Modifié le 22 juin 2024.
La direction générale des entreprises (DGE) et l’association française de normalisation (AFNOR) viennent de signer une convention pour accompagner
les pôles de compétitivité dans leurs défis d’innovation et de recherche. L’objectif de cet accord cadre est d’inciter les pôles de compétitivité à utiliser la normalisation comme dispositif de
veille économique et de promotion des innovations.
La normalisation constitue, pour les pôles de compétitivité, un élément clé des stratégies de mises sur le marché. Outil de diffusion et de
veille irremplaçable, elle permet la capitalisation des connaissances interdisciplinaires et facilite donc le processus d’innovation technologique.
veille irremplaçable, elle permet la capitalisation des connaissances interdisciplinaires et facilite donc le processus d’innovation technologique.
La convention signée aujourd’hui mobilise le système français de normalisation pour faire bénéficier les pôles de compétitivité de services
dédiés : un point de contact privilégié, une présentation des enjeux de la normalisation et un diagnostic leur permettant d’identifier, sur les projets qu’ils mènent, les travaux déjà
existant.
dédiés : un point de contact privilégié, une présentation des enjeux de la normalisation et un diagnostic leur permettant d’identifier, sur les projets qu’ils mènent, les travaux déjà
existant.
A travers cet accord, AFNOR et la DGE souhaitent faciliter la percée des innovations françaises sur les marchés internationaux.
De plus, la DGE a mis en place un dispositif spécifique pour les entreprises des pôles souhaitant s’impliquer dans les travaux de normalisation.
Elle prend en charge jusqu’à 50 % des frais d’un expert mandaté par les entreprises du pôle pour défendre leurs intérêts dans les commissions de normalisation nationales, européennes et
internationales.
Elle prend en charge jusqu’à 50 % des frais d’un expert mandaté par les entreprises du pôle pour défendre leurs intérêts dans les commissions de normalisation nationales, européennes et
internationales.
Pour mémoire, le système français de normalisation est constitué de 25 bureaux sectoriels de normalisation, dont l’action est coordonnée par
AFNOR, sous le contrôle du délégué interministériel aux normes.