La Fondation L’Oréal, en partenariat avec l’UNESCO et l’Académie des Sciences, vient d’annoncer l’ouverture de l’appel à candidature de l’édition 2019 des Bourses France L’Oréal-UNESCO Pour les Femmes et la Science. Comme chaque année, cet événement est l’occasion de mettre en avant le travail de femmes en lien avec les activités de recherche.
La Bourses France L’Oréal-UNESCO pour les Femmes et la Sciences
Créé en 2007, ce programme a pour objet de révéler et récompenser de jeunes chercheuses talentueuses. Au total, 230 jeunes femmes ont bénéficié d’une Bourse France L’Oréal-UNESCO Pour les Femmes et la Science depuis la création de l’événement.
En 2019, la Fondation L’Oréal remettra trente-cinq Bourses, dont au moins cinq seront exclusivement dédiées à des chercheuses effectuant leurs travaux de recherche dans les DOM-TOM :
d’un montant de 15.000 € chacune à des doctorantes,
d’un montant de 20.000 € chacune à des post-doctorantes.
Pour présenter sa candidature, une plateforme est mise à disposition. Vous y retrouverez le règlement des Bourses.
A noter que la date limite de dépôt des dossiers de candidature est le dimanche 14 avril 2019.
Retour aux sources pour Pascale Rus, cette ancienne de l’IGS RH assure depuis le 1er février 2019 la Direction générale Exécutive du Groupe IGS et de ses 8 filières de compétences, de ses5 pôles d’activitésqui accueillent chaque jour 14 200 apprenants.
Pascale Rus apporte au Groupe IGS son expérience du monde la distribution
Aux côtés de Roger Serre, Délégué général, Pascale Rus succède ainsi à Jean-Michel Perrenot qui continuera à faire bénéficier le Groupe de ses 40 années d’engagement et d’expérience, mais à un rythme moins soutenu.
Pascale Rus apporte au Groupe IGS et à ses différents pôles, sa grande expertise des RH, du consulting, du monde de la Distribution, des Médias et des nouvelles Technologies, qu’elle a acquise comme DRH à la FNAC et chez CONFORAMA.
Peut-être verra-t-on développer des liens étroits avec un grand nom du secteur, à l’exemple d’autres grandes écoles où des dirigeants de la grande distribution sont devenus très présents.
En 2012, elle avait intégré le Groupe Lagardère Active pour y exercer successivement la responsabilité de DRH puis celle de Secrétaire générale en charge des ressources humaines, de l’immobilier, du juridique, des moyens généraux et de la sécurité.
« En tant que Diplômée du Groupe IGS, j’ai toujours conservé un lien très fort avec la communauté IGS. J’ai eu le plaisir d’intégrer le comité d’orientation stratégique de l’IGS-RH en 2012 au sein duquel j’ai pu œuvrer au renforcement du lien entre formation et entreprise. Les valeurs d’humanisme, d’entrepreneuriat et de professionnalisme incarnées par le Groupe IGS sont depuis toujours inscrites au cœur de mon engagement professionnel et personnel et c’est avec une immense fierté que j’ai accepté ces responsabilités. »
Pascale Rus
« LeGroupeIGS s’engage quotidiennement au service de l’emploi et de l’avenir des jeunes en fédérant des universitaires et des praticiens qui contribuent àélaboreruneréflexionsurl’entrepriseetles métiersdedemain ».
L’objet de ce colloque qui est organisé à Paris – du 11 au 13 avril 2019 – est de présenter à la fois, de façon pluridisciplinaire, les relations qui régissent capitalisme, personnalité et culture, et de confronter diverses perspectives contemporaines sur le sujet.
Les effets du commerce et de l’industrie ont été un sujet de réflexion pour les philosophes, les dramatistes, et les commentateurs de la vie en société depuis l’Antiquité. Cette réflexion s’est accrue avec le développement des sociétés commerciales et capitalistes en Europe dès le XVIIIe siècle. Le théâtre, les œuvres romanesques, le développement de nouvelles théories politiques et sociales ont été la source des lumières au même titre que la philosophie. Au cours du XXe siècle, le cinéma et la télévision ont souvent débattu ces questions, qui continuent à susciter l’intérêt du grand public tout autant que celui du monde universitaire.
Le
programme est disponible sur le site d’inscription.
La Confédération des jeunes chercheurs (CJC), que l’on présente plus,se félicite du recul du gouvernement dirigé par Edouard Philippe concernant une éventuelle hausse massive des frais d’inscription pour les doctorants étrangers, suite au recours auprès du Conseil d’Etat que nous avions évoqué dans nos colonnes. Ce recul en appelle d’autres précise la CJC, pour les autres niveaux de diplôme. L’organisation espère cependant que cette annonce constitue un geste d’apaisement adressé aux jeunes chercheur-es, qui ouvre enfin la voie à de premières mesures s’attaquant à la précarité massive chez les jeunes chercheur-es.
Les faits dénoncés par la CJC
Le plan “Bienvenue en France” annoncé par le Premier ministre le 19 novembre 2018 prévoyait une multiplication par dix des frais d’inscription en doctorat pour les jeunes chercheur-es étranger-es non communautaires, passant de 380 € à 3.770 €. Les associations de jeunes chercheur-es réunies en assemblée générale de la CJC le 25 novembre 2018 s’étaient prononcées avec la plus grande fermeté contre ce projet[1].
Plusieurs mois de mobilisation dans les universités et organismes aux côtés de l’ensemble des organisations représentatives de l’enseignement supérieur et la recherche (ESR)[2] ont conduit une grande part des institutions de l’ESR françaises à rejeter sans ambiguïté ce projet, dans son principe comme dans ses conséquences prévisibles[3].
“Nous tenons à saluer, précise le CJC, les recommandations sur les doctorant-es de la mission de concertation sur ‘Bienvenue en France’. Après avoir auditionné la CJC le vendredi 8 février, celle-ci s’est ralliée aux arguments portés avec d’autres acteurs du doctorat en défendant dans son rapport l’exclusion des doctorant-es du périmètre de la hausse des frais, mais également la généralisation du titre de séjour “passeport talent chercheur” pour les doctorant-es, et des mesures pour sortir ces dernier-es « de la précarité et de l’illégalité ». La ministre a finalement annoncé ce dimanche 24 février 2019 dans un entretien au Journal du dimanche que le gouvernement renonçait à la hausse différenciée des frais d’inscription pour les doctorant-es, sans dire mot des autres recommandations concernant les doctorant-es, et tout en maintenant la mesure pour le reste des usager-es.”
Un projet qui reste néfaste pour les doctorants étrangers
La CJC reste fermement opposée au principe d’une différenciation des frais d’inscription sur la base de la nationalité, et le problème reste aujourd’hui entier pour les étudiant-es de licence et de master. La majorité des doctorants et doctorantes internationales viennent s’inscrire dès le master dans les universités, afin de s’insérer dans de meilleures conditions dans la recherche française. Le maintien de la hausse des frais au niveau master, en particulier, constitue donc encore un danger pour la démographie du doctorat et l’internationalisation de cette recherche. L’effondrement prévisible du nombre d’étudiant-es étranger-es en master réduirait d’autant le vivier international de recrutement en doctorat, si le gouvernement s’entêtait dans cette voie. La CJC participera donc aux prochains rassemblements prévus, notamment le mercredi 27 février à 12h devant le campus de Jussieu.
Un
premier pas vers le retour du dialogue
Ce geste d’apaisement en direction des jeunes chercheur-es constitue toutefois un premier pas vers le retour du dialogue. Alors que 30% des doctorant-es entament encore leur travail de recherche doctorale sans être rémunéré-es pour cela, et que les universités continuent à faire travailler une dizaine de milliers d’entre elles et eux avec le statut de vacataires d’enseignement qui les prive de la protection d’un contrat de travail, la CJC appelle le gouvernement à prendre enfin de premières mesures en faveur de la situation sociale des jeunes chercheur-es. Elle a déjà fait de nombreuses propositions en ce sens – contractualisation progressive de l’ensemble des doctorant-es, abrogation du statut d’agent temporaire vacataire… – et continuera de se mobiliser pour qu’elles se concrétisent.
Le Prix académique de la Recherche en Management, en partenariat avec la FNEGE, récompense les meilleures publications de recherche, ainsi que le meilleur ouvrage de management de l’année.
En 9 ans, ce Prix est devenu une référence
dans le monde académique, plébiscité par les chercheurs en sciences de gestion
qui considèrent son obtention comme une véritable opportunité de valorisation
de leurs travaux auprès du monde de l’entreprise et de développement de leur
notoriété.
Consult’in France, syndicat professionnel des
métiers du Conseil en Management et la FNEGE, vous invitent à participer à ce
concours dédié aux enseignants-chercheurs de l’enseignement supérieur, dont les
établissements sont localisés en France, quelle que soit leur nationalité.
Cette initiative a pour objectif de renforcer les liens entre la profession du
Conseil en stratégie & Management et le « monde académique » en favorisant
la rencontre d’Hommes et d’Idées neuves.
C’est aussi l’opportunité d’offrir une
fenêtre sur la profession et ses enjeux d’innovation aux professeurs des
options ou spécialités Conseil de dernière année d’études de master ou de
diplôme de Grande École.
Trois catégories de prix
selon vos thèmes de recherche :
«
Refonder la relation Entreprise et Société vers de nouveaux modèles de
croissance »
« Ré-inventer le Management »
« Accélérer la transformation digitale des
affaires et des organisations »
La remise des prix se déroulera en mai / juin 2019 (date à venir).
François Châtel et Thomas Froehlicher, respectivement Président et Directeur Général de Rennes School of Business ont dévoilé ce vendredi 7 décembre le nouveau plan stratégique et pédagogique 2018-2023 de l’École, à l’occasion de l’inauguration du nouveau campus international.
Rennes School of Business poursuit son développement réussi depuis plusieurs années. Son ADN international et son ancrage dans une métropole rennaise attractive et ouverte au monde lui permettent de figurer parmi les meilleures écoles de management.
L’ambition de
l’École à 5 ans : devenir l’une des business schools les plus novatrices
et multiculturelles en Europe. L’École entend doubler son budget (70 millions
d’euros en 2023), capter de nouveaux étudiants étrangers (+50%) de 100
nationalités différentes, étendre les programmes d’Executive Education (de 8 à
12% du budget) et favoriser l’alternance.
Une mission : explorer les nouveaux territoires
Rennes SB a dégagé 3
grands axes, 3 grands chantiers, 3 grands territoires :
Les nouveaux territoires de demain : appréhender les enjeux professionnels à travers des expertises distinctives, des cursus innovants et de nouvelles alliances d’excellence. Rennes SB a identifié 4 territoires d’excellence en collaboration avec l’International Scientific. Committee Thriving Through Complexity ǀ IA-Driven Economy ǀ Green, Data & Demand Driven Supply Chain Management ǀ Agri(o) Business
Les nouveaux territoires du monde : réinventer l’immersion des étudiants dans un contexte international tout au long de leur cursus
Les nouveaux territoires pédagogiques : réinventer le modèle d’éducation et de transmission du savoir des écoles de management.
L’École tient à
renforcer son ancrage dans l’écosystème régional en favorisant l’installation
sur son campus rennais de 7 grands partenaires internationaux (les deux
premiers partenaires provenant de Chine et d’Inde) en conjuguant cette présence
avec de nouvelles alliances stratégiques (IMT Atlantique, B<>Com,
Agrocampus Ouest, INRA), et en favorisant le multiculturalisme (parcours
immersifs bilingues, généralisation du double-diplôme PGE-MSc, lancement d’un
Global Bsc).
Un nouveau campus international
Pour accompagner ce
nouveau plan stratégique, Rennes School of Business a agrandi et transformé son
campus. Plus « smart » et plus centré sur les espaces de vie comprenant des
services à valeur ajoutée. Ce nouvel ensemble de 21 000 m² est composé
de 4 bâtiments d’enseignement, d’espaces de co-working, d’espaces extérieurs de
convivialité, d’un terrain de sport et d’une résidence pour accueillir les
étudiants internationaux.
Une nouvelle signature de marque
Le nouveau plan
stratégique 2018-2023 voit déjà plus loin et s’accompagne d’une nouvelle
identité de marque qui sera déployée plus largement à partir de mars 2019. Le
logo évolue légèrement et la signature de marque devient #Unframed
Thinking.
À propos de Rennes
School of Business
Rennes School of
Business est une école internationale de management située en Ille-et-Vilaine,
en Bretagne. Rennes School of Business, c’est la possibilité d’expérimenter des
pratiques diversifiées de management dans les différentes zones du monde et de
développer des compétences indispensables mises au service des entreprises.
École de management cosmopolite – 91 % des professeurs et 53 % des étudiants
sont internationaux – Rennes School of Business a pour mission de préparer des
managers responsables et innovants à agir efficacement dans un environnement
globalisé.
Accréditée EQUIS, AACSB, AMBA ǀ 4513 étudiants ǀ 260 universités partenaires sur les 5 continents.
Les fonctions commerciales et marketing évoluent et se transforment dans un contexte marqué par la globalisation et la digitalisation, c’est la raison d’être de ce nouveau Bachelor Digital Innovators. L’ICD et l’EPF anticipent pour répondre aux nouvelles demandes des entreprises en proposant aux étudiants une collection de Bachelors « Future Innovators ». Élaborés sur 3 ans, exclusifs, hybrides et professionnalisants, ils explorent les nouveaux territoires de développement des entreprises pour répondre aux demandes émergentes mondiales.
Le Bachelor Digital Innovators, ou comment former des experts du marketing 4.0
Former des spécialistes du marketing, capables de manier les données et d’introduire l’intelligence artificielle dans leurs actions, tel est l’objectif du nouveau Bachelor Digital Innovators créé par l’ICD et l’EPF. La révolution DATA que vit aujourd’hui le secteur du marketing, s’accompagne de l’émergence de nouveaux métiers pour lesquels des profils dotés de compétences hybrides en marketing et en informatique sont nécessaires. Le Bachelor Digital Innovators permettra à ces digital Marketeurs de demain de savoir collecter, valider, décrypter la DATA afin d’opérer une segmentation des marchés sur des bases statistiques et informatiques et de monter des campagnes de communication et marketing quasiment automatisées (blockchain, marketing automation) pour une meilleure fidélisation par du contenu et des offres personnalisées. Dans l’enseignement proposé par l’ICD et l’EPF une part importante sera également accordée à la créativité et la culture (art, design, cinéma…) afin de cultiver curiosité et ouverture sur le monde.
Le Bachelor Tech Sales Management devient le Bachelor Business Innovators
Premier né de la collection « Future Innovators » le Bachelor Tech Sales Management est aujourd’hui rebaptisé Business Innovators. Ce programme créé en septembre 2016, verra sa première promotion diplômée en juin 2019. Conçu dans l’objectif de proposer une formation unique à double compétence ingénierie et business, le Bachelor Business Innovators a pour vocation de former des spécialistes capables de développer, de gérer et de déployer la vente de biens et services techniques tels que du matériel, des équipements scientifique ou industriel ; des systèmes d’information ou de production, des services informatiques, de télécommunications, énergétiques et d’électricité à destination des entreprises, des collectivités territoriales ou des Etats, sur le marché national et international.
Ce bachelor est le premier résultat d’une hybridation totale entre formations polytechnique et commerciale pour former les managers des ventes technologiques de demain.
Les points forts des Bachelors Digital Innovators et Business Innovators :
Programme conjoint école de commerce / école d’ingénieur-e-s,
Cursus en 3 ans,
Semestre à l’international,
Enseignement 100% en anglais dès la 2e année,
Alternance en 3e année,
10 mois d’expérience professionnelle,
Une approche transversale,
Accessible aux bacheliers S, STI2D, STMG, ES et L spé Maths,
Inscription sur parcoursup.fr,
Poursuite d’études à Bac+5 programme Grande Ecole ou MBA à l’ICD. Possibilité d’intégrer le cycle ingénieur de l’EPF, sous réserve du niveau académique (soumis à étude du dossier et jury).
Pour une différenciation
« Nous avons décidé de co-concevoir des programmes différenciants qui allient stratégie et technicité fondés sur nos expertises respectives en commerce et en ingénierie. Ils permettent de répondre aux demandes croissantes des start-up et des entreprises investies dans des domaines d’activités à fort potentiel de développement » explique Benoît Aubert, Directeur de l’école ICD, International Business School,
«Le futur appartiendra à ceux qui se saisiront des opportunités d’un monde qui se réinvente sans cesse.C’est pourquoi nous avons conçu une collection de formations exclusives pour accueillir les grands défis technologiques et économiques de demain. Future Innovators s’adresse à celles et à ceux qui souhaitent écrire cet avenir » ajoute Jean-Michel Nicolle, Directeur de l’EPF, Ecole d’ingénieur-e-s.
« J’ai intégré le Bachelor Business Innovators en 2e année après une réorientation en prépa ingénieur. Je souhaitais faire une formation très concrète. Ce cursus est passionnant car il fait le lien entre deux mondes qui doivent se comprendre pour travailler ensemble. La double compétence de la formation permet d’une part d’apprendre à mesurer les besoinset les enjeux économiques à travers les enseignements «commerce», et d’autre part, à travers les enseignementsingénierieàcomprendre les technologies, leurs impacts et trouver des solutions techniques»souligne Laurène Armandon, étudiante 3e année Bachelor Business Innovator. »
Dynamiser les moments d’apprentissage et favoriser la mémorisation par le jeu. L’entreprise française Sparkup et l’ICD, école de commerce, de business développement et de marketing du Groupe IGS, annoncent la signature d’un partenariat pour permettre aux étudiants d’apprendre autrement et de devenir acteurs de leur parcours.
Avantages pour l’ICD
Un professeur de marketing qui peut à tout moment vérifier la bonne compréhension de ses enseignements. Des étudiants qui apprennent en s’amusant et osent poser des questions lorsqu’ils n’ont pas compris le cours. Un rêve aujourd’hui devenu réalité grâce à l’utilisation des outils collaboratifs Sparkup par l’ICD.
« Sparkup favorise un engagement cognitif plus fort de nos étudiants et une implication soutenue dansl’acte pédagogique » précise Benoît Aubert, Directeur de l’ICD, International Business School.
Sparkup, depuis 2017, réforme ainsi le monde du travail et de l’éducation grâce à son logiciel SaaS traduit en 17 langues et disponible dans 47 pays sera désormais utilisée par l’ICD lors de :
conférences
colloques
forums
journées Portes-ouvertes
cours
laboratoire
À tout moment pendant son cours, un professeur de l’ICD pourra vérifier la bonne compréhension de son discours. Les étudiants pourront, quant à eux, soumettre leurs questions à leur intervenant directement via leur ordinateur ou leur téléphone.
Sondages, votes, quiz, nuages de mots … : la plateforme Sparkup propose une quinzaine d’activités idéales pour rythmer une session de cours, capter l’attention d’un groupe et valider les acquis. De quoi renforcer la pédagogie et faciliter la mémorisation des messages.
Quelques usages de Sparkup
Sparkup est accessible par une simple Web App. Voici quelques-unes des fonctionnalités de l’outil et d’usages possibles :
Mur de questions : “Posez vos questions librement”
Il permet aux étudiants de poser leurs questions en temps réel sans interrompre le cours. Les questions apparaissent instantanément sur un écran et les participants peuvent voter pour les questions qui les intéressent le plus. Les professeurs peuvent également prendre quelques minutes à la fin du cours pour répondre aux interrogations et commentaires.
Brainstorming : “Quels sont les événements historiques majeurs de la période 1914 à 1990 ?”
Sur cette activité, les professeurs peuvent demander à leurs élèves de lister tous les événements qui leur viennent à l’esprit dans la période de l’Histoire étudiée. Cela permet aux enseignants de connaître leurs connaissances existantes. Ils peuvent en outre organiser rapidement les événements listés par période historique et débriefer des résultats.
Challenge : “Histoire du XXe siècle »
Le professeur peut, à tout moment sur un sujet donné, stimuler la participation et tester la mémorisation des élèves au travers d’un quiz de rapidité pour transformer son cours en intense compétition.
Pour Vincent Bruneau, CEO de Sparkup, « Le digital dans l’éducation permet de dynamiser les moments d’apprentissage. Un outil ludique commeSparkup favorise la mémorisation car le jeu a un pouvoir référentiel très important pour l’apprentissage.Pour les étudiants, utiliser un outil qui facilite le travail collaboratif est une opportunité d’être mieuxpréparé aux attentes et aux méthodes du monde du travail. »
Le Groupe IGS, expert de la formation et Nathan, acteur référent dans les domaines de l’éducation et de l’édition, s’associent pour accompagner les jeunes dans la réussite de leurs projets avec un enseignement connecté, original et performant. My e-BTS est un dispositif pédagogique, sur deux ans, qui articule 4 jours en entreprise avec 1 journée de formation en e-learning par semaine.
My e-BTS pour une autre approche
My e-BTS développe une expérience inédite qui s’appuie sur la combinaison de différents modes d’apprentissage : un cross-apprentissage avec des classes virtuelles, des manuels interactifs, des entraînements en ligne, des regroupements en présentiel, un coaching personnalisé et renforcé. La pédagogie multi-modale/blended learning correspond à un jour dédié au e-learning (à distance) avec un accès, espace en ligne 24h/24h. « Mye-BTS correspond à une volonté commune, avec Nathan, de trouver une solution adaptée pour des jeunes qui se trouvent à distance des centres de formation» souligne Jean-Philippe Leroy, Directeur Général Adjoint en charge de l’alternance et de l’apprentissage du Groupe IGS.
Le Groupe IGS collabore aujourd’hui avec plus de 9 000 entreprises. Plus de 89% de celles-ci sont prêtes à recruter un apprenant du Groupe IGS.
«Nous sommes fiers du lancement de “My e-BTS” qui concrétise l’aboutissement d’un projet pour lequel les équipes du Groupe IGS et Nathan ont œuvré de concert pendant plusieurs mois.Cette nouvelle offre s’inscrit parfaitement dans l’esprit des réformes en cours, et nous sommes convaincus que “My e-BTS” saura séduire aussi bien les étudiants que les entreprises à la recherche d’un modèle d’apprentissage différent et novateur.“My e-BTS” est aussi l’occasion pour Nathan d’aller plus loin encore dans l’accompagnement et la digitalisation des enseignements dispensés, tout en s’appuyant sur des contenus de qualité qui ont déjà fait de notre maison d’édition la référence leader en BTS » explique Sylvain Fayol, Directeur de Nathan Technique Supérieur Formation Adultes.
«Nathan apportetoutes les ressources dont il dispose pour l’enseignement des BTSà distanceen phase avecla dernière réforme de la formation professionnelle,et nous, notre connaissance du dispositif de l’alternance. Ce travail mené en commun nous a permis de donner à nos enseignants des cours de référence adaptés à la réforme des BTS et de se servir de cet enseignement en ligne pour aider aussi nos apprenants présents sur nos campus à avoir un support disponible à tout moment. Nous nous engageons par ce dispositif à maximiser leur réussite aux examens » précise Jean-Philippe Leroy, Directeur général adjoint en charge de l’apprentissage et de l’alternance.
L’ESSEC Business School et Samsung renouvellent leur partenariat et proposent une expérience pédagogique unique dans le nouveau ESSEC K‐Lab by Samsung.
Dans le cadre du renouvellement de leur partenariat lancé en 2014, l’ESSEC Business School et Samsung ont inauguré le nouvel espace rénové et modernisé : ESSEC K‐Lab by Samsung. Conçu comme un espace innovant et doté des dernières technologies développées par l’entreprise sud‐coréenne, l’espace est dédié à la diffusion du savoir et à l’expérience de nouveaux usages pédagogiques.
Le K‐Lab comme lieu de production pédagogique
Au cœur du campus de Cergy, le K‐Lab est un lieu de production de contenus pédagogiques et de partage de la connaissance ouvert à toute la communauté : étudiants, professeurs, membres du staff, alumni et partenaires entreprises. Espace de créativité, de partage et d’apprentissage, le K‐Lab permet à chacun de rencontrer l’expertise de l’ESSEC, de tester, développer, modéliser de nouvelles idées. Le Numérique nécessite de repenser la pratique pédagogique, aussi le campus devient le lieu d’un apprentissage augmenté où l’étudiant participe à de multiples expériences pédagogiques. Le « K‐lab by Samsung » s’inscrit au cœur de cette innovation pédagogique en favorisant des approches collaboratives et la pédagogie du learning‐by‐doing. Grâce à la technologie de pointe de Samsung disponible en libre accès, les étudiants peuvent créer, expérimenter, partager et donner vie à leurs projets de manière collaborative.
Le K‐lab by Samsung est un dispositif central dans la singularité pédagogique à l’ESSEC : il permet aux futurs entrepreneurs mais aussi aux 136 associations étudiantes de l’ESSEC de conjuguer savoir et savoir‐faire. Conçu comme un laboratoire de recherche expérimental, cet espace permet par ailleurs la création de contenus vidéo pour les MOOCs et l’e‐learning, et la mise à disposition d’outils de modélisation et d’impression 3D. Il est ainsi animé en permanence par des ateliers d’experts (ingénieurs pédagogiques, monteurs vidéos, case writer, professeurs…) et par des événements liés à la pédagogie ou à la recherche. Il offre aux étudiants une expérience pédagogique unique.
« Nous nous réjouissons du renouvellement de ce partenariat fructueux avec Samsung avec qui nous travaillons depuis plusieurs années déjà. Nous partageons des valeurs et des idées communes quant à la diffusion du savoir et des connaissances par les outils correspondants aux nouveaux usages pédagogiques que nous souhaitons voir se développer dans le monde académique », souligne ainsi Vincenzo Esposito Vinzi, Directeur général de l’ESSEC Business School.
En concluant ce nouveau partenariat, Samsung s’engage à équiper l’ESSEC et en particulier son K‐Lab pour les 3 prochaines années : paperboards digitaux Samsung FLIP, moniteurs, tablettes Galaxy Tab S3, casques de réalité virtuelle Gear VR et téléphones Galaxy S9 seront mis à disposition. Afin de mettre en valeur ces produits issus de technologies de pointe, Samsung a également participé à la modernisation des espaces du K‐Lab qui avait été inauguré à Cergy en décembre 2014.
« C’est avec beaucoup de fierté que nous renouvelons aujourd’hui notre partenariat avec l’ESSEC à travers un K‐LAB totalement réaménagé et rééquipé, qui proposera à des milliers de personnes (plus de 300 000 en 2017) une expérience collaborative innovante. En s’associant à l’ESSEC, Samsung démontre sa volonté de s’inscrire durablement dans l’excellence pédagogique en contribuant à la réussite professionnelle du plus grand nombre. Ce partenariat illustre parfaitement notre ADN : l’accessibilité de nos produits à tous », déclare Olivier Oger, Directeur des Ressources Humaines et de la Communication Interne de Samsung France.
Deloitte et ESCP Europe annoncent la création d’une nouvelle chaire « Economie circulaire & business models durables ».
Pour une spécialisation en économie circulaire
Elle a pour objectif d’étudier, identifier et expliciter les verrous qui empêchent les entreprises de déployer un modèle 100% circulaire, au sein même de leur organisation et au-delà (pouvoirs publics et éco-organismes, consommateurs), afin de déterminer les changements à engager et leviers à activer pour déployer tout le potentiel de l’économie circulaire.
Deloitte développe depuis plusieurs années une expertise forte et reconnue dans le domaine du développement durable et de l’économie circulaire. L’entreprise partage avec ESCP Europe, la conviction selon laquelle l’économie circulaire doit être pensée de manière collaborative. Si l’invention de ces nouveaux modèles est aujourd’hui un enjeu capital, la transition vers l’économie circulaire est en effet un processus complexe, qui demande une concertation et un effort conjoint d’un ensemble de parties prenantes : entreprises, investisseurs, acteurs publics, citoyens, « think-tanks » et experts, etc.
La convention conclue entre les partenaires, sous l’égide de la Fondation ESCP Europe, prévoit que les activités de la chaire s’articulent autour de 3 champs : recherche, événements, enseignement… pour faire de la Chaire un accélérateur d’innovations pour la transition vers l’économie circulaire et un acteur de la diffusion de bonnes pratiques dans l’univers managérial.
« L’économie circulaire constitue un changement de paradigme et une mutation majeure du capitalisme pour faire face aux grands enjeux du développement durable. C’est un changement managérial mais aussi culturel qui transforme notre rapport à la création de valeur, au progrès et à nos modes de consommation. Ce changement implique un rôle de leadership de la part des entreprises mais aussi des écoles de management » affirme Frank Bournois, Directeur Général de ESCP Europe.
Avec à sa direction les Professeurs Aurélien Acquier et Valentina Carbone, la Chaire rayonnera sur l’ensemble des six campus européens de l’école. « A travers cette chaire et notre collaboration avec Deloitte, nous souhaitons offrir plus de visibilité à ces questions au sein de l’école et dans son écosystème. L’économie circulaire interroge tous les métiers de l’entreprise et se situe au carrefour de la stratégie, de la gestion de la supply chain, de l’environnement, de la comptabilité, du marketing, du droit ou du design de produits. C’est aussi une question fondamentalement interdisciplinaire » précisent-ils.
« Au-delà de la compréhension la plus répandue de ce qu’est l’économie circulaire – bien recycler les matériaux pour leur donner une seconde vie – elle est le plus formidable moyen d’interroger la pertinence et la performance des modèles économiques de toutes les entreprises dans une perspective de développement durable » conclut Didier Livio, Associé responsable de Deloitte Développement Durable.
Le Financial Times vient de publier son Classement annuel mondial 2018 des programmes Masters in Management. Présente dans ce palmarès depuis sa création en 2009, SKEMA Business School se classe 25e sur 100 institutions pédagogiques internationales cette année et progresse ainsi de 10 places par rapport à l’édition 2017.
SKEMA Business School en progression
L’école SKEMA Business School était en effet au 26e rang en 2016, 35e en 2017 et reprend sa place à cette 25e place cette année. A noter, en guise de réflexion, que les périmètres changent, le nombre d’écoles, de même que les critères de classification.
SKEMA Business School se hisse également à la 5e place parmi les 25 meilleures Grandes Écoles françaises représentées.
Dans ce panorama mondial, SKEMA se distingue particulièrement sur plusieurs critères :
La mobilité internationale des étudiants (International Mobility): l’école gagne une place et se situe au 17e rang
Les objectifs atteints par les diplômés grâce à leur diplôme (Aims achieved): SKEMA progresse de 12 places et se situe au 20e rang mondial
La proportion d’étudiantes (Female students)en comparaison des étudiants : SKEMA se classe 13e
La féminisation du corps professoral (Female Faculty): SKEMA figure en progression de 4 rangs sur ce critère et se classe 21e
Une progression qui fait écho au modèle pédagogique que développe SKEMA et qui s’appuie sur les trois nouvelles académies autour desquelles se déploie désormais le corps professoral de l’école : innovation, globalisation, digitalisation.
Alice Guilhon, Directrice Générale de SKEMA et Présidente du Chapitre des Ecoles de Management de la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) se réjouit de ce résultat : « Si nous ajoutons à ce palmarès notre 4e place dans le dernier classement mondial du FT sur les formations en Finance (programme MSc Financial Markets and Investments), la pertinence de notre modèle se voit renforcée».
Christian Varinard est le nouveau directeur général de l’iaelyon – Université Jean Moulin à compter du 1er septembre 2018. Ce diplômé de l’iaelyon est depuis de nombreuses années engagé dans le développement de l’école universitaire de management. Il succède à Jérôme Rive dans cette fonction.
Christian Varinard, directeur général de l’iaelyon
Élu à la majorité absolue des voix (19 pour, 6 contre et 2 abstentions) le 18 juin 2018 par le Conseil de l’iaelyon réuni lors d’une séance extraordinaire, Christian Varinard a succédé à Jérôme Rive à la tête de l’iaelyon le 1er septembre.
Maître de conférences en systèmes d’information, Christian Varinard est membre de l’équipe de direction et directeur des études de l’iaelyon depuis plus de 10 ans. Ce diplômé de l’iaelyon est depuis de nombreuses années engagé dans le développement de l’école universitaire de management et a pour ambition d’en faire une composante de plus en plus reconnue du territoire, tournée vers l’international, orientée vers l’innovation et de ce fait, la référence universitaire incontournable de la recherche et de la formation en management au sein de la future Université de Lyon.
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