Modifié le 28 janvier 2015.
Dans le contexte de crise, économique, financière,
monétaire, sociale, sociétale, écologique… qui touche le monde en cette fin de première décennie du 21e siècle, l’auteur de « Pour plus de solidarité entre le capital et le travail… » (publié chez l’harmattan en 2004 et 2009) prolonge ici ses réflexions menées dans un cadre universitaire au tout début des années 2000 à propos du « resserrement des liens entre actionnaires et salariés dans les s.a. »…
De cette réflexion élargie, il ressort que des solutions à la crise en cours, à un futur durable, passent davantage par le partage de « ce qui est » que par une sempiternelle attente de croissance, devenue d’autant plus incertaine et probablement faible par comparaison à ce que connût la fin du siècle passé que, et entre autres entraves à notre désir de développement, il faudra bientôt « fabriquer » l’énergie dont notre mode de vie ne saurait se passer…, que des désastres environnementaux contrarieront nos projets, détruiront nos infrastructures…
Alors, l’entreprise, « agence de valorisations croisées » qui n’a su partager équitablement la croissance qu’elle a crée depuis une trentaine d’années, la finance, avec ses délires de production de valeurs virtuelles, représentent deux « organisations », cruciales, essentielles, dont il faut revisiter les défis et les stratégies si on souhaite éviter le pire, au plan social, au plan écologique…
Autant d’allégations exprimées au nom du citoyen ordinaire, d’un Pays, ou à propos du monde globalisé.
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