Archives de catégorie : Actualité de la gestion

APCE, plan stratégique 2010-2012

Un objectif : INSCRIRE LA CREATION D’ENTREPRISE DANS LE QUOTIDIEN DES FRANCAIS

L’APCE présente son deuxième Plan stratégique après celui de 2006-2008 pensé par René Ricol, alors Président. Il définissait de nouvelles
missions à l’Agence : accompagnement des transmissions d’entreprises et appui aux collectivités locales. Les objectifs de ce Plan ont été atteints par son successeur, Jean-Claude Volot qui,
en présentant le nouveau plan stratégique 2010-2012, entend répondre aux évolutions sociétales, au contexte économique et aux réformes mises en place par l’Etat.

Inciter à l’entrepreneuriat et poursuivre le succès de l’auto-entrepreneur

L’APCE a pour mission de stimuler l’esprit d’entreprendre en France, faire émerger des publics variés d’entrepreneurs et diffuser le plus
largement une information qualitative sur la création d’entreprise.

Pour remplir cet objectif, les experts de l’Agence porteront une attention particulière à la promotion de l’acte d’entreprendre dans
l’enseignement secondaire et supérieur ainsi qu’à une collaboration avec les différents ministères concernés afin que la création d’entreprise soit reconnue comme une véritable démarche
d’intégration.

L’APCE souhaite également s’attaquer à la peur de l’échec, perçu négativement en France. En prenant exemple sur nos voisins, l’Agence s’engagera dans une voie de valorisation des projets entrepreneuriaux comme atout de carrière.

Plusieurs actions sont définies pour répondre à ces objectifs :

–         création d’un pôle « esprit d’entreprendre » au sein de l’APCE doté d’un budget spécifique,

–         création et animation d’un comité Synergies entrepreneuriat pour la promotion de l’esprit
d’entreprendre chez les jeunes avec la diffusion de contenus adaptés sur le site Internet de l’APCE,

–         utilisation de témoignages d’entrepreneurscomme valeur d’exemplarité,

–         mise en place d’évènements mobilisateurs autour de la création d’entreprise dans la population,

–         enrichissement par des contenus spécifiques dédiés à « la prévention des difficultés »que peuvent rencontrer les entrepreneurs.

Faciliter les projets entrepreneuriaux

La problématique de l’accompagnement est au cœur des démarches de la création d’entreprise, notamment pour les auto-entrepreneurs. Si les simplifications administratives et financières ont permis un élan entrepreneurial en France, une majorité de ces nouveaux entrepreneurs semble ne pas avoir intégré la nécessité de se faire
accompagner dans le montage et la gestion de leur activité. L’APCE va mettre en place une veille spécifique pour appréhender l’évolution de ces nouveaux entrepreneurs et développer des outils adaptés.

Le site de l’APCE, leader des sites nationaux sur la création d’entreprise avec plus de 8 millions de visiteurs distincts en 2009, se situe également dans les premiers rangs au niveau international.

Pour répondre aux enjeux technologiques et toucher des publics plus larges, l’Agence va développer un site web accessible aux mobiles,
complément pertinent pour le créateur qui pourra construire son projet en ligne et l’actualiser à tout moment.

Pour connaître davantage les besoins des utilisateurs, l’Agence lancera également une mesure qualitative de son site Internet.

Différentes missions seront menées pour satisfaire les ambitions de l’APCE :

–         mise en place d’une plate-forme collaborative nationale pour des échanges entre porteurs
de projet,

–         développement d’une application mobile pour retrouver le contenu existant du site sur
téléphone,

–         évaluation des outils mis en place par l’Agence et des attentes des utilisateurs.

Aider au développement des
projets entrepreneuriaux

Un travail nécessaire est à mener pour ancrer les entreprises dans une logique de développement de croissance dès leur création. Il devra
s’effectuer grâce à des outils adaptés pour les créateurs (en particulier les auto-entrepreneurs) et pour les opérateurs de terrain qui pourront identifier les projets disposant d’un fort
potentiel, notamment en matière d’embauche.

Afin de remplir les objectifs énoncés, plusieurs actions seront menées :

–         développement des outils spécifiques destinés aux auto-entrepreneurs : un kit d’aide
au développement, notamment pour le passage à un statut d’entreprise classique, des formations adaptées « auto-entrepreneurs » pour les collaborateurs des réseaux, des outils de
simulation, de diagnostic et d’aide à la décision en ligne,

–         proposition de processus de détection et d’accompagnement des entrepreneurs à potentiel à
l’Etat, aux collectivités territoriales, aux réseaux d’accompagnement, aux banques, etc.

Pour Jean Claude Volot, Président du Conseil de l’APCE : « Dans un monde en évolution permanente, ce sont les énergies positives, la créativité, les convictions, la volonté d’entreprendre qui font la vitalité d’une société. Plus que jamais nous devons convaincre les Français, et spécialement les jeunes, que créer son entreprise est possible, accessible, passionnant. Il faut mettre en valeur la création de richesse, qui seule sous-tend l’emploi. »

Prévention du stress et bien-être au travail : Quel nouveau rôle pour les managers ?

L’ANVIE organise prochainement un Groupe de travail

Prévention du stress et bien-être au travail : Quel nouveau rôle pour les managers ?

Les 10 juin, 22 juin et 6 juillet 2010, Paris

Animateur scientifique : Alain d’Iribarne,
Directeur de recherche au CNRS

Témoignages de professionnels : AXA FRANCE, LAFARGE,
RENAULT, RHODIA, ROCHE

Programme des séances interentreprises :

Pour une approche globale du stress : comment améliorer le diagnostic et la prévention ?

Sur quels leviers (cultures d’entreprise, de métiers…) s’appuyer pour prévenir le stress lié au changement ?

Préparer les managers à leur nouveau rôle dans la prévention et la gestion du stress au travail

Objectif : Ce groupe de travail a pour objectif d’établir, sur la base du partage d’expériences, une méthodologie de diagnostic du stress au
travail prenant en compte l’organisation; et d’identifier les actions de formation adaptées pour les managers.

 

Plus d’informations :

Tél. : 01.42.86.68.90

information@anvie.fr

www.anvie.fr

CONCOURS « 10 IDEES POUR L’AFRIQUE DE DEMAIN »

DATE LIMITE : 30 AVRIL 2010

 

Dans le cadre du Cinquantenaire des indépendances africaines, le Secteur des sciences sociales et humaines de l’UNESCO (SHS) lance un « Appel à idées » autour de
propositions prospectives favorisant le développement de l’Afrique dans les 10 ans à venir.

Parmi les propositions, qui devront être soumises avant le vendredi 30 avril 2010 à minuit (heure de Paris), 10
idées seront sélectionnées par un jury international et seront présentées par leur auteur(e) lors de 10 mini-conférences qui se tiendront au Siège de l’UNESCO, au mois de juin 2010.

Ces 10 contributions à la réflexion sur le devenir de l’Afrique seront également publiées sous la forme d’un numéro
spécial du magazine SHSregards.

Chaque proposition devra développer 1 idée qui permettrait d’amplifier les effets positifs et de réduire, ou de
contenir, les impacts négatifs des principales tendances observées en Afrique dans 1 des 10 domaines suivants :

 

Thème 1 :Economie et développement (environnement, sécurité alimentaire, nouvelles technologies de l’information et
de la communication…)

Thème 2 : Gouvernance, politique, institutions, leadership

Thème 3 :Intégration régionale, population, migrations, urbanisation

Thème 4 : Identités culturelles (langues, religions…)

Thème 5 : Jeunesse

Thème 6 : Droits humains, genre et justice

Thème 7 : Diaspora

Thème 8 : Paix, sécurité et conflit

Thème 9 : Santé, éducation et développement social

Thème 10 : Relations internationales

 

Chaque proposition devra notamment détailler ce qui pourrait constituer « l’agent de changement » porteur de
l’amplification des effets positifs d’une ou de plusieurs tendances avérées dans le domaine concerné et qui serait à même de mettre en œuvre l’idée soutenue.

Sur le plan formel, le (la) contributeur (trice) s’en tiendra à 1 seule idée dans 1 seul domaine en précisant
clairement lequel.

Les textes, qui peuvent être rédigés en anglais, en espagnol ou en français, compteront un maximum de 4 pages de
1500 signes (caractères espaces compris) et ne pourront donc excéder 6000 signes au total (920 mots).

Chaque contribution reçue devra, par ailleurs, être accompagnée d’un Curriculum Vitae du (de la) contributeur
(trice) qui n’excèdera pas 1 page de 1500 signes, ainsi que d’une photographie d’identité au format requis pour l’établissement de documents officiels du type passeport (scannée à + de 300 DPI si
transmise par courrier électronique).

Au cas où un collectif d’auteur(e)s souhaiterait répondre à cet appel, il conviendra de résumer les Curriculum Vitae
de chaque membre du collectif dans 1 page de 1500 signes maximum en commençant par celui du (de la) représentant(e) du collectif qui serait invité (e) à présenter l’idée soutenue au Siège de
l’UNESCO, à Paris (France),si la contribution était sélectionnée. Une photographie d’identité de chaque membre du collectif sera également jointe selon les modalités mentionnées ci-dessus.

Les personnes ou collectifs désirant participer au concours « 10 idées pour l’Afrique de demain » sont invité(e)s à
transmettre leur contribution, par courrier électronique ou postal, avant le vendredi 30 avril 2010 à minuit (heure de Paris), à l’adresse suivante :

 

UNESCO-SHS

Concours « 10 idées pour l’Afrique de demain »

1 rue Miollis

75732 Paris cedex 15 – France

Courriel : shs@unesco.org

 

Pour plus de précisions sur ce concours, merci de contacter :

M. Arnaud DROUET, a.drouet@unesco.org, tél. : +33 1 45 68 38 24

Les chercheurs en gestion parlent dans le Mag des Sciences de Gestion

Le Mag des Sciences de Gestion est un magazine d’analyse et d’information couvrant l’ensemble des domaines des sciences de gestion. Ce trimestriel, créé en janvier 2010 et diffusé par « la revue des revues » (www.revuedesrevues.fr) a pour vocation de proposer une nouvelle lecture des travaux académiques en sciences de gestion, dans une perspective de vulgarisation scientifique et de prise de position de la communauté des chercheurs en gestion vis-à-vis des questions de sociétés. Il est né de la volonté de quatre doctorants de développer et de faire connaitre leur discipline. Ce premier numéro est constitué d’un dossier thématique d’actualité, traitant de la souffrance au travail dans les organisations et d’un article faisant écho à la tragédie Haïtienne, sur la logistique humanitaire.

Pour diffuser les connaissances produites par les sciences de gestion

Le Mag des Sciences de Gestion est guidé par la volonté d’offrir une plateforme ouverte, gratuite et collective répondant aux exigences d’une science accessible à tous. L’hyperspécialisation des domaines de recherche, oblige aujourd’hui les chercheurs en sciences de gestion, à dépasser la dichotomie entre activités de création et de diffusion du savoir, s’ils souhaitent améliorer la visibilité de leurs recherches. La diffusion des travaux universitaires auprès des praticiens du management, ou dans une visée d’information du public, passe par la création d’un média capable d’éviter les écueils d’une simplification abusive des travaux académiques ou d’un savoir élitiste inaccessible à ses destinataires immédiats. L’ambition du Mag des Sciences de Gestion est dans ce cadre, de donner l’opportunité aux chercheurs de la discipline d’être les acteurs d’une vulgarisation appropriée de leurs travaux et des connaissances qu’ils
produisent sur les organisations.

Pour que les sciences de gestion prennent part au débat public

A cette ambition de vulgarisation scientifique, s’ajoute le désir de faire du Mag des Sciences de Gestion un lieu d’expression de points de vue critiques sur les techniques de management, les organisations contemporaines et leurs interactions avec la société. En ce sens, le magazine souhaite regrouper les opinions des universitaires en sciences de gestion, dans le respect de la diversité des orientations politiques et de la rigueur des analyses, afin de contribuer à l’émergence d’un débat public sur la gestion des organisations. Ainsi, Le Mag des Sciences de Gestion souhaite stimuler la capacité de la communauté des sciences de gestion à prendre position sur des questions de société (LOLF, crise financière, pôles de compétitivité, RSE, etc.), desquelles elle a jusqu’alors été médiatiquement absente, contrairement à celles des économistes et des sociologues.

Contact :

lequipe@revuedesrevues.fr

contact@lemag-gestion.fr

Hausse du niveau d’activité enregistré par les auto-entrepreneurs

Au 31 décembre 2009, l’INSEE comptabilisait 320 019 demandes de création en auto-entrepreneur.
Parmi eux, 153 700 auto-entrepreneurs se sont inscrits au cours du 1er semestre. Conformément à la règlementation, seuls ces 153 700 auto-entrepreneurs inscrits au premier semestre devaient
déclarer leur chiffre d’affaires lors de l’échéance du 31 octobre 2009.

En novembre 2009, une estimation provisoire de l’ACOSS avait évalué à 383 millions d’euros le chiffre
d’affaires généré au cours des 3 premiers trimestres par les auto-entrepreneurs s’étant créés au cours du premier semestre 2009.
Ces données provisoires  viennent
d’être révisées à la hausse par l’ACOSS, notamment pour tenir compte des déclarations retardataires. Le chiffre d’affaires généré par les auto-entrepreneurs qui se sont créés au premier semestre
s’élève finalement d’après l’ACOSS non à 383 millions d’euros mais à 499 millions d’euros au titre des trois premiers trimestres de l’année :
61 millions d’euros au titre du 1er trimestre, 169 millions d’euros au titre du 2e et 269 millions au titre du 3e trimestre.

La progression du chiffre d’affaires devrait se poursuivre au 4e trimestre de l’année 2009,
d’autant que le nombre de créations d’auto-entreprises enregistre une forte accélération depuis l’été 2009.  

Hervé NOVELLI confirme que les auto-entrepreneurs devraient générer près d’un milliard d’euros de
chiffre d’affaires en 2009, ce qui montre le dynamisme des auto-entrepreneurs et le succès du régime.

 

NB :
le chiffre d’affaires total généré par l’ensemble des auto-entrepreneurs au titre de l’année 2009 sera connu en mai 2010, la date limite de dépôt des déclarations effectuées par les
auto-entrepreneurs ayant créé leur entreprise au quatrième trimestre 2009 étant le 30 avril 2010. Des données provisoires relatives au chiffre d’affaires annuel des auto-entrepreneurs s’étant créés
avant le 31 octobre 2009 seront disponibles dans la deuxième quinzaine de février.

Comité national des Etats Généraux de l’Industrie

« Redonner au pays une ambition industrielle nationale »

 

Christian ESTROSI, ministre chargé de l’Industrie, a assisté aujourd’hui à la réunion de clôture du
Comité national des Etats Généraux de l’Industrie présidée par Jean-François DEHECQ.

Le Président du Comité national, qui réunit 44 personnalités de haut niveau, a présenté à Christian
ESTROSI à l’occasion de cette dernière réunion de travail le projet de rapport qui vise à « redonner au pays une ambition industrielle nationale ». Le rapport final sera publié avant la
fin de la semaine, après la prise en compte des derniers éclairages présentés par chacun.

A l’instar du rapport intermédiaire remis au ministre chargé de l’Industrie début janvier et qui
proposait un regard largement partagé sur le diagnostic et les enjeux, le rapport final est le fruit d’une très large concertation – élus, industriels, partenaires sociaux, élus locaux,
économistes, chercheurs, banquiers … – sur l’ensemble du territoire.

Christian ESTROSI a déclaré : « Trois mois de travaux sur l’ensemble du territoire, plus de
5000 participants, plus de 250 réunions organisées partout en France, plus de 800 propositions d’actions… je me réjouis de cette mobilisation sans précédent autour de l’industrie. Chacun a
contribué de manière constructive, animé d’une même conviction : réhabiliter ensemble l’industrie française ».

Sur la base
du rapport final et à la demande du Président de la République, Christian ESTROSI engagera dès la semaine prochaine une concertation avec les partenaires sociaux salariés et patronaux afin de
dégager les priorités qu’il proposera au Président de la République et au Premier ministre. Suite à ces échanges, le Président de la République présentera sa vision sur l’industrie et annoncera les
mesures qu’il retiendra d’ici la fin février.

Notations des écoles doctorales

Télécharger la notation des écoles doctorales sur http://www.recherche.gouv.fr/mstp/notationedavril2007.pdf
La formation doctorale est assurée par 295 Ecoles Doctorales, au sein des établissements d’enseignement supérieur et de recherche, qui sont évaluées tous les 4 ans dans le cadre de la procédure de contractualisation et dont les résultats et projets sont examinés chaque année dans le cadre de la procédure d’attribution des allocations de recherche.
130 Ecoles Doctorales font l’objet de co-accréditation entre deux établissements ou plus.
L’évaluation quadriennale, par au moins 2 experts compétents dans les principaux domaines scientifiques couverts par l’Ecole Doctorale, conduit à un avis détaillé dans la base SIREDO du
ministère, transmis par la DGES à chaque établissement concerné.
Cet avis est accompagné d’une note :
– A+ (couleur rouge) : excellente
– A (couleur verte) : très bonne
– B (couleur jaune) : bonne mais perfectible
– C (couleur blanche) : moyenne
Depuis 2006, à l’occasion de l’examen des Ecoles Doctorales de la vague A et de l’examen hors vague de certaines Ecoles Doctorales, il a été décidé de préciser la notation.
Elle comprend désormais :
– une note scientifique qui repose largement sur la qualité des équipes de recherche qui accueillent et encadrent les doctorants ;
– une note de gouvernance qui rend compte de la qualité de l’animation scientifique au sein de l’Ecole Doctorale, de l’existence d’une politique de recrutement des doctorants et de choix des
sujets de thèse prioritaires, et enfin de la réalité d’une formation professionnelle des doctorants et d’une véritable politique d’insertion de ceux-ci.
Dans le cas où la nouvelle notation n’a pas encore été appliquée, les cases correspondantes (qualité des équipes, qualité de la gouvernance) ont été laissées en blanc. La note globale correspond
alors à la dernière évaluation quadriennale.
Les indicateurs et critères utilisés pour l’évaluation et la notation des Ecoles Doctorales sont présentés sur le site de la MSTP.

Tout le développement durable en 128 pages

Le développement durable est au coeur des débats et des discours. Mais 11 % seulement des personnes déclarent savoir précisément ce que ce signifie ce terme (sondage IPSOS, 2005). Fabrice Flipo, ingénieur et philosophe, enseignant chercheur au GET/INT, publie Le développement durable chez Bréal : une mise au point en 128 pages.

Le livre présente l’essentiel des faits et des concepts relatifs au développement durable. Le texte, accessible et documenté, répond à quatre questions : Où va le progrès ? Qu’est-ce que le développement durable ? Quels sont les grands débats ? Agir ou subir ?

A chaque élément de réponse, un exemple, un fait, des données factuelles illustrent le propos.

Sur un sujet où les questions sont nombreuses et les réponses complexes, Fabrice Flipo dresse un tour d’horizon des principales thèses en présence afin de permettre de participer aux débats. L’auteur participera le mercredi 28 juin à la conférence « Développement durable et TIC » qui se tiendra au siège de Bouygues Télécom à Boulogne-Billancourt (92) et dédicacera son ouvrage à cette occasion.

F. Flipo,
Le développement durable,
Bréal, 2007, 128 pages, 7,5 €.

Candidature Master 2 option PIST

Les inscriptions pour le Master 2 option Patrimoine industriel, scientifique et technique (PIST) de l’université d’Artois sont ouvertes.

La date limite de dépôt des candidatures a été fixée au 18 juin 2007.
L’accès en Master II s’adresse à des étudiants titulaires d’une Maîtrise, d’un Master 1 ou d’un diplôme admis en équivalence au niveau Bac + 4. Les candidats non titulaires d’un des diplômes
cités ci-dessus, mais justifiant d’une activité professionnelle susceptible de leur conférer une qualification équivalente, peuvent être autorisés à s’inscrire en M I ou en M II après décision de
la Commission de validation des acquis professionnels. Dans le cadre de la formation continue, il est éventuellement possible de suivre chaque année du Master en deux ans. Les critères de niveau
sont les mêmes que pour les candidats recrutés au titre de la formation initiale.
L’admission en M1 ou en M2 est prononcée par un jury après l’examen du dossier, des tests de langues vivantes et un entretien de sélection.

Fête de l’emploi associatif

L’AFIJ organise à Paris, le jeudi 21 juin 2007 une « Fête de l’emploi associatif »
pour les jeunes issus de l’enseignement supérieur.

Cette Association – pour faciliter l’insertion professionnelle des jeunes diplômés – souhaite mobiliser et informer les étudiants, du niveau Bac jusqu’au doctorat, sur les pistes
d’accès à l’emploi en les mettant en contact avec les recruteurs du domaine associatif.
Cette journée de recrutement à Paris aura lieu de 10h à 17h à Kiron Espace – 10 rue de la Vacquerie – 75011 Paris – Entrée Libre.
Renseignements : Bénédicte Cesso, Coordinatrice régionale

Tél. : 01 40 64 32 00 – Fax : 01 40 64 32 09 – cesso@afij.org

L’autonomie, premier volet de la grande réforme des universités

La loi sur l’autonomie des universités devrait être votée en juillet, selon la ministre de l’Enseignement supérieur
et de la Recherche, interviewée dans Le Journal du dimanche du 27 mai. Cette loi ne prévoira ni sélection ni augmentation des frais d’inscription, selon Valérie Pécresse qui veut lancer
en même temps plusieurs chantiers : conditions de vie étudiantes, carrières dans l’université, conditions matérielles, statut des jeunes chercheurs et enseignants-chercheurs, mais aussi
lutte contre l’échec en premier cycle.
La déclaration de Valérie Pécresse du 24 mai, sur
le site du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
Valérie Pécresse présente son ministère, vidéo sur le site du Premier
ministre

Extrait de La Lettre du Gouvernement

Hommage

Claude Martin nous informe du décès de Kornelia Karcz, professeur à l’Université Economique de Katowice et membre du Conseil scientifique du Réseau PGV.

Partenaire
de longue date de LaRSG, le réseau PGV associe des centres universitaires de l’Union Européenne et des Pays du Groupe de Vysegrad autour d’une question majeure : celle des transformations opérées
depuis 1990 dans l’économie, la gestion et la culture des sociétés et des entreprises en Europe occidentale et centrale. Il regroupe actuellement six pays candidats à l’Union européenne :

Bulgarie, Hongrie,
Pologne, République Slovaque, République Tchèque et Roumanie.

Indemnité d’excellence scientifique

Un décret sur une indemnité d’excellence scientifique vient de paraître au Journal officiel du 16 mai 2007.
et les arrêtés qui vont avec :

http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnTexteDeJorf?numjo=MENH0754442A