La gestion des contrats internationaux

Conférence
« La gestion active des contrats internationaux : Aspects pratiques, juridiques et Arbitrage » le jeudi 31 Mai 2007
de 19h15 à 20h45 avec la participation de Mireille BOUZOLS-BRETON, Alain BRUNET, Frank CESAR et Christian CAMBOULIVE. Débat animé par Bénédicte
Merle,
dans les
Salons de la Maison des Arts et Métiers, 9 bis, avenue d’Iéna 75116 Paris Tél. 01
40 69 27 00.

Inscription avant le lundi 28 Mai 2007

Institut Europlace de Finance (EIF)

Les 5es Rencontres Scientifiques Internationales de l’Institut Europlace de Finance (EIF) se dérouleront le 12 juin 2007 aux Salons Hoche à Paris. Elles mettront en présence des experts de
renommée internationale – professionnels et membres du conseil scientifique de l’EIF – qui débattront des thèmes des travaux de recherche soutenus par l’Institut Europlace de Finance.
Trois sessions seront consacrées :
– à la régulation des marchés,
– à la gestion de portefeuilles et
– aux nouveaux produits financiers liés aux nouveaux risques.
– Une table ronde sur les enjeux et les projets du Pôle de Compétitivité “Industrie Financière – Technologies et Innovation” sera également un des points forts de cette journée. Elle sera animée
par les acteurs professionnels et universitaires promoteurs du pôle.
Enfin, pour clôturer la journée, Monsieur Christian Sautter, Adjoint au Maire de Paris, récompensera, lors de la remise des Prix “Institut Europlace de Finance (EIF)”, les deux meilleures publications parues dans les meilleures revues internationales au cours de l’année 2007, ainsi que le meilleur jeune chercheur en finance.
Cette manifestation s’adresse à l’ensemble des acteurs européens et internationaux de la recherche en finance, professionnels et chercheurs du monde académique.

ACIES au Salon Européen de la Recherche

Paris Expo, Porte de Versailles – Hall 7.1,
stand M50.

Du 7 au 9 juin 2007, ACIES, Conseil en Management et Valorisation de la Recherche, sera présente sur le Salon
Européen de la Recherche et de l’Innovation (Hall 7.1, stand M50). A cette occasion, ACIES présentera son expertise dans ses 2 domaines de compétences que sont : « Management de Réseaux et
Projets de Recherche » et « Financement de la Recherche et de l’Innovation ».

Enfin,
sera mis à disposition du public le nouveau numéro de la Lettre de la Valorisation de la Recherche, édité à 25000 exemplaires, avec un dossier spécial « La Santé à l’heure des nouveaux Outils de
Structuration et de Financement pour la Recherche ».

Alignement stratégique

DFCG Côte d’Azur présentera le dernier ouvrage de la Collection DFCG : L’Alignement stratégique
Créer des synergies par le Tableau de Bord prospectif, traduction de l’ouvrage de Robert S. Kaplan et David P. Norton, le jeudi 31 mai 2007 à 18h30 à l’EDHEC Nice, Amphi 002 (nouveau
bâtiment)400, Promenade des Anglais 06202 Nice. Cette présentation sera co-animée par Danielle Feunteun (membre du Comité Exécutif et Directeur de la Collection DFCG), elle a dirigé la
traduction de l’ouvrage, et Pierre-Laurent Bescos, Professeur de Contrôle de Gestion à l’Edhec Nice. Cette conférence sera suivie d’un cocktail

Créer son entreprise

Les clés pour passer à l’action : Comment lever des fonds ? Comment trouver la bonne idée ? Comment bien s’entourer ?
Un Grand Débat ESCEM Pro est organisé jeudi 14 juin 2007 de 18H30 à 21H00 au MEDEF, 55 avenue Bosquet 75007 Paris
(Métro Ecole Militaire) avec les témoignages de
Olivier de Bosredon, Président de Kios’n Co, Fondateur
du Parc Astérix ; Frédéric Granotier, Co-fondateur et Directeur général délégué de Poweo ; Nicolas Verdier, Président de Paperblog ; Marc Reeb, Co-Fondateur de Viadeo,
Agregator, Fairvalue ; Max Berthé, Fondateur de MB Conseil et Professeur à l’ESCEM. Un cocktail dînatoire suivra le débat.

La DFCG sur ProgiForum 2007

Sur ProgiForum 2007, le mardi 5 et le mercredi 6 juin à Paris-Expo – Porte de Versailles (Paris), quatre conférences sont organisées sous l’égide de la DFCG :

CONFERENCE 1 : 5 juin de 9h15 à 10h30
Le décisionnel pour changer nos vies : prévoir juste, mieux et plus vite !
                  – Comment concilier les problématiques fonctionnelles et technologiques ?
                  – Quels nouveaux systèmes de pilotage et de prévision ?
CONFERENCE 2 : 5 juin de 14h00 à 15h15
Les PME face aux nouveaux défis financiers
                  – Les normes IFRS – Contrôle Interne : les PME sont-elles concernées ?
                  – ERP, PME et stratégie d’entreprise.
CONFERENCE 3 : 6 juin de 9h15 à 10h30
Système d’information, performance et gains de productivité : au-delà d’une stratégie, une nécessité pour tous
– Comment construire un SI aux fonctionnalités performantes, conviviales, techniquement proches du terrain et ce, à moindre coût de déploiement et de maintenance ?
– Refonte ou mise à jour du SI : comment augmenter les chances de succès opérationnel et financier de tels projets ?
CONFERENCE 4 : 6 juin de 14h00 à 15h15
Réduire son BFR et ses risques financiers : quelles solutions performantes ?
– Comment le DAF peut-il s’extraire de son quotidien pour penser la solution idéale « pour mon entreprise » ?
– Quels sont les meilleurs outils d’optimisation de l’actif clients et des flux financiers ?

Plan de Business Européen de l’année

Cette année, le rendez-vous pour la Compétition internationale du Plan de Business Européen de l’année – European Business Plan of the Year Competition (EBPYC) se déroulera à l’Université
Bocconi (Italie) les 14 et 15 juin 2007. La SDA Bocconi et ENTER (le centre de recherche de Bocconi), en collaboration avec le Financial Times, et soutenus par la fondation Emmanuel Faye
ainsi que par 360 partenaires majeurs, vont accueillir à Milan cette compétition.

Créé conjointement par l’INSEAD et la London Business School en 1993, l’EBPYC a pour dessein d’encourager l’enseignement de l’entreprenariat et la création de nouvelles
entreprises. Après dix éditions, l’EBPYC devient une fondation indépendante gérée de concert par les écoles participantes. Cette fondation est administrée par un bureau formé de l’organisateur de
l’édition de l’année précédente, celui de l’année en cours et celui de l’année à venir.
Chaque école participante sélectionne pour la compétition un Business Plan pour un nouveau business, conçu par une équipe de 4 élèves actuels en MBA ou d’élèves qui préparent un Bachelor. Ces
« étudiants actuels » comprennent ceux qui ont été recrutés au cours de l’année académique 2006/2007, que ce soit à temps plein ou temps partiel. L’équipe de chaque école présente son
Business Plan à un panel de juges internationaux chargés de se prononcer sur le vainqueur.
 
The schools participating in the EBPYC are
ALBA (Athens Laboratory of Business Administration), Greece
Cranfield School of Management, England
EM Lyon, France
Helsinki School of Economics, Finland
IESE, Spain
Imperial College, England
INSEAD, France
London Business School, England
Rotterdam School of Management, Netherlands
SDA Bocconi, Italy
Stockholm School of Economics, Sweden
Vlerick Management School, Belgium

WHU Koblenz, Germany 


paolo.morosetti@unibocconi.it

7e PCRD

Pour présenter au mieux les domaines d’intervention du Pôle Projets Européens et les opportunités offertes par le 7e PCRD (Programme Cadre de Recherche et Développement) de la Commission
Européenne, un petit déjeuner d’information est organisé selon le thème « Opportunités des programmes européens », le mercredi 27 Juin 2007 de 9h à 10h30 à la CCI Essonne.

 
L’équipe du Pôle Projets Européens

CCI Essonne
Tel. +33 1 60 79 90 30
europe@essonne.cci.fr

La gouvernance des universités

Madame la Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a souhaité rencontrer le bureau de la Conférence des Grandes Ecoles dans le cadre de la préparation de la loi
d’autonomie des universités. La réunion a eu lieu le 30 mai 2007.
Le Bureau de la CGE, lors de sa séance du 5 juin, se réjouit de la priorité donnée par Madame la Ministre au traitement rapide de la question difficile de la gouvernance des universités.
Comme universitaires pleinement en prise avec la compétition internationale, nous constatons combien les éléments actuels de la gouvernance des universités issus des rigidités de la loi de 1984
peuvent entraver leur développement, dans un contexte devenu beaucoup plus ouvert et exigeant quant à la performance collective et à la réactivité des organisations.
Les membres de la Conférence des Grandes Ecoles ont une longue pratique de l’autonomie de la gouvernance, dans des institutions historiquement construites sur des principes d’indépendance et de
fonctionnement universitaire. Certains de ces établissements sont des EPSCP de plein exercice, dont les succès nationaux et internationaux sont largement reconnus ; d’autres sont bâtis sur les
mêmes principes, sans en avoir le statut administratif. La variété même de ces statuts est une richesse, qui manifeste les différentes options possibles de l’organisation universitaire autonome.

La Conférence des Grandes Ecoles est à l’entière disposition du Ministre et des équipes chargées de préparer la loi, pour partager son expérience de l’autonomie de la gouvernance
d’institutions universitaires. Le Bureau de la CGE mandate plus particulièrement MM. Hervé Biausser, Directeur de l’Ecole Centrale Paris, et Alain Storck, Directeur de l’INSA de Lyon, pour
participer au travail de préparation de la loi.

Organisation de la nouvelle université

La Confédération des Grandes Ecoles estime que le projet de texte portant organisation de la nouvelle université comporte des avancées résolument
positives propres à doter les établissements d’enseignement supérieur et de recherche français des moyens leur permettant d’assumer leurs missions fondamentales et de faire face à la compétition
internationale. Certaines dispositions de ce projet ont d’ailleurs été expérimentées depuis longtemps et avec succès par les Grandes Ecoles ; d’autres, tout aussi positives, mériteraient
certainement de ne pas être limitées aux seules universités, mais d’être étendues à l’ensemble des EPSCP.
 
La gouvernance des universités (titre III)
Les nouvelles dispositions relatives aux trois conseils favoriseront le fonctionnement des universités grâce à une gouvernance plus resserrée.
Soulignons notamment :
la limitation à 20 du nombre des membres du Conseil d’Administration, même si le poids
des personnalités extérieures à l’établissement (35%) est encore insuffisant.
le renouvellement possible du mandat du Président, ainsi que l’extension de certaines
de ses prérogatives (telles que le droit de véto dans les processus de recrutement, article 6).
En revanche le chapitre 4, qui traite des diverses composantes des universités, ne précise pas suffisamment les prérogatives et le degré
d’autonomie (pédagogique, administrative et financière) des écoles ou des instituts internes, alors que ceux-ci ne peuvent exprimer leurs spécificités que sur la base de ces marges de
manœuvre.
 
Les nouvelles responsabilités des universités (titre III)
L’affectation d’une dotation globale de l’État, distinguant les montants affectés à la masse salariale, des autres crédits de fonctionnement et
des crédits d’investissement, est une avancée décisive en cohérence totale avec la mise en place de la LOLF. Le Conseil d’Administration se voit accorder deux prérogatives
essentielles :
– la possibilité de définir les principes généraux de répartition des obligations de service des personnels d’enseignement et de recherche entre ces deux
activités et d’autres missions, ce qui donnera à l’établissement une plus grande souplesse, adaptée à l’évolution de ses missions,
– la possibilité de créer des dispositifs d’intéressement permettant d’améliorer la rémunération des personnels, ce qui est de nature à créer une
dynamique positive de reconnaissance de l’engagement des personnels dans des tâches d’intérêt collectif.
Les mesures de l’article 19 concernant l’engagement des étudiants dans des missions d’accueil des nouveaux venus, d’animation de la vie
universitaire, d’aide à l’insertion professionnelle, d’activités de tutorat ou de service en bibliothèque…, permettront de renforcer les synergies entre les étudiants, les personnels et les
instances dirigeantes de l’établissement. Elles contribueront à développer chez ces étudiants des compétences comportementales et managériales.
L’article 22 apporte une nette évolution dans le recrutement des enseignants chercheurs par rapport à la situation actuelle, bien qu’on puisse
regretter l’absence dans le comité de sélection de personnalités autres que les enseignants-chercheurs et les chercheurs. Ce point est d’autant plus étrange que le texte témoigne par ailleurs
d’une volonté d’ouverture des comités de sélection, puisque la moitié de leurs membres sont extérieurs à l’établissement.
L’article 26 prévoit que l’Etat peut transférer aux établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel qui en font la
demande la pleine propriété des biens mobiliers et immobiliers qui leur sont affectés ou qui sont mis à leur disposition ; cependant les conditions d’exercice de la responsabilité juridique
et financière de ce transfert méritent d’être explicitées.

La CGE salue positivement l’esprit de ce projet de loi qui engage l’université française dans la voie d’une plus grande efficacité et d’une
gouvernance plus performante au service de son développement. Elle souhaite que les Grandes Ecoles puissent bénéficier de certaines mesures nouvelles et positives du projet, tout en conservant les
spécificités et les points forts de leur modèle.

Première édition de l’EDHEC Research Day à Paris

La première édition de l’EDHECResearch
Day
s’est déroulée jeudi 7 juin 2007 sur le campus de Paris de l’EDHEC au Pôle Léonard de Vinci. Avec plus de 300 inscrits, cette journée inaugure un rendez-vous annuel appelé à
devenir incontournable.
Lors de la session plénière Noël Amenc, Directeur de la recherche du Groupe EDHEC, a noté que les affirmations par l’ensemble des acteurs sur
l’importance des liens entre la recherche et l’industrie n’étaient pas toujours suivies par des actes. A titre d’illustration, il a constaté que « si deux textes majeurs européens dans les
domaines de l’assurance et des marchés financiers, Solvabilité II et MiFID, ont été mis en consultation, une seule école de commerce en Europe, l’EDHEC, y a répondu ». Selon le Professeur
Amenc, « il faut changer les critères d’évaluation de la recherche pour s’assurer qu’il y a de vrais liens entre les écoles et la société ».
Venus témoigner de la collaboration de leurs entreprises avec l’EDHEC dans le cadre de projets de recherche communs, Gilles Glicenstein,
Président de BNP Paribas Asset Management, Sylvain Breuzard, Président Directeur Général de Norsys, Alain Dubois, Président du Directoire de LYXOR Asset Management, et Nathalie
Boullefort-Fulconis, membre du Comité Exécutif et Directrice des ventes, du marketing et du service clients de AXA Investment Managers, ont souligné la nécessité de travailler avec des chercheurs
qui comprenaient les véritables problématiques et enjeux des entreprises. Lors de son intervention, Alain Dubois a affirmé que la stratégie de recherche de l’EDHEC était tout à fait innovante
car, selon lui, « bien que vivant de revenus et de sponsors privés, le centre de recherche assume sans concessions des missions d’intérêt général qui en font un véritable service
public ». Parmi les nombreux thèmes abordés par les spécialistes de l’EDHEC lors des ateliers thématiques figuraient les approches culturelles de la consommation et les stratégies
marketing ; le gouvernement d’entreprise et la légitimité des dirigeants ; l’évaluation des politiques publiques et la réforme de l’Etat ; la performance juridique et la
compétitivité des entreprises ; les normes comptables internationales et une nouvelle approche de l’évaluation ; et la gestion d’actifs et gestion du risque.

www.edhec.edu

Motion sur le projet de loi sur “l’organisation de la nouvelle université”

Les 30 directeurs d’IAE adoptent une motion par rapport au projet de loi sur « l’organisation de la nouvelle université »

« Le réseau des IAE considère favorablement le projet de loi sur l’organisation des universités. Ce projet contient des propositions
qui permettront aux établissements d’enseignement supérieur et de recherche d’accomplir leurs missions dans un contexte international très compétitif. Mais la réforme de la gouvernance doit s’accompagner de dispositifs d’incitation favorisant les initiatives, les compétences et les responsabilités.
Parallèlement, il importe que les universités s’orientent vers une organisation interne à partir de « centres de résultats ». Leurs
écoles ou instituts doivent pouvoir exprimer librement leur spécificité, au service de l’ensemble, en lien étroit avec les impulsions et la coordination stratégique des équipes dirigeantes. Les
logiques internes de contrôle ou de bureaucratie doivent s’adapter à la nouvelle gouvernance, en laissant aux composantes qui ont fait leurs preuves le pilotage de leur relation avec les environnements qu’elles sont les seules à maîtriser. Partout dans le monde, les universités qui fonctionnent le mieux travaillent en réseau, jamais selon des modèles centralisateurs d’organisation. Leurs sous-ensembles se comportent comme des pôles stratégiques en relation ouverte avec la politique générale.
Pour répondre à leur spécificité, les IAE doivent avoir une forte autonomie, au même titre que les Instituts d’Etudes Politiques, auquel le pionnier en prospective qu’était Gaston Berger les avait comparés. Dans le cadre du projet de loi, cela implique de garantir et de clarifier leurs marges de manœuvre en matière d’effectifs, de
choix pédagogiques et de recherche, d’administration et de gestion budgétaire.
Cette autonomie est nécessaire pour diverses raisons. Tout d’abord, les IAE sont confrontés à une concurrence internationale très forte. De plus en plus, ils doivent interagir avec des écoles de commerce ou des business schools universitaires aux marges de manoeuvre élevées. Pour se confronter à elles, pour coopérer avec elles sur un pied d’égalité, ils ont besoin d’être reconnus comme des personnalités morales ayant un pouvoir de convention ou de contractualisation. Leurs directeurs ont d’ailleurs l’habitude des responsabilités.
Depuis l’origine, ils sont élus et évalués dans leurs actions par des CA similaires à ceux que propose le projet de loi pour les universités.
Historiquement, cette autonomie a permis aux IAE de prendre beaucoup d’initiatives heureuses et d’être des pionniers de la professionnalisation universitaire : à travers la double compétence, l’adaptation aux métiers, les formations continue ou l’apprentissage. Grâce à cette autonomie, ils ont pu construire des parcours
élaborés de façon étroite avec les milieux professionnels. Aujourd’hui encore, cela leur vaut d’être considérés comme des modèles d’insertion pour les étudiants. En lien avec leurs universités,
les IAE ont aussi déployé de nombreuses relations et formations à l’international. Ils ont contribué massivement à la création et au développement des sciences de gestion. Sources majeures de
publications de recherche en management, ils y forment le plus grand nombre des jeunes chercheurs.
En matière de professionnalisation, les IAE peuvent aider et conseiller leurs universités. Porteurs de la recherche universitaire en sciences de gestion, ils doivent être les garants des labels « gestion » et « management », en rassemblant avec eux ceux qui s’intéressent aux liens entre le management et les autres sciences. Pour un développement coordonné de leur discipline, il convient qu’ils participent à la coordination des enseignements qui relèvent des sciences de gestion dans tous les masters des universités.
L’autonomie des IAE les a conduits à des rapports étroits et proactifs avec les milieux économiques les plus divers. Proches des entreprises de grande taille, les IAE ont aussi orienté leurs qualités de service public vers des besoins managériaux en émergence. Leur spécificité institutionnelle, leur notoriété, leur potentiel à contractualiser sont des atouts essentiels, par exemple, pour le développement des PME ou la création d’entreprise, l’intervention dans les pôles de compétitivité, le soutien des organisations publiques et territoriales, la gestion du social, de la culture, de la communication, de l’éducation, du sport ou de la santé.
Forts de leur expérience, formateurs chaque année de 40 000 étudiants, les IAE doivent apporter leur compétence, leur énergie et leurs initiatives au déploiement de l’université française. Ils le feront d’autant mieux qu’ils auront les ressources institutionnelles de leurs ambitions. »
Les membres du réseau des IAE :
Alain GED (AIX), Bernard CHRISTOPHE (AMIENS), Serge EVRAERT (BORDEAUX), Christian CADIOU (BREST), Fabrice LE VIGOUREUX (CAEN), Jean-Pierre VEDRINE (CLERMONT FERRAND), Jean-Marie PERETTI (CORTE), Arnaud THAUVRON (CRETEIL), Samuel MERCIER (DIJON), Edwige LAFORET (GRENOBLE), Michel BOYER (LA REUNION), Gilles GUYOT (LYON), Etienne BAUMGARTNER (METZ), Eric STEPHANY (MONTPELLIER), Mohamed BAYAD (NANCY), Fabrice CLERFEUILLE (NANTES), Jacques SPINDLER (NICE), Sandra RIMBERT (ORLEANS), Jérôme CABY (PARIS), Jean-Jacques RIGAL (PAU), Cyrille MANDOU (PERPIGNAN), Evelyne LANDE (POITIERS), David ALIS (RENNES), Gérald ORANGE (ROUEN), Alain SCHATT (STRASBOURG), Robert PATUREL (TOULON), Hervé PENAN (TOULOUSE), Franck BRILLET (TOURS), Anne Fabienne DUBROEUQ (VALENCIENNES). Pierre LOUART (LILLE), Président du réseau.

Ecole Internationale d’Eté des Jeunes Entrepreneurs

Coup d’envoi de la 3e édition de
l’Ecole Internationale d’Eté des Jeunes Entrepreneurs (EIEJE). En effet,
ADVANCIA, école dédiée à l’entrepreneuriat, accueil à partir du
1er juillet une quarantaine de jeunes francophones du monde entier (Québec, Maroc, Hongrie, Pologne, Turquie ou Afrique du Sud) venus tester leur potentiel à Paris pour créer, en équipe,
des projets d’entreprise en seulement deux semaines.

Entourés de professionnels et de coachs, les étudiants en équipe bénéficient de 15 jours de formation intensive pour établir un plan de création
d’entreprise et présenter à un jury international un projet viable.

Chaque équipe devra présenter son projet de création d’entreprise à l’ensemble des participants ainsi qu’à l’équipe pédagogique, l’assistance
se comportant comme un « Business Angel » et doit répondre, pour chaque projet : j’investis, ou je n’investis pas !

Première revue francophone de management – Revue gestion REVUE GESTION Revues de Gestion