Archives de catégorie : La recherche et écoles

AERES et classements

Nous faisons suivre ce message reçu à la rédaction :

Chers collègues,


J’ai eu récemment connaissance de plusieurs textes signés par un certain nombre de collègues, historiens ou sociologues, sur les
questions d’évaluation.

Je comprends tout à fait qu’elles soient essentielles pour nous, chercheurs, et suscitent des débats intenses. Je souhaiterais
simplement aujourd’hui vous apporter quelques précisions particulièrement importantes, me semble-t-il.

 

        
L’évaluation des unités reposera sur quatre grands critères (« qualité scientifique et production » ;
« rayonnement et attractivité » ; « stratégie, gouvernance et vie du laboratoire » ; « appréciation du projet proposé »).

        
Il est bien évident que l’évaluation sera, par conséquent, avant tout qualitative.

        
Les publications n’interviennent que dans le premier critère à côté d’autres éléments comme la présence de contrats de recherches
incitatifs (Ministères, A.N.R., Europe).

        
Un classement ou une reconnaissance de certaines revues comme revues de rang A n’implique pas une approche bibliométrique.

        
Au contraire, les directeurs de l’A.E.R.E.S. ont récemment souligné les insuffisances de tout indicateur  quantitatif de
bibliométrie.

        
Je rappelle que nous avons fixé le seuil qui permet d’être déclaré “publiant” très bas (deux publications de rang A en quatre ans pour
les enseignants-chercheurs et 4 pour les chercheurs).

        
Je confirme que parmi les publications de rang A, en SHS, seront pris en considération les ouvrages de recherche, les chapitres dans
des ouvrages collectifs de recherche, les éditions de texte ainsi que les communications dans des colloques publiés de façon sérieuse. Il me semble donc qu’au-delà de ce seuil, vraiment bas, nous
avons toute liberté de publier dans des supports très différents, y compris de contribuer au lancement de nouvelles revues, par définition pour l’instant non référencées.

        
Des commissions d’actualisation des listes qui existent déjà, seront mises en place d’ici le mois de décembre.

        
Nous procédons à un essai de classement des revues en reprenant les contributions des travaux effectués par les sections du CNRS
lorsqu’elles existent, parce qu’il nous paraît inutile d’empiler les évaluations et de refaire ce que les comités de rédaction ont déjà souvent très bien effectué et parce qu’un classement a un
double effet pédagogique : sur les revues afin qu’elles améliorent éventuellement leurs pratiques; sur les chercheurs afin de les alerter sur l’importance de publier dans des revues de niveau
international.

 

Nous pourrons communiquer officiellement, et dans le détail, sur ces questions très prochainement mais je tenais d’ores et déjà à vous
rassurer en répondant à un certain nombre d’objections ou de remarques fort pertinentes et légitimes qui figurent dans le texte que j’ai lu.

Bien cordialement à vous, et à bientôt.


Patrice Bourdelais

Délégué scientifique coordinateur SHS

AERES

Nouveau Mastère en management des risques

Après le Mastère Spécialisé (MS) autour de l’Informatique et des Libertés, l’ISEP poursuit
sa réflexion autour de la maîtrise de l’information et de l’évolution du métier d’ingénieur. En janvier prochain, l’école d’ingénieurs ouvre un programme novateur : le  MS
en «  management des risques par l’intelligence économique », accrédité par la CGE.

L’objectif de ce Mastère est de permettre aux acteurs impliqués dans les différents aspects
du management du « risque sécuritaire global » – anticipation, identification, prévention et gestion -, de mettre en œuvre les concepts, moyens et outils offerts par l’intelligence
économique. Cette formation généraliste de 9 mois, à temps partiel, bénéficie du partenariat de l’association du Forum ATENA, de l’IFIE (Institut Français d’Intelligence Economique) et du Cercle
d’Intelligence Economique du MEDEF Ouest Parisien. Elle s’adresse à toute personne confrontée à la gestion des risques dans son travail.

 

Une approche novatrice

Selon Alain Juillet, Haut Responsable chargé de l’Intelligence Economique au Secrétariat Général de la Défense Nationale,
l’intelligence économique (IE) se définit comme : « la maîtrise et la protection de l’information stratégique pour tous les acteurs économiques ». L’IE s’attache à la bonne
utilisation de l’information par l’entreprise, à la fois en interne et en externe, comme par exemple la veille, le knowledge management, l’informatique décisionnelle, le lobbying, etc.

Par ailleurs, les professionnels de l’intelligence économique ont constaté que les catastrophes sont souvent causées par
un défaut de circulation, d’acquisition ou de traitement de l’information. Ils ont également noté que bien souvent, lorsqu’elles subissent des attaques ou craignent un risque, les organisations
s’adressent aux professionnels de l’IE.

Selon les analyses de l’ISEP et d’experts sur le sujet, l’IE se révèle être un outil au service du « Management des
Risques » (Risques de sûreté, de sécurité, environnementaux et managériaux). Les professionnels du secteur, (le Forum ATENA, l’IFIE – l’Institut Français d’Intelligence Economique – et le
Cercle d’Intelligence Economique du MEDEF Ouest Parisien) ont très vite apporté leur soutien à l’ISEP dans ses démarches de mettre son expertise au service des besoins du marché. En effet, le
« Management des Risques » est au sommet des préoccupations actuelles des organismes (entreprises, collectivités territoriales, institutions), en particulier en raison des
réglementations de plus en plus contraignantes et de la « judiciarisation » de l’économie.  

Le Mastère Spécialisé de l’ISEP « en management des risques par l’intelligence économique » est la seule
formation de ce niveau en France à faire la synthèse de ces deux notions pour former les managers généralistes des risques, d’aujourd’hui et de demain. De plus, elle s’inscrit naturellement dans
la continuité du MS en Management et Protection des Données à Caractère Personnelle, qui prépare déjà au risque juridique, d’image et de sécurité des systèmes d’information.

 

Une formation avant-gardiste

La formation, répartie sur 9 mois à temps partiel (soit 600 heures au total), sera animée par des experts et des
consultants en activité, tous sélectionnés par un Comité de pilotage (dont font parti entre autres Bernard Besson, chargé de mission auprès du Haut Responsable à l’IE et Jean-Claude Possin, tous
deux auteurs du livre « l’Intelligence des Risques » aux éditions de l’IFIE). La formation bénéficie donc d’un fort ancrage dans le monde professionnel.

Elle s’adresse en particulier aux responsables du système d’intelligence économique, aux responsables de gestion des
risques, aux auditeurs de système d’intelligence économique, mais également à toute personne confrontée aux risques dans leur travail au quotidien (Directeur de la communication qui doit établir
une communication de crise, etc.).

L’enseignement s’articule autour de 4 grandes thématiques, subdivisées en modules :

Les finalités de l’intelligence économique : intelligence économique, information et risques ; économie de l’information et de la connaissance ; les praticiens et les
acteurs de l’intelligence économique ; etc.

Le projet d’intelligence économique : le management du système d’intelligence économique ; le management de l’organisation par l’intelligence économique ;
l’audit d’intelligence économique ; etc.

L’intelligence des risques : l’intelligence économique au service de la prévention des risques ; la « veille sécuritaire » et le « risque
sécuritaire global » ; les risques de sûreté ; la protection du patrimoine et la propriété intellectuelle ; etc.

La prévention des risques et la protection : l’intelligence des risques au service de la détection, identification, prévention, hiérarchisation et de la mission protection de
l’entreprise ; la cellule de gestion de crise, de sortie de crise, etc.

Les cours théoriques s’accompagnent d’applications pratiques, les « projets transversaux », portant sur la
pratique du métier en situation réelle :

– Intelligence économique sur une zone géographique

– Analyse du système d’intelligence économique d’une entreprise réelle

– Analyse du risque d’une entreprise réelle

– Jeu de rôle de simulation de crise et management du risque.

Enfin, un stage d’un minimum de 4 mois et la rédaction d’une thèse professionnelle complètent la formation.

 

Informations complémentaires :

14 950 € pour les jeunes diplômés

14 950 € H.T. pour les autres situations

Accessible en formation initiale ou en formation continue, avec possibilité de continuer à exercer une activité
professionnelle en parallèle.

http://www.isep.fr

Prix AFM – FNEGE 2009 de la meilleure thèse en Marketing

A l’attention des directeurs de recherche et des jeunes docteurs.

Depuis 1998, la FNEGE récompense chaque année les meilleures recherches doctorales. Un prix est attribué dans chaque discipline (Comptabilité / Contrôle de gestion, Finance, Gestion des Ressources Humaines, Marketing, Management stratégique, Systèmes d’information, Entrepreneuriat).
Chaque lauréat reçoit un chèque de 1 000 euros.

Parmi les sept lauréats (un par discipline), la FNEGE attribue ensuite un prix de publication. La thèse primée est publiée par les éditions Vuibert.

Remarque : La FNEGE attribue par ailleurs un prix pour la meilleure thèse transversale. Ce prix n’est pas géré par l’Association Française du Marketing. Pour y participer, merci d’envoyer directement la thèse à la FNEGE. Pour toute question relevant de la FNEGE, merci de consulter le site de la fondation (www.fnege.net) ou de contacter directement Mme Martine Alexandre (alexandre@fnege.fr).

En ce qui concerne le prix de thèse FNEGE – AFM, les thèses éligibles doivent avoir été soutenues lors de l’année civile 2008 (c’est-à-dire, entre le 1er janvier et le 31 décembre 2008).

La FNEGE a confié à l’AFM la responsabilité de choisir la meilleure thèse de marketing. Le bureau de l’AFM a validé un processus de sélection en deux étapes.

Pour participer à la première étape, le jeune docteur doit préparer un dossier comportant : une première page qui présente le titre de la thèse, le lieu et la date de soutenance ainsi que la liste des membres du jury ; un résumé en 10 pages (voir précisions ci-après) ; les pré-rapports de soutenance et le rapport de thèse ; un sommaire de la thèse. Merci également d’ajouter la fiche de thèse au format RAM (consulter la revue pour plus d’informations).

Le résumé comporte une 1 page pour présenter la problématique ; 3 pages pour le modèle conceptuel et
les hypothèses éventuelles ; 3 pages pour la méthodologie et la mise en oeuvre de la recherche ; 2 pages pour les contributions et une 1 page pour les limites et voies de recherche.

Le dossier sera impérativement envoyé au format PDF, par voie électronique, à l’adresse suivante : pierre.volle@dauphine.fr

Lors de la première étape, chaque dossier est évalué anonymement par 5 évaluateurs. Chaque évaluateur évalue 4 dossiers et leur donne un classement (de 1 pour celui qu’il considère comme le meilleur, à 4). L’affectation des thèses aux lecteurs est faite en effectuant des rotations aléatoires : chaque dossier est donc évalué 5 fois face à 3 autres (qui ne sont pas les mêmes d’un évaluateur à l’autre).

Les évaluateurs sont choisis parmi les directeurs de recherche actifs membres de l’AFM. Les thèses sont évaluées par des évaluateurs n’ayant pas de lien direct avec le centre de recherche où elles ont été soutenues ET n’ayant pas participé au jury.

Dans une seconde étape, les thèses finalistes (deux, trois ou quatre selon le nombre de thèses
proposées et selon la structure des résultats) sont évaluées par de nouveaux directeurs de recherche sur la base du texte complet, en suivant la même procédure que pour la première étape.

Merci aux candidats de bien vouloir transmettre leur dossier, par voie électronique, avant le 26 janvier 2009. Merci de bien indiquer l’adresse email par laquelle le candidat sera tenu informé des résultats finaux, car il n’y aura pas de correspondance par voie postale.

Ce délai doit impérativement être respecté. En effet, compte tenu des modalités d’affectation des évaluateurs, tout retard individuel risque de bloquer l’ensemble du processus.

Nous attirons l’attention des directeurs de thèse et des directeurs de centres de recherche sur l’importance de leur rôle d’interface entre les docteurs et l’AFM, en permettant d’identifier les thèses ayant les qualités requises pour participer à ce type de prix et en incitant les docteurs à y participer.

Bonne chance à tous les candidats !

Pierre Volle
Université Paris-Dauphine

Nouvelles de l’Appel au retrait du classement des revues de l’AERES

Chères et chers collègues,

Vous avez été nombreux à bien vouloir signer l’Appel des Revues et nous vous en remercions. Cet appel a d’ores et déjà eu quelques effets :

— Jean-François Dhainaut, président de l’AERES, a fait un certain nombre de déclarations, rapportées dans une dépêche de l’Agence Education-Formation n° 102848 du 14 octobre à 10 h 08 : http://fr.groups.yahoo.com/group/parislinguists/message/2138

— Patrice Bourdelais, coordinateur SHS pour l’AERES, a publié un communiqué apaisant : http://www.fabula.org/actualites/article26263.php

Ces réactions ne correspondent pas à ce que nous demandions : nous demandions et demandons toujours un retrait complet et définitif, car c’est le principe même d’un tel classement et l’usage qu’entend en faire l’AERES que nous contestons. Nous récusons sa conception quantitative de l’évaluation.

Pour nous faire entendre, nous commencerons par nous rendre le mardi 28 octobre en début d’après-midi au siège de l’AERES. Nous remettrons alors l’Appel et la liste des signataires au Comité directeur de l’Agence.

Merci de nous aider à faire le plein de signatures d’ici là : n’hésitez pas à faire signer l’Appel autour de vous.

Pour ceux qui voudraient se joindre à la démarche, nous nous retrouverons à 14h45, place de la Bourse.

Par ailleurs, nous avons le plaisir de vous annoncer qu’un site d’information et de discussion sur l’évaluation et la bibliométrie a été ouvert à l’adresse suivante : https://evaluation.hypotheses.org

Bien cordialement à tous,

Laurence Giavarini (Université de Bourgogne, porte-parole de SLU), David Lefebvre (Paris IV), Sylvain Piron (EHESS), Sophie Roux (Grenoble II-IUF).

La CGE et la CNGE fusionnent

La Conférence des Grandes Ecoles (CGE) et le Comité National pour le Développement des Grandes Ecoles (CNGE)
fusionnent

 

L’association CNGE a été créée en octobre 1970 à l’initiative de chefs d’entreprise, de
directeurs de Grandes Ecoles et de présidents d’associations d’anciens élèves.

 

Le CNGE réunissait :


w
          Plus
de 80 dirigeants d’entreprises ou de groupements professionnels,


w
          Près
de 130 directeurs d’écoles d’ingénieurs ou de haut enseignement commercial,


w
          Les
représentants des fédérations à l’échelon national des anciens élèves d’écoles d’ingénieurs et de management, représentant 350.000 cadres supérieurs, et 50 des principales associations d’anciens
élèves.

 

L’association CGE, créée en 1973, compte plus de 200 écoles d’ingénieurs, de haut
enseignement commercial et de spécialités diverses.

 

Les deux associations – amies depuis plus de 30 ans ! – avaient une délégation
générale commune et travaillaient conjointement sur des objectifs similaires :

 


w
            Promouvoir, sous toutes leurs formes, le développement et le progrès permanent des établissements
supérieurs, publics ou privés, qui préparent les cadres du monde économique après une sélection et par une formation multidisciplinaire appropriée ;


w
          Etre
un lieu de référence et une interface entre les acteurs du monde des écoles, les  pouvoirs publics et la représentation nationale ;

w                    Apporter une contribution au débat général sur le système éducatif français et européen ;

w                    Réaliser des études et mettre en place des indicateurs d’évolution de la vie des écoles et des
parcours professionnels de leurs diplômés.

 

Le 16 décembre, le CNGE et la CGE ont fusionné. La nouvelle CGE regroupera désormais
grandes écoles, entreprises, associations d’anciens élèves et autres organismes.

 

Par cette fusion, les deux associations mettent leurs moyens au service de leurs
objectifs communs, renforcent leurs relations avec le monde du travail, en associant encore plus étroitement les entreprises. Partenaires naturels des écoles, elles sont déjà fortement impliquées
dans leurs activités de recherche, dans l’observation de l’évolution des métiers et de la société et leurs conséquences sur les formations, dans les démarches pour l’égalité des chances et
 la diversité.

Les nouveaux statuts portent sur les fonds baptismaux un comité d’orientation
stratégique, présidé par une personnalité du monde économique, qui définira les grands axes de positionnement et d’action.

 

Ce regroupement sera l’occasion de synergies multipliées et d’une plus grande
efficacité au service de l’enseignement supérieur français et de sa contribution au développement économique et scientifique de notre pays.

 

Séminaire d’Histoire économique

Le Séminaire d’Histoire économique – atelier Simiand – de l’EEP  aura lieu le  lundi 4 juin 2007 à l’Ecole d’Economie de Paris – Boulevard Jourdan 75014 (Paris), bâtiment principal, rez-de-chaussée, salle 8 (17h30-19h).

M. D. BORDO (Rutgers University, New Brunswick NJ) sera accueilli à propos du “Foreign Capital and Economic Growth in the First Era of Globalization” de M. D. Bordo, et C. M. Meissner.

Une rentrée 2008 sous le signe de l’engagement au service des autres

C’est sous le signe de l’engagement au service des autres que les 400 étudiants français
et internationaux de première année des campus Tours et Poitiers de la grande école de l’ESCEM vont démarrer leur semaine d’intégration à la rentrée prochaine.

Du 5 au 12 septembre 2008, l’école met en place pour eux, en collaboration avec la
Croix-Rouge Française et l’Etablissement Français du Sang, une vaste campagne d’information, de sensibilisation et surtout de formation  aux gestes
qui sauvent, la première du genre en France à destination des étudiants de l’enseignement supérieur.

Par ailleurs cette semaine différente inaugure le lancement du nouveau cursus
pédagogique.

Ainsi, l’ESC Tours Poitiers, qui s’inscrit totalement dans le cadre de l’harmonisation
européenne des diplômes a profondément revu début juin 2008 les standards de sa maquette pédagogique afin d’offrir à ses étudiants une reconnaissance toujours plus grande de leur diplôme à
l’international (déjà valorisé par les accréditations AACSB et EQUIS et l’entrée dans le classement du Financial Times). La nouvelle maquette pédagogique a gardé le meilleur de l’ancien
parcours : culture générale, travail en équipe, cursus anglophone, semestre obligatoire à l’étranger, projet associatif … mais voit l’arrivée ou le renforcement  de projets :

– « Profiler » : la monographie d’entreprise pour une approche
transversale des organisations

 « YO » (Year Out), une année
optionnelle pour apprendre plus,

– « Globe », l’atelier développement durable, pour apprendre à manager
autrement

– « Createam », l’atelier entrepreneuriat pour développer créativité et
capacités d’initiatives

– « Atelis », l’atelier intelligence stratégique pour accompagner les
organisations

– « Thésus », le mémoire de recherche  pour développer son aptitude à conceptualiser

– « IPPI » : l’itinéraire personnalisé de préparation à
l’insertion

Ajoutons à ces nouveautés l’obligation d’un score minimum au TOEIC pour l’obtention du
diplôme et le renforcement des enseignements de droit et d’économie…

 

www.escem.fr et
www.escem.org – n° Indigo :
0 820 20 11 12

ESCEM et Caisse d’Epargne Loire-Centre – Chaire Management de la RSE

Tamym Abdessemed, Directeur Général de l’ESCEM et Jean François Paillissé, Président du Directoire de la Caisse d’Epargne Loire Centre inaugurent aujourd’hui la Chaire dédiée au Management de la responsabilité sociale. L’Escem et la Caisse d’Epargne s’engagent conjointement sur 3 ans dans une démarche de recherche partenariale active, dans un domaine au cœur de l’actualité économique et sociale.

Convaincus que ces préoccupations modifient profondément les rapports entre l’entreprise, la société et les individus, Tamym Abdessemed et Jean-François Paillissé estiment que ce champ « a besoin d’une pensée nouvelle et originale pour orienter les dirigeants dans la vision globale de leurs responsabilités et leurs styles de management ». Telle est la vocation de cette chaire.

Docteur en gestion, professeur en ressources humaines à l’Escem, Anne-Marie Fray est nommée Directeur Scientifique de la Chaire.  « La responsabilité sociale en tant que telle doit maintenant faire l’objet de management dans les organisations, en particulier sur le plan des ressources humaines. Elle amène des horizons de décision et des normes de performances inédits de même qu’elle impose des qualités nouvelles chez les managers », indique Anne-Marie Fray.

Actions à portée nationale et régionale en RSE

Avec un budget de l’ordre de 60 000 €, l’Escem et la Caisse d’Epargne Loire Centre ont la volonté de mettre en commun une expertise partagée en RSE afin de concevoir et développer des initiatives concrètes à court et moyen terme comme la création d’un observatoire des meilleures pratiques. La chaire travaillera également à construire des outils de pilotage et des indicateurs de mesure. Ces travaux associeront les universités partenaires de l’Escem afin de faire émerger un réseau de recherche et d’enseignement rôdé à ces problématiques.

Les actions porteront sur des publics diversifiés : les entreprises établies sur le territoire de la Caisse d’Epargne Loire-Centre, de même que les publics internes à la banque, comme par exemple ses sociétaires et ses équipes managériales.

A moyen terme, il est également prévu que la Chaire finance des bourses doctorales.

Un engagement et des convictions partagés

Adhérente au Pacte Global de l’humanité, l’Escem affiche le label Global Compact. Membre de l’Association des Campus Responsables, l’Ecole procure depuis 2003 à tous ses étudiants en formation initiale et continue, un enseignement dédié à la RSE. Elle a également développé au Canada, avec l’université de Sherbrooke, un parcours de spécialisation parmi les tout premiers de l’enseignement supérieur.

Forte de 2 siècles de philanthropie, après les bains douches et les jardins ouvriers, le livret A et le logement social, la Caisse d’Epargne a financé, de 2001 à 2008, des missions d’intérêt général par les programmes d’économie locale et sociale. Dans ce cadre elle a porté 942 projets solidaires pour plus de 16 millions d’euros.

Dès 2003, par ailleurs, le Groupe Caisse d’Epargne s’est engagé dans une démarche de développement durable avec, en premier jalon, la signature du Pacte mondial des Nations Unies. La même année, la Caisse d’Epargne Loire Centre a construit son plan d’actions sur la base des résultats de l’audit sollicité auprès de l’agence de notation Vigeo. En 2007 est lancé « Bénéfices Futur », programme innovant qui dynamise la démarche développement durable. A partir de 2009, la Caisse d’Epargne Loire Centre met en place une politique de responsabilité sociale composée à la fois d’engagements externes partagés (philanthropie, inclusion financière) et d’initiatives à caractère social ou environnemental dans la gestion de son activité. Elle engagera chaque année un montant important de son PNB à cette politique de RSE.

Quatre chaires spécialisées en cohérence avec les valeurs de l’Ecole

Etre en ligne avec les valeurs d’humanisme qu’elle défend et participer au développement de nouvelles connaissances en science de gestion pour l’entreprise, tel est le fil conducteur des projets de Chaires de l’Escem depuis 4 ans.

Confortée par le leadership de son pôle ATELIS, l’Escem lance en 2005 sa première Chaire en intelligence économique avec Microelectronics. 2007 et 2008 voient la création de deux nouvelles chaires spécialisées. L’une dans la finance solidaire avec l’ONG fondée et dirigée par Jacques Attali (PlaNet Finance) et l’autre avec le groupe Audiens, en vue de promouvoir la recherche en économie sociale.

Le lancement de cette quatrième Chaire en Management de la Responsabilité Sociale en partenariat avec la Caisse d’Epargne Loire-Centre permet à l’Escem de poursuivre la promotion des thèmes et des valeurs qui lui sont chers mais aussi de conforter le développement de son offre de formation initiale et continue.

Télécom Ecole de Management (ex-INT Mgt) : les moyens de ses ambitions

Télécom Ecole de Management (TEM) a formalisé un plan stratégique ambitieux. Placée aujourd’hui parmi les 8 meilleures écoles de commerce de France et très appréciée des DRH, TEM entend conquérir les trois accréditations internationales (EQUIS, AACSB, AMBA) et figurer parmi les 50 meilleures Business Schools européennes d’ici 2012. A cette échéance, l’école comptera 1 300 étudiants, soit une croissance de 50 % en 3 ans. TEM s’est donné les moyens de ses ambitions en modifiant sa gouvernance, son organisation interne et son business model. L’école souhaite grandir en conservant ses singularités : statut public, engagement social et forte empreinte des TIC (technologies de l’information et de la communication) dans ses enseignements.

Grandir tout en conservant sa vocation sociale et son expertise dans les TIC

TEM est une école originale dans l’univers des écoles de commerce. Publique, elle défend des valeurs de diversité et d’ouverture sociale. Elle propose les frais de scolarité les plus accessibles du marché : 2 500 euros par an, contre 6 500 euros par an en moyenne pour ses concurrentes. Elle distribue un grand nombre d’aides sociales et dispose d’une capacité exceptionnelle de 700 logements. L’autre particularité de TEM est de placer les TIC au cœur de ses enseignements de gestion et de management grâce à ses interactions avec son école sœur, Télécom SudParis, grande école d’ingénieurs dont elle partage le campus. Cela donne aux diplômés de TEM une véritable double culture « ingénieur-manager » très appréciée des entreprises. TEM souhaite grandir en conservant sa singularité et en capitalisant sur celle-ci.

Un nouveau business model

Gouvernance revue. TEM continuera à partager son campus avec Télécom SudParis pour développer des projets pédagogiques communs : formations, soutien à l’entreprenariat, etc. Mais elle se dote de services dédiés et gérera directement ses départements d’enseignements et de recherche.

Augmentation des ressources propres. A dotation constante de l’Etat, TEM augmentera son budget en développant ses ressources propres. Elles comptent actuellement pour 30 % du budget de l’école et atteindront 50 % en 2012. Pour cela, TEM a actionné quatre grands leviers :

  1. Augmentation des droits de scolarité du programme Grande Ecole. TEM va augmenter ses droits de scolarité, qui devraient passer jusqu’en 2012 deux paliers supplémentaires, « sans que
    les frais de scolarité ne deviennent une barrière à l’entrée de l’école 
    » précise Denis Lapert, son directeur.
  2. Croissance de la taille des promotions de 50 %. TEM forme aujourd’hui des promotions d’environ 200 étudiants. Ils seront 300 en 2012, soit une croissance de 50 %.
  3. Ouverture d’une filière en apprentissage. TEM a créé cette année une filière en apprentissage au sein de son programme Grande Ecole. Elle concernera 30 apprentis dès
    septembre 2009 et une centaine en 2012. Cette mesure doit permettre d’accroître la taxe d’apprentissage perçue par l’école.
  4. Apport de l’Executive Education et de la recherche. TEM projette d’ouvrir 2 nouveaux Mastères Spécialisés et 2 nouveaux Master of Science d’ici 2012. La recherche produite par l’école devra également générer un chiffre d’affaires croissant.

Création du fonds social TEM

L’école va injecter 30 % de ses nouveaux revenus dans un fonds social, qui proposera davantage de bourses et offrira de nouvelles aides aux étudiants. Le budget consacré à ce fond augmentera de près de 100 % entre 2009 et 2012, une croissance deux fois plus importante que celle des effectifs de l’école (50 %).

TEM développera de nouvelles mesures sociales : participation au logement, contribution aux repas, encouragement et soutien aux départs d’étudiants à l’étranger, fourniture d’ordinateurs portables à tous les étudiants boursiers et développement de prêts par l’association des diplômés.

Principales mesures du plan stratégique TEM 2012

·  Triple accréditation EQUIS, AACSB, AMBA (2010)

· Double diplôme ingénieur-manager avec Télécom Sud Paris (2010)

· Ouverture d’une salle des marchés (2010)

· 20 millions d’euros de budget (2012)

· Promotions de 300 étudiants dans le programme Grande Ecole (2012)

· 1 300 étudiants toutes formations confondues, dont 30 % d’étudiants étrangers (2012)

· 90 enseignants-chercheurs (2012)

· 100 apprentis (2012)

· 650 000 € de dépenses sociales par an (2012)

· 30 % de boursiers d’Etat (2012)

· 2 nouveaux Mastères spécialisés et 2 nouveaux Masters of science (2012)

· Développement et internationalisation de l’incubateur (2012)

· Signature de nouveaux accords de coopération internationale (2012)

www.telecom-em.eu/

Prix Cilac/Jeune chercheur en patrimoine industriel

Afin d’encourager la recherche et la valorisation du patrimoine industriel et les initiatives innovantes des étudiants dans ce domaine, le Cilac a décerné, vendredi 23 septembre 2011, le premier Prix Cilac/Jeune chercheur au projet « Usine des mémoires » de l’université d’Artois, consacré au site et aux anciens salariés de l’usine Penarroya-Metaleurop de Noyelles-Godault (Pas-de-Calais).

Le Prix Cilac/Jeune chercheur a vocation à rendre compte de la vitalité de l’enseignement et de la recherche, théorique et appliquée, dans le vaste champ du patrimoine industriel, scientifique et technique. Tout étudiant dans les domaines des sciences humaines et sociales, des sciences de l’ingénieur, de l’architecture, de l’urbanisme et des arts plastiques, de niveau master 1 et 2 et thèse, peut y candidater.

A l’issue du 16e colloque international, réuni du 21 au 24 septembre 2011 à Belfort, au cours duquel les candidats sélectionnés ont présenté leur travail, le Cilac a récompensé le projet de l’équipe Anachronique Symposium Committee intitulé « Usine des mémoires ».

Présenté par trois étudiants du Master 1 Mise en valeur du Patrimoine (université d’Artois) – Arthur Mettetal, Charlotte Delannée et Pauline Brunelot – ce projet a pour objet le site et les anciens salariés de l’usine Penarroya-Metaleurop de Noyelles-Godault (Pas-de-Calais).

« Usine des mémoires » a su séduire le jury par la solidité de sa démarche méthodologique, une approche pluridisciplinaire très originale et une collaboration étroite avec une association d’anciens salariés, Aced-Metallia. A partir d’une campagne d’archives orales menée par les étudiants auprès des anciens salariés de l’usine Penarroya-Metaleurop, deux photographes plasticiens ont réalisé une enquête balisée par les traces visibles et invisibles d’une histoire plus que centenaire, et à la
conclusion douloureuse. La démarche historique, documentaire et artistique, mêle images fixes et vidéo, d’hier et d’aujourd’hui, et les témoignages enregistrés et transcrits. Le projet donnera
lieu à une exposition présentant une lecture globale, documentée et documentaire, et artistique de l’histoire de la fonderie Penarroya-Metaleurop.

Le 16e colloque international du Cilac, intitulé Patrimoine industriel : nouvelles politiques urbaines et sens de la reconversion, était organisé en partenariat avec le laboratoire Récits de l’université technologique de Belfort Montbéliard et la direction générales des patrimoines
du ministère de la Culture et de la Communication.

Contact : Bernard André, secrétaire général du Cilac

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BeM et Esc Pau : naissance d’une dynamique régionale

Recomposition du paysage de l’enseignement supérieur avec la fusion des deux grandes écoles aquitaines : BeM (Bordeaux)
et le Groupe ESC Pau. Un processus validé par l’AG de la CCI Pau Béarn, le 2 mai 2012 et entériné par l’AG de la CCI de Bordeaux, présidée par Pierre GOGUET en présence de Patrick de STAMPA,
Président de la CCI de Pau Béarn, ce 15 mai. Prochaine étape, inscrire ce rapprochement dans la dynamique d’alliance BeM et Euromed Management (Marseille) qui figurent en bonne place dans les
écoles leaders sur un plan européen. De quoi changer radicalement l’environnement des business schools.

«Cette volonté régionale devrait renforcer notre présence dans le processus de fusion déjà bien engagé avec Euromed
Management»
explique Pierre GOGUET, Président de la CCI de Bordeaux qui rajoute «il s’agit de jouer la complémentarité et de capitaliser sur les spécificités des deux écoles, comme ont
su le faire, avec succès, nos homologues marseillais et toulonnais»
.

Ce nouvel axe Bordeaux/Pau et Biarritz en 2015 devrait contribuer à l’attractivité et au rayonnement des territoires et
faire de la région Aquitaine un véritable pôle d’excellence en matière de formation.

Une alliance au bénéfice des entreprises et des étudiants

Ce rapprochement «va permettre d’accroître fortement un ancrage sur le territoire tourné toujours plus vers les PME
pour répondre à leurs attentes de diplômés de qualité»
estime Patrick de STAMPA, Président de la CCI de Pau qui reprend «nous constituons ainsi un triangle d’or : Bordeaux, Pau et
Biarritz».

Par une approche pédagogique voisine et des intentions stratégiques comparables, cette fusion devrait augmenter le nombre
d’enseignants/chercheurs, renforcer la qualité de l’enseignement et surtout consolider un budget global qui ouvrirait des perspectives prometteuses.

Une situation actuelle qui évoluera rapidement à la hausse

BEM

ESC Pau

BEM/ESC Pau

BeM/ESC PAU/Euromed

Etudiants (TOTAL)

3 513

1 375

4 913

9 213

Enseignants-Chercheurs permanents

75

38

110

223

Budget (millions d’euros)

33

13

46

96

Partenaires internationaux

144

44

188

343

Accréditations

EQUIS, AACSB, AMBA

EPAS

EQUIS, AACSB, AMBA, EPAS

EQUIS, AACSB, AMBA

Campus

Bordeaux, Paris, Dakar

Pau, Fez, Bangalore et Biarritz (septembre 2015)

Bordeaux, Paris, Dakar, Pau, Fez, Bangalore et Biarritz (septembre 2015)

Bordeaux, Paris, Dakar, Marseille, Toulon, Marrakech, Shangaï-Suzhou, Pau, Fez, Bangalore, Biarritz (septembre
2015)

5 000 étudiants à BeM dès la rentrée 2014

Preuve de cette dynamique, la CCI de Bordeaux a engagé 40 M d’euros pour agrandir son école (bâtiment double de quelque
15 000 m²). Objectif : passer à 5 000 étudiants dès la rentrée 2014.

600 étudiants à Biarritz dès la rentrée 2015 qui s’ajoutent aux 1 467 étudiants présents sur le campus de
Pau

La CCI de Pau engage 20 M d’euros environ d’investissements (bâtiment de quelque 7 000 m2) pour renforcer son ancrage
territorial, sa notoriété internationale et ses partenariats importants avec l’Espagne.

Redistribuer les cartes dans le cercle international des Business Schools

Evoluer, s’adapter, mutualiser, gagner en visibilité et mieux déployer les ressources financières… telles sont les
motivations de cette fusion entre les deux business schools de Bordeaux et de Pau qui est un épisode complémentaire au processus de rapprochement entre BeM et Euromed Management intervenu le 16
janvier dernier.

Télécom Ecole de Management est accréditée AACSB pour 5 ans

Télécom Ecole de Management vient d’être accréditée par l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business) pour une durée de 5 ans. Il s’agit de la deuxième accréditation internationale obtenue par l’école en l’espace d’un an, après l’AMBA en 2011. En France, Télécom Ecole de Management est le premier établissement public d’enseignement supérieur à obtenir deux grandes accréditations internationales. Elle fait désormais partie des 14 business schools françaises doublement accréditées AACSB et AMBA : Audencia Nantes, Bordeaux EM, EDHEC, EM Lyon, ESCP Europe, Euromed Marseille, Grenoble EM, Groupe Sup de Co Montpellier, HEC, INSEAD, Reims Management School, Rouen Business School, Toulouse Business School et Télécom Ecole de Management.

Le positionnement original de l’école salué par l’AACSB

L’AACSB labellise la stratégie de Télécom Ecole de Management et la qualité de ses formations. Les auditeurs ont également souligné la pertinence du positionnement de l’école basé sur la double expertise en management et technologies. Cette originalité reprise dans la signature de l’école, Managing Through Technology, distingue Télécom Ecole de Management sur le marché standardisé des business schools.

Un établissement public parmi les 650 meilleures business schools du monde

En France, Télécom Ecole de Management est le premier établissement public d’enseignement supérieur à obtenir deux grandes accréditations internationales, l’AACSB et l’AMBA. « Il existe environ 12 000 busines schools dans le monde. Nous sommes fiers de faire partie des 650 meilleures
d’entre elles, accréditées par l’AACSB
, affirme Denis Lapert, directeur de Télécom Ecole de Management. Cela démontre que l’on peut conjuguer l’idée de service public, avec les exigences de la compétitivité internationale ». La mission de service public de Télécom Ecole de Management se matérialise par un modèle social performant avec 38% d’étudiants boursiers (51% en 1re année), un budget élevé de 14 000 euros investi sur chaque étudiant et un taux d’encadrement serré d’un professeur permanent pour 16 étudiants. L’école propose également la scolarité la moins chère parmi les business schools françaises : 5 000
euros par an à partir de la rentrée prochaine.

L’AACSB : un nouveau levier stratégique pour Télécom Ecole de Management

Avec l’AACSB et l’AMBA, Télécom Ecole de Management conforte sa place parmi les meilleures business schools françaises. L’AACSB offre à l’école une visibilité supplémentaire pour attirer davantage d’étudiants et professeurs internationaux de haut niveau, et développer ses alliances avec des universités prestigieuses. « Nous allons renforcer notre présence dans les grands clusters technologiques aux Etats-Unis, en Inde et en Scandinavie pour travailler sur deux axes : la création de valeur dans l’économie numérique et la réflexion critique sur la société de l’information. Nous privilégierons la qualité des partenaires plutôt que la quantité », affirme Denis Lapert.

L’AACSB apporte à Télécom Ecole de Management un soutien pour le lancement de ses nouvelles formations en 2012 : le Bachelor « Management and IT », l’Executive MBA « Leading Innovation in a Digital World » et le PhD (doctorat international) « ITEMAR – International Technologies and Management Research ».

L’AACSB permet à Télécom Ecole de Management de postuler à l’entrée du prestigieux classement du Financial Times des meilleurs masters en management.

Figurer parmi les 30 meilleures business schools européennes en 2016

Depuis la fusion de l’Institut Télécom et du Groupe des Ecoles des Mines le 1er mars 2012, Télécom Ecole de Management est la business school de l’Institut Mines-Télécom*, premier groupe d’école d’ingénieurs de France avec 144 millions d’euros de budget, 12 000 étudiants et 1500 enseignants-chercheurs.

Dans le cadre de son plan stratégique 2016, l’école vise le top 30 européen.

L’Institut Mines-Télécom regroupe les 4 écoles de l’Institut Télécom (Bretagne, Télécom Ecole de Management, Télécom ParisTech, Télécom SudParis ) et les 6 écoles des Mines sous tutelle du ministère de l’économie, des finances et de l’industrie (Albi, Alès, Douai, Paris, Nantes et Saint-Etienne ), soit 10 écoles d’ingénieurs et de management. Le groupe comprend également les deux filiales Eurecom et Télécom Lille 1 et compte l’Ecole des Mines de Nancy en tant que partenaire stratégique. Enfin, l’Institut Mines-Télécom a un réseau de 10 écoles associées : ENSEEIHT, Enseirb-Matmeca, ENSG, ENSIIE, ESIAL, ESIGELEC, IFMA, Sup’com Tunis, Télécom Physique Strasbourg, Télécom
Saint-Etienne.

www.telecom-em.eu

ANDèS

12 Mai 2007 :
Autonomie des universités versus autonomie des universitaires ? Quelle gouvernance est possible et souhaitable ?
une matinée ANDèS qui aura lieu le samedi 12 mai 2007 de 9h15 à 13h, Institut Henri Poincaré, 11 rue Pierre et Marie Curie 75005 PARIS.