L’IAE Toulouse décroche l’accréditation EPAS pour un Master

IAE Toulouse vient de
franchir une étape décisive en décrochant l’accréditation EPAS pour son Master Management International. Le label EPAS distingue les formations internationales de haut vol. Il est attribué par
l’EFMD (European Federation for Management Development) qui délivre également le label Equis. Cette prestigieuse distinction va permettre à l’IAE Toulouse de poursuivre sa stratégie de
développement international en nouant des partenariats avec des institutions attachées à l’excellence de l’enseignement et de la recherche en gestion. A ce jour, seules 21 formations de 11 pays
ont obtenu cette accréditation.

www.iae-toulouse.fr

Concours de création d’entreprise éco citoyenne

Entrepreneuriat et responsabilité sociale de l’entreprise sont les valeurs fondatrices du Groupe IGS, de ses écoles et de ses centres de formation depuis plus de 30 ans.

L’école ESAM et le CFA du Groupe IGS ont décidé de créer un concours, qui débutera le 1er juin 2008, pour détecter les entrepreneurs de demain, qui prendront en compte dans leur projet, ces valeurs de responsabilité sociale et environnementale, quelque soit leur secteur d’activité (industrie, services, artisanat,…).

Pour créer ce challenge entre les talents de demain, les organisateurs du concours se sont fixés 5 objectifs :

  1. Faire émerger des projets de création d’entreprises réalisables à court terme
  2. Induire chez  les participants au concours des réflexes face aux problématiques sociétales et environnementales
  3. Favoriser le passage à l’acte de création
  4. Stimuler et promouvoir l’esprit entrepreneurial des jeunes
  5. Favoriser le succès à des porteurs de projet en leur offrant un accompagnement et un soutien appropriés

Air France, APR 2, CEGID, TransSearch International et HANPLOI soutiennent cette initiative et vont sponsoriser les
lauréats des trois catégories du concours :

Catégorie : Entreprise et Handicap : prix « Coup de cœur » remis par Air France et Hanploi

Entreprises de tout type d’activité qui engagent des actions sur le critère de l’intégration ou le service aux personnes handicapées, mais aussi  des entreprises dont l’activité est directement liée à l’intégration ou au service de personnes en situation de handicap.

Catégorie : Entreprise et Environnement : pris remis par APR 2

Entreprises de tout type d’activité qui engagent des actions sur le respect de normes environnementales mais aussi des entreprises dont l’objet est directement lié à ces mêmes préoccupations.

Catégorie : Entreprise et Diversité : prix remis par Transearch International

Entreprises de tout type d’activité qui engagent des actions sur la diversité en terme de recrutement, de gestion des emplois et des compétences ou de localisation géographique.

Les trois lauréats bénéficieront d’un soutien financier de 5 000 ¤ chacun ainsi que d’un équipement complet de logiciels de gestion de l’entreprise remis par CEGID. Le lauréat du prix « Coup de cœur » bénéficiera également d’un accompagnement par un spécialiste de la création d’entreprise.

Ce concours est national. Tout étudiant, apprenti ou alternant majeur peut y participer, quelque soit sa formation, son métier et le lieu de sa formation.

Les dossiers de candidature peuvent être déposés entre le 1er juin et le 30 septembre 2008.

Le règlement du concours et le dossier de candidature sont téléchargeables sur les sites internet.

Contact :

Estelle Combes – CFA Groupe IGS

Email : ecombes@groupe-igs.fr

Tél. : 01 40 38 51 20

Résultats de la 10e édition du prix d’histoire François Bourdon

Pour sa dixième édition le prix d’histoire de l’Académie François Bourdon-Le Creusot et
de la Fondation Arts et Métiers : « François Bourdon, Techniques, entreprises et société industrielle », doté d’une somme de 1 500 €., a été attribué à

 

François JARRIGE

pour sa thèse

Au temps des « tueuses de Bras », les
bris de machines et la genèse de la société industrielle (France, Angleterre, Belgique), 1780-1860,

Université Paris1 Panthéon-Sorbonne.

 

 

Le prix jeune chercheur doté d’une somme de 750 €, a été attribué à Renan VIGUIE pour
son Master 2, Histoire des échanges électriques entre la France et l’Espagne de l’Entre-deux-guerre à nos jours, Université Michel Montaigne-
Bordeaux 3.

 

Cette année encore les membres du jury se félicitent de la
diversité des écrits reçus qui permet au prix d’histoire François Bourdon de s’ancrer plus fortement encore dans l’ensemble des domaines de l’histoire industrielle et des entreprises.

Comme le veut le principe du prix, le dixième jury était composé d’industriels et
d’universitaires. Participaient à ce jury mesdames Claudine Cartier, Inspectrice à la Direction des Musée de France, Anne Dalmasso, maître de conférence d’histoire à l’université de Grenoble,
Françoise Fortunet, professeur à l’université de Bourgogne et Dominique Varinois, IA-IPR, rectorat de Bordeaux; messieurs Antoine de Badereau, centralien ; Gérard Chrysostome, ingénieur
centralien, Délégué général du Pôle Nucléaire de Bourgogne ; François Labadens, ancien secrétaire général d’USINOR ; Paul Lacour, directeur de Wendel-Participations ; Philippe Mioche,
professeur d’histoire à l’université d’Aix-en-Provence, chaire Jean Monnet de l’histoire de l’intégration européenne ; Philippe Raulin, ingénieur des Ponts et Chaussées, ancien secrétaire général
de FRAMATOME ; Olivier Raveux, chargé de recherche au CNRS-UMR Telemme ; Serge Wolikow, professeur d’histoire, vice-président de l’université de Bourgogne ; Denis Woronoff, professeur
d’histoire émérite à l’université de Paris-I Panthéon-Sorbonne.

 

François Jarrige, Au temps des « tueuses
de Bras », les bris de machines et la genèse de la société industrielle (France, Angleterre, Belgique), 1780-1860,
sous la direction de monsieur le professeur Christophe Charle,
Université Paris1 Panthéon-Sorbonne, décembre 2007, 797 p. Très tôt, les historiens britanniques s’emparent du phénomène des « bris de machines » qu’ils interprètent comme « des
réactions spontanées et archaïques à la misère ». Dans une approche plus sociale, ils sont attentifs « à l’impact des nouvelles méthodes sur les formes de l’organisation du travail,
ainsi qu’à la crise sociale et à la politique réactionnaire des gouvernements qui justifient le mécontentement populaire. » François Jarrige propose une lecture neuve du « bris de
machines » qui ne peut pas être assimilé purement et simplement à une réaction technophobe. Les « bris de machines » peuvent être aussi une stratégie d’intimidation, une
« forme de négociation collective par l’émeute ». Dans sa thèse, l’auteur offre une étude de la construction idéologique et des voies de diffusion des discours autour des bris de
machines. Il s’intéresse à ce phénomène, car à ses yeux, ils incarnent notamment « les moments d’exacerbation les plus spectaculaires des résistances sociales au machinisme durant la
première industrialisation »

 

Renan Viguié, Histoire des échanges électriques entre la France et l’Espagne de
l’Entre-deux-guerre à nos jours,
Master 2, sous la direction de monsieur Christophe Bouneau, Université Michel Montaigne- Bordeaux 3, juin 2007, 502 p.
Dans ce Master, Renan Viguié retrace l’histoire riche des relations entre la France et l’Espagne autour de la question des échanges d’électricité. Les premières coopérations transfrontalières
apparaissent dans les années 1920, mais l’échange d’électricité reste très limité au point que l’on peut parler d’une histoire des échecs. Au moment où RTE tente de construire une nouvelle ligne
d’interconnexion entre les deux pays, ce Master offre à comprendre les difficultés historiques liées à ce projet.

 

Académie François Bourdon

Cour du Manège-Château de la Verrerie

BP 31

71201 Le Creusot Cedex

Tél. : 03 85 80 08 92

Internet : www.afbourdon.com

Bac+3 en un an : Responsable d’Activités Développement International

Afin de développer et valoriser le programme de l’Institut des Formations Commerciales (IFC Sillon Alpin), L’ESC Chambéry en partenariat avec le
lycée professionnel Saint Ambroise et l’ESC Grenoble accueille une nouvelle formation Bac +3 en un an à la rentrée 2008.

Les objectifs de cette formation sont de permettre à des personnes titulaires d’un Bac +2  d’un bon niveau en langues, d’approfondir leurs connaissances et d’acquérir une spécialisation sur la commercialisation et le marketing à l’international. Cette
formation professionnalisante de courte durée laisse la possibilité de continuer par la suite. Elle permet en outre  de présenter le concours
Passerelle d’entrée en 2ème année à toutes les ESC de la banque de concours.

 

Programme dispensé en formation initiale :

1242 heures (507 h enseignement + 735 heures en entreprise)

Formation de 1 an, de septembre à juillet.

Un tronc commun en France animé par des enseignants et des professionnels. (13 semaines consécutives de septembre à
décembre)

Un module spécifique selon l’axe international choisi au sein d’une université à l’étranger (4 semaines avec
validation de crédits ECTS)

Une mission export dans une entreprise étrangère pour évaluation de 21 semaines de stage passées dans un service
export d’une entreprise française ou entreprise à l’étranger.

 

Conditions d’admission :

Candidature à bac +2

Sélection sur dossier, tests écrits et entretien de motivation.

 

Coûts de la formation :

En financement individuel : 2950 euros. Possibilité de financer le départ à l’étranger avec les bourses
Erasmus.

 

Inscriptions :

Début
juillet 2008 Jérôme Gandiol – 04 79 25 38 10

Signature d’une convention entre l’académie de Créteil et HEC

L’académie de Créteil en partenariat avec HEC (établissement de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris)
et avec le soutien de la Fondation HEC, ouvrira à la
rentrée 2008 deux classes préparatoires économiques et commerciales : l’une, option technologique au lycée Henri Moissan à Meaux (Seine-et-Marne) et l’autre, option économique au lycée
Olympe de Gouges à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis).

Cette ouverture répond à une double ambition :

          donner les
moyens de la réussite à des élèves méritants issus de milieux modestes ;

          contribuer
avec ce dispositif à une plus grande égalité des chances dans l’accès aux filières d’excellence.

Afin de compenser les difficultés dont souffrent les élèves issus de milieux modestes, HEC propose en complément de l’enseignement
dispensé un dispositif novateur :

          une
préparation intensive avant l’intégration en 1re année de classe préparatoire ;

          des modules
disciplinaires de préparation méthodologique notamment en culture générale et en anglais ;

          des séances
de coaching ;

          des
conférences dans les deux établissements sur des sujets d’actualités animées par des intervenants d’HEC ou des professionnels partenaires.

La signature de la
convention aura lieu le mercredi 2 juillet 2008 à 18 heures, sur le campus d’HEC à Jouy-en-Josas, en présence de Jean-Michel BLANQUER, Recteur de l’académie de Créteil, de Bernard RAMANANTSOA,
Directeur Général du Groupe HEC, de Brigitte POURPOINT, Proviseur du lycée Olympe de Gouges et de Jean-Michel DOMENECH, proviseur du lycée Henri Moissan.

L’entreprise et l’international au cœur de la gouvernance

Afin de mettre le monde de l’entreprise plus au cœur la stratégie de l’école, Dominique Estève, Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie Nice Côte d’Azur, a décidé dès 2006 la création d’un Conseil d’Orientation Stratégique (COS) dont la vocation est de faire des recommandations sur les choix stratégiques de développement et de déploiement de l’école, notamment à l’international. Il se compose en majeure partie de dirigeants d’entreprises et de diplômés de l’école, ainsi que de quelques personnalités des mondes institutionnel, politique et pédagogique.

L’une des missions confiée à Alice Guilhon, Directrice du CERAM, lors de sa nomination en 2007, était de créer une structure d’experts permettant d’approfondir la vision stratégique du COS sur l’international : l’International Advisory Board (IAB). Ce comité, qui s’est réuni pour la première fois en mai dernier, réunit des chefs d’entreprises et des directeurs de grandes écoles et universités internationales.

Aujourd’hui, Dominique Estève vient de nommer deux Présidents à la direction de ces comités, tous deux diplômés du CERAM en 1983: Jean-Philippe Courtois Président de Microsoft International et Didier Bonnet, Vice-Président de Capgemini

Jean-Philippe Courtois :

« Le CERAM Business School accompagne depuis plus de 40 ans des managers capables d’innover, d’entreprendre et de relever des enjeux dans une économie mondiale. Son positionnement au sein de la première technopole européenne l’a conduit à être un modèle d’enseignement combinant les besoins des entreprises et les talents des étudiants.

En tant que diplômé du CERAM, je suis très honoré d’avoir été choisi pour présider son Conseil d’Orientation Stratégique qui incarne des valeurs de respect de la diversité, de responsabilité et d’amélioration continue, de passion et d’esprit d’entreprendre.

Mon objectif sera de promouvoir les meilleures pratiques de management dans l’économie de la connaissance, de valoriser le positionnement stratégique du CERAM en renforçant son rayonnement international, et de perpétuer l’ouverture et le partage avec le monde de l’entreprise. »

Didier Bonnet :

« Dans un contexte de globalisation accrue des secteurs de l’économie, il va de soi que le CERAM a un rôle déterminant à jouer à la fois en formant de futurs managers et en contribuant à une meilleure compréhension de la mondialisation, indispensable aux grands leaders. Situé sur la technopole de Sophia-Antipolis, j’ai la certitude que le CERAM possède tous les atouts pour proposer un programme différenciateur.

Le Comité International aura un rôle fondamental à jouer dans les décisions que le CERAM sera amené à prendre afin de se positionner en tant qu’établissement leader dans l’enseignement de management international. Il doit contribuer à augmenter la visibilité internationale de l’Ecole, créer des partenariats stratégiques avec d’autres institutions leaders, apporter la connaissance des meilleures pratiques adoptées à l’étranger et veiller à ce que le positionnement choisi par l’école soit
en droite ligne avec sa vision internationale.

Je suis vraiment ravi de pouvoir contribuer à cette initiative si importante pour l’avenir du CERAM et de participer, avec mes collègues du Comité, à développer le positionnement différentiateur et international de l’école. »

Ces deux comités apporteront une valeur ajoutée déterminante pour la politique de l’école, son déploiement à l’international et son ouverture sur le monde de l’entreprise.

Pierre Kosciusko-Morizet élu président de l’ACSEL le 3 juillet 2008

Membre de l’Association pour le commerce et les services en ligne (ACSEL) depuis la création de
PriceMinister et administrateur depuis 2005, Pierre Kosciusko-Morizet est un acteur clé de l’économie numérique. « L’ACSEL est un formidable instrument d’anticipation et de compréhension
des évolutions de l’économie numérique et représente un lieu unique o๠les acteurs de cette économie dialoguent pour construire ensemble les conditions de l’avenir de nos métiers
»,
explique Pierre Kosciusko-Morizet.

Il succède à  Henri de Maublanc qui, 14 ans durant, a apporté sa compétence d’entrepreneur, son savoir-faire en matière de
e-commerce et une vision élargie du domaine des services en ligne. Sous sa conduite, l’Association a pu anticiper et accompagner les évolutions techniques et sociétales qui ont profondément
modifié le paysage économique français, européen et mondial. Citons pour mémoire les travaux de référence menés sous sa présidence : les enjeux de l’Internet pour la France (1995) ; la
confiance dans les échanges et le paiement (2001) ; le développement des services en ligne de mobile (2001) ; la problématique du haut débit (2003) ; la compréhension des pratiques du
marketing en ligne, du web 2.0 et du « social computing » (2007), etc.

Pour Pierre Kosciusko-Morizet, « il est nécessaire aujourd’hui,
encore plus qu’hier, de mobiliser l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeur de l’économie numérique pour maintenir la croissance rapide de notre secteur. La France a aujourd’hui une pratique
et une originalité à  valoriser au plan européen et international, qui lui permettent de faire reconnaître ses modèles et ses acteurs et de construire chaque jour une place de leader dans le
domaine de l’Internet européen. C’est ce défi sans cesse renouvelé, que je m’efforcerai de relever avec l’ensemble des membres de l’ACSEL en particulier en direction des PME et TPE forces
vives du secteur”.

 

Le nouveau Président a formé le bureau de l’Association
:

 

– Pierre Kosciusko-Morizet (PriceMinister),
président

– Jean-Pierre Buthion (Groupement des cartes bancaires),
vice-président

– Françoise Renaud (Union des annonceurs), vice-présidente
et trésorière

– Jean-François Teissier (Prosodie),
vice-président

– Rachel Picard (Voyages-SNCF.com),
vice-présidente

– Vincent Taupin (Boursorama), vice-président

– Brigitte Cantaloube (Yahoo!)

– Jean-Rémi Gratadour (Irepp)

– Marie-Christine Méry (Jet Multimédia)

 

www.acsel.asso.fr

La CJC regrette la disparition d’ASPASIE

Message de la Confédération des Jeunes Chercheurs

La Confédération des Jeunes Chercheurs (CJC) a pris connaissance de la décision prise par ASPASIE, association de jeunes chercheurs aixois en sciences politiques, membre de longue date de la CJC, de se dissoudre. Cette dissolution a été décidée par les membres de l’association en juin 2008 suite à “[la constatation] que les conditions de son existence et de sa participation aux activités de recherche ne sont plus réunies du fait (…) du démantèlement des dispositifs de
recherche [de l’IEP d’Aix]”.*

La CJC ne peut que regretter qu’ASPASIE ait dû en arriver à cette extrémité pour dénoncer les conditions regrettables dans lesquelles nombre de jeunes chercheurs doivent travailler. Il est urgent que ceux-ci reçoivent la considération qui leur est due de la part de leurs collègues plus expérimentés et de l’ensemble du système de recherche et d’enseignement supérieur.

contact@cjc.jeunes-chercheurs.org

 * Un communiqué de presse est disponible sur le site de l’ANCMSP (Association Nationale des Candidats aux Métiers de la Science Politique)

La Distribution Automatique : solution au nomadisme de la population !

Vending Paris en partenariat avec Gira (spécialiste européen des études sur la consommation alimentaire hors
domicile) lance une étude exclusive et inédite en Europe afin de mieux cerner les attentes et les motivations des consommateurs vis-à-vis de la restauration dite « en mouvement » telle
que la distribution automatique et la vente à emporter. Cette étude comportementale ayant pour objectif de mieux les servir et, pourquoi pas, de faire évoluer sensiblement l’offre en termes de
diversité de produits et de prix, mais aussi en termes de perception.

Les résultats de cette étude totalement originale, menée sur le territoire national, seront révélés dans leur
totalité lors d’une conférence organisée le premier jour du salon. Ils seront le fruit d’entretiens qualitatifs réalisés en face à face par Gira auprès de 200 personnes représentatives de la
France active.

Vending PARIS qui s’affirmait déjà comme la manifestation majeure du secteur de la distribution automatique, voit
son offre s’étendre à l’ensemble du marché de la consommation hors domicile, grâce à la création de Nomading, un nouvel espace totalement dédié à la vente à emporter : un positionnement plus
que légitime pour déclencher de tels questionnements.

Reflet de la modernité et de la diversification des produits et services proposés en distribution automatique,
Vending PARIS 2008, avec ses 250 exposants et ses 13 000 visiteurs professionnels attendus, fédère tous les acteurs du marché au national comme à l’international.

 

Vending PARIS 2008

Le Salon International de la Distribution Automatique

29 octobre / 1er novembre 2008

Paris-Expo – Porte de Versailles – Hall 4

www.vendingparis.com

 

Identifier les centres de recherche de haut potentiel

La Direction générale des entreprises (DGE) vient de publier la base de données « Technologies-clés : identification des centres de recherche à fort potentiel », qui recense plus d’un millier de laboratoires et
d’établissements français possédant une expertise avérée dans les différents domaines scientifiques et technologiques en lien avec 83 technologies-clés. Cette base permet aux chercheurs et
industriels de trouver les compétences complémentaires à leur savoir-faire, afin de mener à bien un projet de R&D ou de transfert de technologie.

Cette base de données complète l’étude Technologies-clés 2010 publiée
en septembre 2006 (et disponible sur www.industrie.gouv.fr/techno_cles_2010), qui a permis d’identifier les 83 technologies les plus
prometteuses pour l’industrie française à un horizon de 5 à 10 ans.

La base de données « Technologies-clés : identification des
centres de recherche à fort potentiel »
constitue un complément d’information par rapport aux champs couverts par les pôles de compétitivité et présente un intérêt pour les entreprises
ne se situant pas dans le périmètre d’un pôle de compétitivité.

Conçu de
façon résolument pratique, cet outil permet d’effectuer des requêtes par domaine technologique complet, ou détaillé, ou par région. La base de données est disponible sur www.industrie.gouv.fr/techno_cles_2010

LME : une étape pour la concurrence au service du pouvoir d’achat

La Loi de Modernisation de l’Economie (LME) qui vient d’être votée, vise à favoriser la croissance et le pouvoir
d’achat et marque ainsi une étape importante en rapprochant le cadre du commerce français du droit commun européen.

Les entreprises du Commerce et de la Distribution avaient milité pour sortir du système absurde de la loi Galland,
qui a complexifié les relations commerciales pendant plus de 10 ans. La nouvelle réglementation va permettre de réintroduire plus de souplesse et plus de transparence. Les commerçants vont
pouvoir faire leur métier : négocier les tarifs avec les industriels au bénéfice des clients.

Concernant le volet urbanisme commercial, la FCD regrette que le Gouvernement ne soit pas allé au bout de la réforme
de la loi Royer Raffarin. La loi ne libéralise pas le fonctionnement des commissions départementales, elle reste dans l’économie administrée. Le renforcement des astreintes prises en matière de
contrôle des pratiques anticoncurrentielles et la saisie par le Maire des commissions départementales, vont renforcer les contraintes et vont donc alourdir le système.

Ces dispositifs représentent un frein pour l’investissement et pour la croissance.

Pour Jérôme Bédier, Président de la FCD : « il est essentiel, comme l’a annoncé officiellement le Gouvernement,
qu’une véritable réforme de l’urbanisme commercial puisse être mise en œuvre dans les six mois qui viennent ».

Par ailleurs, les acteurs de la distribution mettent en garde le Gouvernement sur certaines mesures adoptées qui, en
renchérissant les coûts, sont contradictoires avec l’objectif général de la loi, en particulier, le nouveau dispositif sur les délais de paiement et l’augmentation de la taxe sur les m² (TACA)
qui représente une charge très importante pour les distributeurs.

Dans une conjoncture économique difficile, la LME peut contribuer à rétablir la confiance : il faut garder le cap de
la croissance et du pouvoir d’achat.

 

Message de
la
FCD
(Fédération représentant les entreprises du commerce à prédominance alimentaire).

C’est de la bombe !

Trois étudiants de l’ICD (Institut International de Commerce et Distribution) ont remporté les trois premières places du concours d’art urbain Brésil Urb’Art, organisé par le Groupe IGS Associations, à destination des étudiants et apprentis des écoles du Groupe, à savoir les écoles ICD, ESAM, ISCPA, ABS et IGS, les CFA Bureautique Appliquée et CFA CODIS, et le CIEFA. Cet événement a associé quatre « artistes de rue » brésiliens, Titi Freak, Daniel Melim, Zezao et Carlos Dias, qui sont venus rencontrer et présenter leurs œuvres aux étudiants sur les campus de Paris et Toulouse. Une belle initiative marquée par le succès pour l’ICD !


Claude Lombard, Directrice de l’ICD, entourée des trois lauréats du concours

L’Université Pierre et Marie Curie vient d’être désignée

L’Université Pierre et Marie Curie vient d’être désignée officiellement par Valérie
Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, parmi les premières à pouvoir accéder aux responsabilités élargies au 1er janvier 2009.

L’acquisition des nouvelles responsabilités pour les vingt premières universités retenues est à marquer d’une pierre
blanche dans la longue histoire des universités car elle est susceptible de mettre fin au long déclin des universités françaises et de permettre à notre pays de défendre son rang dans la nouvelle
économie mondiale de la connaissance et de l’innovation. Le choix de l’UPMC dans cette première vague est à mettre à l’actif de la grande majorité du personnel uni pour moderniser et faire
progresser le service public d’enseignement supérieur et de recherche.

Dans tous les services et à tous les niveaux, la communauté de l’UPMC et des EPST associés dans la
mixité s’est mobilisée pour faire face aux inspections et audits et apporter ainsi la preuve de sa responsabilité et de sa détermination à réussir. L’UPMC a répondu à tous les points soulevés par
courrier par la Ministre auprès de l’établissement, points qui, à ses yeux, conditionnaient cette accession aux nouvelles responsabilités. L’UPMC a présenté un plan d’action précis pour y faire
face.

Par ailleurs, l’UPMC rappelle que son Conseil d’administration s’est également prononcé pour la dévolution des biens
immobiliers (foncier et bâti) et réclame en conséquence que la totalité des nouvelles compétences prévues par la loi lui soient dévolues. Cela passe par la dotation de l’ensemble des biens
immobiliers qu’elle occupe, à l’exception des locaux occupés provisoirement pendant la durée du désamiantage du campus principal, et par le transfert de la maîtrise d’ouvrage de la rénovation de
Jussieu à l’UPMC.

L’université
Pierre et Marie Curie rappelle enfin que, première université française dans les classements internationaux, elle est fortement sous dotée par rapport aux universités européennes, nord-américaines
et asiatiques qui sont ses principales compétitrices et par rapport à la majorité des grandes écoles et aux grands établissements français, surtout si on  rapporte la dotation aux responsabilités effectives en recherche et au nombre d’étudiants. Elle sera attentive, dans les négociations qui vont s’ouvrir avec
l’Etat, à ce que le passage à l’autonomie financière ne soit pas l’occasion pour celui-ci d’amputer la masse salariale au nom d’un égalitarisme formel entre universités qui serait délétère pour
l’objectif fixé par le Président de la République de hisser quelques universités françaises dans les dix premières universités mondiales. Elle veillera également à ce que des dispositifs soient mis
en place pour que l’université n’ait pas à faire face sur ses ressources propres aux décisions unilatérales de l’Etat en matière de niveau de rémunération et de promotions des personnels d’Etat qui
n’auraient pas été discutées dans le contrat d’objectifs et de moyens signé avec l’Etat.

Prestations spécifiques : les IAE dans la légalité

“Les IAE sont en situation de concurrence face à des Ecoles de commerce mieux dotées, situation inédite dans l’université française. Cela ne les empêche pas de satisfaire leurs diplômés par une pédagogie très innovante et des parcours aux excellents débouchés professionnels.

Composantes d’établissements publics, les IAE ont pour seul but que optimiser, en toute transparence, les services qu’ils rendent à leurs
étudiants. Depuis leur origine, ils ont toujours joué un rôle d’ascenseur social, permettant à des jeunes de condition modeste d’accéder à des fonctions d’encadrement. Aujourd’hui, ce sont de
véritables Ecoles universitaires de management.

Certains IAE proposent aux étudiants, à des coûts raisonnables, des prestations clairement identifiées qui correspondent à des services rendus. Ce dispositif est légal et répond à des besoins budgétaires justifiés de  fonctionnement.

En affaiblissant les IAE, en condamnant  leur aspiration à la qualité, on les fera sortir du meilleur niveau concurrentiel. Les étudiants seront alors renvoyés vers le système bien plus onéreux des Ecoles privées.”

Propos de Pierre Louart

Président du réseau des IAE

Les 31 établissements du Réseau des IAE, répartis sur tout le territoire, sont les principaux formateurs universitaires dans le domaine du management et de la gestion. D’abord connus par leur formation double compétence en administration des entreprises, le MAE (CAAE à l’origine), est destiné aux professionnels ou aux ingénieurs souhaitant se former à la gestion. Les IAE délivrent ainsi plus de 300 Diplômes de Masters généralistes ou spécialisés dans un domaine particulier de la gestion des entreprises (marketing, finance, gestion des ressources humaines, comptabilité, affaires internationales, système d’information, achats, contrôle de gestion, ….). En outre, les IAE du Réseau proposent 16 MBA et 85 diplômes délocalisés. Le Réseau accueille  35 000 étudiants ou cadres (environ 25 000 étudiants en formation initiale et 10 000 en formation continue) et compte plus de  250 000 anciens.

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