Meilleur ouvrage de management 2014 : Le Management des Réseaux par Christophe Assens

Le Prix Académique de
la Recherche en Management vise à récompenser les meilleures publications de recherche appliquée sur le management de l’entreprise et les déterminants de sa croissance et de sa pérennité, ainsi
que le meilleur ouvrage de management de l’année. Jeudi 3 avril 2014, Christophe Assens, Institut
Supérieur de Management-Université de Versailles, a reçu le Prix du meilleur ouvrage de management pour Le Management des Réseaux – tisser du lien social pour le bien être
économique
. Cet ouvrage consacré au management des réseaux, apporte des éclairages sur ces questions : Est-il possible d’adopter des comportements moins individualistes pour
produire des richesses ? Est-ce que la cohésion sociale est préservée dans l’entreprise par une gouvernance plus démocratique, dans des territoires à taille humaine, en multipliant les
collaborations de proximité ? Il établit les contours d’un nouveau modèle de capitalisme plus respectueux de l’aspiration sociale, sans sombrer dans l’utopie communautariste. Il explique comment
entretenir la croissance économique, en réconciliant les enjeux financiers avec le besoin de reconnaissance sociale.

Christophe Assens
analyse la problématique de son ouvrage
« Avec l’ouverture des frontières, l’essor des télécommunications et
la multiplication des alliances d’entreprises, nous portons notre attention sur le management des relations, qui devient aussi prédominant que le management des ressources ou des compétences. Or,
la gestion des relations est certainement l’activité la plus difficile à maîtriser, car il n’est pas simple de prévoir ou de contrôler les réactions d’autrui. Pour réduire les risques
d’incertitude dans le rapprochement des firmes, émerge une forme d’organisation au sein de laquelle les principes de confiance et de réciprocité vont prévaloir : le réseau. Après avoir défini
cette notion de réseau dans l’introduction de l’ouvrage, nous portons notre attention sur la manière de créer de la richesse économique à partir du lien de confiance : aux Etats-Unis, ce lien de
confiance se construit chemin faisant par l’expérience des transactions réussies sur le marché ; en Italie ce lien de confiance est pré-existant aux relations d’affaires entre entrepreneurs
familiaux ; en France ce lien de confiance est encadré par les pouvoirs publics, il se construit sur des bases politiques. Cet ouvrage invite ainsi à réfléchir aux stratégies de coopération
reposant sur la relation de confiance, notamment lorsqu’il s’agit de partager des connaissances pour innover ou lorsqu’il s’agit de relier les pièces d’un puzzle industriel disséminés à l’échelle
mondiale, ou lorsqu’il s’agit de faire preuve de solidarité pour défendre l’attractivité d’un territoire, ou les intérêts d’une communauté de pensée. Dans cette perspective, l’ouvrage est découpé
en trois grands chapitres. »

Le
Prix
Académique de la Recherche en Management
,  a été mis en place depuis 6 ans  par Syntec Conseil en Management, syndicat professionnel des métiers du Conseil en Management, soutenu par la Fédération Syntec dans le cadre de
la convention de coopération avec le Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche et des actions financées par la taxe d’apprentissage. A destination des équipes pédagogiques de
l’enseignement supérieur, professeurs, maîtres de conférences et chercheurs, le prix vise à récompenser les meilleures publications de recherche appliquée sur le management de l’entreprise et les
déterminants de sa croissance et de sa pérennité. Cette initiative a également pour but de renforcer les liens déjà existants entre la profession des consultants en management et le « monde
académique » dans son ensemble, notamment en favorisant la diffusion de ces publications.

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4e colloque international Fiscalité, Droit et Gestion, reporté au 6 et 7 décembre 2012

L’Institut de Gestion de Rennes (IGR-IAE)
&
l’Université Cadi Ayyad de Marrakech

organisent le 4e colloque
international 
Fiscalité, Droit et Gestion

sur le thème
« Dynamiques sociales et entreprises
patrimoniales et familiales : regards croisés Europe – Maghreb »

Prévu initialement les 28 et 29 juin à Marrakech, le colloque a été reporté au 6 et 7 décembre, toujours à Marrakech

 

Lieu du colloque
Les informations
sont disponibles sur le site de l’IODE :
www.iode.univ-rennes1.fr

Bien s’associer pour mieux entreprendre

Devenir son propre patron, c’est le rêve de beaucoup d’entre nous ! Et pour le concrétiser, on
envisage souvent de s’associer avec une personne de confiance : un ami, son conjoint, un ancien collègue… Certes, l’amitié est là… Mais après ? Que se passera-t-il si l’entente et la vision de
l’entreprise ne durent pas ?

Grâce à cet ouvrage, très riche en
témoignages, vous aurez toutes les clés pour partir sur de bonnes bases. Apprenez comment…

Trouver le
bon associé :
 comment tester la compatibilité entrepreneuriale avec votre potentiel associé ? Quelles sont les bonnes questions
à se poser ?

Démarrer dans
les règles de l’art :
 quels statuts (SARL, SAS…) ? Comment faire un pacte d’associés ? Quelle est la juste
rémunération ?

Ajuster la
relation avec son associé :
 préserver le vivre ensemble, apprendre la négociation raisonnée, développer son
assertivité…

Se séparer en minimisant la casse
 si les chemins de vie
divergent.

Commander 

http://www.editionsleduc.com/images/thumbnails/0000/1381/Bien_s_associer_pour_mieux_entreprendre_large.jpg?1355995103

Le principe « silence de l’administration vaut accord » adopté à l’unanimité au Sénat

Marylise Lebranchu, Ministre de la réforme de l’Etat, de la décentralisation et de la fonction publique, se félicite de l’adoption à l’unanimité par le Sénat du projet de loi
habilitant le gouvernement à simplifier les relations entre l’administration et les citoyens par ordonnances.

Le Sénat a notamment voté l’amendement du gouvernement instaurant le principe selon lequel le « silence de
l’administration vaut accord », emblématique du « choc de simplification » souhaité par le Président de la République. Cette révolution juridique facilitera et accélérera les projets de
développement publics ou privés et améliorera la réactivité des services administratifs en charge de veiller au respect des procédures légales.

Le texte voté au Sénat prévoit, en outre, l’instauration d’un droit de saisine de l’administration par courrier
électronique et la codification de toutes les règles non contentieuses régissant les relations des citoyens avec l’administration.

Marylise Lebranchu a rappelé devant les sénateurs que « le
choc de simplification annoncé par le Président de la République le 28 mars 2013 est au cœur de l’amélioration de la compétitivité hors coût de notre pays, comme l’ensemble de la démarche de
modernisation de l’action publique. Nous avons besoin d’une action publique forte, au service du quotidien et de l’avenir des Français, sur tous les territoires. Elle sera d’autant plus forte et
efficace qu’elle sera simple et coordonnée.
»

 

Après le projet de loi habilitant le gouvernement à adopter des mesures législatives pour accélérer les projets de
construction porté par la Ministre de l’égalité des territoires et du logement, il s’agit du deuxième texte autorisant le gouvernement à procéder par ordonnances pour simplifier les normes et les
démarches administratives. L’assemblée Nationale examinera ce projet de loi à l’automne.

republique-francaise

L’avenir professionnel des jeunes : une mobilité revendiquée mais difficile à assumer !

  • Près d’un jeune actif sur deux estime ne pas avoir recours à sa formation universitaire dans l’exercice
    de son travail (45%)
  • 52% des jeunes actifs jugent rétrospectivement avoir été bien préparés à leur entrée sur le marché du travail
  • Au final, « si c’était à refaire », 60% des jeunes Français portent un regard positif sur leur parcours scolaire
  • La majorité des jeunes interrogés envisagent leur carrière dans les limites d’un même secteur d’activité (63%), la moitié d’entre
    eux la conçoive dans une même profession (54%) et uniquement 30% s’imaginent évoluer au sein d’une même entreprise
  • 88% des moins de 20 ans et 91% des étudiants et lycéens se disent prêts à changer de région, et 70% des premiers sont disposés à
    déménager à l’étranger, de même que 77% des seconds
  • Les trois quarts des moins de 30 ans préfèreraient attendre de trouver un emploi avant de rechercher un logement (78%) et sont prêts
    à déménager pour se rapprocher de leur lieu de travail (74%)
  • 66% des jeunes interrogés déclarent pouvoir renoncer à un poste en raison de l’éloignement géographique, et 21% ont déjà été amenés
    à le faire.

Rumeur Publique Prospective annonce aujourd’hui les résultats de son enquête réalisée par l’Ifop sur les jeunes âgées de 18 à 30 ans et leur
perception du monde du travail, de la mobilité professionnelle et des problématiques de logement.

Un décalage important entre les attentes des étudiants et la réalité de
l’emploi

En France, près d’un jeune actif sur deux estime ne pas avoir recours à sa formation universitaire dans l’exercice de son travail (45%).
Pourtant, paradoxalement, plus des trois quarts des jeunes sur le point d’entamer leur vie active imaginent qu’ils vont occuper un poste qui leur permettra d’appliquer leurs connaissances
scolaires (79%). L’inadéquation entre le métier et le cursus scolaire est très flagrante chez les moins de 21 ans, ils sont 60% à faire ce constat. On observe que plus d’un bachelier sur deux
partagent cet avis (52%), contrairement aux détenteurs d’un diplôme supérieur (36%).

Les jeunes encore scolarisés ou à la recherche d’un premier emploi se disent majoritairement confiants dans leurs chances de trouver un poste
correspondant à leurs souhaits (61%) courte majorité de jeunes actifs donnent raison à cet optimisme, 56% des jeunes sur le marché du travail déclarent occuper un poste conforme à leurs souhaits
d’étudiants.

Les étudiants et les jeunes actifs se rejoignent sur une appréciation mitigée de la qualité de la préparation à la vie professionnelle durant le
temps des études. 52% des actifs jugent rétrospectivement avoir bien été préparés à leur entrée sur le marché du travail, et 49% des étudiants et inactifs déclarent se sentir armés pour une telle
étape. La majorité des jeunes cadres (69%) et des actifs diplômés d’études supérieures avancées (61%) partagent le sentiment d’avoir été bien préparés à leur entrée dans la vie active.

Au final, « si c’était à refaire », 60% des jeunes Français portent un regard positif sur leur parcours scolaire. Néanmoins, si plus de trois
quart des étudiants et lycéens choisissaient le même cursus (77%), seule une courte majorité de jeunes actifs suivraient la même voie (56%). Les plus jeunes sont peu nombreux à reconsidérer leur
formation, pour beaucoup encore inaboutie : 72% des moins de 20 ans ne changeraient pas de cursus. Avec les années, les jeunes sont pourtant moins catégoriques : près de la moitié des 25-30 ans
opteraient pour des choix différents (51%). De manière attendue, les jeunes actifs au chômage (74%) ainsi que ceux à la recherche d’un premier emploi (57%) sont plus nombreux à se remettre en
question.

Une vision dynamique de la carrière, ouverte sur d’éventuelles
réorientations

La majorité des jeunes interrogés envisagent leur carrière dans les limites d’un même secteur d’activité (63%), la moitié d’entre eux la conçoive dans une même profession (54%) et uniquement 30% s’imaginent évoluer au sein d’une même entreprise. Les étudiants et
lycéens se projettent essentiellement dans un secteur d’activité unique (73%) et dans une même profession (61%).
Toutefois, seul un
lycéen ou étudiant sur cinq envisage une carrière au sein d’une même entreprise (21%). Enfin, logiquement, les jeunes actifs au chômage ou ceux à la recherche d’un premier emploi imaginent plus
aisément une carrière ouverte sur plusieurs secteurs, professions et entreprises.

Cette vision dynamique de la carrière professionnelle s’incarne dans un positionnement très favorable à la mobilité professionnelle sectorielle
et géographique. 83% se disent prêts à changer de métier pour des raisons professionnelles et 17% l’ont déjà fait. Presque autant sont disposés à changer de région (79%), et 25% ont déjà été
amenés à le faire. Dans une moindre mesure, 61% des jeunes interrogés seraient disposés à déménager à l’étranger et 11% ont déjà pu vivre cette expérience. Les plus jeunes sont plus ouverts à une
mobilité géographique régionale et internationale que leurs aînés. 88% des moins de 20 ans et 91% des étudiants et lycéens se disent prêts à changer de région, et 70% des premiers sont disposés à
déménager à l’étranger, de même que 77% des seconds. A l’inverse, à l’approche de la trentaine et plus installés dans la vie, les 25-30 ans sont plus réservés que leurs cadets quant à un
déménagement en France (71%) et d’autant plus vers un autre pays (53%).

Le salaire est la première motivation des jeunes actifs et étudiants disposés à une éventuelle réorientation professionnelle (67%), suivi du
poste proposé (55%), et du secteur d’activité (36%). Les jeunes interrogés, se déclarant disposés à la mobilité géographique, changeraient de région avant tout pour un meilleur poste proposé
(67%) ou un meilleur salaire (63%). Ceux prêts à déménager à l’étranger considèrent avant tout l’argument de la rémunération (67%), avant celui du type de poste (61%). De plus, l’envie de vivre
dans cette région (55%) ou dans ce pays (60%) reste un facteur primordial de choix.

La majorité des jeunes interrogés ne font pas preuve d’un grand intérêt pour l’entreprenariat puisque 57% d’entre eux n’ont jamais pensé à créer
leur propre entreprise. Un tiers d’entre eux considèrent cette opportunité à moyen ou long terme (32%), et 11% l’envisagent à court terme. De manière attendue, les jeunes de catégories
socioprofessionnelles supérieures sont plus enclins à se tourner vers la création d’entreprise (64%) que l’ensemble des interrogés (43%). A l’inverse, les moins de 20 ans (32%) ainsi que les
étudiants et lycéens (28%) manifestent peu d’intérêt pour la création d’entreprise (32%).


Des situations de logements divergentes selon l’âge et l’occupation

L’étude dresse un portrait de la situation en termes de logement des jeunes : 36% des jeunes de moins de 30 ans interrogés sont locataires de
leur logement et 32% d’entre eux vivent encore chez leurs parents. Une minorité (16%) est propriétaire de leur logement, 6% vivent en colocation et autant sont logés à titre gratuit alors que
seul 3% occupent un logement universitaire.

Sans surprise, la majorité des moins de 21 ans (61%) et des étudiants et lycéens (52%) vivent chez leurs parents, de même que 72% des personnes
interrogées à la recherche d’un premier emploi. Près de la moitié des jeunes en emploi sont locataires (45%) et un quart d’entre eux sont propriétaires (25%). De plus, de par l’irrégularité du
marché immobilier, les jeunes de région parisienne sont plus nombreux à habiter encore le domicile familial (46%), contrairement à ceux de province (28%).

A noter également que le choix du mode d’habitation relève autant d’un choix personnel (51%) que de raisons financières (49%). 62% des jeunes
interrogés choisissent leur lieu d’habitation selon des considérations pratiques (proximité du lieu de travail,…) tandis que 38% suivent des préférences personnelles.

La corrélation entre le logement et l’emploi s’avère particulièrement importante pour les moins de 30 ans. Les trois quarts d’entre eux
préfèreraient attendre de trouver un emploi avant de rechercher un logement (78%) et sont prêts à déménager pour se rapprocher de leur lieu de travail (74%).

La grande majorité des jeunes résidant chez leurs parents (87%) et des moins de 21 ans (91%) souhaiteraient trouver un emploi avant de
rechercher un logement, ce qui est également le cas pour ceux à la recherche de leur premier emploi (91%). La plupart des jeunes n’ayant pas encore entamé leur vie professionnelle se disent
disposés à déménager pour se rapprocher de leur futur lieu de travail (90% des lycéens et étudiants et 85% de ceux à la recherche d’un premier emploi). Au contraire, ceux qui sont propriétaires
de leurs logements sont moins nombreux exprimer de telles dispositions (61%). De plus, 66% des jeunes interrogés déclarent pouvoir renoncer à un poste en raison de l’éloignement géographique, et
21% ont déjà été amenés à le faire. La distance entre le lieu de travail et le domicile peut devenir un motif de refus d’un emploi pour une majorité des 25-30 ans (69%) et des actifs (66%) déjà
installés professionnellement.

Les jeunes Français de moins de 30 ans estiment que les premiers critères pour décrocher une embauche sont l’expérience (62%) et les études ou
les qualifications (53%) du candidat. 49% mettent en avant les qualités personnelles. Le réseau et les relations apparaissent nécessaires pour un tiers des interrogés (33%), ce qui s’explique,
entre autres, par un marché du travail particulièrement fermé dans le contexte de crise économique actuel. Autant soulignent l’importance de la possession d’un véhicule (33%), alors que 26%
insistent sur la flexibilité du demandeur d’emploi et seuls 7% des personnes interrogées évoquent le fait d’avoir un logement.

 


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Nomination au Groupe ESC Chambéry Savoie

M. Mouloud Madoun vient de prendre ses fonctions au poste de Directeur de la recherche et de l’internationalisation. A la tête d’une équipe composée de douze enseignants-chercheurs docteurs et de six doctorants en sciences de gestion, il entend renforcer l’activité de la recherche en management. Fort de ses expériences et de ses compétences dans la gestion des ressources humaines, le management de la qualité, le management interculturel, il a pour mission d’accompagner le Groupe ESC Chambéry Savoie tant au niveau de la production de recherche que du développement des relations internationales.
www.esc-chambery.fr

14e édition du Forum des Télécommunications

Le 23 février 2006 de 9h à 19h, à Paris Expo – Porte de Versailles (Paris – France)

Télécom Paris, Telecom INT et INT Management s’associent à nouveau afin d’organiser un événement majeur en matière de recrutement : le Forum des Télécommunications. Le succès de ce grand salon de recrutement tient en un mot : diversité. Cette année de nombreuses entreprises du secteur audit/conseil, comme Accenture, Pricewaterhouse Coopers, Alten, Ernst & Young, Devoteam, Mazars entre autres, ainsi qu’un nombre important de SSII, dont Capgemini, CSC, Net2S, Steria, seront présentes sur le Forum. Il accueillera aussi diverses banques : la Société Générale , JP Morgan, BNP Paribas et le Crédit Agricole. De grands groupes seront présents, tels EADS, Renault, Microsoft, ainsi que des opérateurs télécoms.

Le Forum permet également aux visiteurs de s’informer sur divers sujets d’actulalité, notamment lors de conférences. Tout au long de la journée seront traités les thèmes de : la création et le développement d’entreprises innovantes, l‘utillité d’un 3e cycle après une Grande École, le business du haut débit sans fil, la communication et la sensibilisation autour de la sécurité, le conseil en stratégie.

www.telecomint.fr
www.intmanagement.fr

Un plan 2005–2010 pour HEC

« Dans un environnement international devenu plus concurrentiel, un changement d’échelle est apparu nécessaire. Il passe aujourd’hui par la redéfinition d’un projet pédagogique fort et innovant qui capitalise sur les nombreux atouts d’HEC pour en faire l’unique école tricontinentale Amérique-Asie-Europe », souligne Pierre Simon, Président de la CCIP. Pour Bernard Ramanantsoa, directeur général du groupe HEC, « le rayonnement d’HEC passe par un accroissement sensible des effectifs du corps professoral, le renforcement de l’effort de recherche et par la mise en œuvre d’alliances avec les meilleures institutions mondiales dans le domaine du management. »
Consciente de ses responsabilités vis-à-vis des étudiants de toutes origines, l’école va offrir des bourses dès le lycée à des élèves en mesure d’intégrer les classes préparatoires. Parallèlement, HEC favorisera une politique de recrutement destinée aux pays en développement. Enfin, l’école va mettre en place des programmes d’aide à l’entreprenariat social. Cette volonté de conjuguer excellence académique, et ouverture sur la société tient dans la notion de « performance responsable » que défend HEC.
Certains bâtiments seront rénovés et de nouveaux seront construits. L’investissement immobilier s’élève à 100 millions d’euros sur 7 ans, auxquels s’ajoutent des crédits supplémentaires de fonctionnement de 20 millions d’euros répartis entre 2006 et 2010.

Lab.RII

Constitution d’un grand pôle recherche en GESTION au sein du Lab.RII
Le CEMCO fusionne avec les gestionnaires du GREEL-PME pour donner naissance au CERME
, Centre d’études et de recherche en management et entrepreneuriat
directeur : Eric VERNIER
directeur adjoint : Gérard DOKOU (directeur du Groupe de Recherche sur l’Ingéniérie Managériale et Entrepreunariale GRIME/CERME-Lab.RII)
Prochain séminaire du CERME : le 23 mars 2006 à 17h30 avec la présentation d’une base de données financières par Mme Konrat de la société Fininfo ; puis une communication de Godefroy KIZABA, MCF Univ. Valenciennes, membre du CERME.

Retrouvez sur http://rii.univ-littoral.fr les dernières nouvelles du Lab.RII.

Première revue francophone de management – Revue gestion REVUE GESTION Revues de Gestion