Archives de catégorie : La recherche et écoles

29es Journées d’Economie Monétaire et Bancaire

Nantes, Jeudi 28 et vendredi 29 juin 2012

Appel à communications

Les 29es journées d’économie monétaire et bancaire, organisées par le GDRE auront lieu à
l’Université de Nantes, les 28 et 29 Juin 2012. Elles porteront sur les
thèmes suivants :

1.      Politique monétaire

2.      Politique budgétaire et politique monétaire, financement des retraites

3.      Théorie monétaire ; demande de monnaie et prix

4.      Stabilité et risques bancaires, réglementation prudentielle

5.      Concurrence, fusions et coûts bancaires ; taux d’intérêts

6.      Gouvernance et financement des entreprises non financières

7.      Crédit, prix d´actifs et cycles économiques

8.      Systèmes financiers, micro finance, croissance et développement économique

9.      Taux de change et politique monétaire en économie ouverte

10.  Taux de change, échanges commerciaux et flux de capitaux

11.   Système monétaire international et crises financières

12.   Finance de marché, finance comportementale, gestion de portefeuille, marchés des assurances

13.   Histoire monétaire et financière

Des articles complets, rédigés en français ou en
anglais, accompagnés d’un résumé en première page, peuvent être soumis à partir du 15 décembre 2011 et avant le 25 février 2012 au soir sous la forme d’un téléchargement (format .pdf ou .doc :

Le co-auteur soumettant l’article cochera en ligne un seul thème pour son article parmi les 13 thèmes cités ci-dessus. Les autres formes de soumissions ne seront pas prises en compte.

Les décisions du comité scientifique coordonnées par Raphaëlle
Bellando 
et Jean-Bernard Chatelain (co-directeurs du GDRE) et Adrian Pop et Nicolas Rautureau  (responsables du comité local) seront données fin avril par courriel.

http://www.gdresymposium.eu

Appel à Comm. : Risques et formes de travail à travers les nouvelles technologies

nouvelles technologies, nouvelles formes de travail, nouveaux risque au travail. Perpectives comparatives et
europeennes

Risques et formes de travail à travers les nouvelles
technologies

IUT GACO

Licence professionnelle assistants gestionnaires de ressources
humaines

Licence professionnelle gestion touristique et
hôtelière

DUT GACO

Appel à Communication

Colloque du jeudi 1 décembre 2011

Internet au travail, e-mail,
caméras, GSM, GPS, géolocalisation, travail à distance, sites sociaux comme (Facebook, Twitter, Linkedin…), les technologies de communication ont profondément modifié le fonctionnement des entreprises et le monde du travail. Cela amène l’apparition de nouvelles formes de travail et aussi de nouvelles formes de relations de travail. Certaines peuvent présenter un intérêt pour le salarié par exemple plus grandes possibilités de télé travail ce qui peut être avantageux pour ce dernier. Cela ouvre aussi des possibilités élargies de délocalisation du lieu du travail, d’où l’intérêt d’une vision internationale de ces questions, et ouvre des possibilités de flexibilité comme le détachement, l’outsourcing ou les contrats multiples, il y a lieu aussi de s’interroger sur le rôle de l’employeur dans ce nouveau contexte.

On a vu aussi la multiplication des licenciements par sms ou l’utilisation par l’employeur de ce qu’il trouve sur les réseaux sociaux auxquels appartient le salarié pour justifier son licenciement ou prendre ses décisions en matière d’embauche.

Les nouvelles technologies et les nouveaux modes de fonctionnement qu’elles engendrent sont aussi de nature à aggraver des risques déjà connus et/ou à créer aussi de risques pour la santé physique et morale des salariés.

D’où l’importance d’un questionnement qui porte sur leurs effets sur le travail et la santé du travailleur ainsi que sur le devenir du le droit du travail dans un tel contexte et à chercher à appréhender quelles
peuvent être les limites du pouvoir de contrôle de l’employeur, les sanctions possibles et le droit du travailleur au respect de sa vie privée et sa santé.

Dans ce contexte, la jurisprudence était déjà intervenue plusieurs lois, conventions collectives et avis ont été adoptés pour régler leur usage, sur lesquelles il est utile de faire le point.

Les auteurs pourront essayer de rester le plus proche du vécu de l’entreprise, mais une vision plus lointaine plus prospective n’est pas interdite et même souhaitée.

Éléments non exhaustifs de problématique.

 

Plusieurs questions se posent :

1.      Finalités des nouvelles technologies

2.      Finalités des systèmes de production et de gestion utilisant les nouvelles des nouvelles technologies

3.      inconvénients et limites
tant pour l’employeur que pour les salariés des systèmes de
production et de gestion utilisant des nouvelles technologies

4.      rôle possible des syndicats et des institutions représentatives du
personnel

5.      décloisonnement vie privé vie publique par l’utilisation des réseaux sociaux

6.     changements dans le travail générés par
l’introduction
des nouvelles
technologies dans les procès de travail

7.      conséquences sur la santé physique et morale des salariés

8.      aspects internationaux

9.     Les autres champs d’interrogations sont possibles …

Toutes les disciplines du droit et des sciences humaines et
sociales, mais aussi des sciences « dures » sont potentiellement interpellées par ces problématiques.

Toutes les méthodologies sont recevables : analyses de textes, de
jurisprudence, enquêtes, études quantitatives, etc.

Les analyses comparées, les études de dispositifs étrangers
(particulièrement européens) seront particulièrement appréciées.

Les propositions de communication

Rédigées en français et accompagnée d’un bref résumé en anglais, elles ne devront pas dépasser une page (maximum 5000 signes), en fonte Times New Roman 12, et seront fournies sous forme de fichier numérique de traitement de texte courant (extension « rtf », « doc », «
odt »). Joindre un CV scientifique.

Date limite de réception : 30 octobre 2010.

Renseignements et Adresses
d’envoi:

Marc Richevaux :marc.richevaux@univ-littoral.fr ou marc_richevaux@yahoo.fr ou marc.richevaux@numericable.fr
ou +33 671834725

Adresse postale
: IUT GACO, Centre Universitaire Descartes, avenue Descartes, BP 99, 62968 Longuenesse Cedex

Secrétariat
: iutgaco@univ-littoral.fr et + 33 321388740

PUBLICATION

Les actes du colloque feront l’objet d’une publication : des instructions seront fournies ultérieurement à cette fin.

Modalités pratiques

Lieu : Centre Universitaire Descartes, avenue Descartes, 62219 LONGUENESSE (arrondissement
de Saint-Omer)

Date et horaire: jeudi 1 décembre 2009, 9h – 17h

COMITE SCIENTIFIQUE

Natalia AVILOVA, Professeur, Professeur Université technique d’État de Koursk (Russie)

Marina BADILEANU Académie d’économie et de
gestion Bucarest (Roumanie)

Irina Baïkova Professeur université de saint Petersburg (Russie)

Mohamed BELKADIRUniversité du Littoral Côte d’Opale (France)

Hédi BENRABAH,Maître de conférences associé en Ressources Humaines.Université du Littoral Côte d’Opale (France)

Séverine BOUTEILLERUniversité du Littoral Côte d’Opale (France)

Jean-Bernard BOYABE, maître de conférences en droit, Université du
Littoral Côte d’Opale (France)

Valerius CIUCA, professeur de droit, Université « Alexandru Ioan Cuza » de Lasi (Roumanie), ancien juge au TPI-CJCE

Daniela Tatiana CORODEANU-AGHEORGHIESEL
Professeur associée université Alexandru Ion Cuza Iasi (Roumanie)

Philippe ENCLOS, Maître de conférences en droit, Université Lille 2 Droit et Santé (France)

Andreî GOLOBODORENKO, Vice-Recteur, Université de Rostov sur le Don (Russie)

Eric HAEUWresponsable de la licence gestion hôtelière et touristique Université du Littoral Côte d’Opale (France)

Alexandru JIVAN, professeur de droit, Université de l’Ouest de Timisoara (Roumanie)

Patrick LEROY Maître de conférences HDR
Université de Bretagne occidentale Brest (France)

Brigitte LESTRADEprofesseur de civilisation allemande contemporaine, spécialiste des mutations du travail en Allemagne Université Cergy-Pontoise (France)

Evguenia MADELEINEUniversité du Littoral Côte d’Opale (France)

Brice-Arsène MANKOU,Université du Littoral Côte d’Opale (France)

Claudia MILEA université Paul Sabatier
Toulouse (France)

Clotaire MOULOUNGHI Docteur en Droit Maître de
conférencesUniversité du Littoral Côte d’Opale (France)

Cyril NYIECKDirecteur Exécutif de l’Institut pour la Gouvernance en Afrique Centrale (IGAC(Cameroun)

Mireille POIRIER, Maître de conférences HDR en droit, Vice-présidente Université Montesquieu Bordeaux IV (France)

Anca Alexandra PURCAREA, PhD. Professeur,
Université Polytechnique de Bucarest, (Roumanie)

Marc RICHEVAUX, Maître de conférences en droit, responsable de la licence
professionnelle gestion des ressources humaines Université du Littoral Côte d’Opale (France)

Bruno ROUSSELChargé de Mission aux actions numériques & Responsable de l’Insertion
Professionnelle des Doctorants.Université Paul Sabatier Toulouse (France)

Constantin SALAVASTRU, Université de Iasi, (Roumanie)

Doina Corina SERBAN, PhD.
Maître de conférences Université Polytechnique de Bucarest,
(Roumanie)

Dan TOP Vice-doyen Faculté de droit Université
Targoviste (Roumanie)

Rodrigue Tremblay, Ph.D, Professeur émérite
Ancien ministre Département de sciences économiques Université de Montréal Montréal, ( Québec)

Crina VERGA université Mihaïl Kogalniceanu
Iasi (Roumanie)

Elena VIKTOROVA, Professeur, Université de l’économie et des services
Saint-Pétersbourg (Russie)

Jeanne-Marie WAILLY, docteur en droit, chef du département GACO Université
du Littoral Côte d’Opale (France).

comité d’organisation

Hédi BENRABAH,Maître de conférences associé en Ressources Humaines.Université du Littoral Côte d’Opale (France)

Mohamed BELKADIRUniversité du Littoral Côte d’Opale (France)

Séverine BOUTEILLERUniversité du Littoral Côte d’Opale (France)

Eric HAEUWresponsable de la licence gestion hôtelière et touristique Université du Littoral Côte
d’Opale (France)

Stany LARDEUR Université du littoral côte d’opale (France)

Brice-Arsène MANKOU,Université du Littoral Côte d’Opale (France)

Clotaire MOULOUNGHI Docteur en Droit Maître de
conférencesUniversité du Littoral Côte d’Opale (France)

Marc RICHEVAUX, Maître de conférences en droit, responsable de la licence
professionnelle gestion des ressources humaines Université du Littoral Côte d’Opale (France)

Françoise VANDENBERGHE,Université du Littoral Côte d’Opale (France)

Jeanne-Marie WAILLY, docteur en droit, Université du Littoral Côte d’Opale (France).

APPEL de La revue Travail et Emploi sur le thème Diriger une PME

 

 

La revue Travail et Emploi lance un appel à contributions pour un numéro thématique sur “Diriger
une PME”, centré sur l’activité et les propriétés sociales des dirigeants, coordonné par Eric Pezet. Les propositions provenant de sociologie et d’histoire sont les bienvenues.

Les intentions d’article (5 à 7.000 signes environ) sont à envoyer pour le 20 juin 2011 au plus
tard, les auteurs sélectionnés devront ensuite renvoyer le projet d’article complet pour le 1er décembre 2011.

Merci de diffuser cet appel aux personnes susceptibles d’être intéressées,

Bien cordialement.

 

Odile Join-Lambert

Institut de Recherches Économiques et Sociales (IRES)

16 bd du mont d’Est

93192 Noisy-le-Grand

 

PS : la revue Travail et Emploi va être très bientôt accessible sur Cairn. Ses archives de 1979 à
2004 sont consultables grâce à un moteur de recherche permettant des recherches par mots-clés et/ou auteurs :


http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/publications/Revue_Travail-et-Emploi/index.htm

6e séminaire d’études du groupe GEM – La question du langage et de la communication dans le management international

28 – 30 mars 2012

ESSEC Business School

Avenue Bernard Hirsch B.P. 50105
95021 Cergy-Pontoise Cedex
France

Tel : +33 (0)1 34 43 30 00 end_of_the_skype_highlighting

La question du langage et de la communication dans le management international : un défi pour les hommes et les organisations

Appel à communication

Dans un éditorial récent de la revue académique, Management & avenir (Revue Management & Avenir, n° 31, Janvier 2010), Luc Boyer
évoquait les deux dimensions du management. La dimension scientifique, celle des sciences de l’organisation, et la dimension humaine dans l’aspect gestion des Hommes, défini par Peter Drucker
comme la « transformation en performance de l’effort humain ». Si l’entreprise et les institutions éducatives ont mis en valeur le premier aspect, il y a aujourd’hui une prise de conscience accrue du facteur humain au sein des organisations, à savoir la gestion des Hommes, de leurs talents, de leur épanouissement personnel et de leur efficacité professionnelle, à l’heure où la carrière joue plus que jamais un rôle prépondérant dans l’équilibre de l’individu.

Au sein même des écoles de management, où l’épanouissement personnel des étudiants est une composante importante du projet éducatif, la question de la revalorisation des Sciences humaines et sociales dans la formation au management surgit à la faveur des crises des modèles économiques et éthiques dominants. Replacer l’Homme au cœur du projet éducatif en intégrant l’apport scientifique des SHS constitue donc un défi pour les organismes de formation dont nous faisons partie.

Dans le mouvement caractérisé par les approches subjectivistes de la recherche en management, la langue, outil de représentation du monde et de communication, est au cœur des démarches qui placent l’Homme au centre des travaux de recherche. Tout un courant de recherche autour de l’individu et du rôle du langage dans l’organisation s’est développé, notamment en France (Chanlat, 1990; Girin, 1995; 2001; Usunier, 1987; 1990). La compréhension du facteur humain dans les organisations appelle la fertilisation croisée des disciplines des sciences humaines, telles que la linguistique, la psychologie cognitive et sociale, la sociologie des organisations, la psychanalyse, l’anthropologie et l’ethnologie pour tenter de comprendre (dans les deux sens d’intelligibilité et d’inclusion) l’Homme au sein de l’organisation.

Les travaux menés dans les milieux professionnels sur des problématiques où il est question de langage et de langue, montrent la complexité des mutations qui caractérisent les environnements professionnels souvent devenus multilingues et multiculturels et ils soulèvent bien d’autres questions telles que le management à distance, les technologies de l’information et de la communication, la ou les langue(s) d’entreprise, le management de la connaissance et son transfert entre le siège de l’entreprise et les filiales, la communication interculturelle dans l’entreprise mondialisée. Les programmes innovants dans la formation au management soulignent l’importance des approches multidisciplinaires.

Comme le relevaient déjà Mintzberg en 1973, ou encore Rebecca Marschan Piekkari et al. dans un article de 1997 au titreéloquent (Marschan, R., Welch, D., & Welch, L. (1997).Language: « The forgotten factor in multinational management ». European Management Journal, 15(5), 591-598.), ces activités langagières, qui sont au cœur des pratiques quotidiennes des managers, sont peu ou pas convoqués dans les sciences de gestion. Une étude, menée sur 1128 articles publiés entre 2002 et 2010 dans des revues classées dans la liste de référence de la section 37 du CNRS « Economie et gestion » (soit 71% de taux de couverture), montre que les questions inhérentes aux langues sont peu abordées et semble ainsi confirmer que depuis 1997 les académiques des Ecoles de Management françaises négligent cet aspect du management. Les langues seraient-elles ainsi toujours le “forgotten factor in multinational management” ?

Ce colloque s’adresse donc à toutes les disciplines du management ayant une sensibilité particulière pour les questions d’interaction langagière et culturelle au sein des entreprises multinationales /multiculturelles et a pour but de faire le point sur les avancées de la recherche en ce domaine, en appelant au dialogue interdisciplinaire
et à l’échange entre chercheurs, praticiens de la formation et acteurs de l’entreprise. Les communications théoriques et/ou pratiques les plus variées, couvrant les questions suivantes seront
particulièrement appréciées :

Quelle contribution de la linguistique appliquée à la recherche en management?

Quelle contribution de la recherche en communication interculturelle pour améliorer la communication interne au sein des entreprises
multinationales ?

Que nous apprend l’ethnologie sur le dialogue entre les cultures nationales des maisons mères et des filiales des grands groupes?

Quels sont les derniers enseignements de la psychologie sociale et de la sociologie des organisations pour la compréhension des organisations
multiculturelles?

Comment comprendre et réguler la part de l’affectivité et de l’émotionnel dans les interactions au sein d’un groupe multiculturel?

Quels sont les apports de l’analyse du discours pour comprendre la culture des organisations?

Quel est l’impact des NTIC sur la communication virtuelle des équipes multilingues et multiculturelles?

Quelle contribution de la traductologie et de l’interprétariat dans la compréhension des problèmes de communication en milieu
interculturel?

Comment relever le défi linguistique et sémantique posé aux organisations qui consiste à diffuser des concepts n’existant pas dans une culture
donnée? Par exemple, comment faire passer des éléments de l’identité d’entreprise tels que le développement durable et la RSE dans des filiales internationales aux cultures très éloignées?

Quelle orientation donner aux objectifs et aux contenus pédagogiques dans un enseignement rénové des langues et des cultures au sein des Ecoles
de management?

De l’innovation en matière de formation aux contextes interculturels de l’entreprise mondialisée.

Quelle place pour les études de rhétorique, les théories de la narration dans la recherche et la formation au management?

Quel est le rôle du récit dans les organisations ? Dans quelle mesure le rôle du langage en tant que dimension ontologique de l’individu peut-il
remettre en question l’approche socio-constructiviste.

Comment les grands groupes définissent-ils leur choix entre une communication unilingue ou multilingue?

Dans quelle mesure les grands groupes gèrent-ils le facteur langue dans l’entreprise?

Comment s’articule la communication formelle et informelle dans l’entreprise multinationale?

Comment la question des langues et du langage est-elle traitée dans la littérature managériale française et internationale? Quel est l’état de l’art depuis la fin des années 90?

Les propositions de communication sous forme d’abstract en français ou en anglais (maximum 500 mots), accompagné de mots-clé, devront parvenir à Philippe Lecomte (p.lecomte@esc-toulouse.fr) au format Word avant le 15 octobre 2011.

Les communications définitives en français ou en anglais peuvent être de deux formes :

Communication longue (6000-8000 mots)

Communication courte, étude de cas, revue de littérature (4000-6000 mots)

Les premières versions des communications devront être envoyées à Philippe Lecomte (p.lecomte@esc-toulouse.fr ) au format Word avant le 10 janvier 2012, les communications définitives pour le 15 février
2012 en vue de la publication des Actes de ce colloque.

Les meilleurs articles seront publiés dans un cahier spécial de la revue Management & Avenir.

Guide de mise en page

Mise en page des communications :
Format du traitement de texte Word pour PC
Titre : Times New Roman, 18, majuscules, gras
Nom de l’auteur: Times New Roman, 14, minuscules, gras
Nom de l’institution de rattachement: Times New Roman, 10, majuscule, gras
Corps de texte: Times New Roman, 12

Guide de mise en page pour publication dans Management & Avenir :

Planning

Abstract (500 words) : 15 Octobre 2011

Acceptation notifiée aux auteurs: 15 Novembre 2011

Première version de l’article: 10 janvier 2012

Rapport du comité de lecture: 25 Janvier 2012

Communication définitive: 15 février 2012

Comité scientifique

Annick Bourguignon ESSEC Business School

David Boje NMSU New Mexico

Denis Lemaître ENSTA

Eric Cornuel EFMD

Hanne Norreklit Aarhus School of Business

Jacques Igalens Toulouse Business School

Jean-François Chanlat Université Paris Dauphine

Luc Boyer Université Paris Dauphine; Management & Avenir

Ludovic Bot ENSTA

Mette Zolner Kopenhagen Business School

Olivier Fourcadet ESSEC Business School

Pierre-Louis Dubois FNEGE

Stefanie Stadler Nanyang Technological University, Singapore

Susan Schneider Université de Genève

Thierry Sibieude ESSEC Business School

Yvon Pesqueux CNAM Paris

APPEL : Le commerce du luxe – Le luxe du commerce

APPEL À CONTRIBUTION

 

Jeudi 22 et vendredi 23 novembre 2012 – Lyon, musée Gadagne

Le commerce du luxe – Le luxe du commerce. Production, exposition et circulation des objets précieux du Moyen Âge à
nos jours

 

Appel à communication pour le colloque international pluridisciplinaire « Le commerce du luxe – Le luxe du
commerce.

Production, exposition et circulation des objets précieux du Moyen Âge à nos jours » organisé par le LARHRA (UMR
5190 Laboratoire de Recherche Historique Rhône-Alpes), qui se tiendra au musée Gadagne, 1 place du petit Collège, à Lyon, les jeudi 22 et vendredi 23 novembre 2012.

 

 

ARGUMENTAIRE

Comment se produisent, s’exposent, se diffusent et se consomment les produits du luxe ? Le but de ce colloque est de
revenir sur la question de la spécialisation progressive d’un commerce voué aux objets précieux qui concourent à l’embellissement de la personne ou du cadre de vie. Il entend être une
manifestation largement ouverte d’un point de vue chronologique, spatial et disciplinaire, faisant appel à des spécialistes d’horizons différents : histoire, histoire de l’art, économie,
littérature, sociologie, etc.

Cette approche interdisciplinaire du marché du luxe sur la longue durée, du Moyen Age à nos jours, permettra de
confronter les expériences et de mettre en relief les permanences et les mutations. Le luxe a souvent été cantonné aux productions des beaux-arts ; il s’agira ici de montrer la richesse et la
diversité de ce qui était (et reste) compris sous cette appellation et d’observer comment se sont progressivement mis en place des marchés spécialisés. Ce colloque développera deux approches
spécifiques, d’une part les acteurs et les marchandises, d’autre part les lieux de vente et la puissance matérielle et symbolique attachée à ce secteur particulier de l’économie. Le luxe ne
ressortit pas, en effet, seulement aux logiques et aux formes de l’économie matérielle ; il est également une valeur polémique, commerce symbolique, argument politique, controverse religieuse,
etc., dont les termes croisent, anticipent, s’affranchissent ou prolongent les circuits de sa consommation.

Les communications, qui pourront étudier aussi bien les exemples français qu’étrangers, devront s’inscrire dans les
axes développés ci-dessous :

 

I/ Marché du luxe, marchands et marchandises

– Les acteurs (biographies, carrières) ; les intermédiaires, du producteur au consommateur (marchands, agents…) ; la
professionnalisation du secteur, de l’atelier au commerce spécialisé (galeristes, boutiques et maisons de luxe…).

– L’organisation du commerce du luxe (modes administratifs, professionnels, réglementations et contraintes, etc.)
;

spécialisation progressive et séparation des corps de métier (producteurs/marchands) ; de l’artisanat à l’industrie
du luxe : de la boutique à la marque, de la maison à la holding, la formation de groupes de luxe mondiaux (LVMH, PPR, Richemont, Prada…), aux techniques industrielles (publicité de masse, etc.) ;
la mondialisation du marché du luxe.

– Les matières premières et la production ; importation et transformation ; savoir-faire local ou mondialisation ;
les techniques et procédés industriels ; les formes de sous-traitance et de délocalisation ; les ouvriers, techniciens, industriels, inventeurs du luxe et du demi-luxe.

– La démocratisation du luxe et les objets (simili, faux, plaqué, contrefaçon, seconde main, faux luxe et demi-luxe)
; les traficants (faussaires, truands, revendeurs, marchands…).

– Les catégories du luxe : la notion de produit de luxe dans la longue durée, relativité et fluctuations de la
définition, les niveaux de luxe (accessible, intermédiaire, inabordable…) ; études de cas (le bijou, la tapisserie, le vêtement, l’horlogerie, la maroquinerie, l’automobile, le vin, voire des
services comme le tourisme ou l’immobilier).

– Le commerce de l’art (peinture, sculpture, gravure) et l’art commercial (demi-luxe) ; la mise en place du partage
entre luxe et
beaux-arts ; le chemin d’un objet d’art, de la sortie de l’atelier au musée.

 

II/ Inscription urbaine et architecturale du marché du luxe

– Exposition, mise en scène, promotion : marché du luxe et innovation architecturale.

– L’inscription du commerce de luxe dans l’espace urbain (rues, quartiers…) ; les lieux de vente ou de conservation
et les modes d’emprise urbaine et sociale (boutiques, ateliers, foires, ponts, marchés, hôtels des ventes, galeries, biennales, marchands de couleurs, cercles mondains, associations d’artistes,
show rooms, mégastores…) ; les interactions entre contraintes professionnelles, techniques et socio-psychologiques (la griffe, l’image d’un quartier).

– Médiatisation et stratégies différenciées de visibilité (enseignes, « triangle d’or », publicité, journaux
spécialisés, revues financées par des galeristes, Internet…).

 

III/ Circulations et usages du luxe

– Les réseaux socio-professionnels et géographiques du marché du luxe, des lieux de production aux lieux de
consommation ; relations verticales (négociants, producteurs, grossistes, industriels, financiers, détaillants…) et horizontales (réseaux de collaboration professionnelle, du local à
l’international), etc.

– Jeu d’échelles et dynamiques territoriales du marché du luxe : quelles circulations pour quels produits (aires de
chalandise) ? Les limites de la ville, de la région, du pays ; produits de luxe, dynamiques de proximité et mondialisation ; etc.

– Perpétuation, démocratisation, dévalorisation, réinvention du luxe ; quelles sources pour estimer l’élargissement
du marché, les variations de la notion de luxe et la circulation des produits dans la société ? (le luxe à la campagne, le luxe populaire…) ; les mécanismes de diffusion du luxe et les rapports
imitation/invention/ distinction ; les relations entre l’évolution du luxe et celle de la société.

 

IV/ L’économie intellectuelle du luxe

– Conceptions et usages socio-politiques du luxe : de la sphère privée à la sphère publique, luxe visible et luxe
intime (maisons princière, bourgeoise), la parade sociale (carrosses, blasons, vêtements…).

– Le luxe dans tous ses états : munificence, prodigalité, gloire et préciosité etc.

– Le luxe des autres : sa place dans les récits de voyage, les utopies.

– Le luxe et ses opposants : réception et critique du développement du commerce du luxe ; le luxe, nécessité
culturelle ou gangrène sociale ? Le luxe est-il une valeur ou un stigmate ? La querelle du luxe au siècle des Lumières et ses prolongements au XIXe siècle.

 

Modalités pratiques

– Les propositions de communication sont à envoyer à Alain Bonnet, maître de conférences habilité d’histoire de
l’art à l’université de Nantes et à Natacha Coquery, professeur d’histoire à l’université de Lyon 2.

alainjeanclaudebonnet@gmail.com

natacha.coquery@wanadoo.fr

 

– Le délai pour l’envoi des propositions de communication est fixé au 1er janvier 2012.

 

– Comité d’organisation : LARHRA

 

– Comité scientifique :

Marco BELFANTI, université de Brescia

Bruno BLONDÉ, université d’Anvers

Alain BONNET, université de Nantes

Stéphane CASTELLUCCIO, université de Paris IV

Adeline COLLANGE, musée des Beaux-Arts, Nantes

Natacha COQUERY, université de Lyon 2

Damien COULON, université de Strasbourg

Jean-Claude DAUMAS, Institut universitaire de France, université de

Besançon

Pascal JULIEN, université de Toulouse

Yannick LEMARCHAND, université de Nantes

Yann LIGNEREUX, université de Nantes

Lesley MILLER, Victoria and Albert Museum

France NERLICH, université de Tours

Maria-Anne PRIVAT-SAVIGNY, musées Gadagne, Lyon

Pierre VERNUS, université de Lyon 2

Patrick
VERLEY, ex-université de Genève

Colloque : Climat, Savoirs et Politique XVIIIe-XXe siècles

Colloque international
organisé par
Jean-Baptiste FRESSOZ (Imperial
College)
Fabien LOCHER (CNRS-EHESS)
Julien VINCENT (Université de Franche-Comté)

ANR-Profutur, CRH (EHESS/CNRS), IHMC (ENS/CNRS)

Ecole Normale Supérieure (Salle Dussane)
45, rue d’Ulm 75007 Paris

Ce colloque international a pour projet d’étudier les  liens entre Climat, Savoirs et Politique qui
marquent le contemporain dans une perspective historique large, portant sur les XVIIIe, XIXe et XXe siècles.
Une première série de questions concerne le caractère transversal de la notion de climat. Commune à plusieurs disciplines et formes de connaissance, relevant à la fois des sciences de l’homme et
des sciences de la nature, l’idée de climat contribuait à dessiner un cadre spatial et temporel commun à différents types de savoirs. À quelles époques et dans quels contextes ce caractère
transversal a-t-il constitué un enjeu important ? Certains types de savoirs, comme la topographie médicale, ont-ils particulièrement oeuvré à la transversalité de la notion ? Inversement, la
recherche d’une science séparée de l’atmosphère et du « temps qu’il fait » a-t-elle contribué à le remettre en cause ? D’autres approches, comme les sciences sociales ou l’économie politique, se
sont-elles constituées en opposition à un usage large de la notion de climat ?
Une deuxième série de questions concerne plus directement l’importance de la notion de climat dans le gouvernement des hommes et des choses. En quoi le climat a-t-il été, depuis l’époque moderne,
une catégorie de la réflexion politique et des formes concrètes du gouvernement ? Comment cette caractérisation justifiait-elle des manières spécifiques de gérer les hommes et les environnements
dans les espaces métropolitains et coloniaux ? Plusieurs travaux ont montré l’importance de la question climatique dans la gestion des ressources forestières. Mais trouvait-elle d’autres objets
d’application, notamment dans ce champ du gouvernement des ressources ?
Un troisième volet de la réflexion concerne le rôle du climat pour situer l’action humaine dans le temps. Catégorie de compréhension du présent et du passé, la notion de climat permettait-elle
d’anticiper et de façonner le futur ? Quels étaient les savoirs administratifs et pratiques mis en ¦uvre pour anticiper les bénéfices ou les difficultés que poserait l’évolution des rapports
entre l’homme et le climat ? Quelle place cette notion a-t-elle occupée dans la réflexivité environnementale des sociétés du passé ? Comment ont été pensées la possibilité d’une action de l’homme
sur le climat et ses conséquences en retour sur les groupes humains, les environnements, voire la planète toute entière ?
Autant de questions fondamentales que ce colloque ambitionne de travailler, dans une approche à l’intersection de l’histoire politique, de l’histoire environnementale et des science
studies
.


Contact : climateconferenceparis@gmail.com

Vendredi 16 septembre 2011

10h-10h20 : Introduction par les organisateurs

« Climat, philosophie politique et déterminisme », 10h20-12h30
Denis de CASABIANCA (Marseille)
De l’esprit hippocratique à l’esprit des lois : la place du climat dans la pensée du politique au XVIIIe siècle, le cas de Montesquieu
Jean-Patrice COURTOIS (Université Paris 7-Denis
Diderot)
La disparition de la « théorie des climats » aux XIXe et XXe siècles
James Rodger FLEMING (Colby College)
Molecular Reductionism and Climatic Determinism, Then and Now: Ellsworth Huntington’s Biocosmics of Ozone

Pause déjeuner

« Savoirs et politiques du changement climatique au XIXe siècle », 13h30-15h
Jean-Baptiste FRESSOZ (Imperial College)
Du cosmos à l’économie politique : débats et enquêtes sur les causes du changement climatique (France, Suisse et Grande-Bretagne 1800-1825)
Fabien LOCHER (CNRS-EHESS)
Régulation environnementale et gouvernement de l’opinion : une histoire politique de la climatologie historique (1820-1850)

« La fabrique des climats », 15h30-17h
Vladimir JANKOVIC (Manchester University)
The Other Climate : Indoors and Small-scale Atmospheres ca. 1800
Miruna ACHIM (Universidad Autónoma de México)
Hippocratism and urban reform: Mexico City and Lima, late 18th century

17h-18h : discussion générale
Discutante : Amy DAHAN (CNRS-EHESS)

Samedi 17 septembre

« Climat, travail et colonisation »,
10h20-12h30
Jean-Yves PUYO (Université de Pau et des pays de l’Adour)
Milieu et acclimatement : quels colons pour la Guyane française ? (1817-1835)
Julien VINCENT (Université de Franche-Comté)
Savoirs climatiques, travail et libéralisme : la redéfinition du « climat du travail » dans le monde britannique, XVIIIe-XIXe siècles
Michael A. OSBORNE (Oregon State University)
& Richard S. FOGARTY (University at Albany, State University of New York)
Medical Modernity, Tropical Medicine, and the Persistence of Climatic Thinking in France, 1890-1939
Discutant : Jean-Paul ZUNIGA (EHESS)

Pause déjeuner

« Aléas climatiques et Impérialisme », 13h30-15h
Michitake ASO (University of Wisconsin-Madison)
“Weathering the crisis” : Climate science, government, and social vulnerability in northern Vietnam
Anamaria LAMMEL (Université de Paris 8-Saint-Denis) et Esther KATZ (IRD)
Climat, savoirs et pouvoir chez les Indiens du Mexique

« Climat, gouvernement et territoire », 15h30-17h
Alex CITTADELLA (Università degli studi di Udine)
Climat et météorologie: l’affirmation d’un savoir moderne entre notion scientifique et économie politique. Le cas du Frioul au XIXe siècle
Marina LOSKUTOVA (Académie des sciences de
Russie)
Climate, government and local society in the Russian empire, 1830s-1890s.

17h-17h30 : Discussion générale

 

Appel à contributions : L’absence de contrôle démocratique de la finance dans le monde anglophone

Message de Nicholas Sowels


Avec des collègues anglicistes à l’université Paris 3, j’organise un colloque en avril 2012 sur comment les
finances ont échappé au contrôle démocratique (dans le monde anglophone). Je vous prie de trouver ci-joint l’appel à communication dans le cas où certains entre vous souhaitent communiquer à ce
colloque.

L’absence de contrôle démocratique de la finance dans le monde anglophone : une analyse de la crise actuelle dans
une perspective historique

13-14 avril 2012

La crise financière a vu les pouvoirs publics intervenir massivement dans les économies nationales. Leurs actions
ont pris des formes varies : injection de liquidités dans les marchés financiers, recapitalisation des banques et même parfois la nationalisation de fait d’institutions en faillite.

Pourtant, malgré cette intervention importante des gouvernements dans le domaine de la finance privée, qui a pour
l’instant prévenu l’effondrement du système bancaire international, les institutions financières privées sont restées étonnamment libres de poursuivre leurs affaires comme si de rien n’était. Les
appels nombreux à une nouvelle régulation de la finance n’ont pas été suivis par les mesures fondamentales qui pourraient mettre fin aux pratiques financières à risque qui ont mené à la crise. De
fait, une fois sauvés lors du premier épisode de la crise financière et économique actuelle, les banques et marchés de capitaux ont conservé leur capacité à s’imposer aux autorités publiques qui
étaient venues à leur secours, voire à exercer un chantage à leur égard.

L’objectif de cette conférence est d’étudier la façon dont les banques et le secteur financier des pays
anglophones (qui comprennent deux des plus importants centres financiers du monde) ont pu échapper au contrôle des gouvernements et par extension au contrôle démocratique. Comment la finance
a-t-elle échappé à l’intervention après avoir été si dépendante des gouvernements pour assurer sa survie ?

Les réponses à cette question ne se trouvent pas seulement dans le traitement immédiat de la crise. Elles doivent
assurément être recherchées dans la montée du néo-libéralisme dans le secteur financier mondial depuis la disparition du système de Bretton Woods au début des années 1970. Pendant plus d’une
génération, la dérégulation des marchés, financiers en particulier, a été au coeur des décisions économiques dans le monde anglophone et au-delà. Plus généralement, la liberté économique et
l’indépendance vis-à-vis des gouvernements ont caractérisé la finance au Royaume-Uni et aux Etats-Unis depuis la révolution industrielle. On peut affirmer que la démocratie dans ces pays n’a
jamais vraiment contrôlé le capital.

Dans cette conférence, on tentera donc d’analyser l’échec de la démocratie à contrôler la finance dans une
perspective historique et d’identifier les différences et les similarités qui existent dans la relation finance/gouvernement dans le monde anglophone, sachant que l’impact de la crise actuelle
n’a pas été le même dans ces différents pays. La crise a été catastrophique en Irlande et a gravement compromis les perspectives économiques des Etats-Unis et du Royaume- Uni. A l’inverse son
impact a été moins marqué en Australie, au Canada et en Nouvelle-Zélande, grâce à des pratiques bancaires plus prudentielles avant la crise.

Les propositions de communications (200-250 mots) et un court CV (5-7 lignes) sont à envoyer avant le 15 décembre
2011 à Nicholas Sowels (nicholas.sowels@univ-paris1.fr.

L’absence de contrôle démocratique de la finance dans le monde anglophone

COLLOQUE INTERNATIONAL ORGANISE PAR LE CREC/CERVEPAS/CREW (EA 4399) SORBONNE NOUVELLE UNIVERSITÉ PARIS III – UFR DU MONDE ANGLOPHONE

APPEL A CONTRIBUTIONS

L’absence de contrôle démocratique de la finance dans le monde anglophone : une analyse de la crise actuelle dans une perspective historique

13-14 avril 2012

La crise financière a vu les pouvoirs publics intervenir massivement dans les économies nationales. Leurs actions ont pris des formes varies : injection de
liquidités dans les marchés financiers, recapitalisation des banques et même parfois la nationalisation de fait d’institutions en faillite. Pourtant, malgré cette intervention importante des
gouvernements dans le domaine de la finance privée, qui a pour l’instant prévenu l’effondrement du système bancaire international, les institutions financières privées sont restées étonnamment
libres de poursuivre leurs affaires comme si de rien n’était. Les appels nombreux à une nouvelle régulation de la finance n’ont pas été suivis par les mesures fondamentales qui pourraient mettre
fin aux pratiques financières à risque qui ont mené à la crise. De fait, une fois sauvés lors du premier épisode de la crise financière et économique actuelle, les banques et marchés de capitaux
ont conservé leur capacité à s’imposer aux autorités publiques qui étaient venues à leur secours, voire à exercer un chantage à leur égard. L’objectif de cette conférence est d’étudier la façon
dont les banques et le secteur financier des pays anglophones (qui comprennent deux des plus importants centres financiers du monde) ont pu échapper au contrôle des gouvernements et par extension
au contrôle démocratique. Comment la finance a-t-elle échappé à l’intervention après avoir été si dépendante des gouvernements pour assurer sa survie ? Les réponses à cette question ne se
trouvent pas seulement dans le traitement immédiat de la crise. Elles doivent assurément être recherchées dans la montée du néo-libéralisme dans le secteur financier mondial depuis la disparition
du système de Bretton Woods au début des années 1970. Pendant plus d’une génération, la dérégulation des marchés, financiers en particulier, a été au coeur des décisions économiques dans le monde
anglophone et au-delà. Plus généralement, la liberté économique et l’indépendance vis-à-vis des gouvernements ont caractérisé la finance au Royaume-Uni et aux Etats- Unis depuis la révolution
industrielle. On peut affirmer que la démocratie dans ces pays n’a jamais vraiment contrôlé le capital. Dans cette conférence, on tentera donc d’analyser l’échec de la démocratie à contrôler la
finance dans une perspective historique et d’identifier les différences et les similarités qui existent dans la relation finance/gouvernement dans le monde anglophone, sachant que l’impact de la
crise actuelle n’a pas été le même dans ces différents pays. La crise a été catastrophique en Irlande et a gravement compromis les perspectives économiques des Etats-Unis et du Royaume- Uni. A
l’inverse son impact a été moins marqué en Australie, au Canada et en Nouvelle-Zélande, grâce à des pratiques bancaires plus prudentielles avant la crise.

Les propositions de communications (200-250 mots) et un court CV (5-7 lignes) sont à envoyer avant le 15 décembre 2011 à Nicholas
Sowels (nicholas.sowels@univ-paris1.fr).

Première Rencontre Internationale Méditerranéenne

Appel à communication

Première Rencontre Internationale

Méditerranéenne : Nouveaux enjeux, nouvelles perspectives économiques et sociales des
pays

de la rive sud de la Méditerranée

29, 30 Septembre et 1er Octobre 2011 à Hammamet, Tunisie

www.rencontremed.com

 

Le laboratoire d’Economie et Finance Appliquée de l’IHEC Carthage (LEFA), le Centre d’Etudes en
Macroéconomie et Finance Internationale CEMAFI International et l’Université Centrale de Tunis (Ecole Centrale de Droit et Gestion) organisent la première Rencontre Internationale
Méditerranéenne: Nouveaux enjeux, nouvelles perspectives économiques et sociales pour les pays de la rive sud de la Méditerranée, les 29, 30 Septembre et 1er Octobre 2011 à Hammamet.

Ce colloque vise, d’une part, la formation théorique et méthodologique en sciences économiques et
sociales des jeunes chercheurs, d’autre part, la constitution d’un espace de rencontre scientifique, de rapprochements et d’échanges entre chercheurs des deux rives de la Méditerranée.

Le thème du colloque portera sur les enjeux, les perspectives économiques et sociales pour les pays du Sud de la Méditerranée dans le
contexte actuel des mouvements de révolte populaire et sociale. L’aspiration démocratique et la revendication de dignité des peuples du monde arabe ont été au cœur des révoltes ouvertes par
l’insurrection tunisienne. Or il est clair que la crise économique a été le facteur-clé du mouvement de révolte et de révolution dans le monde arabe. L’effondrement brutal des économies arabes
non rentières (puis, de celles rentières) dû à la crise, a-t-il brisé le pacte social tacite qui caractérisait la Tunisie, l’Egypte et la Libye, et qui est encore le modèle dominant d’autres
pays (Jordanie, Maroc, Syrie, pays du Golfe, etc.) ?

En Tunisie, comme dans la très grande majorité des pays, les causes fondamentales de ces changements
sont dues à l’impact de la crise économique mondiale et elles se manifestent, clairement, à travers un régime de croissance faible et instable, au détriment d’une répartition équitable des
revenus.

D’un autre côté, la progression de la pauvreté, une explosion sans précédent du nombre des chômeurs
et des personnes dépourvues de droits, la marginalisation et l’exclusion, ainsi que les disparités territoriales inter- et intra- régionales ont été les principaux facteurs à l’origine de la
chute de régimes politiquement obsolètes.

C’est la raison pour laquelle la réussite du processus espéré de « transition démocratique » exigera
des arrangements et des réformes institutionnelles qui permettent de déboucher sur une économie fondée sur la démocratie, la connaissance et l’innovation, qui favorise la
cohésion sociale et territoriale et qui soit durable du point de vue environnemental et social.

À l’heure où l’actualité politique dans les pays de la rive sud de la Méditerranée met en lumière de
puissantes dynamiques de changement et l’amorce de processus de démocratisation, ce Colloque vise à faire un état des lieux de la situation économique et sociale des pays de la Méditerranée et
à envisager les perspectives à court, moyen et long termes.

Le Colloque consacrera ses sessions à des questions-clés telles que le développement régional, le
développement durable et ses implications, les inégalités et la pauvreté, le marché du travail, la gouvernance, l’économie de la connaissance et les conditions d’une plus forte
productivité.

 



Thèmes :

Développement économique et disparités régionales

 Attractivité des territoires, localisation des activités.

 Développement et disparités territoriales inter et intra régionales.

 Politique publique de développement local et régional

 Politique d’attractivité territoriale et localisation des firmes

 Trajectoires spatiales et mobilité des firmes

Développement durable et développement régional

 Localisation des firmes et développement durable

 Gouvernance territoriale et développement durable

 Développement durable et attractivité des territoires

 Régulation environnementale et localisation des firmes

 Responsabilité sociale des entreprises

 Produits labellisés et économie verte

Inégalité, pauvreté et développement économique

 Analyse des causes et des manifestations de la pauvreté

 Etude des déterminants de la pauvreté et des inégalités

 La croissance pro-pauvre

 Politique économique et sociale de lutte contre la pauvreté et les inégalités.

Marché du travail

 Emploi et marché du travail

 Education, formation et insertion des diplômés

 Salaire et discrimination

 Micro crédit, entrepreneuriat, profession et entreprise

 Trajectoires migratoires

Economie de la connaissance et productivité

 Education, capital humain, productivité et compétitivité

 Innovation, activités de R&D et croissance

 Innovation et inégalités territoriales

 TIC et développement économique

 Innovation des firmes et structure du commerce extérieur

 Innovation et développement durable

Gouvernance et développement économique

 Institutions et croissance économique

 Climat des affaires et investissement privé

 Transition démocratique, démocratie politique et développement économique



 

Calendrier

10 juillet 2011

Date limite d’envoi des propositions de communications (titre,

auteurs avec institutions d’appartenance, e-mail – communication

complète) au site internet du colloque www. rencontremed.com

30 juillet 2011 Date d’envoi de la liste des propositions acceptées

20 septembre 2011 Date limite d’inscription au colloque

 

Comité Scientifique :

BERTHOMIEU Claude: Professeur, Université Nice Sophia Antipolis. GOAIED Mohamed:

Professeur IHEC Carthage (Directeur LEFA).

ALAYA Marouen : Maître assistant, ISAE Gafsa. AMIRAT Amina: Ecole Centrale de Gestion et de Droit. ATTIA
Nicole
: Maître de conférences, Université Nice Sophia Antipolis (Directrice CEMAFI). AYADI Mohamed :
Professeur, ISG Tunis. BALLET Jérôme : Professeur, Université de Versailles-Saint Quentin en Yvelines. Bazin DAMIEN : Maître de conférences, Université Nice
Sophia Antipolis. BEN AYED-MOUELHI Rym : Professeur, ISCAE Tunis. BEN AISSA Safouène : Maître de conférences, FSEG Tunis. BELKACEM Lotfi:
Professeur, IHEC Sousse. BELLONE Flora : Professeur, Université Nice Sophia Antipolis. BEN SLIMANE Sarra : Maitre Assistante, Université de Sousse. BEN
TAHAR Moez
: Université Nice Sophia Antipolis. BEN YOUSSEF Adel: Maître de conférences, Université Nice Sophia Antipolis. BERENGER Valérie : Maître de
conférences, Université Nice Sophia Antipolis. BORELLY Rolande : Professeur, Université Grenoble 2. BOULILA Ghazi : Professeur, ESSEC Tunis. CATIN
Maurice
: Professeur, Université de Toulon et du Var. BOUGHZALA Mongi: Professeur, FSEG Tunis. CHAKER-KRIAA Samira : Professeur, IHEC Carthage.
CHAFFAI Mohamed El Arbi: Professeur, FSEG Sfax. El MANSOURI Yassine : Ecole Centrale de Gestion et de Droit. ESSID Zied : Université Nice Sophia
Antipolis. FERRARI Sylvie: Maître de conférences, Université de Montesquieu-Bordeaux IV. GASPERINI Eric : Maitre de conférences, Université Nice Sophia
Antipolis. GHAZOUANI Samir : Professeur, ESSAIT Tunis. GUETAT Imen: Maitre Assistante, Université de Sousse. GUILHON Bernard : Professeur,
Université de la Méditerranée Aix-Marseille II. GUICHARD Jean-Paul : Professeur, Université Nice Sophia Antipolis. GOUIA Ridha : Professeur, Université Tunis El
Manar. HADDAR Mohamed : Professeur, Université Tunis El Manar (Président de l’Association des Economistes Tunisiens). HILMI Nathalie : Chargé d’étude, Centre
Scientifique de Monaco. LAHOUEL Mohamed Hédi : Chef Economiste, Dubai Economic Council. NANCY Gilles : Professeur, Université de la Méditerranée Aix-Marseille II
(Directeur DEFI). MANSOURI Fayçal : professeur, IHEC Sousse. MAROUANI Albert : Président de l’Université de Nice. MULLER Christophe :
Professeur, Université de la Méditerranée Aix-Marseille II. NASZÁLYI Philippe
: Directeur de la revue des sciences de gestion. SAFA Alain : Université de Nice Sophia
Antipolis. TICHIT Ariane : Maître de conférences, Université d’Auvergne. TRABELSI Jamel : Professeur, FSEG Sfax.

 

Comité d’Organisation :

El MANSOURI Yassine                               
BEN SLIMANE Sarra                               
BEN TAHAR Moez                               
AMIRAT Amina

elmansouri_yassine@yahoo.fr                               
Sarra.BEN-SLIMANE@univmed.fr                               

ben.tahar.moez@etu.unice.fr                               
amirat.amina@universitecentrale.net

 

Soumission des articles

Les propositions seront soumises sous format électronique via le site web du colloque
www.rencontremed.com jusqu’au 10 Juillet 2011. Les auteurs sont invités à soumettre leurs propositions sous forme d’article complet
(format PDF ou Word) en anglais et en français.

 

Valorisation du colloque

Après sélection des communications et procédure de referee, le colloque pourra donner lieu à
des publications dans des revues ou sous forme d’ouvrages

Revue Éthique et Economique – Revue Région et Développement – Revue Economie Appliquée Journal
of Economics and International Finance –


La Revue des Sciences de Gestion

JOURNÉE DE RECHERCHE DU L@REM – VENDREDI 24 JUIN 2011

L’efficacité des pratiques de gestion des organisations et leur légitimité constituent deux questions d’actualité notamment parce que la gestion instrumentale rigoureuse conçue auparavant comme un gage de prospérité est aujourd’hui dénoncée comme la source de maux profonds. La journée de recherche L@REM permet d’interroger les notions de performances et de repenser les pratiques en finance, gouvernance, entrepreunariat, management, etc. Ainsi, cette journée permettrait d’explorer certaines pistes qui offrent une alternative aux pratiques de gestion traditionnelles permettant de gérer autrement les organisations de sorte que l’on restaure leur légitimité et que l’on concilie celle-ci avec la performance. En particulier, nous nous intéressons à l’évolution de la fonction financière et de la finance durable, aux entreprises familiales ainsi qu’aux pratiques renouvelées de management. Nous conclurons sur les pistes pour repenser la formation à l’encadrement qu’impliquent ces nouvelles perspectives.

Le développement durable vu par les économistes

APPEL A COMMUNICATION

« Le Développement durable vu par les économistes : débats et controverses »

Université Blaise Pascal – IUFM Auvergne

Les 15 et 16 décembre 2011

 

Les organisateurs du colloque souhaiteraient faire le point sur les apports des économistes à la question du
développement durable tout en permettant à leurs contradicteurs (écologistes, environnementalistes, historiens, géographes, sociologues, philosophes…) de mettre en lumière les principaux points
d’achoppement et/ou de contradictions dans leurs approches.

En effet, depuis le rapport Our Common Futur des Nations Unies (World Commission on Environment and Development,
WCED, 1987), plus connu sous le nom de rapport Brundtland, le développement est dit durable s’il « répond aux besoins présents sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire
les leurs ». Cette définition a très vite soulevé la plus vive inquiétude parmi la communauté des écologistes et des environnementalistes (Jansson, 1988 ; Daly, 1990). D’une part, elle ne
précisait pas quel type de développement fallait-il rechercher (Dilworth, 1994). D’autre part, l’idée même de développement était étroitement liée à un certain niveau de croissance. Les membres
de la Commission, en la personne de son secrétaire général Jim MacNeill, encourageaient même les Etats à rechercher cette croissance : « what we called the growth imperative.
The world’s economy must grow and grow fast if it is to meet the needs and aspirations of
present and future generations. The Commission estimated that a five to ten-fold increase in economic activity would be needed over the next half century just to raise consumption in developing
countries to more equitable levels. En energy use alone would have to increase by a factor of eight, just to bring developing countries, with their present populations, up to the level now
prevailing in the industrial world. I could cite similar factors for food, water, shelter, and the other essentials of life “(MacNeill 1989, p. 18).
Par la suite, le développement durable a été appréhendé au moyen de trois sphères (économie, sociale, environnementale)
articulées autour des composantes suivantes : équité sociale, efficacité économique et préservation de l’environnement.

 En l’espace de quelques années, la problématique du développement
durable s’est immiscée dans les débats au point de susciter une importante littérature et de faire l’objet de nombreuses controverses. Les économistes se sont saisis de cette question et ont
cherché à apporter, à leur manière, un éclairage sur le concept.

Le colloque sera divisé en sept ateliers :

– Le premier atelier cherchera à revenir sur la représentation du développement durable sous la forme des trois
sphères (économique, sociale et environnementale). Métaphore inventée par le monde industriel, la représentation des trois sphères pose clairement la question de la synergie entre satisfaction
des besoins, prise en compte des contraintes environnementales et valeurs sociétales. Comment parvenir à une telle synergie alors que les trois sphères n’ont pas le même statut ? Quels problèmes
et difficultés soulèvent cet idéal-type ? Doit-on redéfinir la matrice conceptuelle ? Réexaminer les frontières des différentes sciences ? Développer des points de convergence ou de confluence
?

– Le deuxième atelier privilégiera les antécédents intellectuels, parfois anciens, s’inscrivant dans la pensée
écologique et dans la pensée économique. Ainsi l’histoire de la pensée économique et écologique, mais également l’épistémologie, seront mobilisés pour expliquer l’évolution du concept de
développement durable. Comment les premiers économistes ont-ils intégré la question environnementale, la question sociale ? Se sont-ils tournés vers les autres sciences ? Ont-ils eu des contacts
avec des écologistes, des environnementalistes ? Quelle vision du monde ont-ils proposée ?

– Le troisième atelier s’interrogera sur le degré de pertinence des différents courants théoriques vis-à-vis de la
question du développement durable. Autrement dit, comment les corpus théoriques tels que la théorie néoclassique, la théorie de la régulation, l’institutionnalisme, l’économie écologique,
l’écologie industrielle, l’écologie politique… ont cherché à intégrer, avec plus ou moins de réussite, cette référence nouvelle ? Est-ce que la dissociation entre les approches dites de
durabilité faible (issues du courant néoclassique avec une possible substituabilité des facteurs de production) et celles relevant de la durabilité forte (l’environnement y apparaît comme une
variable spécifique) est pertinente ? N’assiste t’on pas à un déplacement des débats au niveau des projets politiques, les uns ne renonçant pas à toute idée de croissance économique dès lors que
les contraintes de reproduction de l’environnement sont prises en compte, les autres proposant la décroissance pour les pays industrialisés ?

– Le quatrième atelier mettra en relation les différents champs du développement durable avec ce que l’on a coutume
d’appeler la boîte à outils des économistes. Les débats relatifs au réchauffement climatique, à la biodiversité, à la pollution ont amené les économistes à s’emparer de la question
environnementale et à préconiser la mise en place d’une taxe, le développement des marchés de droits à polluer, la comptabilisation des flux de matières et d’énergie dans des matrices
input-output, la dématérialisation du capitalisme, l’essor de l’innovation et de la technologie, l’évaluation du prix de la biodiversité… Remèdes dont il conviendra de cerner les tenants et les
aboutissants. Comment minimiser les dégâts dans un monde écologique de moins en moins durable ? Quelles stratégies de transition ?

– Le cinquième atelier abordera la question du développement durable dans le cas des pays en développement et en
transition. Il portera plus précisément sur les enjeux environnementaux et le traitement des questions sociales. La gestion des ressources naturelles renvoie à la préoccupation croissante de la
désertification, de la dégradation des terres, de la déforestation, de l’urbanisation, ou encore de l’accès à l’eau. Les questions sociales traduisent des phénomènes de migrations, d’inégalités,
voire d’exclusion.

– Le sixième atelier reviendra sur la perception très contrastée des différents acteurs vis-à-vis des débats
économiques. Les entreprises, les institutions nationales et internationales, les ONG, les associations… se sont tour à tour appropriées le concept de développement durable, dégageant ainsi des
positions très modérées ou très radicales. Cet atelier cherchera à répondre à plusieurs questions : que signifie le développement durable pour ces acteurs ? Comment expliquer leur engagement ?
Quel niveau de crédibilité faut-il lui donner ?

– Le septième atelier abordera la question de l’éducation au développement durable. En effet, les problématiques
issues du développement durable posent des difficultés redoutables (pluralité des domaines scientifiques, gestion des questions vives, place du politique…). Le choix des termes « éducation au
développement durable» montre à lui seul que les appellations ne sont pas neutres, elles nous amènent à dépasser le strict cadre de l’instruction et de l’enseignement/apprentissage de contenus
disciplinaires, pour tenter de clarifier le vocabulaire, s’interroger sur le poids et le sens de l’apprentissage de « bonnes pratiques » dans le cadre scolaire et non scolaire. Il s’agira ici de
débusquer certains « allant de soi » qui pourraient contribuer à instrumentaliser l’EDD et, tout en s’appuyant sur les avancées les plus récentes sur la question, de contribuer à caractériser les
objets de l’EDD et les situations d’enseignement/apprentissage liées.

 Les propositions de communications, qui prendront la forme d’un résumé
d’environ 600 mots, doivent être envoyées avant le 15 juin 2011 à : diemera@aol.com. Les décisions du comité scientifique seront transmises au plus tard le 30 juin 2011.

 

Comité d’organisation :

Arnaud Diemer (Université Blaise Pascal-IUFM Auvergne, PHARE) ; Sylvie Dozolme (Université Blaise Pascal-IUFM
Auvergne) ; Corinne Marlot (Université Blaise Pascal, IUFM Auvergne, PAEDI) ; Brigitte Morand (Université Blaise Pascal, IUFM Auvergne, PAEDI) ; Didier Mulnet (Université Blaise Pascal-IUFM
Auvergne).

 

 

Comité scientifique :

Amanar Akhabbar (Université de Lausanne), Yves Alpe (Université d’Aix Marseille), Catherine Aubertin (IRD), Eric
Berr (Université de Montesquieu, Bordeaux IV), Pascal Bridel (Université de Lausanne), Beat Bürgenmeier (Université de Genève), Pascale Combe-Motel (Université d’Auvergne), Annie Cot (Université
Paris I), Anne-Marie Crétieneau (Université de Poitiers), Suren Erkman (Université de Lausanne), Patrick d’Humières (Company 21), Arnaud Diemer (Université Clermont-Ferrand), Sylvie Ferrari
(Université de Montesquieu, Bordeaux IV), Jean-Marie Harribey (Université Montesquieu, Bordeaux IV), Blandine Laperche (Université de Dunkerque), Alain Legardez (Université Aix-Marseille),
Marie-Antoinette Maupertuis (Université de Corté), Nicolas Postel (Université de Lille 1), Jean Simonneaux (ENFA, Toulouse), Emmanuelle Raynaud (Université Aix-Marseille III), Gilles Rotillon
(Université Paris X – Nanterre), Franck Dominique Vivien (Université de Reims-Champagne-Ardenne), Yvette Veyret (Université Paris X – Nanterre), Bertrand Zuindeau (Université de Lille 1).

 

Le
colloque se déroulera les jeudi 15 et vendredi 16 décembre 2011 à l’IUFM d’Auvergne, 36 avenue Jean Jaurès, 63400 Chamalières, tél : 04.73.31.72.71 ou 06.72.25.04.75. Toute information relative
au colloque sera progressivement mise sur le site : http://www.oeconomia.net/colloques.htm. Ce colloque est soutenu par le laboratoire PHARE,
l’Association Charles Gide pour la Pensée Economique (ACGPE), l’Association Oeconomia et le Réseau de Recherche sur l’Innovation (RRI). L’ensemble des textes sélectionnés pour le colloque fera
l’objet d’une publication collective. Certains papiers, en lien étroit avec la ligne éditoriale des Cahiers d’économie de l’innovation ou du Journal Of Innovation Economics, pourront également
faire l’objet d’une publication.

Histoire des régulations environnementales

Histoire des régulations environnementales

 

Paris, 14 juin 2011

Appel à communications

 

Le Réseau thématique pluridisciplinaire CNRS (INEE et INSHS) « Histoire de l’environnement » organise, en 2011,
une série de quatre journées d’études. Après une première journée tenue à Arras en mars sur le thème « Usages et Pratiques de l’environnement », une seconde journée se tiendra à Paris le 14 juin
sur le sujet « Histoire des régulations environnementales ». La suivante se tiendra à Grenoble, en octobre, et sera consacrée à l’histoire des vulnérabilités. Le présent document présente les
intentions des organisateurs de la journée « Régulations » et lance un appel à communications. Ces journées sont ouvertes aux chercheurs de toutes disciplines de sciences humaines et sociales ou
de sciences de l’environnement intéressés.
Si l’on en croit les analystes des politiques publiques, la
régulation environnementale effectuée par le biais de normes issues d’une action réglementaire serait entrée en crise à la fin du XXe siècle, pour des raisons diverses : insuffisance des
connaissances dont disposent les pouvoirs publics, incapacité à faire respecter les règlements établis, faible efficacité aussi bien environnementale qu’économique, contestation et infractions
par les intéressés, incapacité à stimuler les solutions reposant sur l’innovation… Ce type de régulation laisserait de plus en plus souvent la place à une régulation par les « instruments
économiques » tels que les écotaxes, les droits à polluer etc., ou par des formes de « régulation négociée » appelées aussi « gouvernementalité coopérative », dans lesquelles des accords
volontaires sont conclus entre parties prenantes. Cette forme de régulation serait en fait, selon le sociologue Pierre Lascoumes, bien plus ancienne, mais elle se serait autrefois passée de façon
plus discrète, en raison de ce qu’elle s’oppose au droit régalien de décider et de contraindre. Cette forme a aussi été contestée comme étant par nature favorable aux industriels, plus aptes à
détourner les accords négociés à leur profit, et comme constituant un recul par rapport aux formes juridiques. L’objectif de la journée d’étude proposée ici n’est pas de trancher ce débat mais
d’y apporter une contribution historienne en montrant comment a fonctionné par le passé la régulation des questions environnementales. Nous chercherons donc à « rendre leur histoire » à ces
différentes formes de régulation— si tant est que toutes ces formes en aient une —, ou à d’autres formes si d’autres s’avèrent avoir existé. La période contemporaine sera probablement la plus
concernée dans la mesure où l’industrialisation a provoqué une inflation juridique du droit sous toutes ses formes, mais nous n’excluons pas a priori les contributions qui porteraient
sur les siècles antérieurs. Nous souhaitons ne préjuger ni de l’ancienneté respective des diverses formes de régulation, ni de l’existence d’autres formes qui ne seraient plus appliquées
aujourd’hui, car il nous semble que nous ne savons encore que peu de choses sur le sujet.

Les communications pourront porter sur les aspects suivants (mais la liste n’est pas limitative) :

– Quels types de régulation environnementale rencontre-t-on dans l’histoire, et à quels propos, et pour réguler quoi
? des ressources ? des milieux ? des agents économiques ? des polluants ? des risques ?

 – Comment ces régulations sont-elles apparues, comment ont-elles mises
sur pied, à l’initiative de qui (de quels groupes sociaux ?) et pour répondre à quel souci, protéger quels intérêts, faire face à quelle(s) évolution(s) ? Entraient-elles en contradiction avec
des modes de régulation existant antérieurement ? En cas de norme scientifique ou technique, à qui, à quels experts, la rédaction de ces normes était-elle confiée ? Quelle était la nature de
cette norme ?

– Comment fonctionnaient-elles ? Comportaient-elles des objectifs précis, voire chiffrés ? des calendriers, des «
obligations de résultat » ? Quel était leur cadre juridique, législatif, réglementaire ? Les acteurs étaient-ils bien identifiés, les responsabilités bien définies ? Quels types de savoirs
étaient mis en oeuvre ? Donnaient-elles lieu à des controverses scientifiques ou techniques ? Étaient-elles le lieu de production de nouveaux savoirs ?

– Quels dispositifs étaient prévus en cas d’infraction ? Quelles sanctions ?

– Que montre, a posteriori, l’analyse de leur fonctionnement ? Ouvraient-elles la porte à des pratiques de
lobbying, de jeux d’influence ? Au profit de qui ou de quoi fonctionnaient-elles en réalité ? Étaient-elles efficaces sur le plan environnemental, économique, social et pourquoi ?

 

Des propositions de communications portant sur des pays autres que la France ou comparant des systèmes de régulation
mis en oeuvre dans des régimes juridiques différents (pays de Common Law, de droit écrit…) seraient particulièrement bienvenues. Responsables scientifiques de la journée
:
Michel LETTE, maître de conférences au CDHTE/CNAM Geneviève MASSARD-GUILBAUD, directrice d’études à l’EHESS Les propositions devront parvenir par email aux deux
organisateurs avant le 9 avril.
Michel Letté : michel.lette@cnam.fr ; Geneviève Massard-Guilbaud :
massard@ehess.fr Elles ne dépasseront pas
une page. Elles mentionneront aussi précisément que
possible le sujet de la communication proposée, les grandes lignes de son contenu et conclusions, ainsi que les sources mises en oeuvre. L’auteur se présentera succinctement et mentionnera une ou
deux de ses publications récentes. Conformément à l’esprit qui guide l’action du RTP, les propositions de chercheurs de toutes les disciplines, qu’elles relèvent des Sciences humaines et sociales
ou des Sciences de l’environnement, sont les bienvenues à la seule condition qu’elles traitent effectivement d’histoire. Une réponse sera donnée à chaque proposition avant fin avril. La journée
d’étude se déroulera à Paris, le 14 juin 2011, et sera ouverte à toute personne intéressée. Les déplacements des intervenants seront pris en charge. Le lieu et les modalités pratiques seront
précisés ultérieurement.

Pour plus d’information sur le RTP Histoire de l’environnement, consulter http://www.cnrs.fr/inee/recherche/actionsincitatives-RTP-histoire_environnement.htm ou http://www.cnrs.fr/inshs/recherche/RTP%20Environnement/presentation.htm

 

michel Letté

Enseignant-chercheur en histoire des techniques

Cdhte-Cnam Paris – 75141 Paris cedex 03

33 (0)1
53 01 80 15

Journées d’Histoire du Management et des Organisations

Les Journées d’Histoire de la Comptabilité et du Management, aujourd’hui Journées d’Histoire du
Management et des Organisations
, constituent depuis leur première édition en 1995, un rendez-vous annuel incontournable pour ceux qui s’intéressent à l’histoire et à la gestion. Elles
rassemblent des gestionnaires, historiens, juristes, sociologues et économistes.

Comme chaque année, toutes les propositions de communications sont les bienvenues, mais nous souhaitons
néanmoins proposer un axe de réflexion. Ainsi, l’Association pour l’Histoire du Management et des Organisations, l’Institut de Recherche en Gestion (IRG, université Paris-Est) et l’université
Paris-Est – Marne-la-Vallée, avec le soutien de l’Association Francophone de Comptabilité, lancent cet appel à communication sur le thème de l’Innovation.

A la rencontre de la technologie, des besoins de l’utilisateur et des contraintes du marché, l’innovation touche
toutes les fonctions de l’entreprise. On distingue ainsi traditionnellement quatre types d’innovations : innovation de produit, de procédé, marketing ou organisationnelle.

Au cours de ces 19e Journées d’Histoire du Management et des Organisations, nous souhaitons aborder
l’innovation dans son épaisseur historique et en contexte, en envisageant dans leur diversité les pratiques innovantes.

Nous suggérons ici certaines approches :

étudier les pratiques
de conception, s’intéressant aux mécanismes cognitifs et organisationnels en jeu dans la créativité et l’innovation

proposer une approche
des milieux innovants, des réseaux et des transactions que génèrent les collectifs de l’innovation

questionner les
modèles et outils de gestion de l’innovation, dans leur dimension historique

analyser les modalités
de la légitimation, de l’appropriation et de la diffusion de l’innovation

étudier les
institutions de l’innovation, à travers notamment le rôle des brevets

décrire les marchés
émergents de l’innovation, et mettre en évidence les outils permettant de les approcher

Enfin, la thématique
de l’innovation pose la question de la résistance des acteurs au changement.

Dans la continuité des précédentes Journées, sont attendues des communications à caractère historique couvrant
les domaines de la comptabilité, du management ainsi que ceux de la stratégie, du nouveau management public, du marketing, de la finance…

Comme chaque année, toutes les propositions de communication intégrant une dimension historique sont
bienvenues.
 

Tutorat de thèses / Atelier méthodologique
Cette journée est ouverte à tous les participants.

Les Journées d’Histoire débuteront par un atelier doctoral organisé le 26 mars, comprenant un tutorat de thèses
d’histoire du management et des organisations, et, l’après-midi, un atelier méthodologique portant sur “L’Ecriture de l’Histoire”, par Patrick Fridenson.

Les doctorants souhaitant présenter leurs recherches à l’occasion de cet atelier devront fournir un document
d’une dizaine de pages maximum spécifiant leur champ de recherche (thème, questions de recherche), le cadre théorique ou l’articulation théorique de la thèse, leur démarche méthodologique, les
premiers résultats (le cas échéant), leurs principales références bibliographiques.

Les doctorants en début de thèse sont encouragés à participer.


Dates à retenir

Date limite de soumission des textes des communications (30 000 signes minimum – 70 000 signes maximum) :
15 décembre 2013

Décision du comité de lecture : 19 janvier 2014

Version définitive des textes : 9 février 2014


Les propositions devront être envoyées en français ou anglais accompagnées d’un résumé en français et anglais à l’adresse suivante : jhmo@univ-mlv.fr

Chaque proposition de communication fera l’objet d’une lecture anonyme.


Contact
: jhmo@univ-mlv.fr

Site internet : https://sites.google.com/site/jhmo2014/home

Comité scientifique :
Amina Bécheur
Eugénie Briot
Ludovic Cailluet
Pierre Labardin
Eve Lamendour
Yannick Lemarchand
Michel du Moutier
Marc Nikitin
Muriel Petit
Eric Pezet
Nicolas Praquin
Pierre Prétou
Béatrice Touchelay
Catherine Vuillermot

Comité d’organisation :

Marianne Abramovici

Eugénie Briot

Cécile Fonrouge

Cédric Poivret
Mathias
Szpirglas

 


APPEL Les activités professionnelles et le marché du travail

Risques et formes de
travail à travers les nouvelles technologies

Appel
:

  • IUT GACO
  • Licence professionnelle
    assistants gestionnaires de ressources humaines
  • Licence professionnelle
    gestion touristique et hôtelière
  • DUT GACO
  • licence génie industriel
    et maintenance

Colloque du jeudi 29
novembre et vendredi 30 novembre 2012

Lieu Saint Omer
France

LES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ET LE
MARCHÉ DU TRAVAIL

Appel à
communications

La crise actuelle, est-elle
si récente bouscule le marché du travail et l’appréhension de ses données et invite à une réflexion pour les renouveler tant au niveau interne qu’au niveau européen et international. Les réformes
juridiques visant à favoriser la sécurisation et la dynamisation des parcours professionnels les changements dus au progrès technique et à la mondialisation ont sensiblement affecté les
différentes transitions sur l’activité professionnelle et le marché du travail lui-même, d’ailleurs sachant que le travail n’est pas une marchandise (Art 1 convention fondatrice de l’OIT) est-il
véritablement pertinent de parler de marché du travail (de la formation à l’emploi, du chômage à l’emploi, d’emploi à emploi, de l’emploi à la retraite, …) au cours des dernières années. Afin
de favoriser, de structurer ou d’orienter ces transitions, un grand nombre de politiques publiques ont été mises en œuvre au niveau européen, national ou local. Il existe aussi des initiatives
privées.

D’un point de vue
théorique, il est possible de renouveler largement les réflexions sur les trajectoires et les activités professionnelles. Il s’agit par exemple de la prise en compte des interactions sociales, du
comportement d’embauche des entreprises et de la recherche d’emploi des salariés de l’intégration de la dimension spatiale ou encore des projections de population active basées sur la
micro-simulation, certains sont mêmes tentés de renouveler la définition du contrat de travail pourtant ancrée dans le droit social depuis le 19e siècle..

Des informations
statistiques ont parfois enrichies une double dimension entreprise/salarié qui permet alors de contrôler les effets spécifiques de l’offre et de la demande de travail.

Afin de faire une synthèse
des derniers développements, l’ULCO spécialement la licence gestion des ressources humaines de l’iut saint omer/dunkerque avec le concours des autres formations (licence gestion touristique et
hôtelière, G.I.M.) organisent les 29 et 30 novembre 2012 un colloque sur le thème ” les activités professionnelles et le marché du travail”.

L’objectif de ce colloque
est de croiser les apports théoriques et empiriques des chercheurs relevant des Sciences Humaines et Sociales, mais aussi des autres disciplines scientifiques.

Au cours de ces deux
journées, des moments seront réservés aux échanges entre les chercheurs et les experts d’institutions nationales, internationales ou locales. Des tables rondes seront organisées afin que les
expériences, les dispositifs de politiques publiques, les expériences privées et les outils puissent être partagé, faisant ainsi émerger les nouveaux enjeux auxquels les activités
professionnelles et le marché du travail sont confrontés.

Propositions de
communications

Le colloque rassemblera des
chercheurs de différentes disciplines sur le thème des activités professionnelles et du marché de l’emploi ainsi que ces différentes déclinaisons possibles et souhaitables.

Des communications,
empiriques et théoriques, portant sur les différents aspects des activités professionnelles et du marché du travail (de la formation à l’emploi, du chômage à l’emploi, de l’emploi à l’emploi, de
l’emploi à la retraite) aussi bien que sur les carrières en général et leurs déterminants (genre, santé, éducation, situation géographique, origines sociales,…) sont attendues. Une
attention particulière sera portée à l’évaluation des politiques publiques menées ces dernières années. Des communications sur les retours d’expériences privées et sur les aspects internationaux
seront aussi les bienvenues

Les propositions de
communication pourront s’inscrire dans le thème général du marché du travail appréhendé à travers les thèmes suivants: liste non exhaustive

 

1. Activités
professionnelles, conditions de travail et santé

2. Mobilités
territoriales et migration

3. Réseaux,
interactions sociales

4. Méthodologie de
l’évaluation des politiques publiques et privées

5. Crises et
trajectoires

6. Réformes de la
législation du travail et efficacité du marché du travail

7. Inégalités et
marché du travail (genre, spatiale, ethnique, …)

8. Carrières
internes et organisation du travail

9. Disparités
territoriales et marché du travail et de l’emploi

10. marché du
travail et chômage, emploi, inactivité

11. Capital humain,
employabilité, formation, éducation

12. Trajectoires
alternatives (salariés / non-salariés ; privé / public ;
 marchand / non-marchand)

13. activités
professionnelles et compétitivité des entreprises ou des salariés

14. aspects
juridiques

Les propositions de
communication qui feront l’objet d’une publication pour laquelle les auteurs recevront ultérieurement les indications nécessaires consisteront en un article achevé, en français ou en anglais,
avec un résumé dans l’autre langue ou un projet d’article d’une page minimum indiquant le titre de la proposition, le thème de rattachement, la problématique abordée la(les) méthode(s)
appliquée(s), le terrain d’études le cas échéant, les résultats, cinq à sept mots clés ainsi que le nom, l’affiliation des auteurs et leur adresse e-mail.

Les propositions devront
être envoyées avant le 15 octobre 2012

aux adresses
suivantes : 
iutgaco@univ-littoral.fr  marc_richevaux@yahoo.fr



COMITE SCIENTIFIQUE
   
                                                       
                                

  • Natalia AVILOVA,
    Professeur, Professeur Université technique d’État de Koursk (Russie)
  • Irina Baïkova Professeur
    université de saint Petersburg (Russie)
  • Mohamed BELKADIR
    Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Hédi BENRABAH, Maître de
    conférences associé en Ressources Humaines. Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Jean-Bernard BOYABE,
    maître de conférences en économie, Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Valerius CIUCA,
    professeur de droit, Université « Alexandru Ioan Cuza » de Lasi (Roumanie), ancien juge au TPI-CJCE
  • Philippe ENCLOS, Maître
    de conférences en droit, Université Lille 2 Droit et Santé (France)
  • Joël GEEST professeur
    université du littoral côte d’opale chef du département génie industriel et maintenance
  • Andreî GOLOBODORENKO,
    Vice-Recteur, Université de Rostov sur le Don (Russie)
  • Eric HAEUW responsable de
    la licence gestion hôtelière et touristique Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Alexandru JIVAN,
    professeur d’économie, Université de l’Ouest de Timisoara (Roumanie)
  • Patrick LEROY Maître de
    conférences HDR Université de Bretagne occidentale Brest (France)
  • Brigitte LESTRADE
    professeur de civilisation allemande contemporaine, spécialiste des mutations du travail en Allemagne Université Cergy-Pontoise (France)
  • Evguenia MADELEINE maître
    de conférences Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Brice-Arsène MANKOU,
    docteur en sociologie Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Clotaire MOULOUNGHI
    Docteur en Droit Maître de conférences Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Cyril NYIECK Doctorant en
    Administration Publique à l’Université Pierre Mendes France de Grenoble Directeur Exécutif de l’Institut pour la Gouvernance en Afrique Centrale (IGAC (Cameroun)
  • Maria ORLOV présidente de
    l’institut des sciences administratives de la république de Moldavie
  • Mireille POIRIER, Maître
    de conférences HDR en droit, Vice-présidente Université Montesquieu Bordeaux IV (France)
  • Anca Alexandra PURCAREA,
    PhD. Professeur, Université Polytechnique de Bucarest, (Roumanie)
  • Marc RICHEVAUX, Maître de
    conférences en droit, responsable de la licence professionnelle gestion des ressources humaines Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Bruno ROUSSEL Chargé de
    Mission aux actions numériques & Responsable de l’Insertion Professionnelle des Doctorants. Université Paul Sabatier Toulouse (France)
  • Doina Corina SERBAN, PhD.
    Maître de conférences Université Polytechnique de Bucarest, (Roumanie)
  • Dan TOP Vice-doyen
    Faculté de droit Université Targoviste (Roumanie)

·      Tudorel TOADER Juge à la Cour Constitutionnelle de la Roumanie Prof. Univ. Dr

  • Crina VERGA université
    Mihaïl Kogalniceanu Iasi (Roumanie)
  • Elena VIKTOROVA,
    Professeur, Université de l’économie et des services Saint-Pétersbourg (Russie)
  • Jeanne-Marie WAILLY,
    docteur en droit, chef du département GACO Université du Littoral Côte d’Opale (France).

 

comité
d’organisation
 

  • Hédi BENRABAH, Maître de
    conférences associé en Ressources Humaines. Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Mohamed BELKADIR
    Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Séverine BOUTEILLER
    Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Eric HAEUW responsable de
    la licence gestion hôtelière et touristique Université du Littoral Côte d’Opale (France) chef du département gaco iut saint omer dunkerque
  • Stany LARDEUR Université
    du littoral côte d’opale (France)
  • Brice-Arsène MANKOU,
    docteur en sociologie Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Clotaire MOULOUNGHI
    Docteur en Droit Maître de conférences Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Marc RICHEVAUX, Maître de
    conférences en droit, responsable de la licence professionnelle gestion des ressources humaines Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Françoise VANDENBERGHE,
    Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Jeanne-Marie WAILLY,
    docteur en economie, Université du Littoral Côte d’Opale (France).