des nouvelles technologies par les particuliers continue de progresser : 62% des ménages ont accès à l’internet à
domicile (49% début 2007). 57% des ménages sont connectés au haut débit (43% l’année précédente). Les ventes de micro-ordinateurs au grand public et aux entreprises continuent de progresser (+9%
par rapport à l’année précédente).

 

Le
tableau de bord de l’innovation est disponible sur
http://www.industrie.gouv.fr/p3e/tableau_bord/innov/so_tbi.htm

Présentation du rapport sur le passage à l’autonomie des universités

M. Philippe ADNOT

(NI – Aube)

Rapporteur

et

M. Jean-Léonce DUPONT

(UC – Calvados)

Rapporteur

 

présenteront les conclusions de leur rapport sur le passage à l’autonomie budgétaire des universités et le nouveau système d’allocation des moyens aux universités
(SYMPA)
, le mercredi 15 juillet 2009 à 17h30

– salle Clemenceau – 15 ter rue de
Vaugirard 75006 Paris

Défaillances et sauvegardes d’entreprises en France au 2e trim. 2009

Selon une étude publiée par la société Altares, spécialiste de la connaissance interentreprises,
le rythme des défaillances d’entreprises ralentit légèrement sur le deuxième trimestre 2009. 13 908 ouvertures de redressement judiciaire ou liquidation
judiciaire ont été prononcées par les Tribunaux. La hausse s’établit à +15% contre +21% lors des deux précédents trimestres. Le recours à la procédure de sauvegarde reste très soutenu à
+141%.

 

L’immobilier et l’industrie hors agro-alimentaire toujours très éprouvés, le commerce tente de
résister

En écho à l’accélération des défaillances de PME, les signes de dégradation sont visibles sur des sociétés plus
anciennes. En effet, si les entreprises âgées de 3 à 5 ans restent structurellement fragiles, celles de plus de 15 ans sont fortement frappées par le bouleversement économique de ces derniers
mois. C’est même chez les sociétés les plus âgées que l’accélération du risque est la plus forte. Plus de 2 000 PME créées depuis plus de 15 ans ont déposé le bilan au cours du deuxième trimestre
2009. C’est 24% de plus qu’un an plus tôt. Les difficultés de l’Industrie pèsent sur ces résultats : 20% des PME de plus de 15 ans opèrent dans un secteur industriel ; elles sont environ trois
fois moins représentées (7%) dans la population des défaillantes de moins de 15 ans.

L’Industrie hors agroalimentaire comme l’Immobilier restent également fragilisées. Les défaillances augmentent
environ quatre fois plus vite dans l’Immobilier (55,3%) et l’Industrie hors agroalimentaire (52,7%) que dans l’ensemble des secteurs (15%). Les industries de mécanique et métallurgie sont
davantage affectées encore : 228 sociétés ont défailli, soit + 159%. Les défaillances augmentent de 69% dans l’activité machines et équipements (71), 46% dans les autres industries
manufacturières, 33% dans celles de réparation et maintenance mais aussi de 42% dans l’imprimerie. Dans l’Immobilier, les procédures collectives augmentent de 162% dans la promotion et de 48%
dans les agences.

Le Bâtiment conserve des tendances fortes (+ 20%) mais mieux orientées sur le deuxième trimestre.

La hausse des défaillances décélère dans le transport routier de marchandises (+ 14,3%) mais reste forte dans les
autres activités de transport (+ 36%).

Les Services aux entreprises restent sous pression (+ 18%), particulièrement dans les services techniques et
scientifiques (+ 26%) en particulier dans les activités de conseil, études et agences de publicité.

Les Services aux particuliers sont eux aussi fragilisés ; la hausse est de 21% chez les coiffeurs et soins de beauté
& corporels et 39% dans les autres services à la personne.

Enfin, si les restaurants résistent mieux sur le deuxième trimestre (+ 10%), l’hébergement reste en revanche mal
orienté (+ 20%).
A noter la performance des débits de boisson dont les défaillances reculent de 4% sur le
trimestre.

Dans le Commerce, les statistiques s’améliorent aussi. Les activités de vente et réparation automobile enregistrent
une hausse des dépôts de bilan de 4% ce trimestre. Le commerce de gros résiste (+ 4%) exception faite du négoce de matériaux de construction (+ 20%) et de machines et équipements (+ 17%). Dans le
commerce de détail, les tendances semblent s’améliorer (+ 13%), pourtant elles masquent une dégradation encore sévère dans le bricolage et équipement du foyer (+ 41%), les magasins multi rayons
(+ 40%), l’habillement (+ 18%). A noter la performance de la branche sport & loisirs où les défaillances reculent de 3%.

Le secteur Information et communication continue de résister avec une hausse des défaillances de 4%. Les services
informatiques sont cependant moins bien orientés (+ 11%).

L’Agriculture
affiche une baisse des défaillances de 8,5%.