Archives de catégorie : La recherche et écoles

Séminaire : La souveraineté monétaire et la souveraineté politique

SÉMINAIRE

 

« La souveraineté monétaire et la souveraineté politique en idées et en pratiques : identité, concurrence,
corrélation ? »

 

Responsable :

Bruno Théret (IRISSO, CNRS – Université Paris Dauphine),

avec la collaboration scientifique d’André Orléan (PSE – CNRS-EHESS)

 

Vendredi 11 juin 2010 – 13H45-18H00

 

Attention : Institut CDC pour la Recherche, Salle Corvetto, 56, rue de Lille, 75007 PARIS

 

13h45 – 16h45 : « Une monnaie sans gouvernement politique ? »

 

Enjeux de l’Euro dans la crise financière et mise en perspective historique

 

Président de séance : Jean-François Ponsot (Université Pierre Mendès France, Grenoble)

 

Introduction : Isabelle Laudier (Institut CDC pour la Recherche) et Renaud Dehousse (Sciences Po, CEE) (13h45 –
14h15)

Michel Aglietta (CEPII) et Jacques Le Cacheux (Sciences Po, OFCE),

Crise financière et avenir de l’euro.

 

Massimo Amato (Université Bocconi, Milan), Régime monétaire international et souveraineté des Etats : histoire et
actualité cas du BANCOR de Keynes.

 

Lucien Gillard (CNRS), Les transferts de souveraineté dans l’expérience de l’Union Monétaire Latine.

 

16h45 – 17h00 : Pause Café

 

17h00 – 18h00 : Conférence de clôture

 

André Orléan, Argent, valeur et souveraineté chez Georg Simmel.

 

Cocktail à l’Hôtel de Pomereu

 

(67, rue de Lille, 75007 Paris)

à partir de 18h15

 


 
Inscription obligatoire : samia.saadi@sciences-po.fr OU rosanna.cassegrain@caissedesdepots.fr

2 débats : Banqueroute, qui doit payer ? La culture a-t-elle un avenir ?

L’École des hautes études en sciences sociales poursuit le cycle de conférences-débats

Rendez-vous de crise
Lundi 14 novembre de 19h à 21 h Banqueroute, qui doit payer ?
Jeudi 24 novembre de 19h à 21h La culture a-t-elle un avenir ?

Face au marasme qui semble s’être installé dans la durée et dont l’étendue et la multiplicité des formes nous réservent probablement bien des surprises et des épreuves, l’EHESS souhaite mettre à contribution la diversité des voies d’approche dont elle dispose. Cet observatoire, inauguré en 2009, et ouvert aux rebonds de l’actualité, se veut un lieu de rendez-vous permettant la confrontation et l’analyse de l’événement. Chercheurs, acteurs et citoyens pourront y débattre, confronter leurs propositions, et échanger leur vision de l’avenir dans cette période mouvementée.

Banqueroute, qui doit payer ?
Lundi 14 novembre de
19h à 21 h

Avec : Marie-Laure Legay, historienne (Université Lille 3), La banqueroute de l’État royal, Éditions de l’EHESS
Benoît Coeuré, économiste (Sciences Po), directeur-adjoint de la Direction générale du Trésor
Gérard Beaur, historien (EHESS), « Revisiter les crises »,
Histoire & mesure, Éditions de l’EHESS

Séance présidée par Pierre-Cyrille Hautcœur, économiste (EHESS)

La culture a-t-elle un avenir ?
Jeudi 24 novembre de 19h à 21h

Avec Françoise Benhamou, économiste de la culture (Paris 1) • Jean-Louis Fabiani, sociologue (EHESS), Qu’est-ce qu’un philosophe français ?, Éditions de l’EHESS • Pierre-Michel Menger, sociologue et philosophe (EHESS-CNRS), Les intermittents du spectacle, Éditions de l’EHESS
Présidée par Yves Hersant,
historien (EHESS)

Vous êtes toutes et tous bienvenus, mais nous vous recommandons vivement de vous inscrire.
Nous vous serions également très reconnaissants de bien vouloir faire circuler cette annonce auprès de toutes les personnes que vous jugerez susceptibles d’être intéressées.

Lieu : EHESS, amphithéâtre
Adresse : 105 boulevard Raspail, 75006 Paris

Organisateurs : EHESS, Éditions de l’EHESS, Cercles de
formation

11e journée d’étude sur les faillites à l’université de Paris Ouest Nanterre

11e journée d’étude sur les faillites aura lieu le mercredi 7 décembre prochain à l’université de Paris Ouest Nanterre
(salle des conférences, Hall du bâtiment B). Vous en trouverez le programme attaché à ce message.

Pour y participer, l’inscription auprès de Jocelyne Barré est gratuite mais obligatoire car un déjeuner est organisé sur
place.

Lien vers les renseignements pratiques pour se rendre à l’université et le plan du campus : http://www.u-paris10.fr/98820862/0/fiche___pagelibre/&RH=etu

Changer le comportement des banques sur les territoires… chiche…

http://3.bp.blogspot.com/-K6w66uS-L7Y/TxUjYK20HRI/AAAAAAAAE0o/5OE2I6gBmgM/s1600/Labo_De_lESS.jpg

vous invite à une rencontre :

Mardi 27 mars 2012
de 18h30 à 21h00, à Paris

Changer le comportement des banques sur les territoires

Avec Jean-Louis Bancel, Catherine Barbaroux, Pascal Canfin, Hélène Combe, Anne Florette, Nicolas Hazard, Cédric Mignon, Jean-Pierre WormsRencontre animée par Philippe Frémeaux

“L’autre finance existe… et je l’ai rencontrée ! Cela n’a rien d’une découverte : des milliers d’entrepreneurs, des dizaines de milliers d’épargnants en font déjà un bon usage. L’autre finance existe, vous pouvez l’encourager.”

Christian Sautter

Une rencontre organisée par le Labo de l’ESS, pour faire connaître et reconnaître l’économie sociale et solidaire, être un lieu d’échanges, de
réflexions et d’actions pour une économie respectueuse de l’homme et son environnement. Elle fait partie d’un cycle de rencontres :la première a eu lieu en janvier 2012.

Première BIENNALE BUSINESS & DROIT de LYON

sur le thème “La conformité, accélérateur ou frein de la croissance ?”

Le 2 décembre 2011 à partir de 13h30

Au Palais du Commerce – Place de la Bourse – 69002 LYON

Cette première rencontre biennale entre acteurs de l’entreprise, de l’économie et du droit, et dont j’assure la
direction scientifique, a vocation à devenir une sorte de “Davos du droit”.

Elle est organisée par Lyon Place Financière et Tertiaire en partenariat,notamment, avec FIDES (Forum sur les
institutions, le droit, l’économie et la société), association créée pour catalyser les initiatives communes de juristes et d’économistes à partir de l’Université Paris Ouest Nanterre La
Défense.

Entrée
libre mais inscription préalable obligatoire sur http://www.business-droit-lyon.com

Améliorer les relations donneurs d’ordres/sous-traitants dans le secteur industriel

Conférence européenne « Améliorer les relations donneurs d’ordres/sous-traitants dans le
secteur industriel » mercredi 8 février 2012 à Lyon

L’ANACT et l’Institut Confluences organisent une conférence européenne « Améliorer les relations donneurs
d’ordres/sous-traitants dans le secteur industriel » le mercredi 8 février 2012 au siège de la Région Rhône-Alpes à Lyon, avec le soutien du CESER et du Fonds social européen.

La performance de l’entreprise industrielle et de sa filière dépend de la qualité de la relation entre donneur
d’ordre et sous-traitants. Il importe donc de soutenir cette relation avec des outils de gestion, des pratiques de concertation et des politiques d’achats qui favorisent l’articulation des enjeux
techniques, économiques et sociaux sur la chaîne de valeur.

· Quelles stratégies
développent les entreprises et filières françaises et européennes ?

· Comment les pouvoirs
publics influent-ils sur ces pratiques ?

· Quelles sont les
pratiques les plus porteuses pour l’avenir de l’industrie ?

· Comment la relation
donneur d’ordre/sous-traitant intègre-t-elle la question des conditions de travail ?

Cette conférence permettra de découvrir des cas d’entreprises issus d’une étude européenne, des exemples de
pratiques de branches et des témoignages d’experts français et européens.

Elle s’adresse aux directions des achats, directions métier des groupes, sous-traitants,
partenaires sociaux, experts et acteurs publics.


Programme et inscriptions en ligne : http://www.conferencelyon-soustraitance.com

http://www.mt02.org/dossier_Une/anact/anact_logo.jpg

Séminaire international ‘Le monde entre crise et changement’

APPEL À COMMUNICATIONS

Séminaire international

co-organisé par

l’INSTITUT D’ÉCONOMIE POLITIQUE KARL POLANYI et le RESEAU EUROPEEN EMES

Le monde entre crise et changement

Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), Paris (France)

15 & 16 Février 2012

Karl Polanyi l’a bien souligné d’entrée de jeu dans La grande transformation, son œuvre
maîtresse : les grandes métamorphoses sociopolitiques qui ont marqué la première moitié du 20
e siècle
ont en fait participé de l’effondrement de l’ordre social qui prévalait au 19
esiècle. La première guerre mondiale, la révolution russe, la dissolution des empires austro-hongrois et ottoman,
la grande crise économique des années trente, les fascismes européens, les plans quinquennaux soviétiques, le New Deal américain et la deuxième guerre mondiale ont discrédité l’idéologie
du laissez-faire et pavé la voie au compromis historique entre le capital et le travail qui marqua les années d’après guerre. Toutefois, les décennies de prospérité sans précédent et le contrat
social providentialiste issus de ce compromis en Europe et en Amérique du Nord, de même que les avancées socio-économiques de l’Amérique latine, de l’Asie et de l’Afrique postcoloniales auront
tôt fait de s’échouer sur les récifs anti-social-démocrates des années soixante-dix et des décennies suivantes.

Beaucoup ont affirmé que la crise de 2008 avait levé le voile à nouveau sur les limites du
néolibéralisme.

Mais les valeurs inhérentes de cette idéologie ne pénètrent-elles pas à un point tel les sociétés
occidentales qu’il est devenu presqu’impossible de défendre encore la validité de l’État-providence ou même le développement de formes nouvelles d’organisation sociale ? A l’inverse, les périodes
fastes que certains ont connues au cours des années 1990 et 2000 ne rappellent-elles pas la Belle Époque qui a précédé l’écroulement de l’ordre économique libéral du 19e siècle ?
Serions-nous en fait au seuil de bouleversements mondiaux d’une ampleur équivalente à ceux qui marquèrent l’entre-deux-guerres et qui pourraient même les surpasser ? Quelles sont les conséquences
politiques de la crise de 2008 aux États-Unis ? Le populisme de droite financé par le grand capital s’apparente-t-il au fascisme européen qui sévit entre les deux guerres mondiales ? Faut-il, à
cet égard, voir dans la xénophobie de plus
en plus apparente à l’égard des immigrants et la popularité
politique grandissante des partis d’extrême droite en Europe des signes avant-coureurs ?

Durant la crise des années trente aucun ordre international particulier ne semblait opérer.

Chaque pays cherchait à ses problèmes des solutions d’abord définies par sa dynamique interne. Après la deuxième
guerre mondiale, au contraire, la capacité destructive des deux superpuissances balise les prises de position des pays souverains et détermine la nature du système politique international dont
l’Organisation des Nations Unies se porte garante. Depuis la fin de la guerre froide, cependant, l’autorité morale des institutions internationales ne semble plus faire le poids alors que
celles-ci ont peine à limiter la concentration du capital et l’utilisation unilatérale de la puissance militaire tant par les acteurs étatiques que nonétatiques.

Cela n’est pas sans poser problème : comment les nations et peuples du monde peuvent-ils désormais protéger leurs
sociétés de l’exploitation par les forces du capital transnational et défendre leur souveraineté sur leurs ressources naturelles ? La réponse à cette question recèle-t-elle les fondements d’un
nouvel ordre international plus équitable ? Au même temps des « contre-mouvements » posent des défis au paradigme dominant à travers des pratiques qui tendent à ré-encastrer l’économie dans la
société aux niveaux local, régional et même national. Aujourd’hui, des initiatives socio-économiques conçues et institutionnalisées par la société civile font souvent la démonstration que les
économies n’ont pas à être organisées en fonction du marché et dominées par les seuls impératifs marchands.

Ces initiatives, connues sous les différents vocables d’économie sociale, d’économie solidaire ou d’économie
citoyenne, entre autres, se retrouvent partout, au nord comme au sud.

Porteuses de changements sociaux polymorphes, elles donnent vie à un nouveau cadre sociétal formé de nouveaux
modes de production et de consommation et d’innovations institutionnelles qu’endossent tant les administrations locales et régionales que les gouvernements nationaux. L’actualité, entre crise et
changement, nous rappelle la pertinence de la pensée de Karl Polanyi et nous invitons celles et ceux que les problématiques exposées plus haut intéressent à proposer des projets de communication
(autour de 250 mots, en français ou en anglais) qui les explorent et en débattent.

Tous les sujets et thématiques s’inscrivant dans l’esprit des questionnements formulés cidessus

seront considérés. Les organisateurs du séminaire porteront toutefois une attention particulière aux propositions
qui examinent les aspects suivants :

• Les formes contemporaines du « sophisme économiciste » ce processus politique de construction de la réalité
économique par la pensée économique orthodoxe

• Les pratiques sociales, les formes et logiques socio-économiques à l’oeuvre dans l’économie réelle qui
contrecarrent le « sophisme économiciste »

• Les réalités qui, aux niveaux local et international, manifestent des dynamiques démocratiques en réaction
contre la société de marché

• Les réactions de la société qui s’expriment par de nouvelles articulations entre pouvoirs publics et société
civile permettant aux États de dépasser le rôle de sauveteur du système dominant dans lequel ils tendent à être enfermés

• Les tensions entre capitalisme et démocratie

Étant donné le nombre de places limité pour ce séminaire international de haut niveau, les personnes
intéressées sont priées d’envoyer à
polanyi@emes.net une déclaration d’intérêt et un titre prévisionnel de communication avant le 15 novembre 2011, les projets de
communications sont reçus jusqu’au 31 décembre 2011 et les acceptations définitives seront confirmées au 15 janvier 2012.

Frais de participation : 250 € (un repas et cocktail inclus)


Comité scientifique international

Geneviève Azam, Economiste, Maitre de conférences, Université de Toulouse (France)

Rémi Barré, Professeur en gestion, Cnam, Paris (France)

Vicky Birchfield, Historienne, Professeure Associée, Georgia Institute of
Technology, Atlanta (USA)

Jérôme Blanc, Économiste, Maître de conférences HDR, Université Lumière Lyon 2 (France)

José-Luis Coraggio, Economiste, Professeur Universidad Nacional de General Sarmiento,

Buenos Aires (Argentina)

Jacques Defourny, Economiste, Professeur, HEC-Université de Liège (Belgique)

Blandine Destremau, Sociologue, Directrice de recherches, LISE/CNRS/Cnam, Paris (France)

Nancy Fraser, Professeure de philosophie politique, New School for Social
Research, New-York (USA)

Laurent Gardin, Sociologue, Maître de conférences, Université de Valenciennes et du Hainaut Cambrésis
(France)

Isabelle Hillenkamp, Economiste, Institut de socioéconomie, Université de Genève (Suisse)

Chris Holmes, Maître de conférences en Économie politique, University of Southampton (Grande-Bretagne)

Lars Hulgård, Politologue, Professeur, Roskilde University (Danemark)

Jean-Louis Laville, Sociologue, Professeur du CNAM, Paris (France)

Jérôme Maucourant, Économiste, Maître de conférences, Université Jean-Monnet de Saint-

Etienne (France)

Margie Mendell, Economiste, Professeur, Concordia University (Canada)

Marthe Nyssens, Economiste, Professeur, Université Catholique de Louvain-la-Neuve (Belgique)

Jean-Michel Servet, Socio-économiste, Professeur, Institut des hautes études internationales et du développement,
Genève (Suisse)

Comité d’organisation

Isabelle Hillenkamp

Jean – Louis Laville

Margie Mendell

Rocío Nogales (EMES)

Pierre Bagnéris (Cnam DISST)

Ana Gómez (Institut Polanyi)

Les langues de travail seront le français et l’anglais. Les présentations par des chercheurs seront combinées avec
des discussions en profondeur des communications sélectionnées dans le but d’explorer et de baliser des questions émergentes pertinentes dans le champ.

Co-organisation : EMES European Research Network and the Institute of
Political Economy Karl Polanyi (Université Concordia de Montréal, Canada)

En partenariat avec : Comité de recherche CR 27 Sociologie économique de l’Association internationale des
sociologues de langue française, Laboratoire Interdisciplinaire pour la Sociologie Economique, Axe « Solidarité, Territoires, Innovations » (UMR 3320 Cnam/CNRS), Cnam (Département Droit,
intervention sociale, santé et travail).

11e journée d’études sur les faillites

Mercredi 7 décembre 2011

Université Paris 10 Nanterre, bâtiment B, Salle du Conseil

Pour participer à cette journée s’inscrire auprès de Jocelyne Barré

(jbarre@u-paris10.fr)

Date limite d’inscription le 23 novembre

Programme

9h30 : Accueil des participants.

10h00-11h00 : Tiennot Grumbach, avocat et ancien directeur de l’Institut des Sciences

Sociales du Travail

« Ingénierie juridique » et réorganisation des entreprises et des sociétés. Un

exemple, Metaleurop.

11h00-12h00 : Luc Tessier, ERUDITE, Université de Paris Est Marne-la-Vallée

Formes de défaillance et profil des entreprises françaises entre 2007 et 2010 (coécrit

avec N. levratto et M. Zouikri).

12h00-13h45 : Déjeuner

13h45-14h45 : Paolo Di Martino, University of Manchester

Economic vs. social considerations in bankruptcy practices and their potential

impact on entrepreneurship: some lesson from the historical experience.

14h45–15h45 : Raphaël Dalmasso, CEE et ISAM – IAE, Université de Nancy 2

Faillite des groupes et licenciements économiques (titre
provisoire)
.

16h00-17h00 : Bertrand Choppard, EconomiX, université de Paris Ouest Nanterre La Défense

Building legal indexes to explain recovery rates: an analysis of the French and

UK bankruptcy codes (co-écrit avec R. Blazy et N.
Nigam).

Organisateurs :

Nadine Levratto (nadine.levratto@u-paris10.fr)
et Laurence Scialom

“Affaires économiques et financières : que fait la justice ?”

CONFERENCE-DEBAT
MARDI 10 MAI A 18H00

AUDITORIUM MALRAUX

MANUFACTURE DES TABACS

6 rue ROLLET – 69008 LYON

 

multiplication des affaires économiques et financières, auxquelles l’opinion publique manifeste une sensibilité toute particulière.

Pour cela, l’IEJ et Acteurs de l’économie organisent une conférence afin que, professionnels et étudiants partagent leurs avis et interrogations sur ces sujets.
Magistrats, acteurs économiques et universitaires tenteront donc, de répondre aux questions soulevées par l’actualité mais aussi par le public.

Les intervenants de cette conférence-débat seront :

Eric de Montgolfier, procureur de Nice

Jean Peyrelevade, économiste, ancien président du Crédit Lyonnais

Frédéric Maurel, directeur Rhône-Alpes MAZARS

Franck Marmoz, directeur de l’Institut d’Etudes Judiciaires de Lyon

 

LES THEMES ABORDES

• Complexité et opacité exponentielles des « montages » économiques et financières, gouvernance internationale

• Les dispositifs financiers nationaux et européens

• L’imbrication des sphères politique et économique

• La formation et les outils des magistrats

• Le système capitaliste international

• L’éthique de l’économie et des affaires

• La pénalisation de la vie des affaires

• L’éthique de l’économie et des affaires

 

Pour ne
plus d’information : http://www.datapressepremium.com/RMUPLOAD/2008030/File/CPconf10Maipp.pdf

Histoire de la gestion des Finances publiques de 1815 à nos jours

Vous voudrez bien trouver ci-joint une invitation pour la prochaine séance du séminaire « Histoire de la gestion des
Finances publiques de 1815 à nos jours » qui portera sur la portée et les limites de la transposition des normes comptables privées au sein de la Comptabilité publique. Madame Eve Chiapello,
sociologue, évoquera l’évolution récente des normes comptables d’entreprise sur les 30 dernières années et Monsieur Jean-Paul Milot, conseiller du président du Conseil de normalisation des
comptes publics apportera son témoignage sur les enjeux et le degré de réalisation d’une telle transposition. Ces interventions seront suivies d’un débat.

Cette séance se tiendra le mardi 10 avril au 139 rue de Bercy, salle 1062 Sud 4 Vauban, de 17h à 19h30.

Information de Philippe Masquelier
philippe.masquelier@finances.gouv.fr
Bureau de
la Recherche / IGPDE
Téléphone : 01.53.44.23.27

L’Université franco-allemande organise une rencontre « Recherche – Innovation – Carrières internationales

L’Université franco-allemande organise une rencontre « Recherche – Innovation – Carrières internationales » qui se déroulera à Paris le 19 avril 2013 dans le cadre de la Semaine scientifique de l’Ambassade d’Allemagne en France.

Après l’ouverture officielle en présence de Madame l’Ambassadeur d’Allemagne et du Président de l’UFA, sont prévues une intervention du Directeur général délégué Technologie et Innovation d’EADS
ainsi qu’une table ronde « Le leadership au 21e siècle – quelles sont les compétences clés des futurs cadres internationaux ? » avec des intervenants issus du monde économique et de l’enseignement supérieur, une spécialiste des cultures de travail et de l’insertion professionnelle dans les deux pays et une diplômée de l’UFA.

Table ronde sur les métiers et secteurs porteurs en Finance

L’ESGF, école de commerce spécialisée en gestion et finance, en partenariat avec Alumni ESGF, l’association des diplômés, organise le 12 mai
2012 une table ronde sur le
baromètre des tendances en gestion et en finance. La conférence se déroulera de 12h à 13h à l’ESGF, 181 rue de Charonne – 75011 Paris.

Cet évènement sera l’occasion d’échanger sur les secteurs qui embauchent, les métiers porteurs et de s’informer
sur les nouveaux métiers.

Cette table ronde sera animée par Jean-Baptiste Igonetti, Président de Alumni ESGF autour des interventions de
Patricia Bourgoin, Consultante chez ITB, Serge Sobraques, Directeur de Caisse, Crédit Mutuel, David Poulet, Gérant de portefeuille chez Amiral Gestion et Gilles Brigant, Directeur de la
conformité et de la qualité, filiale LCL.

Au programme : le marché de l’emploi, les tendances à la hausse et à la baisse, les attentes des entreprises en
termes de talents et de compétences, les perspectives de carrières, les enjeux de fidélisation et de rémunération,…

Rendez-vous à partir de 11h45 à l’ESGF, 181 rue de Charonne – 75011 Paris (M° Alexandre Dumas)


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« Semaine publicité communication médias» à l’ISEG Marketing & Communication School

L’ISEG Marketing & Communication School organise dans ses 7 écoles de France (Paris, Bordeaux, Lille, Lyon, Nantes, Strasbourg, Toulouse) une semaine dédiée à la publicité, à la communication et aux médias, en partenariat avec l’Association des agences-conseils en communication, du 26 au 30 mars 2012.

Cet événement, organisé dans chaque ville par un groupe d’étudiants, les incite à faire preuve d’initiative et d’inventivité en mettant à profit les enseignements de l’ISEG Marketing & Communication School. La semaine sera rythmée par des conférences, des workshops, des projections des meilleures publicités mondiales, des concours de base line, mais surtout par la Journée agences ouvertes de l’AACC, organisée en région par les 6 ISEG Marketing & Communication School.

Les 7 ISEG Marketing & Communication School lanceront cette semaine par une conférence de Jean-Paul Brunier, président-directeur général de Leo Burnett France et Belgique : « Les nouvelles inspirations de la communication » qui aura lieu à Paris et sera retransmise sur tous les campus.

Au fil de la semaine, les étudiants pourront échanger autour de sujets tels que :

Créatifs, commerciaux… les « frères ennemis » de la pub ? » (Paris)

A-t-on besoin des communicants en temps de crise ? » (Bordeaux)

Attachés de presse et médiaplanners : les meilleurs ennemis ? » (Lille)

La force de l’humour dans la publicité » (Lyon)

Vendre un univers de marque : la nouvelle stratégie des entreprises ? » (Nantes)

La communication média dans le monde de la nuit. » (Strasbourg)

Pourquoi le social média révolutionne le marketing ? » (Toulouse)

Les conférences sont ouvertes au public et aux journalistes

Des invités de référence viendront partager leurs expertises :

-Maryse Bernard, directrice de Citron Pressé (Bordeaux),

-Alain Gross, directeur d’Aggelos (Bordeaux),

-Karine Oudot, fondatrice de Kordd (Bordeaux),

-Thierry Passemard, président de TBWA Compact (Bordeaux),

-Franck Rolland, C.E.O. de Parker & Parker (Bordeaux),

-Franck Cimière, directeur artistique et auteur pour Djamel Debbouze, les Guignols de l’info ou Scènes de ménages (Lyon),

-Frédéric Chaine, co-président LMY&R (Nantes),

-Cécile Franck, responsable communication chez Hager (Strasbourg),

-David Ferrara, président de X-prime Groupe (Toulouse),

-Christophe Henner, social meda manager et membre du conseil d’administration de Wikimedia (Toulouse).

La femme est-elle un homme politique ordinaire ?

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A l’occasion de la journée de la Femme, les Femmes Elues de l’Essonne Solidaires organisent un colloque sur le thème : « La femme est-elle un homme politique ordinaire ? »

le 8 mars 2012 de 14 heures à 18 heures, en partenariat avec l’Université d’Evry (amphi 300 bâtiment Maupertuis).

Pourquoi s’interroger sur le caractère « ordinaire » ou pas de la femme en politique ? Pourquoi opposer volontairement « Femme » et « Homme » politique? Telles sont les questions auxquelles les Fées vous invitent à répondre pour que la Femme politique devienne un homme politique ordinaire c’est-à-dire « habituel » et non « banal ».

Il sera animé par un journaliste télé, Bernard PRADINAUD qui interpellera chacun des intervenants sur le diagnostic de la situation des femmes en politiques et sur les améliorations envisageables. Parmi les participants on note l’intervention de Jean-François AMADIEU, sociologue, qui introduira les débats en présentant d’une façon large et complète la place que la France accorde aux femmes – politique, travail, pouvoir, relations familiales, toutes les sphères seront étudiées et de Didier MAUS, constitutionnaliste, qui conclura les débats en apportant un éclairage constitutionnel sur la place que la République accorde à la représentation des femmes en politique ?

D’autres intervenant(e)s de qualité sont également attendu(e)s tel(les) que Rama YADE, ancienne secrétaire d’Etat aux droits de l’homme et aux sports, conseillère régionale d’Ile de France, conseillère municipale de Colombes, Jérôme GUEDJ, Président du Conseil général de l’Essonne et Fadila MEHAL du Modem.

Ce colloque sera enfin l’occasion  les Fées de présenter les propositions qu’elles vont adresser aux candidats à la Présidence de la République et aux principaux partis politiques pour permettre une meilleure représentation des femmes en politique.

PROGRAMME

Animation
Bernard
PRADINAUD,  journaliste

14h : ouverture accueil
Philippe HOUDY, Président de l’Université d’Evry

14h10 : Introduction
François AMADIEU, Sociologue – directeur de l’observatoire des discriminations

14h 30 – Femmes et politique : Quelles perceptions et quels
parcours ?
Sylvianne VILLAUDIERE, Présidente fondatrice de Femme
débats et société
Rama YADE, Ancienne Secrétaire d’Etat aux Droits de l’Homme et
aux sports, Conseillère régionale d’Ile de France, 
Conseillère municipale de
Colombes
Michel BERSON*, Sénateur, conseiller général de l’Essonne
Thierry MANDON*, Maire de Ris-Orangis, Conseiller général de
l’Essonne

16 h – Femmes et politique : Quelles perspectives et quelles
propositions ?
Jérôme GUEDJ, Président du Conseil Général de l’Essonne
Fadila MAHAL*, Présidente des Marianne de la Diversité
Marie Odile LEFORT*, représentante des Femmes Chef d’entreprise de
l’Essonne
Une représentante des Femmes Elues de l’Essonne Solidaires

17h30 : Clôture
Didier MAUS, Constitutionnaliste

(*) Sous réserve de confirmation

Inscriptions et renseignements : fees91.8mars@gmail.com
Fées 91 – BP 43 – 91360 Epinay- sur -Orge