Archives de catégorie : Actualité de la gestion

Rapprochement : le MAEF et la FEDAE ont décidé de fusionner

Grégoire Leclercq, Président de la Fédération des Auto Entrepreneurs (FEDAE) et Cyrille Darrigade, Président du Mouvement des Auto Entrepreneurs (MAEF) après une entrevue, ont décidé ce mercredi 9 mai de fusionner leur deux mouvements. Le MAEF disparait au profit de la FEDAE qui devient numériquement la première association représentative des auto-entrepreneurs en France. Explications.

Grégoire Leclercq, Président de la FEDAE et Cyrille DARRIGADE, Président du MAEF ont signé ce matin la fusion de leur deux organisations.

« Depuis l’édition du libre blanc pour défendre le régime de l’auto-entreprise, nous avons une vision commune.
Demain, nous voulons peser auprès des pouvoirs publics, former et encadrer nos adhérents. Pour y parvenir, nous comptons sur la dynamique et la force de notre rassemblement » 
ont-ils précisé.

Dans cette opération de rapprochement, Cyrille Darrigade est nommé vice-président de la Fédération des Auto Entreprises. Diplômé en sciences de l’information et de la communication, il sera en charge des délégations régionales et des relations avec la presse.

Il prendra ses nouvelles fonctions jeudi 10 mai 2012, succédant ainsi à Didier Barbet, qui demeure conseiller spécial de la Fédération.

Suite à cette fusion, la FEDAE devient numériquement la première association de France représentant les auto-entrepreneurs.

Le Monde organise la 2e édition du Salon MBA FAIR le jeudi 24 mai 2012

Les Masters Business Administration ou Masters en administration des affaires en français sont les diplômes internationaux d’études supérieures les plus importants et reconnus. Tous les domaines de la gestion des affaires sont abordés : stratégie, marketing, finances, ressources humaines et management. Le Salon MBA Fair, organisé par Le Monde, vous permet de découvrir cet univers le jeudi 24 mai 2012 dans les locaux du journal Le Monde à Paris.

Une sélection des meilleurs MBA
Les visiteurs auront la possibilité de rencontrer les plus prestigieux MBA et Executive MBA français. Les détails des programmes (toutes spécialités confondues) vous seront présentés afin de faire le bon choix !

Des conférences thématiques
Des conférences thématiques seront animées par des journalistes du Monde et par les écoles présentes au Salon afin de vous permettre de mieux appréhender la reprise de vos études.

Des visiteurs expérimentés
Le Salon MBA Fair est un événement réservé aux cadres Bac+5, ayant de 3 à 10 ans d’expérience et souhaitant donner un nouvel élan à leur carrière et renforcer leur employabilité.

Horaires d’ouverture et modalités d’accès
Le Salon MBA Fair sera ouvert le jeudi 24 mai 2012 : 17h30 – 21h00 au siège du Journal LE MONDE, 80 Boulevard Auguste Blanqui – 75013 Paris Métro Corvisart ou Glacière (L6) ou Place d’Italie (L5, L6, L7)

Entrée gratuite
Le site www.mbafair-lemonde.com est à la disposition des visiteurs, qui y trouveront toutes les informations utiles, la liste des exposants, le programme des conférences. Ils pourront s’inscrire pour recevoir l’invitation au salon.

http://www.capcampus.com/img/u/1/mba-fair-le-monde.jpg

Numérique : tromperies en tous genres

Le numérique est source de lobbying intense… et de nombreuses tromperies en cette période électorale. Pour le MUNCI, il est nécessaire de partir sur des constats rigoureux pour promouvoir le secteur, ses entreprises et ses emplois, plutôt que sur des chiffres et des bilans fantaisistes qui finissent tôt ou tard par discréditer l’ensemble de la filière, à commencer par ceux qui prétendent vouloir la défendre en 1re ligne…

Il importe également de rappeler que le numérique en France ne se réduit pas à une seule voix, un seul porte-parole, une seule vision… d’une seule organisation, d’un seul Conseil ou d’un seul Collectif.

TROMPERIES DU GOUVERNEMENT :

Le Gouvernement (tout comme les grands lobbies du numérique…) se réfère continuellement à l’étude Mc Kinsey de mars 2011 sur « l’impact d’internet sur l’économie française » (réalisée pour le compte de Google) selon laquelle 700 000 emplois auraient été créés en France dans la filière numérique sur les 15 dernières années.

Pourtant, une simple addition des statistiques publiques (disponibles en ligne sur les sites de Pôle emploi et Insee) sur l’évolution des effectifs dans les différentes industries du numérique montre que le volume réel des créations d’emplois sur cette période est… presque trois fois inférieur à ce chiffre (entre 230 000 et 310 000) ! Quant aux effectifs du numérique en France, ils s’élèvent environ à 750 000… et non pas à 1,15 millions de salariés.

Eric BESSON, Ministre en charge de l’Economie numérique, déclarait en sept. 2011 que « le plan France Numérique 2012 mis en place par le Gouvernement en 2008 prévoyait 154 actions concrètes, dont 80% ont d’ores et déjà été mises en œuvre ». Deux mois plus tard, lors des assises du numérique 2011, ce chiffre est passé à 95%.

Malheureusement, lorsqu’on regarde le détail des actions accomplies, on a le plus grand mal à être d’accord avec ces 95%, sauf bien sûr à considérer que bon nombre d’entre elles sont simplement… « en passe de l’être » ( !).

A lire : Assises du numérique 2011 : la grande messe de la « France numérique d’en Haut »

Xavier BERTRAND, Ministre du Travail, vient de signer un accord pour promouvoir « l’emploi dans le numérique » avec le Syntec numérique, principale organisation patronale représentative dans les
services informatiques.

Moins de deux mois avant la présidentielle, cet accord a été préparé étrangement dans le plus grand secret.

Si au premier abord la plupart des objectifs paraissent louables sur le fond, cet accord est trompeur et
inacceptable sur la méthode : il vise en réalité à promouvoir l’emploi non pas dans les métiers du numérique mais dans le secteur des services informatiques ie. principalement
les SSII (au dépend notamment des DSI ?) et, tout en renforçant l’hégémonie contestée du Syntec numérique, représente un pied de nez à la démocratie sociale
comme à l’ensemble de la filière numérique qui n’a pas été consultée…

TROMPERIES DES LOBBIES :

Les études réalisées par les grands cabinets d’analystes (Mc Kinsey, Deloitte, IDC…)
pour le compte de grandes sociétés IT (Microsoft, Facebook, Google…) apportent régulièrement des chiffres et des prévisions plus fantaisistes les unes que les autres en
matière d’emploi dans le numérique : plus que jamais, il semble que les grands lobbies du numérique se servent de l’emploi pour leurs opérations de communication et de
lobbying…

Certains voient également le « cloud computing » comme un nouvel eldorado pour l’emploi IT :
c’est oublier que les créations d’emplois générées par le développement des services mutualisés risquent mécaniquement d’être annulées à moyen terme par l’externalisation des services et la
diminution des projets de développements spécifiques…

A lire : Etudes : l’emploi IT
source de lobbying… et de divagations :
http://munci.org/article1822.html
A l’initiative du Syntec numérique, treize organisations du numérique (parmi plusieurs dizaines…) viennent de se regrouper pour interpeller ensemble les candidats à la
présidentielle. Pour mieux faire entendre la « voix du numérique » (une ambition que nous partageons)… ou bien pour être les seules à se faire entendre ?

Allons-nous vers une nouvelle « spoliation » de la représentation des nombreux et divers acteurs du
numérique ?

Ces organisations prétendent représenter 1,5 millions d’emplois… l’inflation des chiffres se poursuit !

Elles prétendent que le numérique pourrait créer rapidement des dizaines de milliers d’emplois
simplement par un investissement massif sur la formation : c’est oublier que le secteur demeure fortement cyclique et que c’est un vœu pieux si la demande ne suit pas derrière !
Auquel cas le chômage pourrait même exploser à nouveau dans le secteur comme ce fut le cas après les chantiers de l’euro et de l’an 2000… ou encore pendant la crise de 2008-2009.

Il serait plus juste de dire que le numérique ne crée pas encore suffisamment d’emplois (environ 10 000/an dans
les services informatiques, moins que la grande distribution), mais que son potentiel de création demeure élevé et durable.

Il importe aussi que les conditions de travail s’améliorent dans le numérique : une récente étude de référence
place en effet les services informatiques et ceux aux entreprises comme étant les plus concernés par le mal-être au travail en France, avec une « forte augmentation des taux d’arrêts de
travail et de sorties forcées, ce qui traduit une persistance de la mauvaise gestion du turn-over endémique dans ce secteur
« .

En effet, les chiffres des départs forcés dans les SSII remettent partiellement en cause le mythe du « CDI-roi »
dans ce secteur frappé par une forte instabilité de l’emploi…

A lire : Collectif « industrie
numérique » : vers une « pensée unique » dans le numérique ?
http://munci.org/article1837.html

Les services informatiques, secteur en pointe du mal-être au travail : http://munci.org/article1816.html

Les chiffres des départs forcés (licenciements, ruptures conventionnelles…) dans les services informatiques :
http://munci.org/article1118.html

TROMPERIE DES EMPLOYEURS :

Les employeurs du numérique (relayés comme il se doit par le Conseil National du Numérique qui, rappelons-le, ne
comprend que des entrepreneurs…) se disent souvent confrontés à des « difficultés de recrutement ».

Pourtant, un simple calcul nous montre que l’offre de formation initiale et continue
estsuffisante (tout ou moins en volume, sans-doute pas en qualité) pour satisfaire aux besoins en main d’œuvre de nos entreprises.

De surcroît, le secteur n’est pas en situation de plein emploi (taux de chômage d’environ 6%) et
beaucoup de seniors sont exclus de notre marché du travail en raison d’un modèle économique basé essentiellement sur le « jeunisme ».

Les difficultés de recrutement sont pourtant bien réelles mais elles s’expliquent autrement que par une prétendue
« pénurie de main d’œuvre » et de jeunes diplômés sur notre marché du travail (critères de sélectivité des employeurs, inadéquation offre/demande, faible attractivité des SSII en raison de leur
mauvaise image d’employeur…).

Le MUNCI dénonce la quête d’hyper-flexibilité de ceux pour qui un marché du travail équilibré est nécessairement
un marché de « pénurie » qui doit être absolument corrigé. Question: veut-on vraiment du plein-emploi en France ?

A lire : La France forme
suffisamment d’étudiants aux métiers de l’informatique :
http://munci.org/article1819.html

Les “difficultés de recrutement” en informatique et la “pénurie d’informaticiens” : http://munci.org/article1711.html

Déclaration de Jérôme Despey (FNSEA) sur la formation professionnelle continue

Ne sciez pas notre branche

« Depuis 1995, les réformes successives de la formation professionnelle continue réduisent inexorablement le poids des branches professionnelles dans leurs capacités à développer leurs
politiques de formation. Chaque réforme porte son lot de mesures limitant l’autonomie des branches et accroît la reprise en main par l’Etat de la gestion des fonds paritaires.

Cette volonté s’est récemment traduite par l’encadrement des frais de gestion des Organismes Paritaires
Collecteurs Agréés (OPCA) dans les Conventions d’objectifs et de moyens (COM). Bien entendu, nous comprenons que l’Etat soit le garant de la bonne gestion des fonds mutualisés dont l’utilisation
doit être conforme à son objet, cependant, dans ce cas au détriment de l’innovation, de la recherche ou encore de l’expérimentation. Les partenaires sociaux ne voient pas d’un bon oeil cet
encadrement trop contrit après 40 ans de construction et de résultats concrets.

Les branches professionnelles ont toutes leur place dans la définition des politiques de formation, et ce, à plus
d’un titre. Tout d’abord, elles financent. Ensuite, elles sont le lien direct entre les entreprises, les salariés, les financements et les territoires, enfin elles sont une alternative aux
politiques nationales et compensent bien souvent les échecs de la formation initiale.

Pour la Fédération Nationale des Syndicats d’Exploitants Agricoles (FNSEA), les choses sont simples, les branches
professionnelles et, notamment, celles qui ne sont pas acquises à la cause de l’interprofession ont une capacité de mobilisation qui leurs donne les moyens de définir une logique de branche qui
s’inscrit pleinement dans les territoires. Grâce à l’ensemble des professionnels du secteur investis au sein des structures touchant à la formation, elles ont les moyens de décliner une réelle
logique de branche au sein de nos territoires et permettre ainsi de donner de la cohérence à l’outil formation et de l’adapter au mieux aux besoins des entreprises. Cette présence territoriale
nous permet de faire vivre nos territoires et c’est la garantie de l’adéquation emploi-formation. Le croisement de la

logique de branche et de la logique territoriale est impératif. Il est de la responsabilité des partenaires
sociaux qui, à travers leurs OPCA, s’appuient sur des réseaux organisés de responsables professionnels afin de mener des actions de proximité.

Récemment, nous avons assistez de la part de l’Etat à la création d’un schéma d’une grande complexité visant à
mettre la main sur les fonds paritaires. En effet, en 2009, dans la loi sur l’orientation et la formation tout au long de la vie, il crée le Fonds Paritaire de Sécurisation des Parcours
Professionnels (FPSPP) auquel il prendra par la voie réglementaire en 2 ans près de 600 millions d’euros.

Il s’était par ailleurs déjà entraîné à la réquisition des fonds des entreprises pour financer sa politique dans
le cadre du rapprochement de l’Agence Nationale Pour l’Emploi (ANPE) et l’Union Nationale Interprofessionnelle pour l’Emploi dans l’Industrie et le Commerce (UNEDIC) qui a donné naissance au
désormais bien connu, Pôle emploi. En reprenant la main sur les fonds paritaires l’Etat à donner un sérieux coup au paritarisme et à ses structures.

Alors dans l’éventualité d’une prochaine réforme, ne sciez notre branche. »

Jérôme Despey
Secrétaire Général Adjoint de la
FNSEA

Paris, le 2 mai 2012

FEDERATION NATIONALE DES SYNDICATS D’EXPLOITANTS AGRICOLES
11, rue de la Baume
75008 PARIS
Tél.
01.53.83.47.47


http://blog.lefigaro.fr/agriculture/2012/02/23/fnsea.jpg

Processus de fusion BEM et Euromed Management

Dans le cadre du processus de fusion entre les deux écoles BEM (Bordeaux) et Euromed Management (Marseille), Pierre GOGUET, Président de la CCI de Bordeaux et François
PIERSON, Président du Conseil d’Administration d’Euromed Management présenterons 
une conférence de
presse 
Le mardi 22 mai à 10h00 au centre Georges Pompidou « Le salon du musée »

28, rue Saint-Dominique –
75007 PARIS

 


L’Etudiante – une course le 29 avril 2012, en partenariat avec l’ESG

Après un succès retentissant en 2011,attirant plus de400 participants et dégageant plus de 2500€ de dons, La course L’Etudiante, en partenariat avec L’ESG Management School revient le 29 avril 2012 ! La première course à pied destinée aux étudiantes est donc de retour en 2012.

Plus qu’une course, un concept !
Le jeudi 19 avril, quelques jours avant la course, les étudiants de l’ESG Management School se sont retrouvés au Culture Hall pour une soirée étudiante mémorable en l’honneur de L’Etudiante.

Enfin, de nombreuses animations au cœur de la course et autour viendront agrémenter l’expérience vécue par les participants et rendront cet événement mémorable !

Un événement festif, généreux…
Bonne humeur, solidarité et partage sont les maîtres mots de cette course de 5 km qui se déroulera le dimanche 29 avril 2012 à partir de 12hau cœur du bois de Vincennes.

En solo ou en groupe, plusieurs formats de courses sont possibles. Pas de chronomètre et peu importe la performance, l’objectif de cette journée : partager un moment fort, décalé et convivial !

… et solidaire !
En partenariat avec l’ESG Management School depuis 2011,
L’Etudiante soutient l’association Toutes à l’école qui s’occupe de créer des écoles et des programmes pédagogiques pour les petites filles dans les pays en voie de développement. (http://www.toutes-a-l-ecole.org/). 20% des inscriptions seront donc directement reversées à l’association. Dans cette optique de soutien, L’Etudiante devient en 2012 le premier événement sportif de France à se doter de son propre fond de dotation, dans une logique d’optimisation de ses ressources afin de pouvoir développer une politique de Développement Durable complète (sociale, économique et écologique).

http://www.parisetudiant.com/uploads/assets/evenements/recto_fiche/82256_l-etudiante-la-course.jpg

Le Challenge du « Monde des Grandes Ecoles et Universités »

BOUYGUES TELECOM, GDF SUEZ, LAGARDÈRE, LOGICA, NESTLÉ et SCHNEIDER ELECTRIC, ainsi que ALCATEL-LUCENT et
TREMPLIN Etudes Handicap Entreprises s’associent à cette quatrième édition du Challenge du « Monde des Grandes Ecoles et Universités » pour aller à la rencontre des jeunes diplômés des Grandes
écoles et des Universités.

Organisé par la Fédération Française d’Athlétisme, le Journal des Grandes Ecoles et le cabinet conseil en
communication et marketing Quatre Vents, le Challenge du « Monde des Grandes Ecoles et Universités » se tiendra le samedi 2 juin 2012 au Stade Charléty.

Le
Challenge du « Monde des Grandes Ecoles et Universités » est soutenu par la Conférence des Grandes Ecoles et la Fédération Française du Sport universitaire (FFSU) et le parrain de l’événement n’est
autre que Stéphane Diagana, Champion du monde 1997 du 400 m haies et diplômé de l’ESCP EUROPE.

Les entreprises présentes le samedi 2 juin au stade Charléty :

1. BOUYGUES TELECOM
2. GDF SUEZ
3. LAGARDERE
4. LOGICA
5. NESTLE
6. SCHNEIDER ELECTRIC
Et le soutien d’ALCATEL-LUCENT, STERIA et TREMPLIN Etudes Handicap Entreprises

Journées d’étude de la section Archives économiques et d’entreprises

La section Archives économiques et d’entreprises de l’AAF organise ses jour­nées d’étude en juin 2012 autour du
thème « Les entreprises ont-elles besoin d’une mémoire ? ». Planifiée du 21 au 23 juin 2012, cette manifestation sera struc­tu­rée autour de 3 temps forts :

– Jeudi 21 juin
Communication et tables rondes, au RIZE Xavier de la Selle, Président de l’AAF, nous accueillera au RIZE à Villeurbanne, ancien dépôt bâti par le Crédit Lyonnais pour la conservation de ces archives à cette époque. Cet espace a été réaménagé pour accueillir les archives municipales de Villeurbanne dont Xavier De La Selle a la charge.
Se succéderont interventions théoriques et retours d’expérience destinées à mettre en lumière certaines entreprises de la région Rhône-Alpes

– Vendredi 22 juin
Départ de Lyon Perrache en car à 8h, retour vers 20h
– Visite du Musée des papeteries Canson et Montgolfier à Annonay –http://www.papeteriescanson.fr
– Visite du Domaine de Varagnes, demeure de Marc Seguin à Annonay –http://www.marcseguin.fr

– Samedi 23 juin
Rendez-vous au Rize à Villeurbanne pour se ren­dre sous la conduite d’un guide jusqu’à l’usine Tase, ancienne usine industrielle dans le quartier du carré de soie, inscrite depuis 2011 au titre des monuments historiques.

Les 3 jours s’achèveront par la proposition de déjeuner dans un restaurant ouvrier typique « La Boule en soie ». Les modalités d’inscription au colloque seront diffusées très prochainement.

Le Comite de pilo­tage :
Laurent ducol
Claire Cottin
Xavier de la selle
Marie helene Reynaud

Les pro­po­si­tions de com­mu­ni­ca­tions et notes d’inten­tion sont à envoyer à claire.cot­tin@­soc­gen.com

Mon PDG sur Twitter – Débat sur le « Digital CEO »le 10 mai à l’hôtel Raphaël

Petit-déjeuner débat sur :
« Le Digital CEO » (mon PDG sur twitter)

Petit-déjeuner débat
Hôtel
Raphaël
Jeudi 10 Mai 2012
8h00-10h30

Déroulé des débats :

8h00 Accueil des
participants

• 8h30 début du débat

Mot d’accueil Philippe Wattier, Président du Cercle du Leadership

Introduction du débat par David Abiker, Chroniqueur

• 8h45, table ronde animée par David Abiker

Témoignages de chefs d’entreprise sur leur propre communication numérique :

Alexandre Bompard (PDG, FNAC)

Dominiqsue Giraudier (PDG, Groupe Flo)

Bruno Rousset (PDG, Groupe April)

• 9h15 Philippe Moreau-Chevrolet (Agence Care) : un exemple et en contre exemple de communication
numérique, ou pourquoi il est nécessaire de gérer sa com quand on est PDG

• 9h25 Suite de la table ronde animée par David Abiker

Didier Pitelet (PDG, Moon’s Factory) : la communication du dirigeant au service de sa marque.

Olivier de Conihout (PDG, L’Espace dirigeant) : la communication du dirigeant à son propre service.

• 9h45 : Restitution à chaud du débat « ce que j’ai entendu, ce que j’ai compris » par Grégoire Silly,
Rédacteur en Chef Adjoint du magazine Management

• Vers 10h00 jusqu’à 10h30 : débat avec la salle et questions aux intervenants animé par David
Abiker

En
raison du nombre limité de places, merci de confirmer votre présence auprès de pmchevrolet@agencecare.com

Allocation de recherche d’un an pour doctorants

en quatrième année de thèse, 2012-2013 

L’AMSE propose des allocations de recherche doctorale d’une durée d’un an à partir de septembre 2012 pour des
étudiants inscrits en 4e année de thèse et à un stade très avancé de celle-ci.

Le montant mensuel net est de 1700 €.

Tous les thèmes de recherche présents à l’AMSE sont concernés. Aucune condition de nationalité ou de langue n’est
nécessaire. La présence physique au cours de l’année 2012-2013 dans une des unités de recherche de l’AMSE (DEFI, GREQAM, SESSTIM) est requise, le doctorant restant inscrit dans son université
d’origine. Les dossiers de candidatures doivent être envoyés avant le 18 mai 2012 à phd@amse-aixmarseille.fr 

Ils doivent comprendre :
-· Un CV détaillé (avec
formation, travaux de recherche antérieurs au doctorat, travaux hors doctorat, participation à des conférences, séjours à l’étranger…).
-· Projet de recherche de doctorat et état d’avancement précis, avec plan détaillé et état de chaque chapitre (publié, soumis, à l’état de document de
travail, en cours, non commencé), mentionnant également les chercheurs ou axes de recherche de l’AMSE avec lesquels pourraient exister le plus d’interactions. L’ensemble ne doit pas dépasser 5
pages.
-· Relevés de notes obtenues aux deux années de master.
-· Au
moins deux lettres de recommandation de personnalités scientifiques, dont une émanant du directeur de thèse.

Les résultats de la procédure de sélection seront donnés début juin, une audition pourra éventuellement être
demandée.

Aix Marseille School of Economics
Centre de la Vieille Charité
2 Rue de la Charité
F-13236 Marseille Cedex 02

http://lettre.ehess.fr/docannexe/file/3293/amse_logo.jpg

Offre de Bourses Suisses pour l’Année Académique 2012/2013

Se fondant sur l’article 3 de la loi fédérale du 19 juin 1987 concernant l’attribution de bourses à des étudiants étrangers en Suisse, la Confédération suisse offre un certain nombre de bourses pour l’année académique 2012/2013. Cette offre est réservée à de jeunes diplômés ayant effectué des études brillantes. Un total de 350 à 500 bourses, tous pays confondus, sont mises à la disposition. Elles sont destinées en premier lieu aux étudiants qui souhaitent effectuer un séjour de recherche après la fin de leurs études, et non à ceux qui désirent obtenir un premier diplôme universitaire en Suisse.

Un nouveau formulaire de candidature a été créé en format PDF. Les candidats doivent impérativement faire une demande auprès de notre représentation zone Afrique le remplir et imprimer 2 exemplaires pour constituer le dossier. Il convient de lire attentivement les instructions données dans la notice d’information. De plus amples informations (conditions requises, hautes écoles spécialisées, etc.) sont disponibles auprès du Secrétariat d’état suisse à l’éducation en Afrique au courriel : camesinternationnal@yahoo.ca
LA COMMISSION FÉDÉRALE DES BOURSES ÉTRANGÈRES SUISSE

Suppression de la qualification : le SGEN-CFDT récuse une réforme à la sauvette

Selon un communiqué, daté du 24 juin 2013,
que nous reprenons intégralement : 
« C’est avec surprise que le Sgen-CFDT a appris que le Sénat avait
supprimé, le 21 juin, lors de la discussion sur le projet de loi sur l’ESR, les procédures nationales de qualification des enseignants-chercheurs par le CNU.

Bien que préconisée par le rapport des assises, cette suppression n’a jamais figuré dans le
projet de loi, ni été évoquée lors des différentes auditions avec les parlementaires, et en particulier avec les deux rapporteur-e-s de la loi, Dominique Gillot et Vincent Feltesse.

Le Sgen-CFDT reste attaché à la procédure nationale de qualification parce qu’il est favorable
à l’autonomie des établissements, et que cette autonomie n’a de sens que si les recrutements s’effectuent par des procédures transparentes et collégiales. Or le CNU est, à ce jour, la seule
instance démocratique en mesure de garantir ce juste équilibre entre l’autonomie des établissements et un cadre national de recrutement, indispensable pour les enseignants-chercheurs qui sont, et
restent, des fonctionnaires d’État.

Le Sgen-CFDT appelle donc les parlementaires à maintenir la qualification. En l’état actuel, sa suppression ne
peut que créer un obstacle à l’acceptation d’un projet de loi que le Sgen-CFDT juge toujours indispensable pour rompre avec les logiques néfastes de la loi LRU. »

sgen-cfdt.JPG

Lancement de la campagne « Protection de l’information » par le CDSE

Le Club des directeurs de sécurité des entreprises (CDSE) avec le soutien de la
Délégation Interministérielle à l’Intelligence Économique (D2IE) annonce le lancement d’une campagne sur la protection de l’information dans les entreprises. Cette démarche de communication se
décline en une série de quatre visuels (affiches et cartes postales) libres de droit. Ils pourront être déployés dans les entreprises quelles que soient leurs tailles, mais aussi dans les
collectivités publiques ou encore dans les lieux de savoirs.

Cette série de visuels dynamiques et colorés a pour
objet de sensibiliser, de façon ludique, le plus large public aux questions de la protection de l’information et d’améliorer le comportement de chacun en incitant à des réflexes de bonne conduite
et de bon sens applicables quotidiennement, tels que : protéger son matériel informatique (par un mot de passe solide par exemple), utiliser une clef USB avec vigilance, ranger et sécuriser les
documents sensibles de l’entreprise ou encore maîtriser les informations que nous diffusons oralement à l’extérieur de notre lieu de travail…

Cette démarche s’inscrit dans la volonté d’aller
encore plus loin dans le développement d’une culture de la sécurité économique. En effet, la protection de l’information est aujourd’hui un sujet majeur pour l’ensemble acteurs économiques. Le
baromètre CDSE-Opinion Way de décembre 2012 rappelait d’ailleurs que 84 % des entreprises annoncent être victimes de vol d’informations. Protéger un savoir-faire, un système d’information ou une
réputation, c’est éviter de graves conséquences sur la compétitivité, le développement et donc sur l’emploi : la sécurité économique, c’est la sécurité des emplois.

La réalisation de cette campagne s’inscrit parmi les
nombreuses actions menées dans le cadre du partenariat entre le CDSE, la Délégation Interministérielle à l’Intelligence Économique, et plus largement avec les services de l’Etat, témoignant ainsi
de la volonté commune des pouvoirs publics et des entreprises de renforcer la sécurité de l’environnement économique nécessaire et propice au développement et à la compétitivité.

 

www.cdse.fr


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Résultats de la 15e édition du prix d’histoire François Bourdon

“Techniques, entreprises et société industrielle”

Pour sa quinzième édition le prix
d’histoire de l’Académie François Bourdon-Le Creusot et de la Fondation Arts et Métiers : « François Bourdon, Techniques, entreprises et société industrielle »
, doté d’une somme de 1 500 €., a été attribué à

Jessica Dos Santos pour sa thèse L’utopie en héritage. La Société du Familistère de Guise, de la mort de
Jean-Baptiste Godin à la dissolution de l’Association (1888-1968)
, thèse de doctorat en histoire, Université Charles de Gaulle-Lille
 

Le prix jeune chercheur doté d’une somme de 750 €, a été attribué à Rémi Laroere pour son mémoire La fabrique de dentelle
Surrel à Craponne (1853-1914)
, mémoire de Master Culture, Territoire et Patrimoine, Université Blaise Pascal-Clermont
II
 

Cette année encore les membres du jury se félicitent de la diversité des écrits reçus qui permet au prix
d’histoire François Bourdon de s’ancrer plus fortement encore dans l’ensemble des domaines de l’histoire industrielle et des entreprises et plus généralement de la société industrielle.

Comme le veut le principe du prix, le quinzième jury était composé d’industriels et d’universitaires.
Participaient à ce jury mesdames Claudine Cartier, Conservateur général honoraire du patrimoine, Anne Dalmasso, professeur d’histoire à l’Université de Grenoble
, Anne-Françoise Garçon professeur d’histoire à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Dominique Varinois, IA-IPR, rectorat de Bordeaux; messieurs
Antoine de Badereau, ingénieur centralien ; Gérard Chrysostome, ingénieur centralien ; Jean-Claude Daumas, professeur à l’Université de
Franche-Comté, Membre senior de l’Institut universitaire de France ; François Labadens, ancien secrétaire général d’USINOR ; Paul Lacour, ancien directeur de
Wendel-Participations ; Philippe Mioche, professeur d’histoire Aix-Marseille Université, chaire Jean Monnet de l’histoire de l’intégration européenne ; Philippe
Raulin
, ingénieur des Ponts et Chaussées, ancien secrétaire général de FRAMATOME ; Olivier Raveux, chargé de recherche au CNRS-UMR Telemme ; Serge
Wolikow
, professeur d’histoire émérite à l’Université de Bourgogne;

Jessica Dos Santos L’utopie en héritage. La Société du Familistère de Guise, de la mort de
Jean-Baptiste Godin à la dissolution de l’Association (1888-1968)

Lorsqu’il meurt en 1888, Jean-Baptiste Godin lègue à ses ouvriers un héritage multiforme : une entreprise florissante au fonctionnement
semi-coopératif, un ensemble architectural original garant d’une vie en communauté, un système social et éducatif complet. Pour ses successeurs, il s’agit dès lors de s’approprier l’ensemble de
cet héritage et de le conserver intact, en dépit des évolutions économiques et sociales. Entre l’attachement à la tradition, les contraintes de la concurrence et le progrès des droits sociaux, la
Société du Familistère de Guise peine cependant à trouver son équilibre. Si la mémoire de Godin reste l’élément central d’une identité commune, elle ne suffit pas à maintenir la cohésion d’une
association ouvrière qui choisit de se dissoudre, poussée par les difficultés économiques, en plein cœur du mouvement social de mai 1968.
Jessica Dos Santos est agrégée d’histoire, enseignante au
Lycée Louis Pasteur de Somain (59).

Rémi Laroere La fabrique de dentelle Surrel à Craponne (1853-1914)

La dentelle constitue, jusqu’au début du XXe siècle au moins, l’un des symboles de l’industrie du luxe
à la française. Craponne constitue l’un des principaux centres de production de dentelles en France au sein de la fabrique de Haute-Loire au XIXe siècle, et encore au début du
XXe siècle. L’étude de ce secteur dentellier, permise par des archives privées rares dans ce secteur d’activité, laisse entrevoir un ensemble productif éclaté mettant en scène tout une
microsociété montagnarde.
Au sein de ce centre de production, les fabriques de dentelles Surrel ont su tirer profit de l’héritage
d’une organisation productive rurale pour intégrer les réseaux commerciaux mondiaux en pleine expansion. Organisé du local au global autour des dentellières et du fabricant, ce système doit faire
face aux évolutions perpétuelles de la demande dans le secteur de la mode.
Par l’importance et la longévité de son activité, la
famille Surrel illustre encore aujourd’hui la production craponnaise de dentelles dans ses plus beaux jours. La construction de ce modèle est le fruit de stratégies économiques et sociales
réfléchies à l’échelle locale et sur les marchés internationaux du secteur dentellier.
Rémi
Laroere
termine actuellement un master professionnel en Action culturelle à l’Université Blaise Pascal de
Clermont-Ferrand

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