Comptes de campagne. Bonnes pratiques et transparence financière, le rôle de l’expert-comptable

Quels sont les modes de financement des campagnes électorales ?
Quelles sont les dépenses et les recettes qui revêtent un caractère électoral ?
Comment élaborer un compte de campagne et vérifier la régularité des pièces ?
Quel est le rôle de la Commission Nationale des comptes de campagne et des financements politiques ?
 
Avec quatre scrutins nationaux primordiaux, l’année 2007 a été électoralement très chargée. Même si l’élection présidentielle est finie depuis de
nombreuses semaines, les candidats ont encore une obligation d’importance majeure à remplir : ils ont jusqu’au vendredi 6 juillet pour déposer leur compte de campagne ; ceux qui ont
postulé au poste de député devant s’acquitter de cette obligation pour les 10 et 17 août (comptes du 1er puis du 2nd tour). C’est la Commission nationale des comptes de
campagne et des financements politiques qui « tient de la loi la mission de vérifier les comptes de campagne, ce qui implique de contrôler leur sincérité, leur fidélité et leur exhaustivité.
Elle doit être à même d’exercer un contrôle effectif de ces comptes, selon une procédure identique pour tous les candidats » (Décision du 4 mai 2006 relative à la présentation des
comptes de campagne en vue de l’élection présidentielle
).
Ce contrôle ne constitue donc pas une formalité administrative comme une autre : il garantit que la légalité et l’égalité sont bel et bien
respectées par celles et ceux qui se destinent aux plus hautes charges de l’Etat. Autant dire que l’expert-comptable, en participant à l’élaboration et à la gestion de ces comptes de campagne et
en conseillant les candidats, remplit une mission à haute responsabilité. De même, en vérifiant et en certifiant leur authenticité, il joue un rôle particulièrement déterminant et trop méconnu au
service de la République. Il est ainsi le garant du respect des règles en vigueur et de leur stricte application et représente un rouage essentiel du bon fonctionnement des institutions
démocratiques.
Cette conférence, consacrée à un sujet d’une actualité brûlante, constitue une occasion unique de découvrir ce savoir-faire spécifique de
l’expert-comptable, qui concerne tous les citoyens. Les experts-comptables expliqueront de façon didactique les règles à respecter et les techniques permettant d’analyser dans les moindres
détails un compte de campagne. Ils offriront ainsi une information claire et exhaustive au service d’une meilleure transparence et d’un civisme renforcé.
 
Cette présentation sera faite le lundi 9 juillet 2007 de 17 h.00 à 19 h.00 à l’Ordre des Experts-comptables Région Pair Ile-de-France au 45, rue
des Petits Champs 75001 PARIS (1er étage / Salle H). Métro : Opéra – Pyramides.
 

Advanced Management Program

L’ “Advanced Management Program in Fashion and Luxury” accueillera sa deuxième promotion le 21 septembre 2007, en Chine. Reconnu comme le
programme le plus abouti dans son domaine en Chine, il a été développé par trois écoles internationales prestigieuses : la Tsinghua School of Economics and Management, l’Institut Français de la
Mode et le Groupe HEC.

Pour cette prochaine session, les modules se tiendront à Pékin et à Shanghaï, en plus d’un séminaire optionnel offert à Paris. Marc Menesguen,
Directeur Général L’Oréal – Produits de luxe, souligne “… cette nouveauté démontre l’ambition de ce programme d’être leader du marché en Chine, tout en étendant sa portée au sein des
industries du luxe et de la mode
.” D’autres nouveautés seront également introduites comme une série de conférences avec des dirigeants des entreprises du secteur. En facilitant le contact
avec les décideurs et les créateurs, le programme AMP développe le dialogue et l’échange d’expérience.
L’objectif de l’”Advanced Management Program in Fashion and Luxury” est de préparer les cadres et dirigeants aux défis du marché du luxe et de la
mode en évolution permanente en Chine. Composé de six séminaires exécutifs, ce cursus aborde une vaste gamme de sujets comme la stratégie globale et le management de la marque, la globalisation
et l’innovation ou encore la stratégie de produit et de marque. Chaque séminaire se déroule sur 3 jours en fin de semaine, le programme ayant lieu de septembre 2007 à mars 2008.

Plus d’informations sur le site : http://www.hec.edu/amp

Autonomie des universités : la position de la CDEFI

La CDEFI considère que l’autonomie des établissements d’enseignement supérieur et de recherche est une nécessité d’autant plus importante dans le
cadre de la compétition internationale dans ce domaine. Mais une bonne autonomie ne peut pleinement porter ses fruits que si elle s’accompagne d’une gouvernance adaptée.
A l’instar de sa position rendue publique par la tribune parue dans le Figaro le 26 juin dernier,  elle considère que sur ces deux points
les écoles françaises d’ingénieurs sont particulièrement concernées. Du fait de la diversité de leur statut juridique et de leur tutelle mais aussi des règles de gouvernance qui leur sont
imposées par la Commission des Titres d’Ingénieurs, ces écoles disposent déjà d’un mode de fonctionnement managérial. En revanche, toutes n’ont pas le même degré d’autonomie et sont idéalement
placées, du fait même de leur mode de gouvernance, pour savoir combien ces deux notions vont de paire.
Cela conduit la CDEFI à formuler les observations suivantes sur la nouvelle version amendée du projet de loi portant organisation de la nouvelle
université.
 
En matière d’autonomie
Pour la CDEFI, l’autonomie doit être l’occasion de tirer l’ensemble de l’enseignement supérieur et de la Recherche vers le haut. Elle demande que
l’ensemble des établissements publics de l’enseignement supérieur et de la Recherche (qu’ils soient à caractère publics, culturels et professionnels ou à caractère administratif) bénéficient des
trois piliers de l’autonomie prévue par le projet de loi (budget, gestion des ressources humaine et dévolution du patrimoine mobilier et immobilier).
 
La CDEFI considère que les trois piliers de la réforme à ce niveau sont essentiels :
– le budget global incluant la gestion de la masse salariale ce qui permettra à un établissement désormais d’être pleinement comptable de sa
stratégie en arbitrant ses choix financiers
– la Gestion des Ressources Humaines intimement liée à la question de la maîtrise salariale
– la dévolution du patrimoine mobilier et immobilier
 
Les avancées admises sur chacun de ces trois points vont dans le sens d’un accroissement de la réactivité des établissements d’enseignement
supérieur et de recherche et d’une plus grande adaptabilité aux enjeux locaux et à la stratégie qu’ils poursuivent pour leur développement.
 
Cependant, la CDEFI s’inquiète que, pour au moins deux de ces trois aspects (le budget global et la GRH), seules les universités soient
concernées. Le 3e point, bien que plus large ne prend pas non plus en compte la totalité des établissements publics de l’enseignement supérieur et de la recherche. Cette distinction
pernicieuse introduit 3 niveaux d’autonomie, selon nous, injustifiés au regard des missions identiques conférées à l’ensemble de ces établissements publics :
– Un premier niveau d’autonomie totale avec une maîtrise intégrale du budget et la pleine propriété d’un patrimoine mobilier et immobilier. Ce
qui permet, du fait de la maîtrise budgétaire, de pouvoir parfaitement gérer son patrimoine. C’est ce système qu’elle souhaite voir généralisé.
– Un second niveau où les établissements seront maîtres de leur patrimoine mais sans avoir l’autonomie financière conférée par la maîtrise
globale du budget. Elle considère que nous serions alors en présence d’établissements condamnés à gérer leur patrimoine mais sans avoir la moindre marge de manœuvre financière ce qui est un cas
de figure ubuesque
– Un troisième niveau d’établissements qui, pourtant publics, n’auraient ni l’autonomie budgétaire, ni la maîtrise de leur GRH et encore moins la
propriété de leur patrimoine.
 
En matière de gouvernance
La CDEFI déplore que le projet de loi, même amendé, n’aille pas plus loin en matière de gouvernance. Le rejet de toute réelle implication du
monde extérieur dans le fonctionnement interne de l’université puisqu’il n’aura pas à se prononcer sur l’élection du président, éloigne les universités de l’autonomie et les ancre durablement
dans un fonctionnement autogestionnaire caractérisé par le repli sur soi.
 
Favorable à ce que les pratiques ayant fait la preuve de leur efficacité profitent à l’ensemble, notre Conférence regrette que les dispositions
prévues en matière de gouvernance ne s’inspirent pas davantage du mode managérial sur lequel fonctionnent les écoles d’ingénieurs.
 
La CDEFI se félicite que le projet de loi prévoit que le Président de l’université soit choisi parmi « l’une des catégories de
personnels ayant vocation à enseigner dans un établissement d’enseignement supérieur »
ce qui est la pratique dans la désignation actuelle des directeurs d’écoles d’ingénieurs.
 
De même, la restriction de la taille du Conseil d’administration, même si celui-ci a été légèrement revu à la hausse, nous semble aller dans le
bon sens.
 
Enfin, l’ouverture à 7 ou 8 représentants du monde extérieur dans les Conseils d’administration constitue, selon nous, un aspect fondamental pour le développement des
universités. La CDEFI souhaitait que ces conseils soient composés pour moitié d’extérieurs. Sans accéder à cette demande, les personnalités extérieurs ont obtenus une place mais qui pour elle se
résume à un strapontin.
 
En effet, elle s’interroge sur le rôle effectif qu’aura cette catégorie de membres au sein des Conseils d’Administration alors même que le projet
de loi prévoit que les personnalités extérieures n’auront pas le droit de prendre part à l’élection du Président de l’université, événement pourtant majeur dans la gouvernance d’un établissement.
Seuls les personnels et les étudiants de l’université seront appelé à voter à ce niveau. Cela constitue une grave régression au regard de la situation de ces établissements instaurée depuis près
de 40 ans. 
 
Chaque année la Nation consent un effort financier dans l’enseignement supérieur et la recherche. Par respect des principes républicains de
transparence, il est normal que la Nation soit représentée dans ces conseils d’administration. En Outre, alors même que la loi prévoit que l’insertion professionnelle devient une mission à part
entière des universités elle ne comprend pas cette volonté d’exclure ceux qui représentent l’environnement socio-économique dans lequel une université se développe.
 

Les écoles d’ingénieurs, pour ce qui les concerne, ont toujours impliqué leurs partenaires extérieurs dans leur fonctionnement. Cela à permis
à ces deux mondes de communiquer entre eux et expliquent très largement, les résultats enregistrés en matière d’insertion professionnelle par les élèves. Comment peut-on imaginer rendre ces
établissements d’enseignement supérieur attractifs alors même que l’on refuse de les ouvrir sur l’extérieur ?

Création du pôle de compétitivité mondial FINANCE INNOVATION

Dans le cadre des Rencontres Financières Internationales de Paris EUROPLACE, Mme Christine LAGARDE, Ministre de l’Economie, des Finances et de
l’Emploi, annonce la labellisation du Pôle de Compétitivité mondial FINANCE INNOVATION et la signature du contrat de pôle entre l’Etat, la Ville de Paris, la Région Ile-de-France et Paris
EUROPLACE.
L’objectif du pôle FINANCE INNOVATION est de développer l’emploi et la recherche dans le domaine financier, d’accroître la part de marché de la
Place financière de Paris en Europe et au plan international et de permettre à la place financière de Paris de se positionner sur les services financiers de demain en misant sur
l’innovation.
FINANCE INNOVATION propose dès le départ un nombre ciblé de projets industriels et de recherche :
– faire de Paris la plate-forme de l’information financière européenne : deux projets de référentiels d’informations financières sur l’épargne et
les OPCVM sont à l’étude ; – favoriser le financement des PME et de l’innovation : le lancement d’un incubateur pour les « jeunes entreprises financières », un fonds d’investissement qui leur
serait dédié pour favoriser le drainage de l’épargne vers ce secteur de l’économie et un fonds d’analyse des valeurs moyennes ;
– renforcer le pôle de recherche et d’innovation financière : le lancement de la plateforme d’indices climatiques, METNEXT, créée par METEO
France et Euronext a été annoncée le 10 mai 2007. Un deuxième projet de plateforme de valorisation indépendante de dérivés de crédit, CREDITNEXT, est en cours. Un projet de plateforme d’indices
immobiliers est en phase de lancement. FINANCE INNOVATION fédère la constitution d’une Maison de l’Innovation Financière autour des différentes initiatives en faveur du financement de la
recherche. ;
– développer à Paris un pôle européen de formation en finance : l’école de la régulation financière européenne, associant régulateurs prudentiels
et financiers et professionnels est en cours de création ;
 – accroître le rôle de la finance dans l’innovation sociale : finance durable et investissement socialement responsable font partie des
thématiques retenues pour les premières chaires de recherche en finance.
En s’appuyant sur ses membres fondateurs, l’AFG, la CCIP, NYSE Euronext, la FBF, la FFSA, la Région Ile-de-France et la Ville de Paris, et avec
le soutien de Paris EUROPLACE, FINANCE INNOVATION regroupe l’ensemble des acteurs : émetteurs, banques, assurance, sociétés de gestion, PME financières, universités et laboratoires de
recherche.
FINANCE INNOVATION est animé par un Comité de direction présidé par M. Jean LAURENT, ancien Président de Calyon.
Le Conseil supérieur de FINANCE INNOVATION est composé de représentants des différentes catégories de membres, organisés par collèges, avec une
représentation significative des PME et des universités.

Gérard MESTRALLET, Président de Paris EUROPLACE, souligne « la création de FINANCE INNOVATION est une excellente nouvelle pour la place
financière de Paris pour lui permettre de se positionner sur les secteurs de demain et renforcer sa part de marché en Europe et au plan international ».

Textes d’actualité

Propositions de la commission des affaires culturelles du sénat sur le projet de loi relatif aux libertés des universités
http://www.senat.fr/presse/cp20070710a.html

Rapport n° 372 (2006-2007) de M. Jean-Léonce DUPONT, fait au nom de la commission des affaires culturelles, déposé le 11 juillet 2007
http://www.senat.fr/rap/l06-372/l06-372.html


Intervention de Valérie Pécresse – Ouverture du chantier « jeunes chercheurs »
http://www.nouvelleuniversite.gouv.fr/presse/2007/chantierjeuneschercheurs090707.html

Prix Juridique et Fiscal

Allen & Overy et HEC – en partenariat pour la première fois cette année avec le quotidien “La Tribune” – ont organisé la quatrième édition du Prix Juridique et Fiscal, dont la soutenance s’est déroulée le 25 juin dernier sur le campus de HEC à Jouy-en-Josas.
Un jury de 17 personnes réunissant notamment des personnalités du monde de l’entreprise aux côtés des représentants d’Allen & Overy et de HEC a
sélectionné trois lauréats parmi les finalistes et attribué une mention spéciale.
 
  • Premier prix : Jean-Florent Mandelbaum (Majeure Stratégie Fiscale et Juridique Internationale) pour son mémoire intitulé : “La Fiction bilantielle de l’établissement stable : aspects fiscaux, juridiques et
    économiques” ;
  • Deuxième prix Mathias Huntzbuchler (Mastère Droit et Management International) : “Moralisation des politiques de rémunérations des dirigeants de sociétés anonymes cotées” ;
  • Troisième prix Cédric Kosso-Vanlathem (Majeure Stratégie Fiscale et Juridique Internationale) : “Obligations de déclarations de
    franchissements seuils en droit français”.
  • “Mention spéciale du jury” pour “l’envergure et la pertinence
    de la thématique traitée”
    Torsten Sauer (Mastère Droit et Management International) : “L’optimisation géographique des cross-border LBO : une étude juridico-financière comparative des systèmes français, allemands et luxembourgeois”.

Le jeu de l’été proposé par Michelle Bergadaà

Nous reproduisons in extenso un message que nous recevons ce jour de Michelle Bergadaà.

Michelle Bergadaà propose un jeu

« Chers collègues, chers étudiants, chers amis,
Un tout grand merci à ceux qui contribuent à l’enrichissement de notre réflexion collective via notre site collaboratif (Responsable.unige.ch).
Pour les vacances, afin de mettre un peu d’humour dans notre problématique, je vous propose un concours. Le voici :
Deux articles A et B sont publiés la même année, 2006, dans deux journaux scientifiques réputés : Journal of Business Research (Elsevier) et Journal of Social Sciences (Science Publications).
– Ces articles, « Destination Image and Destination Personality: An Application of Branding Theories to Tourism Places» et « Scenarios Analysis of Tourism Destinations » sont publiés par cinq chercheurs différents.
– Or ces deux articles ont plus de 50 lignes similaires, à la virgule près.
Vous avez deux mois pour répondre aux questions suivantes :
1) Les auteurs de l’article A ont-ils plagié les auteurs de l’article B ? Les auteurs de l’article B ont-ils plagié les auteurs de l’article A ?
Ou bien tous ces auteurs ont-il plagié sans se concerter les auteurs d’un document C ?
2) Si vous choisissez de répondre par la troisième alternative, d’où l’article C est-il issu ?
3) Comment avez-vous retracé l’origine du problème ? Via la toile ? Par vous-même ? Avec un logiciel de détection de plagiat ?
4) Qui est « coupable » ? Les auteurs ? Les reviewers des journaux concernés ? Les rédacteurs en chef des journaux ? Notre système ?
Je communique ici très clairement ce cas, en préservant comme toujours formellement l’anonymat du contributeur au site responsable à qui nous devons ce cas.
Pourquoi ?
– d’abord parce que les articles que je cite sont publics et publiés dans des revues scientifiques de notre domaine.
– surtout, parce que je ne crois plus en ceux qui adoptent exclusivement la logique causale chère au législateur.
Il me semble vain de ne considérer que la sauvegarde de systèmes locaux, par des punitions à des cas particuliers dévoilés au hasard de
situations fortuites. Il est, ensuite, hypocrite de conserver les sanctions « personnelles et confidentielles ». Le seul résultat est de blesser celui qui les reçoit et leur effet sur le système
n’est qu’insignifiant.
Je prône, a contrario, la logique de la conséquence, le sens de la responsabilité à l’égard du futur sociétal en marche, l’intelligence de la situation sans concession et sans refuge stérile ; j’en appelle à une perspective globalisante, plus encore qu’internationale.
Ainsi, pour conclure, une question subsidiaire à notre concours de l’été : Quelle est la nature des conséquences éventuelles du
cas soumis à votre analyse ?
Je vous souhaite de belles vacances.
Bien amicalement
Michelle Bergadaà
Professeur
Directrice de l’OVSM – Faculté des SES

Université de Genève »

Simplification de l’environnement des entreprises

Hervé Novelli, secrétaire d’Etat aux Entreprises et au Commerce Extérieur, a réuni, le 30 juillet à Bercy le groupe d’experts qu’il a constitué afin
de travailler sur la simplification de l’environnement des entreprises.

 
Ce groupe, composé de 11 organisations consulaires*, ordinales et professionnelles, va travailler autour de 3 thèmes :
– la simplification de la réglementation
– la simplification de la fiscalité
– la simplification du domaine social
Chacun des groupes sera animé par un chef de file, représentant d’une des organisations présentes, en lien avec les cabinets de Christine Lagarde
et  d’Hervé Novelli.
Chaque groupe remettra ses propositions fin septembre. Hervé Novelli a souhaité qu’elles contiennent dix mesures fortes et opérationnelles,
qui seront susceptibles d’être intégrées dans l’axe relatif à la simplification du pacte FORCE 5.
Ce pacte, qu’Hervé Novelli présentera, sous l’autorité de Christine Lagarde, à la rentrée, comporte 5 volets : la simplification de
l’environnement des entreprises, le financement, l’innovation, la fiscalité et les exportations. Il sera une des contributions au travail gouvernemental pour le projet de loi sur la modernisation
de l’Economie, dans son volet concernant les entreprises.
 
* Composition du groupe :
– Assemblée des chambres françaises de commerce et d’industrie
– Assemblée permanente des chambres de métiers et de l’artisanat
– Confédération générale des petites et moyennes entreprises
– Conseil national des barreaux de France
– Compagnie nationale des commissaires aux comptes
– Conseil supérieur de l’ordre des experts comptables
– Fédération bancaire française
– Fédération des centres de gestion agréés
– Mouvement des entreprises de France
– Union nationale des professions libérales
– Union professionnelle artisanale.
 
http://www.minefe.gouv.fr
 

Autonomie des universités

La loi sur l’autonomie des universités, appelée “La loi sur l’autonomie des universités, appelée “Loi relative aux libertés
et responsabilités des universités” a été promulguée au Journal officiel samedi 11 août. Elle avait auparavant été définitivement adoptée,
le 1er août, par le Parlement.
a été promulguée au Journal officiel samedi 11 août. Elle avait auparavant été définitivement
adoptée, le 1er août, par le Parlement.Loi n° 2007-1199 du 10 août 2007 parue au JO n° 185 du 11 août 2007

European Business Awards

Le programme des European Business Awards est une compétition qui célèbre les compétences et l’excellence des entreprises européennes dans
le domaine des affaires. En tant que l’une des économies les plus amples et dynamiques du monde, la France a ainsi l’opportunité de fièrement mettre en avant ses accomplissements.

Les European Business Awards 2008 se dérouleront à Paris ; les évaluations et la cérémonie auront lieu respectivement au Hilton Arc de
Triomphe en Janvier et à l’InterContinental Paris Le Grand en Mars. Les entreprises françaises n’ont en fait plus qu’un mois pour s’inscrire aux Awards puisque la date limite de toute candidature
est le Jeudi 18 Octobre 2007.
“L’entreprenariat Européen est innovateur et talentueux et il est important de mettre en lumière les exemples d’une telle excellence. Face au reste du monde, le
programme des European Business Awards est une promotion de nos aptitudes, et, pour l’Europe, un exemple pour chacun d’entre nous de ce qu’il est possible d’accomplir”, dit Adrian Tripp,
Président des European Business Awards.
En ce qui concerne les entreprises victorieuses, la reconnaissance et l’exposition médiatique sont remarquables puisque le programme des European
Business Awards a renouvelé son partenariat avec The Wall Street Journal Europe et mis en place une collaboration avec d’importants partenaires médias nationaux. “Chaque jour The Wall Street
Journal Europe vous informe sur les aléas du monde des affaires et des entreprises de la région. Notre association avec les European Business Awards nous permet d’honorer les performances de ces
entreprises et la vision et l’énergie de leurs leaders”, dit Jonathan Wilson, « Director of Marketing and Business Développement », The Wall Street Journal Europe.
Les noms des vainqueurs seront révélés les 11 Mars 2008,à Paris, lors de la prestigieuse cérémonie des Awards organisée à l’InterContinental
Paris Le Grand,et devant une audience composée de l’élite du commerce européen.

Pour obtenir de plus amples information ou vous inscrire, il vous est possible d’aller sur www.businessawardseurope.com, appeler le + 44 (0)
20 7234 3535 ou envoyer un email à
info@businessawardseurope.com.

Forum Juridique et Fiscal

HEC accueille 37 des plus prestigieux cabinets d’avocats, le jeudi 11 octobre

37 cabinets d’avocats participeront au “Forum Juridique & Fiscal” d’HEC pour y présenter leurs métiers et leurs propositions de stages et d’emplois aux étudiants
du groupe HEC.
Cette manifestation, organisée pour la cinquième fois sur le campus de Jouy-en-Josas par la Direction des Relations avec les
Entreprises, aura lieu le
jeudi 11 octobre, de 14 h à 17 h 30.
Les représentants des cabinets de grande renommée, comme Allen & Overy LLP, CMS Bureau Francis Lefebvre, Gide Loyrette Nouel ou encore
Linklaters, rencontreront les étudiants à partir de 14 h. « La participation massive des cabinets témoigne de l’intérêt grandissant qu’ils portent aux profils, de plus en plus nombreux à
HEC, bénéficiant d’une double formation en management et en droit et fiscalité
 », souligne Bérangère Pagès, Directeur des Relations avec les
Entreprises
.  
Un cocktail clôturera ce Forum à 17 h 30.
Seront présents :

ALLEN & OVERY LLP ; ASHURST ; AUGUST & DEBOUZY Avocats ; BREDIN PRAT ; CLEARY GOTTLIEB ; CLIFFORD
CHANCE ; CMS BUREAU FRANCIS LEFEBVRE ; COTTY VIVANT MARCHISIO & LAUZERAL ; DECHERT ; DELOITTE Luxembourg ; ERNST & YOUNG ; FRESHFIELDS BRUCKHAUS DERINGER ; GIBSON, DUNN & CRUTCHER LLP ; GIDE LOYRETTE NOUEL A.A.R.P.I. ; GINESTIE MAGELLAN PALEY VINCENT ; HERBERT SMITH ;
JEANTETASSOCIES ; JONES DAY ;
LANDWELL ; LATOURNERIE WOLFROM & Associés ; LEBOEUF, LAMB, GREENE, MacRae LLP ; LINKLATERS ;
LOVELLS ; MAYER, BROWN, ROWE & MAW ; MORGAN LEWIS ; ORRICK RAMBAUD MARTEL ; PAUL HASTINGS ; SALANS ; SAVIN MARTINET Associés ;
SHEARMAN & STERLING LLP ; SIMMONS & SIMMONS ; SJ BERWIN ; TAJ ; VEIL JOURDE ; WEIL, GOTSHAL & MANGES ; WHITE & CASE LLP ; WILLKIE FARR &
GALLAGHER LLP.

Maîtrisez de nouvelles compétences ou renforcez les compétences acquises

IGS Formation Continue enrichit son portefeuille de formations en développant une offre destinée à développer et à accompagner le dialogue social dans
l’entreprise.

La négociation sociale se trouve au cœur des politiques RH, une place importante que l’actualité ne dément pas mais au contraire renforce. Il est légitime de
parler de « négociation permanente ». Mais si les relations sociales font depuis longtemps l’objet de nombreuses formations, la négociation sociale restait le « parent
pauvre » en matière de formation professionnelle continue. Désormais, IGS Formation continue propose avec le Certificat de Maîtrise de Compétences (CMC) « Négociation sociale »,
une offre qui, en l’état, n’existe pas ailleurs.
Pratique interdisciplinaire par excellence, la négociation sociale réclame des compétences culturelles et comportementales qui s’ajoutent aux habituelles
compétences juridiques et stratégiques. Le CMC « Négociation sociale » permet aux participants d’acquérir ou consolider ces compétences et, surtout, d’être à même de les exploiter de
façon simultanée.
Outil de professionnalisation du métier, il est basé sur une pédagogie des compétences. Son approche personnalisée prend en
considération le niveau de compétences et les problématiques spécifiques des candidats pour faciliter un retour sur investissement immédiat pour l’entreprise.
Alternant modules de formation et accompagnement à distance, proposé en temps partiel, ce CMC encourage le travail collaboratif
entre pairs pour gagner en expertise et en efficacité. Il s’adresse en priorité aux Directeurs ou Responsables des RH, Directeurs ou Responsables des Affaires sociales, Directeurs
d’Etablissement, Directeurs des Relations industrielles.
Trois petits-déjeuners consacrés à l’actualité de la négociation sociale et à la présentation de ce dispositif de formation innovant sont organisés les 26
octobre, 23 novembre et 17 décembre 2007 au siège du GROUPE IGS – 1, rue Jacques Bingen – 75017 Paris.
« Nous avons voulu centrer cette formation sur la négociation sociale plus que sur les relations sociales car la difficulté réside aujourd’hui dans la
négociation qui fait appel aux capacités juridiques mais surtout à la finesse stratégique, et à l’intelligence de situation qui s’appuie sur le savoir être  » précise Françoise Martin-Saintève, Directrice Formation Continue Inter-entreprises, Groupe IGS Formation Continue.

Pour en savoir plus : www.igs-fc.asso.fr

Séminaire gratuit MÖBIUS

Séminaire gratuit MÖBIUS, dédié au secteur des assurances & mutuelles

« Comment faire face à un plan de charge de travail dynamique basé sur une charge de travail réelle ?»
Présentation du concept et de la démarche de mise en œuvre de la Solution MÖBIUS avec le retour d’expérience de la Zurich Insurance Ireland
l
e jeudi 22 novembre 2007, de 9h à 12h dans le Novotel Paris Est situé au 1
avenue de la République, 93177 Bagnolet (France) (
métro : Gallieni ligne 3)
Pour vous inscrire :

Virginie Sallière sur Virginie.salliere@mobius.eu ou tél : 01 49 49 08 10 – fax : 01 49 49
05 88

Première revue francophone de management – Revue gestion REVUE GESTION Revues de Gestion