Archives de catégorie : La recherche et écoles

Grand Prix de la Réflexion Impertinente sur l’Innovation


Sous le Haut Patronage

du Ministre de l’Enseignement supérieur

et de la Recherche

 

Appel à communications sur l’innovation en relation avec le développement durable,
l’entrepreneuriat, le développement des territoires et les services.

 

Le Cercle des Entrepreneurs du Futur, créé en 2003, poursuit trois principaux objectifs : contribuer à
la société de la connaissance, soutenir l’entrepreneuriat et les initiatives locales de développement, mutualiser les bonnes pratiques et les échanges d’expérience entre ses membres.

Depuis 2005, le Cercle des Entrepreneurs du Futur est piloté par le CNE (Centre national de l’entrepreneuriat), un institut du
CNAM, appuyé plus particulièrement par cinq membres bienfaiteurs : Epita, la FNTP, la fédération Syntec, Cap Gemini et l’UIMM. Il comprend une cinquantaine de membres, dont d’autres membres
bienfaiteurs : Adecco, le BIPE, la CGPME, Colas, la DGAC, ERDF, France Télécom, Monceau Assurances, Quick, Randstad-Vedior, la SNCF, Schneider Electric, Sopra Group et Soparind
Bongrain.

Depuis 2007, les membres du Cercle ont pris la décision de lancer, à l’attention des chercheurs, des
consultants ou des professionnels, un appel à communications sur des thèmes émergents et controversés. Ce troisième prix est centré sur l’innovation en relation avec le développement durable,
l’entrepreneuriat, le développement des territoires et les services.

Ces thèmes constituent autant de questions majeures ou de problématiques-clés dont des exemples sont
fournis en annexe. Ils sont regroupés en quatre catégories : développement durable, entrepreneuriat, développement des territoires, services. Dans chacune de ces catégories, le Cercle des
Entrepreneurs du Futur décernera un prix d’un montant de 5 000 euros et d’éventuelles mentions spéciales. Les réponses pourront être individuelles ou collectives. Elles devront privilégier le
côté inductif et pertinent du raisonnement et ne pas hésiter à remettre en cause les idées dominantes en faisant preuve d’impertinence intellectuelle.

Elles seront évaluées par un jury présidé par le Recteur Christian Forestier, administrateur général
du Cnam.

Les autres membres permanents du jury sont : Jean-Pierre Alix (conseiller à la Présidence, CNRS), Marie-Hélène Aubry (conseiller auprès du ministre de l’Enseignement supérieur et de la
Recherche), Gilbert Azoulay (directeur délégué, AEF), le professeur Rémi Barré (directeur de la prospective, ministère de la Recherche) ; Jean-Claude Bouly (directeur du CNE-Cnam) ; Stéphane
Cordobes (conseiller à la DIACT) ; le professeur Pierre Chapuy (Cnam) ; le Recteur Gérard-François Dumont (professeur à la Sorbonne) ; le professeur Philippe Durance (Cnam) ; Yves Farge (Académie
des technologies) ; le professeur Michel Godet (Cnam, animateur du Cercle) ; Michel Griffon (directeur général adjoint de l’Agence nationale de la recherche) ; Alain Lebaube (journaliste) ;
Jacqueline Le Courtier (Directeur Général de l’Agence Nationale de la Recherche) ; André Letowski (APCE) ; Jacques Marseille (Le Point) ; Marc Mousli (Lipsor) ; Jacques Theys (directeur du Centre
de prospective, ministère de l’Équipement) ; Franck Vidal (directeur d’Advancia).

Pour évaluer certaines réponses, le jury pourra s’appuyer sur les avis d’un groupe d’experts composé
de représentants des entreprises membres du Cercle ainsi que de personnes qualifiées extérieures au Cercle et sollicitées ponctuellement.

Les membres du jury sont désignés de manière intuitu personae et ne peuvent donc se faire
représenter, ni répondre personnellement à l’appel. Ils s’abstiendront de participer à l’évaluation spécifique d’une réponse impliquant éventuellement tel ou tel membre de leur
organisation.

Une large publicité est envisagée pour la diffusion de cet appel et des réponses primées.

 

Détails de l’appel à communications

Lancement le 25 mars 2009

Réponses pour le 28 septembre 2009

Remise des prix le 25 novembre 2009

 

Les propositions de communication peuvent être relatives à des travaux empiriques (description de cas
d’étude, d’intervention ou de recherche), expérimentaux (relatant des expériences de terrain) ou théoriques (réflexions sur des notions ou des questions clés, etc.) en relation avec les thèmes
proposés et n’ayant pas encore fait l’objet d’une publication.

La communication devra indiquer la catégorie dans laquelle s’inscrit sa réponse. Elle devra comprendre
entre 6 000 signes minimum et 30 000 signes maximum (espaces compris), soit de 3 à 15 pages environ au format A4. Chaque auteur devra impérativement joindre un CV, ainsi qu’un résumé de sa
communication (3 000 signes maximum, espaces compris). Les manuscrits et autres documents fournis ne seront pas restitués aux candidats. Les auteurs primés s’engagent à renoncer à leurs droits
d’auteur, de diffusion, etc., au bénéfice du Cercle des Entrepreneurs du Futur.

Dans chaque catégorie, une communication pourra être distinguée par le jury et recevoir un prix de 5
000 euros. Le jury se donnera également la possibilité de distinguer, dans chaque catégorie, une à deux communications supplémentaires par une mention spéciale et une attribution de 2 500 euros
par mention.

Les communications distinguées seront publiées dans la collection «Impertinences» de la Documentation
Française et ultérieurement mises en ligne sur le site du Cercle des Entrepreneurs du Futur.

 

Conditions d’éligibilité

Pour être éligibles, les communications doivent satisfaire les conditions suivantes :

• les candidats doivent s’engager à autoriser la publication de leur communication, sous toutes formes
;

• les réponses doivent être rédigées en français ;

• les réponses doivent être adressées sous forme électronique et sous forme papier, impérativement
identiques. Elles doivent avoir été soumises dans les délais, au format demandé, et être complètes (tous les éléments demandés doivent être fournis) ;

• les candidats ne doivent pas être membres du jury.

 

Critères d’évaluation

Les communications seront notamment évaluées à partir des critères spécifiques suivants :

• caractère novateur, ambitieux et impertinent ;

• pertinence méthodologique ;

• caractère inductif du raisonnement ;

• utilité opérationnelle, possibilité de mise en oeuvre.

 

Procédure de sélection

Le jury désigne en son sein, pour chaque communication éligible, deux rapporteurs

chargés de l’évaluation. Si ces rapporteurs le jugent utiles, ils sollicitent un ou plusieurs membres
du groupe d’experts pour fournir un avis qualifié sur la communication proposée.

Lors d’une première séance du jury, après audition des évaluations faites par les rapporteurs, le jury
vote pour établir la liste des communications retenues pour chaque catégorie.

Lors d’une seconde réunion, le jury vote, parmi les communications retenues pour chaque catégorie,
pour déterminer la communication primée et les éventuelles mentions spéciales.

Les votes du jury seront effectués à la majorité qualifiée des membres présents. En cas d’ex-æquo, la
voix du Président du jury sera prépondérante.

 

Pour nous contacter :

cne@cne-cnam.fr

www.cne-cnam.fr

 

Les propositions de communication individuelles et collectives sont à envoyer sous forme électronique
au plus tard le lundi 28 septembre 2008 à l’adresse suivante : entrepreneursdufutur@cne-cnam.fr ; et sous forme papier par voie postale au plus tard le 28 septembre 2008, en 5 exemplaires, le
cachet de la poste faisant foi, à l’adresse suivante :

A l’attention de Sylvane Lanieu

CNE-Cnam

6, rue du Docteur Heydenreich

CS 65228

54052 Nancy Cedex

 

Pour
tous renseignements complémentaires : entrepreneursdufutur@cne-cnam.fr

15e Journées d’histoire de la comptabilité et du management

Université Paris-Dauphine

25 & 26 mars 2010

 

Les Journées d’Histoire de la Comptabilité et du Management constituent, depuis leur première édition en 1995, un rendez-vous annuel incontournable pour ceux qui
souhaitent donner une perspective historique aux problèmes de gestion. Elles rassemblent des chercheurs en gestion, mais aussi des historiens, des sociologues, des juristes et des économistes.
L’esprit originel de ces Journées demeure car le passé a encore beaucoup à nous apprendre sur les pratiques actuelles.

Nous souhaitons prolonger la tradition pluridisciplinaire de ces journées. Comme chaque année toutes les communications s’intéressant à
l’histoire de la gestion seront les bienvenues. Nous voudrions néanmoins proposer un thème qui pourrait renforcer la cohérence de nos échanges lors ces journées :

La structuration de l’économie et de la société par les dispositifs de gestion

 

Ce thème vise à étudier la façon dont les dispositifs de gestion s’imposent à l’ensemble de la société : entreprises bien sûr mais aussi Etat,
organismes publiques, associations, etc. Il incite à s’interroger sur les interactions entre le champ politique et celui de la gestion. La façon dont les dispositifs de gestion, ou bien les
normes comptables, agissent sur le champ politique et réciproquement, l’influence du politique sur ces dispositifs et sur ces normes est au cœur de la problématique.

Le concept de dispositifs de gestion est entendu au sens large : des outils comptables et financiers aux techniques des ressources humaines, de
la stratégie ou du marketing. Plus généralement, il inclut également tout système de mesure, de quantification ou de comparaison.

 

Nous souhaitons aussi, au travers de ce thème, élargir les réflexions traditionnelles des Journées d’Histoire :

– à des périodes moins souvent étudiées en histoire de la gestion, comme l’Antiquité, la période médiévale et l’époque moderne ;

– à des approches croisées entre la gestion, l’histoire et le politique qui permettent une relecture de la chronologie traditionnelle de
l’histoire de la gestion et – ou de l’histoire politique et qui proposent des grilles de lecture originales ;

– au point de vue de chercheurs d’autres disciplines (sociologie, sciences politiques, anthropologie, etc.).

 

Informations à retenir

 

Date limite de soumission : 15 janvier 2010 (texte ou résumé détaillé de 3 à 5 pages précisant la problématique, les sources et les résultats) –
avec titre

Date de réponse des réviseurs : 31 janvier 2010

Les communications sont à soumettre à l’adresse suivante : jhcm15@gmail.com

Nombre maximum de signes d’une communication : 70 000 signes

 

Un tutorat des thèses d’histoire de la comptabilité et du management sera organisé pour les doctorants intéressés.

Nous vous demandons un document d’une dizaine de pages maximum indiquant :

 

– le champ de votre recherche

– votre problématique (ou des pistes)

– vos références théoriques (le cas échéant)

– votre démarche méthodologique

– vos premiers résultats (éventuellement)

– les références bibliographiques essentielles

 

Programme prévisionnel :

 

Jeudi 26 mars 2010 : 9h-17h

Jeudi 26 mars 2010 au soir : repas de gala

Vendredi 27 mars 2010 : 8h30-17h

 

Pour toute question supplémentaire, vous pouvez contacter :

 

Didier Bensadon (didier.bensadon@laposte.net)

Karine Fabre (karinefab@hotmail.com)

Pierre Labardin (pierre.labardin@laposte.net)

Anne Pezet (anne.pezet@dauphine.fr)

Nouvelles frontières matérielles et symboliques des systèmes de santé

COLLOQUE CONJOINT

Les nouvelles frontières matérielles et

symboliques des systèmes de santé

8e Colloque de l’A2ID et 5e
Conférence ISRICH

Paris les 5 et 6 mai 2011

 

Après sept colloques organisés à :

– Caen (1998) « Les décisions sous contraintes » ;

– Troyes (2000) « Décisions individuelles et décisions collectives » ;

– Paris (2003) « La décision entre son amont et son aval » ;

– Bordeaux (2005) « Décision : mesures et évaluations » ;

– Tozeur – Tunisie (2006) « Irrationalité et décision » ;

– Caen (2009) « Éthique, Risque et Décision (ERD) » ;

– Paris (2010) « Sustainability of Health Care Systems under Demographic Change »

 

Après quatre colloques organisés par l’ISRICH

– Budapest, Hongrie (2007)

– Saint Petersbourg, Russie (2008)

– Manchester, Uk (2009)

– Paris, France (2010)

 

L’Association Internationale Interdisciplinaire de la Décision -A2ID poursuit l’approfondissement de la notion de Décision. Ce 8e
colloque se penche sur les nouvelles frontières matérielles et symboliques des systèmes de santé et ses implications au niveau individuel, organisationnel ou sociétal (choix sociaux).

 

Ce 8e colloque est organisé avec le concours de :

– International Society for Research on Innovation and Change in Health Care Systems – ISRICH

– European Business School, Paris

– Université de Caen Basse Normandie (UCBN).

– Université de Paris 13

– Pôle Risques, MRSH UCBN.

– Centre d’Études et de Recherche sur les Risques et Vulnérabilités (CERReV EA 3918).

– CEPN – CNRS, Université de Paris 13

– Journal of Social Management / Revue Européenne des Sciences Sociales et du Management / Zeitschrift für Sozialmanagement

– CR2S-Management, IGS, Paris

– Institut Européen des Affaires (IEA), Paris

– Institut Européen du Management Social (IEMS), Paris.

 

Appel à communications :

Le changement dans le secteur de la santé peut prendre plusieurs formes. D’une part, il y a désormais le sentiment de destinées communes qui
impose de voir les systèmes de santé au-delà des frontières nationales. Mais cette émergence de gouvernance mondiale en matière de santé ne doit pas occulter la concurrence quotidienne des États
sur le même problème. Quelles sont les bases politiques et symboliques pour instaurer cette gouvernance ?

D’autre part, on constate que certains pays ou régions se spécialisent dans un secteur de la santé engendrant le « tourisme médical ». Quelles
conséquences peut-on en attendre sur les systèmes de santé ? Va-t-on se diriger vers plus de coopération ou vers plus de compétition ? Comment se positionnent les
entreprises de soins, de tourisme, etc. impliquées dans ce nouveau paysage du secteur de la santé ?

Du fait de ces tendances émergentes, les frontières symboliques du soin se transforment-elles à leur tour ? Le soin ne relève plus
seulement du curatif et du préventif mais aussi de la notion de bien-être.

L’une des conséquences les plus visibles de cette évolution est le rapprochement des secteurs du tourisme et de la santé ce qui
interroge désormais sur la spécificité de chacun des secteurs. Peut-on encore envisager les problèmes de santé de la même manière ?

Quels sont les impacts de ces modifications sur les professions de la santé et les patients ?

Les principaux thèmes mis à l’étude sont :

1- Quelles conséquences attendre de la nouvelle donne mondiale en matière de santé ? Va-t-on vers l’émergence d’une coopération
mondiale ou vers plus de compétition ?

2- Quelles conséquences attendre de la spécialisation de territoires ou des régions sur un des secteurs de la santé ?

3- Quelles sont les nouvelles frontières symboliques du soin et son impact sur les patients et les professions de la santé, ou sur
les pratiques du soin elles-mêmes ?

 

Site Web du Colloque :

Les informations sur le déroulement du colloque seront disponibles à l’adresse Internet suivante : http://www.a2id.org/

 

Comité scientifique :

• Président : Ali Smida, A2ID, CR2S-Management, CEPN-CNRS, Université de Paris 13, PRES Paris-Cité-Sorbonne, France.

Rajat Acharyya, titulaire de la chaire du département économie, Jadavpur, Calcutta, India.

• Bernard Cadet, A2ID, CR2S-Management, Université de Caen – Basse Normandie, France.

• Martina Eckardt, Université Andrássy de Budapest, Hongrie.

• Thomas Grebel, Université d’Iéna, Allemagne.

• Alina Gomez, A2ID, CR2S-Management, Université Javeriana Cali, Colombie.

Henk Hadders,
Univnersity of Gronigen, The Netherlands.

Sarah-Anne Muñoz,
UHI, Inverness, United Kingdom.

Stefan Okruch,
Université Andrássy de Budapest, Hongrie.

• Bertrand Pauget, Professeur, EBS Paris, France.

 

Comité d’organisation (liste non exhaustive) :

• Président : Bertrand Pauget, European Business School, Paris, France,

• Ali Smida, A2ID, CR2S-Management, CEPN-CNRS, Université de Paris 13, PRES Paris-Cité-Sorbonne, France.

• Alina Gomez, A2ID, CR2S-Management, Université Javeriana Cali, Colombie.

• Ahmed Dammak, Groupe Esc Troyes, France

 

Dates à Retenir :

Les textes de communication (20 pages maximum, police 12, interligne 1, Times New Roman) en anglais ou en français doivent être
adressées simultanément à Ali Smida (
alismida@aol.com) et à Bertrand Pauget (bertrandpauget@ebs-paris.com)

Date limite pour la soumission des articles complets : 31 mars 2011.

Retour des avis du comité de lecture : 15 avril 2011

Les langues de soumissions sont l’anglais et le français.

 

Les droits d’inscription et de participation :

• 180 euros (cent quatre vingt euros) pour toute inscription avant le 1er mai 2011. Sauf pour les étudiants & doctorants (voir la fiche
d’inscription).

• 200 euros (deux cents euros) pour toute inscription à partir du 1er mai 2011.

Ces droits incluent : les
pauses café et les repas du 5 et 6mai 2011, la soirée de gala du 5 mai au soir.

1re Journée de Recherche du L@REM : GERER AUTREMENT ?

APPEL A COMMUNICATION

Vendredi 24 juin 2011

GERER AUTREMENT ?

Les crises financière, économique et sociale que nous connaissons questionnent non seulement l’efficacité des pratiques de gestion des organisations mais aussi leur légitimité. La gestion instrumentale rigoureuse conçue hier comme un gage de prospérité est aujourd’hui dénoncée comme la source de maux profonds : « la société est malade de la gestion ». Dès lors, il apparaît urgent d’interroger les notions de performances et de repenser les pratiques, qu’il s’agisse de la finance, la gouvernance, l’entrepreneuriat, le management ou la formation à la gestion elle-même, qui permettront d’atteindre cette conception renouvelée de la performance.

Lors de cette journée de recherche, nous souhaitons explorer certaines pistes qui offrent une alternative aux pratiques de gestion traditionnelles sans pour autant relever de l’économie sociale et solidaire.

Comment peut-on aujourd’hui gérer les organisations de sorte que l’on restaure leur légitimité et que l’on concilie celle-ci avec la performance ?

Le renouvellement des pratiques de gestion sera abordé de différents points de vue. Cette journée s’intéressera à l’évolution de la fonction financière et en particulier au développement de la micro-finance et de la finance durable. En matière d’entrepreneuriat, des enseignements seront tirés des entreprises familiales davantage préoccupées de pérennité que de profits à court terme. En matière de management, gérer autrement signifie, par exemple développer des pratiques qui tirent parti des particularités locales mais qui sont aussi respectueuses de ces singularités. Plutôt que de s’aligner sur les pratiques supposées « les meilleures », il s’agit de mettre en place en
chaque lieu des formes de gouvernement adaptées aux contextes locaux. Au delà de ces thématiques précises, les communications attendues porteront sur toutes les initiatives et les pistes qui
tentent de répondre aux nouveaux défis de légitimité et de performance en matière de :

– financement des entreprises(finance durable, finance islamique, micro-finance…)

– gouvernance et contrôle des organisations
(mesures de la performance, gestion des risques, gouvernance normative, entreprises familiales…)

– entrepreneuriat(accompagnement des porteurs de projet, micro-entreprises, intrapreneuriat…)

– management du personnel(« slow management », reconnaissance et bienveillance, organisation et conditions de travail…)

– formation à la gestion et à l’encadrement
(développement des compétences managériales)

Cette journée de recherche est ouverte non seulement aux enseignants chercheurs en sciences de gestion mais également aux praticiens. L’objectif est de partager et de fédérer les travaux de recherche de nature académique avec des expériences de terrain
alternatives.

Calendrier

·        Intention de communication (1 page; 3 à 5 mots clefs) : 18 avril 2011

·        Réponse aux intentions :         29 avril 2011

·        Envoi du texte complet (15 pages maximum) : 23 mai 2011

·        Confirmation définitive d’acceptation :       1er juin 2011

Envoi des communications à Madame Nadia Rhounimi, nadia.rhounimi@univ-evry.fr avec copies à : fredj.jawadi@univ-evry.fr et sylvie.chevrier@univ-evry.fr

Recommandations aux auteurs :

Les communications auront une longueur maximum de 15 pages (notes et bibliographie comprises).
Les manuscrits seront accompagnés d’un résumé (150 mots), ainsi que des mots clefs en français et en anglais. Pour la présentation générale, les auteurs se reporteront aux indications fournies sur le site

Une sélection de communications sera publiée dans un numéro spécial de La Revue des Sciences de Gestion, direction et gestion des entreprises.

Comité scientifique

Aude d’Andria (UEVE)
Corinne Baujard (UEVE)
Didier Chabaud (Université d’Avignon)
Jean-François Chanlat (Université Paris-Dauphine)
Sylvie Chevrier (UEVE)
Fredj Jawadi (UEVE)
Philippe Jacquinot (UEVE)
Jean-Luc Le Bideau (UEVE)
Denis Lescop (TEM)
Jean-Luc Moriceau (TEM)
Claude Meyer (UEVE)

Frederik Mispelblom Beyer (UEVE)
Sabine Monnier (Université Paris 1)
Philippe Naszalyi (UEVE)
Eric Paget-Blanc (UEVE)
Jean-Jacques Pluchart (Université Paris 1)
Katia Richomme-Huet (Euromed management)
Gilles Saint-Amand (UQAM)
Michel Roux (Université Paris 13)
Patrick Sentis (Université Montpellier)

Comité d’organisation

Aude d’Andria (UEVE)
Corinne Baujard (UEVE)
Sylvie Chevrier (UEVE)
Fredj Jawadi (UEVE)
Frederik Mispelblom Beyer (UEVE)
Philippe Naszalyi (UEVE)

Lieu du colloque

Université d’Evry – Val d’Essonne UFR de Sciences Sociales et Gestion, 2, rue du Facteur Cheval
91025 EVRY cedex (France)

17es Journées d’histoire de la comptabilité et du management

Jeudi 22 et Vendredi 23 mars 2012 à Toulouse

 

Les Journées d’Histoire de la Comptabilité et du Management constituent, depuis leur première édition en 1995, un
rendez-vous annuel incontournable pour ceux qui s’intéressent à l’histoire et à la gestion. Elles rassemblent des gestionnaires, mais aussi des historiens, des sociologues, des juristes et des
économistes.

Comme chaque année, toutes les propositions de communications sont les bienvenues, mais nous souhaitons néanmoins
proposer un axe de réflexion. Ainsi, l’Association Francophone de Comptabilité, le Centre de Recherche en Management (CRM, Université Toulouse I Capitole), le Laboratoire Gestion et Cognition
(LGC, Université Toulouse III Paul Sabatier) et le Management Research Center (ESC Toulouse) lancent cet appel à communication sur le thème :

 

“IMAGES ET REPRESENTATIONS”

 

Le choix de cette thématique repose sur la volonté des organisateurs de mettre en évidence l’évolution des
professions et fonctions comptables et managériales. Nous souhaitons plus particulièrement insister sur deux aspects autour du thème proposé : tout d’abord, sur l’évolution des représentations et
images de ces professions et fonctions ; ensuite sur leur recours progressif aux images et représentations d’images.

Les organisateurs suggèrent quelques lignes directrices :

1. Les représentations et images de la comptabilité et du management

 Portraits et représentations de la comptabilité et du management dans
les médias (presse, radio,

télévision, Internet), dans la littérature, dans l’éducation

 Représentation, stéréotypes et genre

 Images et représentations des organisations dans l’art (arts
graphiques, spectacle vivant, cinéma…)

2. Les images et représentations dans la comptabilité et le management

 La place des images dans les dispositifs et les pratiques de
gestion

 L’organisation comme lieu d’expression par l’image

 L’évolution des moyens de communication par l’image

 Le management par l’image ou la construction des images attendues par
le public

 Les instruments de gestion comme images de l’organisation

 

A l’occasion de ces journées, la thématique des “images et représentations” pourra être déclinée dans les
différentes disciplines du management : la comptabilité, le contrôle de gestion, la gestion des ressources humaines, mais aussi dans des disciplines traditionnellement plus discrètes dans les
journées d’histoire comme le marketing, la finance, la stratégie etc.

 

Programme prévisionnel :

Jeudi 22 mars 2012 9h-17h30 Ateliers

Jeudi 22 mars 2012 Soir Repas de gala

Vendredi 23 mars 2012 9h-17h30 Ateliers

 

Un tutorat des thèses d’histoire de la comptabilité et du management sera organisé pour les doctorants intéressés.
Nous vous demandons un document d’une dizaine de pages maximum indiquant :

 le champ de votre recherche

 votre problématique (ou des pistes)

 vos références théoriques (le cas échéant)

 votre démarche méthodologique

 vos premiers résultats (éventuellement)

 les références bibliographiques essentielles

 

Comité d’organisation :

Jennifer Boutant, Ludovic Cailluet, Rahma Chekkar-Mansouri, Sami El Omari, Michèle Saboly

 

Informations à retenir :

 

– Date limite de soumission : 15 novembre 2011. Les articles complets comportant deux résumés (français / anglais) sont à envoyer à l’adresse suivante :
jhcm2012@gmail.com

– Date de réponse des réviseurs : 15 janvier 2012

– Toute proposition de communication sera soumise à une double lecture anonyme. Une fois acceptée, et sauf demande
contraire de l’auteur, elle sera publiée sur le site internet du congrès.

– Nombre maximum de signes d’une communication : 60 000 signes

– La première page (page de titre) doit contenir le titre de la communication, les noms des auteurs et leurs
coordonnées institutionnelles.

Prénom Nom, Fonction Institution, Adresse, Téléphone, Courrier électronique, le tout en Times New Roman 12,
interligne 15 points aucun espace avant-après.

La seconde page doit contenir le titre de la communication (sans indication des noms des auteurs ou de leurs
coordonnées institutionnelles), le résumé et mots-clés en français et en anglais (précisant la problématique, les sources et les résultats).

Important : pour les articles en langue française, le titre, le résumé et les mots clés doivent également être
traduits en anglais

 

Résumé (150 mots) Abstract (150 words)

Times New Roman 10 Times New Roman 10, italic

Mots clés (6 maximum) Keywords (up to 6)

 

Le style à utiliser est présenté ci-dessous :

Marges : 2,5 – 2,5 – 2,5 en justifié.

TITRE : titre 1 (TIMES NEW ROMAN 28, ITALIQUE, GRAS, MAJUSCULES, aucun espace avant-après,

interligne simple)

TEXTE Style Normal : Times New Roman 12, interligne 15 points, aucun espace avant-après.

1. (titre 2 : Times New Roman 18 gras, espacement avant et après de 18 points)

Texte Style Normal : Times New Roman 12, interligne 15 points, aucun espace avant-après

1.1 (titre 3 : Times New Roman 12 gras, espacement avant et après de 12 points)

Texte Style Normal : Times New Roman 12, interligne 15 points, aucun espace avant-après

1.1.1 (titre 4 : Times New Roman 12 gras italique, espacement avant et après de 6 points)

Les notes de bas de page seront placées à la fin de chaque page (Times New Roman 10, aucun

espacement).

Références bibliographiques (Times New Roman 10, espacement avant 6

points).

Les
schémas, graphiques et tableaux seront numérotés, comporteront un titre et la référence à une source (Times New Roman 10 aucun espace avant-après).

APPELS A CONTRIBUTIONS POUR UN N° DE LA REVUE TRAVAIL ET EMPLOI

APPEL A CONTRIBUTIONS OUVERT

Diriger une PME

22 avril 2011

 

Soucieux de favoriser l’emploi, les pouvoirs publics élaborent et mettent en oeuvre des politiques de soutien à la création et au développement
des PME. A côté de ces politiques qui influencent l’activité des PME, le management, c’est-à-dire l’organisation et la conduite des activités, reste essentiel dans l’élaboration et à la mise en
oeuvre de la stratégie. Ce management a-t-il des caractéristiques spécifiques ? C’est ce que ce numéro spécial se propose d’examiner en centrant l’attention sur l’activité et les  propriétés des dirigeants.

Par-delà leur identification convenue aux entrepreneurs, il s’agit d’examiner dans leur variété les rôles et les activités des dirigeants de
PME, mais aussi de s’interroger sur leurs parcours et leurs propriétés sociales et professionnelles. Sont indiqués ci-dessous des thèmes et questions que pourront aborder les contributions au
numéro spécial. Si des travaux de sciences de  gestion sont attendus sur un tel sujet, les contributions provenant d’autres sciences sociales du
travail (sociologie, histoire, économie, droit) seront les bienvenues.

 

Les dirigeants de PME

Les origines et les trajectoires professionnelles des dirigeants de PME ne sont pas homogènes. En outre, il pourrait y avoir une évolution du /
des profil(s) des dirigeants de PME, que ce soit sur la longue période historique ou sur les dernières décennies.

Dans quelle mesure, cette évolution supposée des origines et des trajectoires individuelles s’est-elle accompagnée, du point de vue collectif,
d’une évolution du syndicalisme patronal et des organisations professionnelles, nationales et locales, des dirigeants de PME. Le statut juridique du dirigeant de PME, les rapports à ce statut et
les arbitrages auxquels il conduit pourront par ailleurs être examinés.

 

Le management des PME

Le / la dirigeant(e) de la PME tient une place centrale dans le management de celle-ci. La proximité que la taille de l’entreprise lui permet
d’avoir avec son personnel, ou encore la place que peut tenir l’informel quand l’effectif est relativement peu nombreux, invite à s’interroger sur la gestion des ressources humaines qui y est
pratiquée. On pourra notamment se demander si ces modes de gestion comportent, ou non, des spécificités, par exemple dans le rapport au droit du travail ?

Du point de vue externe, l’inscription dans des groupes ou chaînes de valeur et les relations avec des acteurs institutionnels, politiques ou de
la société civile (pouvoirs publics, syndicats de salariés, associations, etc.) sont une dimension importante de l’activité du / de la dirigeant(e). La variété et la complexité de ces activités
conduit à se poser la question des conditions de travail des dirigeants (rémunération, durée du travail) et à s’intéresser à l’accompagnement des dirigeants de PME sous ses différentes formes :
recours à des conseils, soutiens publics et privés… Enfin, une préoccupation spécifique aux dirigeants de PME, celle de la reprise et de la transmission des entreprises mériterait d’être
examinée.

Les articles doivent permettre de rendre compte de la variété de l’univers des dirigeants de PME. Peut-on dégager des spécificités en rapport
avec certains éléments de contexte : âge de l’entreprise, bassin d’implantation, secteur d’activité, degré d’équipement technologique, génération du dirigeant, etc.

 

Modalités de réponse

Les contributeurs sont invités dans un premier temps à proposer une intention d’article de 5 000 à 7 000 signes environ (trois
à quatre pages), présentant clairement la question de recherche étudiée, les matériaux utilisés, outils d’analyse mobilisés et résultats attendus. L’appel est bien sûr ouvert aux propositions
issues de l’association d’équipes travaillant à partir de méthodes quantitatives et / ou qualitatives. Il est aussi ouvert à des enquêtes sur des pays étrangers, pour saisir les éventuelles
spécificités nationales de ces problématiques.

Ces intentions sont à
envoyer par courriel, en pièce jointe, à la rédaction de la revue travail.emploi@dares.travail.gouv.fr et, en copie, à eric.pezet@u-paris10.fr, thomas.amosse@cee-recherche.fr pour le 20
juin 2011 au plus tard
. Les auteurs dont les projets seront susceptibles de s’intégrer dans ce dossier thématique devront ensuite envoyer leur article complet pour le
1er décembre 2011
.

Appel à Com de l’ESCT sur le thème BANQUE FINANCE ET RISQUES

Appel à Communications

L’Ecole Supérieure de Commerce de Tunis

organise sa 1re Conférence
Internationale

BANQUE FINANCE ET RISQUES

Sous le thème
:

STABILITE FINANCIÈRE ET DÉVELOPPEMENT

 

Jeudi 13 octobre 2011

En collaboration avec :

L’Université de Manouba, l’Ecole Doctorale ECOFIGES(ESC Tunis) et l’Unité de Recherche ECOFI

(IHEC Carthage).

Après la première journée sur la finance islamique-avril 2010, l’ESCT se propose de réunir à nouveau
les universitaires, les chercheurs et les professionnels intéressés par les domaines de la banque, la finance et la gestion des risques. Cette première conférence constitue un forum d’échanges
privilégiés de connaissance entre tous les acteurs concernés.

 

Soumission

Tous les papiers soumis sont évalués par les membres du comité scientifique et acceptés sur la base de
leur clarté, leur originalité et leur contribution scientifique. Les soumissions d’articles originaux pourront porter sur les domaines suivants (proposition) :

– Banques et réglementation prudentielle

– Assurances et Solvency II

– Economie et finance islamique

– Marchés financiers, fonds d’investissement et régulation

– Développement financier et développement régional

Les propositions de communication doivent être envoyées par courrier électronique à l’adresse suivante
:
2011bfr@gmail.com. Ne
seront examinées que les propositions comportant un papier intégral.

 

Dates à retenir

· Date limite d’envoi des communications : 31 juillet 2011

· Date de notification aux auteurs : 31 août 2011

· Date limite d’inscription : 15 septembre 2011

· Date de la conférence : 13octobre 2011

 

Indications aux auteurs :

Les textes des communications acceptées devront répondre aux critères suivants :

· 20 pages au maximum (y compris les figures, tableaux et la bibliographie).

· Police de caractère : Times New Roman.

· Taille de caractère : 12.

· Interligne : simple.

· Une seule ligne entre chaque paragraphe.

· La première page comportera le titre de l’article, le nom des auteurs, leur affiliation et adresse
ainsi qu’un résumé de 150 mots maximum.

· Les langues officielles de la conférence sont le français et l’anglais.

· Les textes des communications doivent être envoyés en format word ou en pdf.

 

Publication

Les articles seront publiés dans les actes de la conférence BFR 2011 et seront diffusés sur le site web
de la

conférence. Il est prévu de sélectionner les meilleurs pour un numéro de la « Revue Tunisienne
d’Economie »

et la Revue « Techniques Financières et Développement ».

 

Comité d’organisation

Mr. Hafedh BEN ABDENNEBI                               
Mme. Fatma ABASSI

Mr. Hichem HAMZA                               
Mr. Sami MENSI

Mme. Sana GUERMAZI-BOUASSIDA                               
Mme. Dorra BERRAIES

Mr. Zied SAADAOUI                               
Mme. Fatma BRAHEM

 

Comité Scientifique

Mr. Jamel Eddine CHICHTI                               
Mr. Hafedh BEN ABDENNEBI

Mr. Hatem SALAH                               
Mr. Maher GASSAB

Mr. Riadh EL FERKTAJI                               
Mr. Dhafer SAIDANE

Mme. Samira CHAKER                               
Mr. Skander OUNAIES

Mme. Amel ZNAIEDI                               
Mr. Abderrazak ZOUARI

Mr. Hamadi FEHRI                               
Mr. Chokri MAMOGHLI

Mr. Zouheir BEN KHELIFA

 

Pour Information et Inscription :

Tél. : (+216) 71 600 615 – Fax. : (+216) 71 601 311

Email : 2011bfr@gmail.com

Site web : www.esct.rnu.tn

Appel POUR UN NUMERO THEMATIQUE DE LA REVUE TRAVAIL ET EMPLOI

APPEL A CONTRIBUTIONS

 

Diriger une PME

Soucieux de favoriser l’emploi, les pouvoirs publics élaborent et mettent en oeuvre des politiques de
soutien à la création et au développement des PME. A côté de ces politiques qui influencent l’activité des PME, le management, c’est-à-dire l’organisation et la conduite des activités, reste
essentiel dans l’élaboration et à la mise en oeuvre de la stratégie. Ce management a-t-il des caractéristiques spécifiques ? C’est ce que ce numéro spécial se propose d’examiner en centrant
l’attention sur l’activité et les propriétés des dirigeants.

Par-delà leur identification convenue aux entrepreneurs, il s’agit d’examiner dans leur variété les
rôles et les activités des dirigeants de PME, mais aussi de s’interroger sur leurs parcours et leurs propriétés sociales et professionnelles. Sont indiqués ci-dessous des thèmes et questions que
pourront aborder les contributions au numéro spécial. Si des travaux de sciences de gestion sont attendus sur un tel sujet, les contributions provenant d’autres sciences sociales du travail
(sociologie, histoire, économie, droit) seront les bienvenues.

 

Les dirigeants de PME

Les origines et les trajectoires professionnelles des dirigeants de PME ne sont pas homogènes. En
outre, il pourrait y avoir une évolution du / des profil(s) des dirigeants de PME, que ce soit sur la longue période historique ou sur les dernières décennies. Dans quelle mesure, cette évolution
supposée

des origines et des trajectoires individuelles s’est-elle accompagnée, du point de vue collectif,
d’une évolution du syndicalisme patronal et des organisations professionnelles, nationales et locales, des dirigeants de PME. Le statut juridique du dirigeant de PME, les rapports à ce statut et
les arbitrages auxquels il conduit pourront par ailleurs être examinés.

 

Le management des PME

Le / la dirigeant(e) de la PME tient une place centrale dans le management de celle-ci. La proximité
que la taille de l’entreprise lui permet d’avoir avec son personnel, ou encore la place que peut tenir l’informel quand l’effectif est relativement peu nombreux, invite à s’interroger sur la
gestion des ressources humaines qui y est pratiquée. On pourra notamment se demander si ces modes de gestion comportent, ou non, des spécificités, par exemple dans le rapport au droit du travail
?

Du point de vue externe, l’inscription dans des groupes ou chaînes de valeur et les relations avec des acteurs institutionnels, politiques ou de la société civile
(pouvoirs publics, syndicats de salariés, associations, etc.) sont une dimension importante de l’activité du / de la dirigeant(e). La variété et la complexité de ces activités conduit à se poser
la question des conditions de travail des dirigeants (rémunération, durée du travail) et à s’intéresser à l’accompagnement des dirigeants de PME sous ses différentes formes : recours à des
conseils, soutiens publics et privés… Enfin, une préoccupation spécifique aux dirigeants de PME, celle de la reprise et de la transmission des entreprises mériterait d’être examinée.

Les articles doivent permettre de rendre compte de la variété de l’univers des dirigeants de PME.
Peut-on dégager des spécificités en rapport avec certains éléments de contexte : âge de l’entreprise, bassin d’implantation, secteur d’activité, degré d’équipement technologique, génération du
dirigeant, etc.

 

Modalités de réponse

Les contributeurs sont invités dans un premier temps à proposer une intention
d’article
de 5 000 à 7 000 signes environ (trois à quatre pages), présentant clairement la question de recherche étudiée, les matériaux utilisés, outils d’analyse mobilisés et résultats
attendus. L’appel est bien sûr ouvert aux propositions issues de l’association d’équipes travaillant à partir de méthodes quantitatives et / ou qualitatives. Il est aussi ouvert à des enquêtes
sur des pays étrangers, pour saisir les éventuelles spécificités nationales de ces problématiques.

Ces intentions sont à envoyer par courriel, en pièce jointe, à la rédaction de la revue


travail.emploi@dares.travail.gouv.fr

et, en copie, à

eric.pezet@u-paris10.fr
,

thomas.amosse@ceerecherche.fr

pour le 20 juin 2011 au plus tard
.
Les auteurs dont les projets seront susceptibles de s’intégrer dans ce dossier thématique devront ensuite envoyer leur article complet pour le 1
er

décembre 2011
.

IMEC Abbaye d’Ardenne

APPEL À CONTRIBUTION

21-22 Juin 2012

IMEC Abbaye d’Ardenne

14 280 Saint Germain La Blanche Herbe – CAEN

 

Au regard de l’état critique atteint par le capitalisme contemporain, les intellectuels et les experts sont
nombreux à s’interroger sur les réponses possibles à apporter à une crise, qui remet brutalement et profondément l’Homme en question dans tous les aspects de sa vie. Mais, une crise ne devient
catastrophique que si nous y répondons par des idées toutes faites, c’est-à-dire par des préjugés. Cela suppose donc d’échapper aux abstractions idéologiques, en général exagérément
simplificatrices.

Or, la première grande crise du XXe siècle, la crise de 1929, qui, au-delà de sa dimension économique, constituait
déjà un malaise dans la civilisation a ouvert le champ, notamment en France, à de nombreux groupes d’intellectuels non-conformistes à la recherche d’un autre modèle
d’organisation sociale. Ainsi, l’ « esprit » des années 30 façonne des mouvements de pensée et des formulations conceptuelles, qui resteront éminemment présents à l’issue de la guerre. Elles
autorisent, aujourd’hui plus que jamais, des opérations de pensée.

Par conséquent, nous vous proposons de croiser les pensées, les démarches et les méthodes de plusieurs non
conformistes
français, en longue durée avec un regard sur le présent. Il s’agit d’introduire une réflexion multidisciplinaire, voire interdisciplinaire « autour » de personnalités de la même
génération, dont les rapports intellectuels ont été avérés et réguliers : Henri DESROCHE (1914-1994), Louis-Joseph LEBRET (1897-1966), Henri LEFEBVRE (1901-1991), François PERROUX (1903-1987) et
Emmanuel MOUNIER (1905-1950).

Leurs pensées sont essentiellement antitotalitaires, intrinsèquement politiques et explicitement
économiques. Elles sont antitotalitaires en réaction aux dérives des années 30 et visent, dans l’engagement, une production de l’Homme par l’Homme, une civilisation solidaire, une
humanisation de l’économie. Elles sont intrinsèquement politiques et interrogent les dogmatismes philosophiques et politiques, les tensions sociales et économiques, en aspirant, contre
le « fétichisme de la cohérence », au pluralisme et à l’imagination politique. Explicitement économiques, elles rejettent l’individualisme libéral et le marxisme dogmatique, l’économisme
productiviste de l’Ouest et de l’Est. Et, nourries de la pensée de Marx, elles s’engagent pour une créativité individuelle et collective, un progrès humain et intégral, une logique d’émancipation
et le refus du désenchantement.

À ce titre, elles restent prometteuses. Et, avec la promesse, elles nous permettent de nous tourner vers le futur,
car elles restent prospectives ; c’est-à-dire qu’elles permettent de dire et d’agir sur le monde (Paul RICOEUR). C’est pourquoi , au carrefour de la mémoire, de l’analyse
historique et de la prospection critique, depuis et au-delà de leurs oeuvres et de leurs méthodes, en mettant à profit ce que leurs réflexions et leurs démarches ont en commun, nous vous
proposons de réfléchir sur la performativité et l’actualisation de leurs méthodes et de leurs approches.
Institut de Sciences
Mathématiques et Économiques Appliquées
59 boulevard Vincent Auriol – 75013 Paris Cedex 13 www.ismea.org

Bien que leurs recherches, leurs actions de terrain et leur rayonnement soient d’une portée universelle, ces
intellectuels, en leur temps et de nos jours, sont restés souvent relégués aux périphéries du discours académique. Pour autant, ils ont défini une utopie réaliste, allant jusqu’à revendiquer un
mouvement scientifique pour accréditer l’utopie (DESROCHE). Ils ne voulaient pas s’encombrer d’illusions supérieures ou de fatalisme, et ne rêvaient pas devant l’impossible (PERROUX). Mais ils
revendiquaient d’amener les virtualités (favorables) à se réaliser (LEFEBVRE). Ils ont pris comme projet essentiel de changer la vie, en définissant des concepts qui proviennent de la pratique et
qui y reviennent.

Dans le cadre de ce congrès, nous vous proposons d’approcher et de croiser ces auteurs, autour des quatre grands
thèmes suivants :

LES DIFFÉRENCES ET LES
CONVERGENCES
[entre ces penseurs de la différence et de la convergence] ;

LA PERSONNE, LA CRÉATION ET LE COLLECTIF
;

LA CROYANCE, LA PENSÉE ET LACTION ;

LE
DÉVELOPPEMENT
, LE
PROGRÈS
, LUTOPIE.

Il s’agit, pour chaque thème, d’éviter le point de vue biographique et de privilégier l’analyse, la comparaison et
la critique des concepts et des méthodes ; tout en conservant, pour chacun de ces thèmes, la réflexion sur les enjeux présents. Tous les éclairages sont nécessaires pour dépasser le seul
éclairage économique, et étant entendu, comme l’invoque Henri LEFEBVRE, que toutes les questions arrivent au politique.

Les propositions d’un maximum de 500 caractères, sont à envoyer, sous format .DOC, par courriel, avant le 15
décembre 2011, au Comité scientifique du colloque : Sebastien.Petrus@univ-rennes2.fr.Elles doivent précisément mentionner les appartenances institutionnelles des auteurs. Les évaluations seront
retournées pour le 30 janvier 2012.

Les articles complets devront être envoyés pour le 30 mai 2012. Ils comporteront environ 60 000
caractères
, espaces compris, au format Times new Roman 12, auxquels s’ajoutent les références, selon le format suivant :

Références aux auteurs cités dans le corps du texte : [entre crochets, Nom(s), initiale(s) prénom(s) année entre
parenthèses, virgule, pages p.], exemple : [Martin J.-M. (1959), p. 54-59].

Nom de l’auteur – virgule – initiale(s). du (des) prénom(s) point [année de publication entre crochets]
virgule,

1/ Ouvrage : Titre de l’ouvrage en italique, virgule, Éditeur, lieu d’édition, point.

Exemple : Dupont, J. [1999], Économie du travail, Éditions ouvrières, Paris.

2/ Article : Titre de l’article « entre guillemets », virgule, Titre de la revue ou de l’ouvrage en
italique,
virgule, série, numéro, tome, volume, mois, pages (un seul p.) point.

Exemple : Durand, F. *1999+, « Économie d’énergie », Revue verte, tome XXXIII, n° 3, mars, p. 3-33.

Au-delà de ce colloque, l’objectif de notre projet est de mettre en oeuvre un programme de recherche
interdisciplinaire et pluri-annuel, détaillé par ailleurs, dans le domaine des Sciences humaines et sociales, au carrefour, entre autres, de ces oeuvres et, sans doute, en élargissant à d’autres
auteurs.

APPEL A COM Le profit dans les PME, perspectives historiques

Entreprises et profits ­ Etudes de cas

Le profit dans les PME, perspectives historiques, 19e ­ 20e siècles

 

Pendant longtemps, les historiens se sont intéressés au profit dans les grandes entreprises et les secteurs
industriels considérés comme stratégiques pour l’industrialisation (sidérurgie, automobile, industrie électrique, etc.), ce phénomène a souvent été favorisé par la disponibilité d’archives de
grands groupes. À l’opposé, l’analyse du profit dans les PME est restée à l’état embryonnaire et les approches existantes portent rarement sur plusieurs pays et différents secteurs. Ces dernières
années, de nombreuses monographies ou travaux thématiques ont commencé à combler cette lacune, toutefois, les résultats de ces recherches restent disséminés et très peu de travaux analysent cette
problématique d’un point de vue global ou transnational.

L’objectif du présent projet est de lancer une réflexion sur le profit dans les PME dans une perspective
internationale qui doit aboutir à un livre collectif. Cet ouvrage pourra s’appuyer sur les exemples français, suisses et scandinaves marqués par le rôle crucial des PME dans le décollage
économique. Mais il ne néglige pas pour autant le monde anglo-saxon où ce type de structure semble sous-estimé. Enfin, les cas plus récents de l’Allemagne, du Japon, de l’Italie et de l’Espagne,
voire de la Chine, offrent également de belles pistes de réflexion autour du thème du profit.

Les propositions de communication peuvent couvrir différents champs d’étude et adopter diverses méthodologies. Elles
peuvent aborder la thématique de l’analyse des profits sous un angle théorique ou méthodologique (comment analyser le profit, quels outils construire et utiliser, quelles sources utilisées ­
sources d’entreprises et sources externes, comment établir des comparaisons entre secteurs et entre entreprises ?, etc.). Des études de cas peuvent également être proposées, dans divers types de
PME et divers secteurs. Nous invitons aussi les chercheurs à se pencher sur des thématiques classiques, telles que l’analyse du profit dans les entreprises familiales, mais nous les invitons à
traiter ces thématiques sous de nouveaux angles. Par exemple, en étudiant les questions de risques et de profits, dans les secteurs du luxe et de la mode. Les perspectives par secteurs sont
vivement encouragées, est-ce que la notion de profit est identique dans des entreprises de bien de consommation ou dans des entreprises d’équipement ? Enfin, l’approche devrait aussi favoriser
des angles particuliers, tels que les stratégies personnelles des entrepreneurs ou des managers.

De plus, l’analyse du profit concernera son utilisation et sa répartition.

Que devient le profit ? Quelles sont les parts prélevées par les actionnaires, par les cadres salariés ? Quelles
sont les parts consacrées à l’autofinancement ? Aux ouvriers ? Comment les entrepreneurs camouflent-ils le profit ? Quelles sont les stratégies de gestion de l’inventaire et de l’amortissement.
Enfin, la question peut aussi aborder les plans comptables, notamment pour les pays où ils ne sont pas imposés. La question du calcul du profit et de la rentabilité, liée ou pas à l’introduction
de nouvelles méthodes comptables (comptabilités industrielles) peuvent aussi faire l’objet d’analyses.

 

Seules seront prises en compte les communications qui s’attachent à traiter le sujet de manière très précise.

Les langues du livre sont le français, l’anglais et l’allemand.

 

Calendrier :

L’appel à contribution est ouvert jusqu’à fin mai 2011 avec confirmation fin juin 2011. Les textes devront être
remis le 30 novembre 2011 et la publication aura lieu en septembre 2012. Selon les possibilités, deux journées d’études seront organisées aux Universités de Toulouse et de Neuchâtel en
janvier-février 2012.

Les chercheurs sont invités à soumettre un papier d’une page, présentant le projet, accompagné d’une courte
biographie. Les articles devront comprendre 30’000 à 40’000 signes, notes et espaces compris. Pour les personnes qui s’inscrivent des indications rédactionnelles plus précises seront transmises
ultérieurement.

 

Contacts :

Veuillez envoyer votre proposition d’article à l’une des deux adresses

ci-dessous.

 

Alain CORTAT

Collaborateur scientifique

Institut d¹histoire

Université de Neuchâtel

alain.cortat@unine.ch

++41 79 3 907 607

 

Jean-Marc OLIVIER

Professeur d’histoire économique contemporaine

Directeur du laboratoire CNRS Framespa

Université de Toulouse

jean-m.olivier@wanadoo.fr

(0)5 61 50 36 32

Appel à communication pour le 6e séminaire d’études du groupe GEM

6e séminaire d’études du groupe GEM

28 – 30 mars 2012

ESSEC Business School

Avenue Bernard Hirsch B.P. 50105

95021 Cergy-Pontoise Cedex

France

Tel : +33 (0)1 34 43 30 00 end_of_the_skype_highlighting

La question du langage et de la communication dans le management international : un défi
pour les hommes et les organisations

Appel à communication

Dans un éditorial récent de la revue académique, Management & avenir (Revue Management & Avenir, n° 31, Janvier 2010), Luc Boyer évoquait les deux dimensions du management. La dimension scientifique, celle des sciences de l’organisation, et la dimension humaine dans l’aspect gestion des Hommes, défini par Peter Drucker comme la « transformation en performance de l’effort humain ». Si l’entreprise et les institutions éducatives ont mis en valeur le premier aspect, il y a aujourd’hui une prise de conscience accrue du facteur humain au sein des organisations, à savoir la gestion des Hommes, de leurs talents, de leur épanouissement personnel et de leur efficacité
professionnelle, à l’heure où la carrière joue plus que jamais un rôle prépondérant dans l’équilibre de l’individu.

Au sein même des écoles de management, où l’épanouissement personnel des étudiants est une composante importante du projet éducatif, la question de la revalorisation des Sciences humaines et sociales dans la formation au management surgit à la faveur des crises des modèles économiques et éthiques dominants. Replacer l’Homme au cœur du projet éducatif en intégrant l’apport scientifique des SHS constitue donc un défi pour les organismes de formation dont nous faisons partie.

Dans le mouvement caractérisé par les approches subjectivistes de la recherche en management, la langue, outil de représentation du monde et de communication, est au cœur des démarches qui placent l’Homme au centre des travaux de recherche. Tout un courant de recherche autour de l’individu et du rôle du langage dans l’organisation s’est développé, notamment en France (Chanlat, 1990; Girin, 1995; 2001; Usunier, 1987; 1990). La compréhension du facteur humain dans les organisations appelle la fertilisation croisée des disciplines des sciences humaines, telles que la linguistique, la psychologie cognitive et sociale, la sociologie des organisations, la psychanalyse, l’anthropologie et l’ethnologie pour tenter de comprendre (dans les deux sens d’intelligibilité et d’inclusion) l’Homme au sein de l’organisation.

Les travaux menés dans les milieux professionnels sur des problématiques où il est question de langage et de langue, montrent la complexité des mutations qui caractérisent les environnements professionnels souvent devenus multilingues et multiculturels et ils soulèvent bien d’autres questions telles que le management à distance, les technologies de l’information et de la communication, la ou les langue(s) d’entreprise, le management de la connaissance et son transfert entre le siège de l’entreprise et les filiales, la communication interculturelle dans l’entreprise mondialisée. Les programmes innovants dans la formation au management soulignent l’importance des approches multidisciplinaires.

Comme le relevaient déjà Mintzberg en 1973, ou encore Rebecca Marschan Piekkari et al. dans un article de 1997 au titre éloquent (Marschan, R., Welch, D., & Welch, L. (1997). Language: « The forgotten factor in multinational management ». European Management Journal, 15(5), 591-598.), ces activités langagières, qui sont au cœur des pratiques quotidiennes des managers, sont peu ou pas convoqués dans les sciences de gestion. Une étude, menée sur 1128 articles publiés entre 2002 et 2010 dans des revues classées dans la liste de référence de la section 37 du CNRS « Economie et
gestion » (soit 71% de taux de couverture), montre que les questions inhérentes aux langues sont peu abordées et semble ainsi confirmer que depuis 1997 les académiques des Ecoles de Management françaises négligent cet aspect du management. Les langues seraient-elles ainsi toujours le “forgotten factor in multinational management” ?

Ce colloque s’adresse donc à toutes les disciplines du management ayant une sensibilité particulière pour les questions d’interaction langagière et culturelle au sein des entreprises multinationales /multiculturelles et a pour but de faire le point sur les avancées de la recherche en ce domaine, en appelant au dialogue interdisciplinaire et à l’échange entre chercheurs, praticiens de la formation et acteurs de l’entreprise. Les communications théoriques et/ou pratiques les plus variées, couvrant les questions suivantes seront particulièrement appréciées :

·        Quelle contribution de la linguistique appliquée à la recherche en management?

·        Quelle contribution de la recherche en communication interculturelle pour améliorer la communication interne au sein des entreprises multinationales ?

·        Que nous apprend l’ethnologie sur le dialogue entre les cultures nationales des maisons mères et des filiales des grands groupes?

·        Quels sont les derniers enseignements de la psychologie sociale et de la sociologie des organisations pour la compréhension des organisations multiculturelles?

·        Comment comprendre et réguler la part de l’affectivité et de l’émotionnel dans les interactions au sein d’un groupe multiculturel?

·        Quels sont les apports de l’analyse du discours pour comprendre la culture des organisations?

·        Quel est l’impact des NTIC sur la communication virtuelle des équipes multilingues et multiculturelles?

·        Quelle contribution de la traductologie et de l’interprétariat dans la compréhension des problèmes de communication en milieu interculturel?

·        Comment relever le défi linguistique et sémantique posé aux organisations qui consiste à diffuser des concepts n’existant pas dans une culture donnée? Par exemple, comment faire passer des éléments de l’identité d’entreprise tels que le développement durable et la RSE dans des filiales internationales aux cultures très éloignées?

·        Quelle orientation donner aux objectifs et aux contenus pédagogiques dans un enseignement rénové des langues et des cultures au sein des Ecoles de management?

·        De l’innovation en matière de formation aux contextes interculturels de l’entreprise mondialisée.

·        Quelle place pour les études de rhétorique, les théories de la narration dans la recherche et la formation au management?

·        Quel est le rôle du récit dans les organisations ? Dans quelle mesure le rôle du langage en tant que dimension ontologique de l’individu peut-il remettre en question l’approche socio-constructiviste.

·        Comment les grands groupes définissent-ils leur choix entre une communication unilingue ou multilingue?

·        Dans quelle mesure les grands groupes gèrent-ils le facteur langue dans l’entreprise?

·        Comment s’articule la communication formelle et informelle dans l’entreprise multinationale?

·        Comment la question des langues et du langage est-elle traitée dans la littérature managériale française et internationale? Quel est l’état de l’art depuis la fin des années 90?

Les propositions de communication sous forme d’abstract en français ou en anglais (maximum 500 mots), accompagné de mots-clé, devront parvenir à Philippe Lecomte (p.lecomte@esc-toulouse.fr) au format Word avant le 15 octobre 2011.

Les communications définitives en français ou en anglais peuvent être de deux formes :

Communication longue (6000-8000 mots)

Communication courte, étude de cas, revue de littérature (4000-6000 mots)

Les premières versions des communications devront être envoyées à Philippe Lecomte (p.lecomte@esc-toulouse.fr ) au format Word avant le 10 janvier 2012, les communications définitives
pour le 15 février 2012 en vue de la publication des Actes de ce colloque.

Les meilleurs articles seront publiés dans un cahier spécial de la revue Management & Avenir.

Guide de mise en page

Mise en page des communications :

Format du traitement de texte Word pour PC

Titre : Times New Roman, 18, majuscules, gras

Nom de l’auteur: Times New Roman, 14, minuscules, gras

Nom de l’institution de rattachement: Times New Roman, 10, majuscule, gras

Corps de texte: Times New Roman, 12

Guide de mise en page pour publication dans Management & Avenir :

 

Planning

Abstract (500 words): 15 Octobre 2011

Acceptation notifiée aux auteurs: 15 Novembre 2011

Première version de l’article: 10 janvier 2012

Rapport du comité de lecture: 25 Janvier 2012

Communication définitive: 15 février 2012

Comité scientifique

Annick Bourguignon ESSEC Business School

David Boje NMSU New Mexico

Denis Lemaître ENSTA

Eric Cornuel EFMD

Hanne Norreklit Aarhus School of Business

Jacques Igalens Toulouse Business School

Jean-François Chanlat Université Paris Dauphine

Luc Boyer Université Paris Dauphine; Management & Avenir

Ludovic Bot ENSTA

Mette Zolner Kopenhagen Business School

Olivier Fourcadet ESSEC Business School

Pierre-Louis Dubois FNEGE

Stefanie Stadler Nanyang Technological University, Singapore

Susan Schneider Université de Genève

Thierry Sibieude ESSEC Business School

Yvon Pesqueux CNAM Paris

————————————————————————————————–

Dr. Philippe Lecomte

Professeur

 

Toulouse Business School

20, Bd Lascrosses

31000 Toulouse

Tél : +33 (0)5.61.29.49.13 — Mob : +33 (0)6.62.38.49.13 – Fax : +33 (0)5.61.29.49.94

http://www.esc-toulouse.fr

Vers une économie humaine. Pensées critiques d’hier et aujourd’hui

APPEL
À CONTRIBUTION

 

Au regard de l’état critique atteint par le capitalisme contemporain, les intellectuels et les experts sont
nombreux à s’interroger sur les réponses possibles à apporter à une crise, qui remet brutalement et profondément l’Homme en question dans tous les aspects de sa vie. Mais, une crise ne devient
catastrophique que si nous y répondons par des idées toutes faites, c’est-à-dire par des préjugés. Cela suppose donc d’échapper aux abstractions idéologiques, en général exagérément
simplificatrices.

Or, la première grande crise du XXe siècle, la crise de 1929, qui, au-delà de sa dimension économique, constituait
déjà un malaise dans la civilisation a ouvert le champ, notamment en France, à de nombreux groupes d’intellectuels non-conformistes à la recherche d’un autre modèle
d’organisation sociale. Ainsi, l’ « esprit » des années 30 façonne des mouvements de pensée et des formulations conceptuelles, qui resteront éminemment présents à l’issue de la guerre. Elles
autorisent, aujourd’hui plus que jamais, des opérations de pensée.

Par conséquent, nous vous proposons de croiser les pensées, les démarches et les méthodes de plusieurs non
conformistes
français, en longue durée avec un regard sur le présent. Il s’agit d’introduire une réflexion multidisciplinaire, voire interdisciplinaire « autour » de personnalités de la même
génération, dont les rapports intellectuels ont été avérés et réguliers : Henri DESROCHE (1914-1994), Louis-Joseph LEBRET (1897-1966), Henri LEFEBVRE (1901-1991), François PERROUX (1903-1987) et
Emmanuel MOUNIER (1905-1950).

Leurs pensées sont essentiellement antitotalitaires, intrinsèquement politiques et explicitement
économiques. Elles sont antitotalitaires en réaction aux dérives des années 30 et visent, dans l’engagement, une production de l’Homme par l’Homme, une civilisation solidaire, une
humanisation de l’économie. Elles sont intrinsèquement politiques et interrogent les dogmatismes philosophiques et politiques, les tensions sociales et économiques, en aspirant, contre
le « fétichisme de la cohérence », au pluralisme et à l’imagination politique. Explicitement économiques, elles rejettent l’individualisme libéral et le marxisme dogmatique, l’économisme
productiviste de l’Ouest et de l’Est. Et, nourries de la pensée de Marx, elles s’engagent pour une créativité individuelle et collective, un progrès humain et intégral, une logique d’émancipation
et le refus du désenchantement.

À ce titre, elles restent prometteuses. Et, avec la promesse, elles nous permettent de nous tourner vers le futur,
car elles restent prospectives ; c’est-à-dire qu’elles permettent de dire et d’agir sur le monde (Paul RICOEUR). C’est pourquoi , au carrefour de la mémoire, de l’analyse
historique et de la prospection critique, depuis et au-delà de leurs oeuvres et de leurs méthodes, en mettant à profit ce que leurs réflexions et leurs démarches ont en commun, nous vous
proposons de réfléchir sur la performativité et l’actualisation de leurs méthodes et de leurs approches.

Bien que leurs recherches, leurs actions de terrain et leur rayonnement soient d’une portée universelle, ces
intellectuels, en leur temps et de nos jours, sont restés souvent relégués aux périphéries du discours académique. Pour autant, ils ont défini une utopie réaliste, allant jusqu’à revendiquer un
mouvement scientifique pour accréditer l’utopie (DESROCHE). Ils ne voulaient pas s’encombrer d’illusions supérieures ou de fatalisme, et ne rêvaient pas devant l’impossible (PERROUX). Mais ils
revendiquaient d’amener les virtualités (favorables) à se réaliser (LEFEBVRE). Ils ont pris comme projet essentiel de changer la vie, en définissant des concepts qui proviennent de la pratique et
qui y reviennent.

Dans le cadre de ce congrès, nous vous proposons d’approcher et de croiser ces auteurs, autour des quatre grands
thèmes suivants :

LES DIFFÉRENCES ET LES
CONVERGENCES
[entre ces penseurs de la différence et de la convergence] ;

LA PERSONNE, LA CRÉATION ET LE COLLECTIF
;

LA CROYANCE, LA PENSÉE ET LACTION ;

LE
DÉVELOPPEMENT
, LE
PROGRÈS
, LUTOPIE.

 

Il s’agit, pour chaque thème, d’éviter le point de vue biographique et de privilégier l’analyse, la comparaison et
la critique des concepts et des méthodes ; tout en conservant, pour chacun de ces thèmes, la réflexion sur les enjeux présents. Tous les éclairages sont nécessaires pour dépasser le seul
éclairage économique, et étant entendu, comme l’invoque Henri LEFEBVRE, que toutes les questions arrivent au politique.

Les propositions d’un maximum de 500 caractères, sont à envoyer, sous format .DOC, par courriel, avant le 15
décembre 2011, au Comité scientifique du colloque : Sebastien.Petrus@univ-rennes2.fr. Elles doivent précisément mentionner les appartenances
institutionnelles des auteurs. Les évaluations seront retournées pour le 30 janvier 2012.

Les articles complets devront être envoyés pour le 30 mai 2012. Ils comporteront environ 60 000
caractères
, espaces compris, au format Times new Roman 12, auxquels s’ajoutent les références, selon le format suivant :

Références aux auteurs cités dans le corps du texte : [entre crochets, Nom(s), initiale(s) prénom(s) année entre
parenthèses, virgule, pages p.], exemple : [Martin J.-M. (1959), p. 54-59].

Nom de l’auteur – virgule – initiale(s). du (des) prénom(s) point [année de publication entre crochets]
virgule,

1/ Ouvrage : Titre de l’ouvrage en italique, virgule, Éditeur, lieu d’édition, point.

Exemple : Dupont, J. [1999], Économie du travail, Éditions ouvrières, Paris.

2/ Article : Titre de l’article « entre guillemets », virgule, Titre de la revue ou de l’ouvrage en
italique,
virgule, série, numéro, tome, volume, mois, pages (un seul p.) point.

Exemple : Durand, F. *1999+, « Économie d’énergie », Revue verte, tome XXXIII, n° 3, mars, p. 3-33.

Au-delà de ce colloque, l’objectif de notre projet est de mettre en oeuvre un programme de recherche
interdisciplinaire et pluri-annuel, détaillé par ailleurs, dans le domaine des Sciences humaines et sociales, au carrefour, entre autres, de ces oeuvres et, sans doute, en élargissant à d’autres
auteurs.

Institut de Sciences Mathématiques et Économiques Appliquées 59 boulevard
Vincent Auriol – 75013 Paris Cedex 13 – www.ismea.org

APPEL : La banalisation de la sphère financière mutualiste

L’année 2012 a été proclamée « Année Internationale des Coopératives » par l’Assemblée Générale des Nations Unies.
Le « Groupe international de recherche en éthique financière et fiduciaire » (www.giref.uqam.ca) veut s’associer à cet événement en lançant aux chercheurs un appel à communications sur le thème des enjeux et défis qui attendent les institutions financières coopératives au cours des prochaines années.
Les meilleurs articles sélectionnés par un jury académique feront l’objet d’une publication dans « La Revue des Sciences de Gestion », 1re revue internationale francophone de management, dans son premier numéro 2012 (1er trimestre 2012).

Le thème est le suivant :La banalisation de la sphère financière mutualiste :  comment résister, affirmer ou actualiser ses valeurs
?”

La présentation de chaque article doit respecter les exigences formulées par la Revue des Sciences de Gestion).

Les articles doivent être déposés et transmis au plus tard le 20
septembre 2011
:

– à Michel Roux à l’adresse électronique suivante : mi.ch.ro@orange.fr

– ou à Andrée De Serres à l’adresse électronique suivante : deserres.andree@uqam.ca

Contexte

Les crises financière, économique et sociale que nous connaissons questionnent non seulement l’efficacité des pratiques de gestion
des organisations mais aussi leur légitimité. Au cours de ces cinquante dernières années, avec l’accélération des innovations de toutes natures, nous sommes passés d’une logique industrielle à
une logique marketing puis financière, là où nous pensions qu’une gestion rigoureuse conçue comme un gage de prospérité se trouve désormais dénoncée comme la source de maux profonds. Il est donc
opportun et urgent de d’interroger les notions de performances et de repenser les pratiques afin de redonner du sens à l’action. Pour notre sujet et la sphère coopérative financière, en particulier, la rupture décisive tient a la dématérialisation de l’argent, des opérations, et aux outils de la relation à distance que sont le téléphone d’abord, Internet et le portable ensuite.
La banque n’est plus, uniquement, dans l’agence, et l’agence n’est plus, seulement, la banque; nous sommes encore sous le coup de cette révolution, dont nous ne voyons sans doute que les premiers
aspects. Il est possible de tracer, à partir de ces évolutions, des lignes et des tendances, de faire apparaître des logiques, qui permettent d’expliquer ce qui se passe et de prévoir les grandes tendances à venir. L’évidence veut, en 2011, que de sérieuses incertitudes pèsent sur l’avenir de la banque de proximité et sur la sphère financière, en général.
D’abord parce que les contrastes entre régions et nations grandissent; ce n’est pas seulement que les Etats-Unis aient choisi majoritairement de financer leur économie par le marche financier,
alors que l’Europe continentale reste attachée au financement par intermédiation bancaire, c’est qu’au sein même de l’Europe, les situations divergent. Les perspectives de la mise en place d’un
modèle unique, l’horizon de la convergence des systèmes, les illusions paneuropéennes, s’éloignent rapidement. Ensuite, parce que la perspective du déclassement européen, agitée par certains
auteurs, a pris une crédibilité certaine depuis la crise économique. Elle pose à la banque de détail une question sans réponse. Alors qu’elle était fondée sur la hausse du niveau de vie, du pouvoir d’achat, de la capacité d’épargne et d’endettement de la population, que se passera‐t‐il pour elle si cette hausse devait durablement s’interrompre ?

Questions

La banque coopérative est-elle plus vulnérable ou plus résiliente que ses concurrentes a capital-actions face a ce nouveau contexte ? Quelles sont ses spécificités, ses forces et ses faiblesses ? Nous vous invitons à répondre à ces questions en soumettant un article dans le cadre de cet appel à communications. Plusieurs autres questions sous-jacentes sont aussi posées. Quelle est la place des coopératives dans le secteur bancaire et financier du 21° siècle? Quelles sont les évolutions marquantes? Comment se positionnent-elles en matière de gestion des risques? En quoi peuvent elles jouer un rôle de stabilisateur (d’amortisseurs) des risques? Quelle est aujourd’hui leur raison d’être? Quelles sont les raisons qui font qu’elles continuent de se développer, d’exister? Y a-t-il une limite de taille optimale au-delà de laquelle elles risquent de perdre leur raison d’être et leurs caractéristiques distinctives ? Les contraintes réglementaires ne sont-elles pas en train de gommer leurs différences? Quelle est la place de la culture dans leur gouvernance? Cette culture est-elle compatible avec les contraintes réglementaires? D’autre part, comment le mode coopératif s’est-il renouvelé ? S’est-il propage a d’autres secteurs que la banque de détail ? Si oui, comment se déploie-t-il ? Comment reconnaître dans ces nouveaux modèles les valeurs fondamentales de la gouvernance coopérative, plus particulièrement en ce qui a trait a la gouvernance démocratique qui reconnaît un vote par sociétaire ? Comment adapter le mode coopératif pour faciliter l’accès aux services bancaires, pour faire face par exemple aux mesures d’exclusion de plus en nombreuses, (facturations sanction, mesures d’exclusion du compte bancaire et autres interdits de compte), autant d’exemples qui illustre la grande difficulté de la sphère coopérative financière a traiter 3 des publics différents. La question se pose également pour l’assurance et pour les mutuelles d’assurance et de santé. Nous vous invitons a soumettre un article qui répondra a l’une ou plusieurs de ces questions.

Comité d’évaluation

– Andrée De Serres, ESG UQAM ;

– Mireille Jaeger, Université Nancy 2 ;

– Jean-Noël Ory, Centre Européen Universitaire, Nancy-Université ;

– Bernard de Montmorrillon, Université Paris Dauphine ;

– Michel Roux, Université Paris 13.

Calendrier

– Dépôts des articles : le 20 septembre 2011. Les articles doivent être transmis au plus tard le 20 septembre 2011 : a Michel Roux à
l’adresse électronique suivante : mi.ch.ro@orange.fr ou à Andrée De
Serres à l’adresse électronique suivante :deserres.andree@uqam.ca

Afin de préserver l’anonymat des auteurs, les articles devront être présentés pour les fins d’évaluation en suivant les instructions
contenues dans les instructions de LaRSG.

– Réponse du Comite de sélection sur les communications : le 30 septembre 2011.

– Réception des articles définitifs avant le 10 octobre 2011.

– Transmission a la Revue des Sciences de Gestion : 15 octobre 2011.

Instructions techniques aux auteurs

La présentation de l’article tiendra compte des exigences formulées par la Revue des Sciences de Gestion (voir fichier ci-attache : Instructions techniques aux auteurs et/ou consulter le site de la revue).