Archives de catégorie : Actualité de la gestion

1re Edition des Trophées du Contrôle Interne

récompensant les meilleures pratiques en Gestion des Risques, Contrôle et Audit Internes

 

Le cabinet de conseil BearingPoint et l’IFACI (Institut Français de l’Audit et du Contrôle Internes) se sont
associés pour créer les Trophées du Contrôle Interne.

Réunissant entreprises, associations de professionnels, journalistes, enseignants et consultants, cette initiative
inédite en France a pour objectif d’analyser et de récompenser les meilleures pratiques dans le domaine de la Gestion des Risques, du Contrôle et de l’Audit Internes.

Elle s’appuie sur une étude
multisectorielle auprès des décideurs en Gestion des Risques et en Contrôle Interne des entreprises du secteur public et privé, et des administrations.

5 Trophées seront décernés par un jury d’experts et leaders d’opinion en la matière, au cours d’une cérémonie qui aura lieu le 14 décembre 2010 :

Meilleure démarche de cartographie des
risques

– Meilleure démarche de Contrôle Interne

Meilleure intégration Gestion des Risques et Contrôle Interne

Meilleure contribution de l’Audit Interne à l’efficacité des dispositifs de Gestion des Risques et de
Contrôle Interne

Grand Prix du Contrôle
interne 

 

Si vous souhaitez
participer à l’étude, vous pouvez demander, avant le 15 octobre 2010 votre dossier de candidature auprès de
bertrand.maccarini@bearingpointconsulting.com

Le N°3 du Mag des Sciences de Gestion dédié au Management du Sport

VIENT DE PARAÎTRE

L’équipe de rédaction du Mag des Sciences de Gestion vous présente le troisième numéro de son e-magazine d’analyse et d’information couvrant l’ensemble des domaines des sciences de gestion et dédié ce
moi ci au Management du sport.

Ce troisième  numéro débute par un article deGaël Gueguen qui souligne à travers l’exemple de l’introduction des oreillettes au sein du peloton du Tour de France, que le management d’une équipe sportive doit tenir compte des modalités d’appropriation, par les sportifs eux-mêmes, des innovations et des objets managériaux conçus pour améliorer leurs performances.
Dans un second article Jean Corneloup  montre que l’intégration aux dispositifs de gestion des dimensions socio-économiques telles que le territoire, la culture et l’! identité, ou encore le politique, est un préalable indispensable à la gestion effective des pratiques sportives. Lionel Maltese met quant à lui en évidence que le management des ressources et des compétences d’un club ou d’un événement sportif se distingue des objectifs alloués à une entreprise classique envisagée en tant que centre de profit. Il repose sur une combinaison entre d’un côté le management des athlètes et de leurs performances sportives, et de l’autre le management commercial de la réputation du club ou
de l’événement. Là encore, le social, les objets techniques, et l’économique s’emboîtent et attestent de la singularité des modèles de management du sport.

Le dernier article de ce numéro consacré au management du sport inaugure une nouvelle rubrique dans le Mag, destinée à mettre en lumière les résultats d’une thèse récemment soutenue. Frédéric Lassalle est le premier à présenter les résultats de ces travaux doctoraux portant sur le pouvoir des organisations sportives internationales.

Faire de la France le pays le plus prospère d’Europe

Le Groupe de travail « INNOVATION » de la Fondation Concorde, animé par Patrice Noailles et Jacques Marceau, publie le
15 septembre un rapport intitulé : « CREONS L’ECOSYSTEME DE L’INNOVATEUR, pour un environnement propice à l’innovation ».

La nouvelle politique préconisée par la Fondation n’est pas une simple série de mesures, mais un ensemble structurée
autour de l’innovateur personnage central du processus innovant et de son écosystème qui lui permet d’accomplir sa mission d’innovation. Cette nouvelle approche est riche de nouveaux
développements et de nouvelles perspectives.

Tous les documents seront téléchargeables sur les sites

www.fondationconcorde.com et www.valeur-innovation.com à partir du 15 septembre midi.

 

Les petits-déjeuners débats de la Fondation Concorde

 

Le prochain invité sera :

Hervé Mariton

Ancien ministre,

Député de la Drôme,

 

Sur le thème : « Faire de la France le pays de l’innovation »

Mercredi 15 septembre 2010 à 8h30

 

A l’occasion de la présentation de la publication de la Fondation Concorde

« Créons l’écosystème de l’innovateur – pour un environnement propice à l’innovation »

 

Au Café-restaurant Le Waknine

9 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris (Métro Iéna)

 

Merci de confirmer votre présence à :

info@fondationconcorde.com

 

Fondation Concorde

www.fondationconcorde.com

Bourses d’études de l’Association pour l’histoire des chemins de fer

Pour la 21e année consécutive, l’Association pour l’histoire des chemins de fer propose pour l’année universitaire
2010-2011 des BOURSES D’ETUDES dont a bénéficié à ce jour plus d’une centaine d’étudiants.

L’AHICF admet la candidature des étudiants qui préparent des mémoires qui doivent remplir deux conditions :

– que le mémoire soit le résultat d’un travail de recherche sur sources originales,

– que son sujet présente une dimension historique.

 

L’AHICF admet :

– en priorité la candidature des étudiants en doctorat, pour lesquels pourront être conclues plusieurs conventions
de recherche d’une à deux ans, consécutives ou non selon le progrès des travaux et la situation de chacun, pour une durée totale de trois ans.

– en second lieu celle des étudiants en master 2 de recherche ou professionnel (ou préparant un diplôme de niveau
équivalent impliquant la rédaction d’un mémoire de recherche : mémoires de fin d’études d’écoles de commerce, d’ingénieurs, de documentation, d’architecture, d’instituts d’études politiques,
diplômes d’ingénieurs…), auxquels sera proposée une convention de recherche d’une année prévoyant une bourse qui pourra atteindre 2 500 euros.

 

– à titre exceptionnel la candidature des étudiants en master 1 s’il est établi que le résultat de leur première
année de master sera un mémoire de recherche achevé. Les conditions sont les mêmes que celles qui sont proposées aux étudiants inscrits en master 2.

 

Les conventions d’études sont annuelles et le montant qui est alloué aux étudiants peut atteindre 2 500
euros.

Les dossiers seront reçus jusqu’au 1er novembre 2010 pour l’année universitaire 2010-2011.

 

INFORMATIONS, REGLEMENT, PROPOSITION DE THEMES D’ETUDE, AFFICHES, DOSSIERS

DE CANDIDATURE sur le site: http://www.ahicf.com/allocation.htm

 

AHICF – Association pour l’histoire des chemins de fer / French Railway

Historical Society – 9, rue du Château-Landon, F-75010 PARIS – Tél.

/ Phone: +33(0)1 5820 5101 ou/or 51 02 – Fax: +33(0)1 5820 0286 –

contact@ahicf.comwww.ahicf.com

conférence annuelle de la chaire d’économie sociale de l’UPEMLV

Première conférence annuelle de la chaire d’économie sociale et solidaire de l’Université
Paris-Est Marne-la-Vallée (UPEMLV)

 

La première conférence annuelle de la chaire d’économie sociale et solidaire de l’UPEMLV sera
l’occasion d’officialise rl’entrée de deux nouveaux partenaires au sein de la chaire : la Macif et le Conseil général de Seine-et-Marne. Pour cette première conférence annuelle, la chaire
d’économie sociale et solidaire de l’UPEMLV a invité Philippe Kourilsky, Professeur au collège de France, à présenter pour en débattre les idées très novatrices développées dans son récent
ouvrage, Le temps de l’altruisme, qui trouvent une résonance et une portée toute particulière dans le champ de l’économie sociale et solidaire.

 

La chaire d’économie sociale et solidaire de l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée a été créée le 4
février 2010 par une convention partenariale entre l’Université et cinq partenaires fondateurs du secteur de l’économie sociale et solidaire : Alternatives Economiques, l’Atelier (le Centre de
ressources en économie sociale et solidaire d’Ile-de-France), la Mutuelle Chorum et Cides, l’IRUP (Institut Régional Universitaire Polytechnique de Saint-Etienne) et l’UGEM (Union des groupements
d’employeurs mutualistes).

 

Objectifs et missions

L’Université Paris-Est Marne-la-Vallée a souhaité créer avec ces cinq partenaires une chaire d’économie
sociale et solidaire afin de développer des recherches et des formations universitaires permettant de promouvoir un emploi de qualité pour tous en s’appuyant sur une double dynamique : un ancrage
territorial en Ile-de-France et des relations internationales tournées vers les pays d’Asie du Sud Est et les pays du monde arabe.

Les missions de la chaire sont structurées autour de trois axes de développement :

– Le développement de recherches en économie sociale et solidaire alliant savoirs académiques et
professionnels autour d’une thématique portant sur les modèles économiques des organisations de l’économie sociale et solidaire, en lien avec leur capacité à développer un emploi de qualité
pérenne incluant la formation, les conditions de travail, la protection sociale, l’insertion, le dialogue social et territorial.

– Le développement d’enseignements et de formations de niveau Licence et Master qui répondent à la fois
à l’objectif d’orientation et d’insertion professionnelle des étudiants et aux besoins de professionnalisation des organisations de l’économie sociale et solidaire.

– La reconnaissance de l’économie sociale et solidaire par une meilleure diffusion dans le monde
socioéconomique de sa culture et des résultats de ses formations, de ses recherches, et également par le développement des relations internationales.

 

Deux nouveaux partenaires pour la chaire.

Le Conseil général de Seine-et-Marne et la Macif rejoindront la chaire le 27 septembre 2010, portant
ainsi à sept le nombre de partenaires.

L’entrée de la Macif dans le chaire, outre le soutien qu’elle apporte aux missions transversales de
cette dernière, vise plus particulièrement à contribuer à la professionnalisation des salariés de l’économie sociale, aussi bien au niveau de la formation initiale que de la formation continue,
et à promouvoir une plus grande reconnaissance de l’économie sociale et solidaire par des actions innovantes.

L’entrée du Conseil général de Seine-et-Marne apporte également un soutien à l’ensemble des missions de la chaire tout en contribuant plus spécifiquement à la
réalisation de recherches-actions favorisant un développement territorial qui soit durable et inclusif, ainsi qu’à la formation professionnalisante des acteurs locaux de l’insertion par
l’activité économique.

 

Programme du 27 septembre 2010

14h-18h30 : Les partenaires présenteront sur leur stand leurs activités, offres d’emplois et de stages
afin de les faire découvrir à l’ensemble des étudiants d’économie et de gestion de l’Université. L’UPEMLV présentera également son offre de formation dans le secteur de l’économie sociale et
solidaire.

15h-17h15 : conférence-débat de Ph. Kourilsky autour de son ouvrage Le temps de l’altruisme
(éd. Odile Jacob, 2009) et introduite par Hervé Devalfard, responsable de la chaire et enseignant-chercheur à l’UPEMLV.

17h30-18h : Entrée de la Macif et du Conseil général de Seine-et-Marne dans la chaire. Allocutions de
Francis Godard, président de l’UPEMLV ; de Jean-Marc Lagoutte (président de l’UGEM) et président du comité de pilotage de la chaire ; de M. Claude Fiot, DRH groupe de la Macif et enfin de Vincent
Eblé, président du Conseil général de Seine-et-Marne.

 

Lieu

Université Paris-Est Marne-la-Vallée (UPEMLV)

Bâtiment Bois-de-l’Etang, aile B, amphithéâtre B


« comment s’y rendre ? »

Proposition de bourses d’étude de la Cité de la dentelle

www.cite-dentelle.fr

Pour la seconde année, la municipalité de Calais et le conseil scientifique de la Cité internationale de la
dentelle et de la mode de Calais
offrent des bourses d’études dans le cadre du programme de recherche pluridisciplinaire consacré à l’histoire de la dentelle.

Afin d’aider les jeunes chercheurs dans leurs travaux, cinq bourses annuelles d’un montant de 600 à 1200 €,
destinées aux étudiants inscrits en Master 1 et 2 et en thèse, ont été prévues. Cette aide est accordée par le Comité scientifique dans le cadre d’une convention passée entre l’étudiant et la
Cité de la dentelle, sur la recommandation et avec l’accord du directeur de recherche. Une commission sélectionnera les bénéficiaires de cette aide parmi les dossiers arrivés avant la date du
10 novembre 2010.

Les dossiers devront être composés

– d’un projet de recherche accompagné d’une bibliographie et des sources disponibles

– d’une lettre de motivation et d’un curriculum vitæ

d’un courrier du directeur
de recherche validant le projet

d’une photocopie de la carte
d’étudiant en cours de validité

La date limite de réception (par courrier postal et par courrier électronique) des dossiers de
candidature pour l’année 2010-2011
est fixée au 10 novembre
2010
.

Les courriers sont ・adresser par voie postale ・:Mme Martine FOSSE, Conservateur en chef de la Cité internationale de
la dentelle et de la mode, 135 Quai du Commerce 62100 Calais ET par courrier électronique à l’adresse suivante : linda.hamlaoui@mairie‐calais.fr

 

 

Propositions de sujets :

1/ Techniques de la dentelle :

Dynamique de l’innovation au Royaume-Uni et en France. Protection et
diffusion des inventions (Pusher, Circular bolt, traverse warp, Straight bolt)

Etude biographique des inventeurs

Automatisation du métier Leavers, après sa mécanisation

Recours aux énergies motrices : vapeur, gaz, électricité et les
adaptations techniques liées

2/ Entreprises, entrepreneurs et économie

Les centres dentelliers au XVIIe s. (France du Nord et Pays-Bas) : Les
manufactures royales : Le Quesnoy, Arras, Reims, Sedan

Les ateliers de dentellières du Nord–Pas-de-Calais
(XVIII
e et
XIX
e s.)

Les entreprises et les entrepreneurs de la dentelle mécanique et du
tulle (Calais, Lille, Douai, Cambrai, Saint-Quentin, Rouen)

Davenière, patron dentellier

Maison Dognin et Isaac (Lyon et Calais)

La production dentellière au travers des registres du dépôt légal,
1836-1935

Les associations professionnelles, syndicats patronaux, chambre de
commerce et d’industrie

L’économie calaisienne en dehors de la dentelle : industrie, banque,
finance

Les entreprises liées à la dentelle : Filature, savonnerie,
teinturerie, Fonderie, mécanique, Chandelles

Production d’énergie : usines à gaz, constructeur de machine à
vapeur, les compagnies de distribution à Calais…

Les marchés de la dentelle : du produit au consommateur

Contrebande et fraude textile entre France et Royaume-Uni,
XVIII
e–XIXe s.

La dentelle mécanique à Lyon

3/ Aspects sociaux

L’esquisseur-dessinateur

Les métiers de la dentelle mécanique : formation, évolution,
pratiques

Les équipements socioculturels et leurs usages

Le mouvement syndical ouvrier dans la dentelle mécanique à
Calais

Les populations immigrées à Calais :

4/ Produits et usages

La mode enfantine et la dentelle

Matières à dentelles : soie, coton, lin, fibres synthétiques et
artificielles

Genre et dentelle

Dentelle et ameublement

Dentelle, arts industriels et arts décoratifs

Les motifs de la dentelle : sujets champêtres, exotiques,
littéraires, politiques…

Dentelle et design dans le second vingtième siècle

Les réutilisations de la dentelle

5/ Architecture et urbanisme à Calais

L’architecture industrielle

Logements ouvriers et logements patronaux

Les bâtiments à usages économiques : banques, sièges sociaux,
chambre de commerce, poste…

La gestion des déchets dans la ville

6/ L’industrie dentellière en représentation

La dentelle de Calais dans les images publicitaires

Les usines dentellières représentées sur les gravures

Quelle histoire de la dentelle de Calais par les cartes postales
?

Le port de la dentelle mécanique dans les classes populaires,
1860-1914, au travers de l’image


Calais et
la dentelle dans l’histoire du Cinéma

L’actualité de la CGE en ligne

La dernière lettre d’information Grand Angle, consacrée en septembre aux 25 ans des Mastères Spécialisés et à l’ensemble des actualités de la CGE disponible sur http://www.cge-news.com.

Le prochain congrès annuel aura lieu les jeudi 7 et vendredi 8 Octobre 2010 sur le thème : « Quelle réponse au défi de l’international pour l’enseignement supérieur ? »

Les 150 ans de la Société de Statistique de Paris

Vendredi 24 septembre 2010

à l’Institut Henri Poincaré, 11 rue Pierre et Marie Curie, 75005 Paris

Amphithéâtre Hermite (Rez-de-chaussée)

Métro : R.E.R. Luxembourg

La Société de Statistique de Paris (SSP) a été créée en 1860 et la parution de son Journal (JSSP) a commencé cette
même année pour se terminer en 1997, relayé par la création de la Société Française de Statistique (SFdS) et du Journal de la SFdS.

Pour marquer cet anniversaire, le groupe “Histoire de la Statistique, des Probabilités et de leurs Usages” de la
SFdS en collaboration avec le séminaire d’Histoire du Calcul des Probabilités et de la Statistique (CAMS, EHESS) organisent un colloque scientifique ouvert à tous.

 

08h45 – 09h00 Accueil des participants.

09h00 – 09h30 Présentation de la journée : AVNER BAR-HEN, Président de la SFdS, JEAN-PHILIPPE COTIS, Directeur
général de l’Insee, et MARC BARBUT, EHESS Séminaire d’Histoire de la Statistique

09h30 – 11h00 Session 1 : Historiographie et genèse de la SSP

– MICHEL ARMATTE (Univ. Paris Dauphine et Centre A. Koyré) : Sur l’historiographie de la SSP et les contenus de son
Journal en matière de statistique économique

– ANTOINE DE FALGUEROLLES (Univ. Toulouse) : Les Précurseurs de la Société de Statistique de Paris » de Fernand
Faure (1909)

11h00 – 11h15 Pause café

11h15 – 12h45 Session 2 : Points de vue disciplinaires

– BEATRICE TOUCHELAY (Univ. Paris12 Créteil) : La Société de Statistique de Paris et les fondations de l’expertise
publique de statistique (1936-1975)

– LAURENT MAZLIAK (Univ Paris) : Borel, Fréchet, Darmois : la découverte des statistiques par les probabilistes
français dans les années 1920

12h45 – 14h00 Déjeuner

14h00 – 16h15 : Session 3 : la SSP dans le contexte international ; Londres et Bruxelles

– ROSER CUSSO (EHESS, Univ Paris 8) : Ce que la Société statistique de Paris (SSP) et les premiers congrès de
statistique nous apprennent sur la « statistique internationale

– JOHN ALDRICH (University of Southampton, UK) : Tales of Two
Societies-London and Paris

– JEAN-JACQUES DROESBEKE (ULB, Bruxelles) : La statistique belge en 1860 et ses relations avec la France

16h15 – 16h30 Pause café

16h30 – 18h00 : Session 4 : la SSP dans le contexte international ; Pays-Bas et Russie

– IDA STAMHUIS (Free University of Amsterdam) : German ‘Knowledge of State
Power’ or French ‘Numbers and Equations’, Opinions on Statistics during the Defeat of the  Dutch Statistical Society

– MARTINE MESPOULET (Univ. Nantes) : La section de statistique de la Société juridique

de Moscou

18h00 : Pot de clôture de la journée.

 

Les 150 ans de la Société de Statistique de Paris

Vendredi 24 septembre 2010

La participation à la journée du 24 septembre 2010 est gratuite, mais l’inscription obligatoire.

Merci de bien vouloir vous inscrire en retournant le présent coupon par email à sfds@ihp.jussieu.fr

M. Mme Mlle Nom :………………………………………. Prénom :…………………………………

Organisme :…………………………………………………………………………………….………..

Adresse :…………………………………………………………………………………………………

Tél. :…………………………. Fax :……………………… E-mail : ……………………………………

SFdS – IHP, 11 rue Pierre et Marie Curie, 75231 Paris cedex 05

Tél. 01.44.27.66.60 – Fax 01.44.07.04.74 – sfds@ihp.jussieu.fr

http://www.sfds.asso.fr

 

Fêter les 150 ans de la Société Statistique de Paris (SSP), c’est honorer la longue vie d’une société savante qui a
su accompagner pendant toute cette durée l’éclosion puis le développement d’une discipline, la Statistique, qui bien avant d’être la discipline de mathématique appliquée à la description et
l’inférence inductive contrôlée de données qu’elle est aujourd’hui, fut d’abord la matrice méthodologique des sciences de l’État puis de la Population et enfin de la Société. Cette société de
statistique, créée en 1860 après d’autres avatars qui n’eurent pas la même pérennité, fut cependant l’oeuvre d’un groupe de savants et de politiques de tous bords, dans lequel les économistes
libéraux qui venaient de signer les premiers traités de Libre-échange et les cadres des Administrations centrales et de la Statistique Générale de la France (SGF), dont les données et
problématiques vont alimenter le Journal, avaient la première place, mais qui sut rassembler également des hommes politiques de premier plan – ministres, parlementaires et publicistes -, des
médecins, hygiénistes et des cadres de santé publique, des démographes, des actuaires et des assureurs, des banquiers et financiers, des mathématiciens et probabilistes etc.

C’est dire que l’activité de la SSP eut partie liée aussi bien avec les débats épistémologiques de diverses sciences
d’observations – certaines anciennes, comme l’économie politique, d’autres toutes nouvelles comme la sociologie – qu’à toutes les formes de questions politiques et sociales qu’ont connus les
différents régimes : Fin d’Empire et guerre franco-prussienne, troisième république et crise de fin de siècles, lourdes remises en causes de l’après crise des années 1930, occupation et régime de
Vichy, Libération etreconstruction, Trente glorieuses…la SSP aura traversé tout cela en accumulant dans son Journal des traces de tous les débats et controverses, des évolutions, innovations et
changements de paradigme – du libéralisme au solidarisme par exemple – que la statistique enregistrait, accompagnait, fabriquait parfois. La SSP fut un fabuleux lieu de rencontre entre la demande
d’expertise provenant des administrations, des organismes consultatifs nationaux ou municipaux, ou encore des institutions financières, et les compétences accumulées par l’élite politique et
savante qu’elle rassemble.

A tout moment, mais surtout au tournant du siècle, la SSP a occupé une position originale dans cette chaîne de
l’expertise et de l’ingénierie sociale, une façon d’incarner la science républicaine, soucieuse d’articuler le progrès du savoir, le progrès social et un certain respect de l’ordre et des
hiérarchies constituées. Son rôle dans la mise en place d’un Etat-Providence au plus fort moment de la lutte des classes, puis d’un État régulateur et entrepreneur après la crise de 1929, s’est
d’ailleurs largement étendu au-delà des frontières, assurant une large circulation des élites administratives et savantes à l’échelle internationale, soit au travers d’une ouverture de ses
manifestation et de son Journal aux économistes et statisticiens étrangers, soit au travers d’échanges avec des Sociétés de Statistique d’autres nations, soit enfin par sa présence dans les
sessions du Congrès International de Statistique (jusqu’en 1872), puis de l’Institut International de Statistique (depuis 1885, et dont notre manifestation fera donc écho au 125e
anniversaire).

Pour marquer cet anniversaire, la SFdS organise une journée qui rendra compte de ce rôle si particulier d’une
société savante ayant rempli très honorablement trois missions complémentaires :

– Favoriser la mise en place d’une discipline théorique et pratique – la Statistique – se dégageant petit à petit de
ses objets propres (l’État, la Population) pour offrir une base empirique et méthodologique sérieuse à l’émergence d’un bouquet de nouvelles sciences d’observation.

– Assurer au travers de ce domaine d’expertise, et par un positionnement à la charnière de l’administration et de la
science, une véritable percolation du tissus économique et social capable de construire et d’accompagner la mise en place de formes successives de contrat social, au niveau local ou
national.

– Jouer un rôle de premier plan dans les échanges internationaux sur la Statistique économique et sociale, dans un
but de comparaison et d’harmonisation des savoirs théoriques et pratiques, et d’institution de dispositifs permanents de gouvernance (le BIT par exemple).

Le Colloque donnera lieu ultérieurement à la publication d’un numéro thématique du Journal Electronique d’Histoire
des Probabilités et de la Statistique (www.jehps.net).

Pour une Année européenne du patrimoine industriel et technique

En novembre 2009, à Calais, se sont réunies des associations impliquées dans l’étude, la conservation et la mise en
valeur de l’héritage industriel et technique belge (Flandre), allemand, britannique, espagnol (Catalogne, Pays basque,…), français, grec… Au-delà du fait que ces organisations ont décidé
de hausser leur degré de collaboration, il y a eu aussi un grand consensus à propos de la proposition de lancer en commun une Année européenne du Patrimoine industriel et technique.

Il s’agit tout d’abord de rassembler le plus grand nombre d’organisations – qu’elles soient nationales, régionales,
locales ou thématiques – derrière un mémorandum commun.

Il est demandé à toutes les associations de faire approuver ce texte par leur Conseil d’Administration ou leur
Assemblée Générale, de le reproduire sur du papier à leur en-tête et de l’envoyer signé par deux ou plus de leurs responsables à :

 

Le mémorandum est rédigé en anglais.

Son texte est repris ci-après dans des traductions (officieuses) en : allemand, catalan, espagnol, espéranto,
français, italien, latin, néerlandais, polonais, portugais, roumain, suédois

Vous pouvez nous aider en rédigeant une traduction dans votre langue maternelle et en nous l’expédiant par courrier
électronique

 

 

E-FAITH

Campagne pour

une Année Européenne du Patrimoine

Industriel et Technique

MEMORANDUM

 

Les associations européennes du patrimoine industriel,

 

Vu la Résolution n°2, par. A-ii, de la 2e Conférence Européenne des Ministres Responsables du Patrimoine
Architectural (Grenade, 3-4 octobre 1985), qui recommande une extension des catégories de biens à protéger incluant entre autres le patrimoine industriel et technique ;

Vu la Résolution n°3, par A.a, de la 3e Conférence Européenne des Ministres Responsables du Patrimoine Culturel
(Malte, 16-17 janvier 1992), qui demande de donner priorité à l’approfondissement de la notion de protection du Patrimoine culturel, en particulier à travers l’identification de catégories de
patrimoine insuffisamment protégées ou même non encore protégées et la définition de stratégies spécifiques appropriées; ainsi que la nécessité de sensibiliser les Communautés européennes aux
valeurs du patrimoine (comme décrit dans le par. C.b. de la même Résolution)

Vu la Résolution n°2, par II.b, de la 4e Conférence Européenne des Ministres Responsables du Patrimoine Culturel
(Helsinki, 30-31 mai1996), qui explique que les stratégies en faveur d’un tourisme culturel durable peut concourir à la mise en valeur de catégories diversifiées de biens culturels telles que les
patrimoines techniques et industriels;

Vu la Recommandation N° R (90) 20 du Comité des Ministres du Conseil de l’Europe relative à la protection et à la
conservation du patrimoine technique, industriel et des ouvrages d’art en Europe (13 septembre 1990), qui constate la nécessité de promouvoir la connaissance et la mise en valeur de ce patrimoine
au moyen d’actions de sensibilisation du grand public et d’un encouragement particulier du tourisme;

Vu la contribution unique et irréfutable de l’Europe à la croissance de la société moderne industrielle et
technologique;

Vu l’importance du patrimoine européen meuble et bâti industriel et technique, et les menaces innombrables qui
pèsent sur ce patrimoine et qui en mettent le futur en cause;

Se référant à l’impact qu’a eu l’Année Européenne du Patrimoine Architectural (1975), ainsi que des initiatives
telles que les Journées du Patrimoine, pour la promotion de la conscience de la conservation du patrimoine;

 

demandent au Conseil de l’Europe, à l’Union Européenne, aux états membres, aux organismes internationaux concernés
par l’étude, la conservation et la mise en valeur du patrimoine

de lancer une vaste campagne de sensibilisation du grand public, des autorités et instances publiques, et des
organismes non gouvernementaux, pour l’urgente nécessité de sauver le patrimoine industriel et technique de l’Europe, et de lui rendre la juste place qu’il mérite par sa valeur historique et
scientifique, par les raisons profondes et la compréhension qu’il offre aux situations sociales et économiques actuelles de nos régions.

 

C’est pourquoi les associations européennes du patrimoine industriel proposent

 

que soit lancée une campagne pour une Année européenne du Patrimoine Industriel et Technique.

 

 

 

Si votre association souscrit à ce mémorandum nous vous demandons d’en recopier le texte sur du papier à votre
en-tête et de le renvoyer daté et dûment signé par vos représentants, dès qu’il aura été adopté par votre Conseil d’Administration ou votre Assemblée Générale, à une des adresses suivantes
:

 

 

Nicolas Marty

———–

Histoire contemporaine

+33 (0)4 68 21 50 Ligne directe

+33 (0)4 68 21 55 Secrétariat

nicomar@univ-perp.fr

Université de Perpignan Via Domitia

CRHiSM EA 2984

Ecarts salariaux entre travailleurs homosexuels et hétérosexuels

Thierry
Laurent et Ferhat Mihoubi, tous deux économistes au centre d’étude des politiques économiques de
l’Université d’Évry Val d’Essonne, viennent de publier une étude sur les
rémunérations comparatives entre gays et hétérosexuels en milieu professionnel.

La première étude de ce type, réalisée en France, permet d’établir que les homos hommes gagnent 6,5% de moins que leurs collègues
hétéros dans le secteur privé, et 5,5% dans le secteur public.

Pour en savoir plus, lire notamment « Salaires : être homosexuel se paie »

 

La Caravane des Entrepreneurs au service des entrepreneurs

Pour contribuer à la création, à la reprise / transmission, l’installation en franchise et au développement des
entreprises, la Caravane des Entrepreneurs, pôle itinérant d’expertise pour les Entrepreneurs, pour sa septième année, installe ses chapiteaux dans votre région :
 

 

J 2/9

Paris 12° – Place de la
Bastille

V 3/9

La Défense – Place de la
Défense

S 4/9

Issy-les-Moulineaux – Place de
l’Hôtel de Ville

Me 8/9

Lyon – Place de la
République

J 9/9

Avignon – Cours Jaurès, face à la
Cité Administrative

V 10/9

Aix-en-Provence – Place Jeanne
d’Arc

S 11/9

Nice – Jardins Albert 1er (face
Kiosque à Musique)

L 13/9

Cannes – Allées de la Liberté
(Mairie)

Ma 14/9

Toulon – Quai Cronstadt, avenue de
la République

Me 15/9

Marseille – Cours Honoré
d’Estienne d’Orves

J 16/9

Montpellier – Place Paul
Bec

V 17/9

Toulouse – Place Saint
Aubin

S 18/9

Bordeaux – Allées de
Tourny

L 20/9

Limoges – Place de la
République

Ma 21/9

Orléans – Place du
Martroi

Me 22/9

Evry – Parking Nord du Centre
Commercial Evry 2

J 23/9

Paris 14° – Terre Plein Edgar
Quinet

V 24/9

Compiègne – Place du Marché aux
Herbes

S 25/9

Boulogne-Billancourt – Rue Paul
Constans

Son entrée est gratuite.

Chaque visiteur (créateur, repreneur, candidat franchisé, chef d’entreprise en développement ou voulant céder) est
orienté individuellement vers des conseils et experts, des conférences et des formations.

Les visiteurs sont reçus individuellement dans des espaces conseils par des experts : avocats, experts-comptables,
banquiers, assureurs, conseils en reprise / transmission d’entreprises, sociétés de portage salarial, consultants en développement commercial et marketing, etc.

 

Les experts de la Caravane des Entrepreneurs animent 6 conférences :

9h00 – Trouver une entreprise à reprendre (Le marché de la reprise / transmission. Définir son projet de reprise. Savoir chercher et trouver une entreprise à
reprendre)

10h15 – Développez votre entreprise grâce aux réseaux sur Internet (Les réseaux sociaux comme moyen intelligent, performant et peu coûteux pour développer votre entreprise)

11h30 – Développez votre entreprise dans l’éco-business (Les différents types de marchés liés au développement durable. Les perspectives. Les places à prendre)

12h45 – Mesdames, réussissez votre entreprise (10 conseils pratiques pour aider les femmes à entreprendre)

14h00 – Combien puis-je vendre mon entreprise et combien d’impôts aurais-je à payer
(Les différentes méthodes d’évaluation des entreprises. Le marché de la reprise / transmission en 2010. Le calcul de
la plus-value de cession et les règles d’imposition)

15h30 – Réussir à financer vos projets (Les différents types de financements du haut et du bas de bilan. Savoir convaincre les financeurs)

 


www.caravanedesentrepreneurs.com
 

Un CA de 1,1 milliard d’euros au premier semestre 2010 pour les auto-entrepreneurs

Hervé NOVELLI,  le Secrétaire d’État chargé du Commerce,
de l’Artisanat, des Petites et moyennes entreprises, du Tourisme, des Services et de la Consommation, se félicite du montant élevé de chiffre d’affaires généré par les auto-entrepreneurs, qui
dépasse 1,1 milliard d’euros sur le seul premier semestre 2010, contre 969 millions d’euros pour toute l’année 2009.

Au 31 juillet 2010, 524 000
personnes sont affiliées au régime de l’auto-entrepreneur d’après les données de l’Agence Centrale des Organismes de Sécurité Sociale (ACOSS). Le premier semestre 2010 a enregistré un record
d’affiliation, avec 211 200 nouveaux auto-entrepreneurs.

Le chiffre d’affaires des auto-entrepreneurs au premier trimestre 2010, initialement évalué à 393
millions d’euros en mai dernier, a été nettement revu à la hausse par l’ACOSS à 521 millions d’euros, du fait de la prise en compte de déclarations retardataires. Le chiffre d’affaire du deuxième
trimestre, évalué fin juillet à 587 millions d’euros, devrait également être revu à la hausse pour les mêmes raisons.

Le nombre de déclarations continues à progresser rapidement, avec 165 273 auto-entrepreneurs
ayant déclaré un chiffre d’affaire positif au premier trimestre 2010, contre 120 078 au dernier trimestre 2009. Le taux de déclaration d’un chiffre d’affaire positif, de 45% au premier
trimestre 2010, devrait rester stable au deuxième trimestre après prise en compte des déclarations retardataires.

Hervé
NOVELLI a déclaré : « Le chiffre d’affaires des auto-entrepreneurs en 2010 devrait dépasser 2,5 milliard d’euros, du fait de la montée en charge rapide du dispositif. Sur l’ensemble de
l’année 2009, le nombre de créations d’entreprises avait atteint le niveau inédit de 580 000, soit 75 % de plus qu’en 2008 : l’année 2010 devrait marquer un nouveau record de création
d’entreprises, et le chiffre de 320 000 créations d’auto-entreprises enregistré en 2009 devrait également être dépassé en 2010. » 

L’IUM lance un Master en management de la vente des produits de luxe

Le commerce des produits de luxe a fortement évolué depuis ces
dernières années. Mais la marque ne suffit plus à vendre un produit de luxe à elle seule. Le secteur a besoin de gérants de magasin et de managers innovants.

Le nouveau Master in Luxury Retail Management proposé par IUM prend en compte ces nouveaux défis. Lancé dès cette rentrée
à IUM, il sera aussi proposé à Paris par le groupe INSEEC, en janvier 2011 et octobre 2011.

 

Former les nouveaux managers du luxe

« Le Groupe INSEEC, grâce à notre expertise à l’IUM, ambitionne de créer un nouveau pôle en luxe», explique Annalisa
Tarquini, Directeur de ce nouveau programme. « Le Management de la vente au détail des produits de luxe est un secteur critique pour les grandes marques et le besoin en managers bien formés
est impératif. » Le Master in Luxury Retail Management vise à former des managers capables d’apporter de nouvelles idées et solutions au secteur.

Le programme s’attache a développé 4 types de compétences :

          Connaître et comprendre l’histoire, les tendances majeures (acteurs, produits, icônes, etc.) et les dynamiques de l’industrie du
luxe

          Apprendre à manager et gérer un point de vente (contrôle du budget, du stock, de la logistique, etc.), monter des équipes solides,
anticiper les besoins et attentes des clients

          Développer la dimension immatérielle et sensorielle du luxe (étiquette, protocole, rituels, etc.)

          Savoir théorique (avec des témoignages de professionnels du secteur) et connaissance pratique (stage d’orientation d’une semaine au
sein d’une entreprise du luxe et stage d’immersion de sept mois dans une boutique de luxe à l’issue des cours).

 

Débouchés

Les diplômés du Master se prédestinent à des postes de manager des stocks, assistant-manager de magasins, gérant de
magasin, responsable de régions ou de pays, etc.

« Aujourd’hui, la vente au détail représente une opportunité professionnelle importante et unique avec un fort
potentiel international. Le parcours professionnel des diplômés de nos Masters et MBA en biens de luxe illustre combien les industries du luxe souhaitent investir dans les jeunes talents »
déclare Annalisa Tarquini.

Le programme MLUX est également accessible en formation continue de 18 mois, sous forme de séminaires, cours et
conférences accessibles en ligne. Il peut être également modelé en fonction des besoins spécifiques de chaque entreprise.

 

Information pratique

 

Durée du programme: 10 mois + 7 mois de stage

Langue d’enseignement : anglais

Conditions d’admissions:

          Diplôme de niveau licence

          Expérience dans le secteur de la vente ou du luxe préférable mais pas obligatoire

          Test
d’anglais réussi (TOEFL, TOEIC, IELTS ou équivalent)

          Deux
lettres de recommandation de professeurs ou d’employeurs

          Entretien

 

Frais de scolarité : 19 500 € + 1 900 € (frais d’inscription)

 

www.monaco.edu

Jean-Yves GILET nommé directeur général du FSI

Le conseil d’administration du Fonds stratégique d’investissement (FSI) présidé par Augustin de
Romanet, directeur général de la Caisse des Dépôts, a désigné monsieur Jean-Yves GILET comme Directeur général du Fonds stratégique d’investissement, en remplacement de monsieur Gilles
MICHEL.

Conformément aux statuts du FSI, cette nomination a été effectuée sur proposition de l’Etat et de la
Caisse des Dépôts, coactionnaires du FSI.

Monsieur GILET prendra ses fonctions en septembre 2010.

Christine LAGARDE a déclaré : «Le Gouvernement se
félicite que le conseil d’administration ait pu choisir un industriel expérimenté, familier du secteur public, qui saura poursuivre et accroître l’action du FSI en faveur de l’économie
française.»

Augustin de ROMANET a déclaré pour sa part : « En
poursuivant dans la voie ouverte depuis la création du FSI par Gilles MICHEL et son équipe, je suis sûr que Jean-Yves GILET saura amplifier encore le soutien apporté par le FSI aux entreprises,
priorité stratégique du Groupe Caisse des Dépôts. »

 

Biographie de Jean-Yves GILET

Né en mars 1956, diplômé de l’Ecole polytechnique et ingénieur au Corps des Mines, Jean-Yves GILET
commença sa carrière en 1981 au ministère de l’Industrie comme adjoint au directeur de la direction interdépartementale de l’industrie de la région Picardie. En 1984, il rejoignit
l’administration centrale et devint successivement, chef du service d’interventions industrielles et du bureau de financement de l’industrie à la direction générale de l’industrie, puis en 1986,
directeur de cabinet du directeur général de l’industrie et responsable de l’équipe industrielle de la DATAR en 1987. En 1988, il fut nommé directeur de cabinet du  ministre de l’Aménagement du Territoire et des Reconversions (Jacques CHEREQUE). Entré dans le groupe Usinor en 1990, il prit la direction de la stratégie et du
plan, puis, en 1993, la direction de la stratégie, du plan et des affaires internationales. A partir de 1995, il occupa plusieurs fonctions exécutives au sein de la branche Inox d’Usinor ;
directeur général de La Meusienne, puis de Imphy SA (1996) et de Ugine Savoie (1997). En 1998, il fut nommé Chief executive officer d’Acesita au Brésil et en 1999, fut élu président du conseil
d’administration de CST. Il fut membre du comité exécutif d’Usinor de 1999 à 2002. Au sein du nouveau groupe issu de la fusion d’Aceralia, Arbed et Usinor en 2002, Jean-Yves GILET devint
directeur général d’Arcelor, en charge de la direction générale du secteur Aciers Inoxydables. Il est depuis août 2006, Executive vice-president, responsable de la branche acier inoxydable monde
d’Arcelor Mittal. Depuis 2003, il est président du conseil d’administration de l’Ecole nationale supérieure des techniques industrielles et des mines d’Albi-Carmaux.

En juillet 2004, il devint parallèlement président de l’Association française des entreprises pour
l’environnement ; il en est le vice-président depuis juillet 2009. Depuis 2004 il a été successivement président du comité « environnement » et du comité « responsabilité
sociétale des entreprises » du Medef.

 

————————

 

Rappelons que le conseil d’administration est composé
des 7 membres suivants :

Augustin de ROMANET, Directeur général de la Caisse des Dépôts,

Président du conseil d’administration du FSI

Patricia BARBIZET, Directeur général d’Artemis, Présidente du comité d’investissement du
FSI

Bruno BEZARD, Directeur général de l’agence des participations de l’Etat (APE)

Xavier FONTANET, Président d’Essilor international

Denis KESSLER, Président-directeur général de Scor, Président du comité des nominations et des
rémunérations du FSI, Président du comité d’Audit du FSI

Alain QUINET, Directeur des finances du groupe Caisse des Dépôts,

Luc
ROUSSEAU, Directeur général de la compétitivité, de l’industrie et des services