Rendez-vous du management des risques et de l’intelligence économique

A l’ISEP le 7 mai 2009 de 13
h.30 à 17 h.30

 

A l’occasion de l’ouverture du Mastère Spécialisé (MS) en « management des risques par l’intelligence économique », l’ISEP donne la parole aux professionnels de la prévention des
risques et de l’intelligence économique. Le 7 mai prochain, ils viendront parler de leur métier et de leurs pratiques dans un contexte économique en pleine crise. Cet événement est co-organisé
avec l’association Forum Atena.

Professionnels, chefs d’entreprises et étudiants pourront par ailleurs poser toutes leurs questions à Denis Beautier, Directeur des Mastères
Spécialisés de l’ISEP. Ce nouveau MS, accrédité par la CGE, s’adresse à tous ceux qui souhaitent se mettre au diapason des contraintes légales qui
doivent être appliquées par  les entreprises et leurs responsables en matière de prévention des risques. La crise actuelle révèle la nécessité
impérieuse de ce type de formation.

L’entrée est gratuite, mais sur inscription :  http://www.forumatena.org/?q=node/192/eventregistration

 

Intervenants :

Bernard Besson – Chargé de mission auprès d’Alain Juillet, Haut Responsable à l’Intelligence Economique au Secrétariat Général de la Défense
Nationale

Jean-Claude Possin – Consultant en entreprise, spécialiste de la sûreté et du risque managérial ; co-auteur avec Bernard Besson de
l’ouvrage De l’intelligence des risques à la mission de protection

Jérôme Bondu – consultant en Intelligence Economique

Bernard de Vautray, Directeur du Pôle Intelligence Economique d’Orca Consultant 

Jean-Philippe Baur –  avocat 

 

Les partenaires du Mastère Spécialisé viendront également apporter leur expertise :

l’association du Forum ATENA (association regroupant des entreprises et des personnes œuvrant dans le domaine des technologies de l’information
et de la communication)

l’Institut Français d’Intelligence Economique

le Cercle d’Intelligence Economique du MEDEF Ouest Parisien

 

Informations complémentaires :

ISEP

28 rue Notre-Dame des Champs

75006 Paris

Salle 16 au 1er étage

7 mai 2009, de 13h30 à 17h30

Inscriptions :
            http://www.forumatena.org/?q=node/192/eventregistration

Une gratification pour les stages après 2 mois, aussi dans le public

Le Président de la République a annoncé ce jour que le montant de la gratification obligatoire fixé à
environ 30% du SMIC serait attribué pour les stages de plus de deux mois au lieu de 3 mois auparavant, pour le secteur privé. Il a demandé l’application sans délai de cette mesure à la Fonction
publique.

La fonction publique a recours aujourd’hui à de nombreux stagiaires mais
il n’existe aucune règle pour ceux-ci au niveau interministériel : aucune règle en matière de convention de stage, aucune règle en matière de
suivi et de tutorat, aucune règle en matière de défraiement ni de rémunération

Eric Woerth, Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique, et André Santini, Secrétaire d’Etat chargé de la Fonction publique  vont mettre en place un cadre clair pour le recours aux stagiaires au niveau interministériel sans délai. En voici les
principaux points :

La charte des stages, en vigueur dans le privé, sera appliquée à
la fonction publique sans délai :

– Une convention de stage tripartite devra systématiquement être signée entre le stagiaire, le ministère
employeur et l’université ou l’école de formation

– Un tuteur devra être désigné pour chaque stagiaire, lequel bénéficiera d’une évaluation

– Les stages de plus de 6 mois seront interdits sauf cursus de formation spécifique

En matière de rémunération, tout stage de plus de deux mois sera
rémunéré par une gratification d’au moins 30% du SMIC :

Pour les stages de plus de deux mois consistant pour l’essentiel à observer le
fonctionnement d’un service, réaliser des comptes-rendus de réunion ou des travaux ponctuels dans une optique de découverte
des diverses facettes de l’activité du service d’accueil, l’étudiant recevra
une gratification égale à 12.5% du plafond de la sécurité sociale, soit environ 30% du SMIC.
Si le stage dure moins de deux mois, l’étudiant bénéficiera, contrairement à aujourd’hui, au
moins d’un défraiement et de facilités telles que l’accès aux restaurants administratifs.

Les administrations auront la possibilité de rémunérer au-delà de ce montant, lorsqu’elles considèrent que
le niveau de qualification et la nature des activités le justifient. Elles pourront alors verser une rémunération supérieure, y compris au-delà du
SMIC.

 

Eric Woerth, et André Santini détailleront ces mesures lundi 27 avril 2009 à l’occasion du comité des stages en présence de Valérie Pécresse. Une circulaire aux différentes administrations sera préparée dans ce
sens.

LA BOURSE DE COMMERCE DE PARIS AUX COULEURS DU COMMERCE EQUITABLE

Du 9 au 24 mai 2009

LA BOURSE DE COMMERCE DE PARIS S’HABILLE AUX COULEURS DU COMMERCE EQUITABLE !

Une opération organisée par Max Havelaar et la Chambre de commerce
et d’industrie de Paris

Programme

UNE EXPOSITION :« Le commerce Equitable du sud au nord »

UN PROGRAMME D’ANIMATIONS : tous les week-ends, les visiteurs seront accueillis chaque jour à  11h par un brunch Equitable pour bien démarrer la journée. Ensuite, ils pourront participer à des conférences, des animations pour découvrir les produits équitables et des projections de films.

DES CONFERENCES PROFESSIONNELLES et GRAND PUBLIC

L’ambitieux programme de conférences permettra de faire le point sur les avancées du commerce équitable et plus largement du développement durable, avec des producteurs, des entreprises engagées, des acteurs institutionnels, des ONG.

Remise du rapport sur la réforme du mouvement consumériste à L. CHATEL

Luc CHATEL, secrétaire d’Etat chargé de l’Industrie et de la Consommation, Porte-parole du Gouvernement, soucieux de renforcer le rôle des associations de consommateurs, a confié en février dernier à Mme Dominique LAURENT, Conseiller d’Etat, une mission destinée à améliorer l’efficacité et la représentativité du mouvement consumériste français.

Cette mission intègre également la réforme du Conseil National de la
Consommation (CNC), instance de concertation paritaire, pivot de la représentation des consommateurs.

Dominique LAURENT a remis jeudi 7 mai son rapport de mission à
Luc CHATEL.

Afin de pouvoir procéder aux arbitrages nécessaires et de lancer la
réforme du mouvement consumériste, le Ministre a engagé cette semaine des consultations avec les associations de consommateurs et les professionnels.

ESCEM et Caisse d’Epargne Loire-Centre – Chaire Management de la RSE

Tamym Abdessemed, Directeur Général de l’ESCEM et Jean François Paillissé, Président du Directoire de la Caisse d’Epargne Loire Centre inaugurent aujourd’hui la Chaire dédiée au Management de la responsabilité sociale. L’Escem et la Caisse d’Epargne s’engagent conjointement sur 3 ans dans une démarche de recherche partenariale active, dans un domaine au cœur de l’actualité économique et sociale.

Convaincus que ces préoccupations modifient profondément les rapports entre l’entreprise, la société et les individus, Tamym Abdessemed et Jean-François Paillissé estiment que ce champ « a besoin d’une pensée nouvelle et originale pour orienter les dirigeants dans la vision globale de leurs responsabilités et leurs styles de management ». Telle est la vocation de cette chaire.

Docteur en gestion, professeur en ressources humaines à l’Escem, Anne-Marie Fray est nommée Directeur Scientifique de la Chaire.  « La responsabilité sociale en tant que telle doit maintenant faire l’objet de management dans les organisations, en particulier sur le plan des ressources humaines. Elle amène des horizons de décision et des normes de performances inédits de même qu’elle impose des qualités nouvelles chez les managers », indique Anne-Marie Fray.

Actions à portée nationale et régionale en RSE

Avec un budget de l’ordre de 60 000 €, l’Escem et la Caisse d’Epargne Loire Centre ont la volonté de mettre en commun une expertise partagée en RSE afin de concevoir et développer des initiatives concrètes à court et moyen terme comme la création d’un observatoire des meilleures pratiques. La chaire travaillera également à construire des outils de pilotage et des indicateurs de mesure. Ces travaux associeront les universités partenaires de l’Escem afin de faire émerger un réseau de recherche et d’enseignement rôdé à ces problématiques.

Les actions porteront sur des publics diversifiés : les entreprises établies sur le territoire de la Caisse d’Epargne Loire-Centre, de même que les publics internes à la banque, comme par exemple ses sociétaires et ses équipes managériales.

A moyen terme, il est également prévu que la Chaire finance des bourses doctorales.

Un engagement et des convictions partagés

Adhérente au Pacte Global de l’humanité, l’Escem affiche le label Global Compact. Membre de l’Association des Campus Responsables, l’Ecole procure depuis 2003 à tous ses étudiants en formation initiale et continue, un enseignement dédié à la RSE. Elle a également développé au Canada, avec l’université de Sherbrooke, un parcours de spécialisation parmi les tout premiers de l’enseignement supérieur.

Forte de 2 siècles de philanthropie, après les bains douches et les jardins ouvriers, le livret A et le logement social, la Caisse d’Epargne a financé, de 2001 à 2008, des missions d’intérêt général par les programmes d’économie locale et sociale. Dans ce cadre elle a porté 942 projets solidaires pour plus de 16 millions d’euros.

Dès 2003, par ailleurs, le Groupe Caisse d’Epargne s’est engagé dans une démarche de développement durable avec, en premier jalon, la signature du Pacte mondial des Nations Unies. La même année, la Caisse d’Epargne Loire Centre a construit son plan d’actions sur la base des résultats de l’audit sollicité auprès de l’agence de notation Vigeo. En 2007 est lancé « Bénéfices Futur », programme innovant qui dynamise la démarche développement durable. A partir de 2009, la Caisse d’Epargne Loire Centre met en place une politique de responsabilité sociale composée à la fois d’engagements externes partagés (philanthropie, inclusion financière) et d’initiatives à caractère social ou environnemental dans la gestion de son activité. Elle engagera chaque année un montant important de son PNB à cette politique de RSE.

Quatre chaires spécialisées en cohérence avec les valeurs de l’Ecole

Etre en ligne avec les valeurs d’humanisme qu’elle défend et participer au développement de nouvelles connaissances en science de gestion pour l’entreprise, tel est le fil conducteur des projets de Chaires de l’Escem depuis 4 ans.

Confortée par le leadership de son pôle ATELIS, l’Escem lance en 2005 sa première Chaire en intelligence économique avec Microelectronics. 2007 et 2008 voient la création de deux nouvelles chaires spécialisées. L’une dans la finance solidaire avec l’ONG fondée et dirigée par Jacques Attali (PlaNet Finance) et l’autre avec le groupe Audiens, en vue de promouvoir la recherche en économie sociale.

Le lancement de cette quatrième Chaire en Management de la Responsabilité Sociale en partenariat avec la Caisse d’Epargne Loire-Centre permet à l’Escem de poursuivre la promotion des thèmes et des valeurs qui lui sont chers mais aussi de conforter le développement de son offre de formation initiale et continue.

Consultations fiscales gratuites par les experts-comptables

Du 25 au 29 mai, l’Ordre des experts-comptables région Paris Ile-de-France propose à tous les contribuables franciliens des « consultations
fiscales gratuites » à la fois au siège de l’Ordre de Paris et via une hotline téléphonique gratuite « Allô Impôts » au 0 800 065 432.

Créée en 1990, l’opération citoyenne des « consultations fiscales gratuites » met
chaque année des experts-comptables bénévoles au service des franciliens pour les aider à remplir leur déclaration d’impôt et répondre à toutes leurs questions en matière de
fiscalité.

Impôt sur le revenu (IR), bouclier fiscal, impôt sur la fortune (ISF), ou encore prime pour l’emploi, les contribuables pourront aborder tous
les sujets gratuitement, sans rendez-vous, et de manière totalement anonyme et confidentielle, du lundi 25 au vendredi 29 mai 2009 de 9 h à 17
h 30
:

  • En appelant la hotline fiscale gratuite des experts-comptables « Allô Impôts » au 0 800 065 432 du 25 au 29 mai

Plébiscité par les contribuables, ce service de consultations téléphoniques animées par des spécialistes en fiscalité de l’Ordre des
experts-comptables se déroulera sur une semaine entière. Il permettra un accès facile et rapide à l’information : aussi simple qu’un appel téléphonique !

  • En se rendant à l’Ordre des experts-comptables région Paris Ile-de-France

Comme chaque année, des experts-comptables franciliens bénévoles accueilleront, également gratuitement, sans rendez-vous, et de manière
confidentielle, tous les contribuables qui le souhaitent dans les locaux de l’institution au 45, rue des Petits Champs, 75001 Paris (accueil au rez-de-chaussée), Métro/RER : Opéra ou
Pyramides.

« Depuis bientôt 20 ans,
l’opération des consultations fiscales gratuites souligne notre volonté de développer des services citoyens de conseil et d’accompagnement au profit du plus grand nombre. La mise en place cette
année d’une hotline fiscale gratuite pendant une semaine entière facilitera encore plus l’accès des contribuables aux renseignements dont ils souhaitent bénéficier pour optimiser leur déclaration
fiscale, »
ajoute Bernard Lelarge, Président de
l’Ordre des experts-comptables région Paris Ile-de-France.

HEC 5e mondial pour la formation continue des managers et dirigeants

Le
Financial Times a publié le classement annuel mondial des meilleures institutions de formation pour managers et dirigeants. HEC Executive Education est classé
5e
mondial et 1er en France
(45 écoles
listées).
Cette enquête internationale mesure la qualité et la satisfaction des clients des programmes inter-entreprises et des programmes sur mesure des business schools. Basé
principalement sur la satisfaction des participants et des entreprises, ce classement souligne la qualité et la pertinence des programmes, la cohérence de l’offre et l’excellence des équipes
enseignantes.

Pour Bernard Ramanantsoa, Directeur Général d’HEC Paris, « Au sein d’un environnement concurrentiel mondialisé,
cette place de 5ème mondial démontre la compétitivité de notre offre de formation continue auprès des cadres et dirigeants du monde entier ».

« Notre objectif en Executive Education est de faire vivre une expérience marquante aux managers et dirigeants
participant à nos formations. Nous les aidons à ‘Apprendre à oser’, à prendre le recul nécessaire afin qu’ils soient à-même de revisiter leur pratique et innover. Ce classement montre qu’en
Executive Education, nos clients sont nos meilleurs ambassadeurs »
 souligne Bertrand Moingeon, Directeur Général adjoint d’HEC Paris, en charge de l’Executive Education et du développement académique.

HEC Executive Education est notamment classé 2e mondial pour ses programmes sur mesure :

2e mondial et 1er européen pour la
qualité de l’enseignement et la capacité de l’encadrement pédagogique à travailler de concert pour proposer un programme cohérent.

2e mondial et 1er européen pour la
conformité du programme aux attentes des entreprises et de leurs dirigeants.

·         2e mondial et
1er européen pour le degré de satisfaction des clients concernant le choix de l’institution retenue pour ce type de formation et la préférence de cette institution pour une même
formation future.

 

Source :
enquête mondiale réalisée par le Financial Times, publiée le 11 mai 2009

Comment devenir consultant international, par Yves Soulabail

Vous souhaitez faire carrière dans la coopération internationale ? Vous souhaitez devenir consultant international ? Intégrez la seule formation aux projets internationaux qui soit vraiment professionnelle et diplômante. C’est la recommandation de l’Université Pierre Mendès-France de Grenoble envers son Diplôme Universitaire de niveau M2, 60 ECTS, avec 60% de la formation assurée par des professionnels. Il cible en effet les « métiers des projets internationaux de coopération ».

Apprenez à gagner, conduire et réussir un projet, devenez :

– Directeur et Gestionnaire de Projets

– Assistant du Gestionnaire de Projets

– Chef d’équipe, chef d’équipe adjoint

– Chargé du lobbying et du développement commercial

– Expert international

Cette formation, majoritairement en anglais et d’une durée d’un an, est assurée par des
professeurs d’université et un réseau international de cabinets de consulting qui participent aux formations et facilitent l’insertion professionnelle (stage obligatoire 3 mois minimum, extension
possible jusqu’à 15 mois).

Dépôt des candidatures avant le 30 juin 2009

Directeur : Ivan Samsonivan.samson@upmf-grenoble.fr

Concertation pour réformer la formation initiale des fonctionnaires

Eric Woerth, Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique, et André
Santini
, Secrétaire d’Etat chargé de la Fonction publique ont souhaité, dans le cadre de la réforme de la formation initiale des agents de la Fonction publique, une concertation avec les
Organisations syndicales, en présence des employeurs et des administrations des trois fonctions publiques.

André Santini, qui a ouvert cette réunion le lundi 18 mai, a rappelé la nécessité d’améliorer
la formation des agents de la Fonction publique. Des propositions concrètes ont déjà été faites par les ministres sur la réforme des concours et du recrutement, qui sont en cours de mise en
œuvre. Mais de nouvelles initiatives sont nécessaires pour améliorer l’organisation et le contenu de la formation initiale des agents publics. Dans le cadre du rapport réalisé par le Préfet
Raymond-François Le Bris remis le 16 février dernier à Eric Woerth et André Santini, le Gouvernement a dressé 3 constats :

 

               Sur le dispositif en général, l’effort de l’Etat en matière de formation est impressionnant. A côté de la très grande variété d’écoles de formation, plus de 70 hors
écoles militaires sur l’ensemble du territoire, l’Etat consacre 1,3 Milliards d’Euros (hors IUFM) pour 77 000 agents, ce qui représente un budget annuel moyen de 17 000 € par
élève ;

               Sur la durée et le contenu des formations, une majorité d’entre elles est destinée aux fonctionnaires de catégorie A avec une durée plus importante que pour les catégories B et
C (22 mois pour les A et A+, 13 mois pour les B et 6 mois pour les C) ; en moyenne, la part consacrée aux stages pour les catégories A est de 37% ;

               Sur l’affectation à la sortie des écoles, les procédures sont majoritairement fondées sur un classement de sortie.

 

Sur cette base, Eric Woerth et André Santini ont retenu 5 grands axes d’amélioration :

 

               Individualiser les formations : dans le contexte d’une professionnalisation croissante des recrutements, chaque école devrait ajuster son projet pédagogique au
nouveau format des concours et dessiner des parcours individuels de formation correspondant aux besoins de l’administration-employeur et du stagiaire ;

               Professionnaliser la scolarité : les stages en responsabilité devraient être développés et les formations trop académiques supprimées. De même, un module sur
l’ouverture européenne devrait systématiquement être proposé ;

               Réduire le temps de formation : chaque fois que cela est possible, il conviendrait de supprimer les formations redondantes en fonction des parcours des élèves
et de rendre les élèves opérationnels plus rapidement ;

               Accompagner les fonctionnaires dans leur premier poste : au-delà des stages, le premier contact réel post-école avec le monde de l’administration est fondamental. Pour assurer le succès
du premier poste, plusieurs mesures pourraient être prises notamment le tutorat, la suppression du classement de sortie et une alternance lors de la fin de la scolarité ;

               Réfléchir au rapprochement de certaines écoles notamment lorsque les corps ont
fusionné,
 quand cela fait sens pour les élèves, pour les employeurs et pour la fonction publique en
général.

 

Eric Woerth et André Santini vont demander à l’ensemble des ministères de leur faire remonter
leurs propositions sur chacun des axes afin que l’essentiel de cette réforme puisse s’appliquer pour la rentrée 2010.

 

LES TREMPLINS DE LA FORMATION – 70 RDV en région pour tout savoir

LES TREMPLINS DE LA FORMATION – Plus de 70 rendez-vous régionaux pour tout savoir sur la formation professionnelle et son financement

De Lille à Sophia-Antipolis, en passant par Strasbourg, Nantes, Albi, Rouen, Bourg en Bresse ou encore Paris, le FAFIEC organise, pour la deuxième année consécutive, son Tour de France 2009 afin de rencontrer les TPE et PME locales.

Organisme Paritaire Collecteur Agrée (OPCA) de l’ingénierie, de l’informatique, des études, du conseil, des foires et salons et des traductions, le FAFIEC* accompagne les entreprises dans leur politique de formation.

Avec une moyenne de 100 réunions « Tremplins de la formation» par an, le FAFIEC souhaite se rapprocher localement des TPE et PME, et leur faire mieux connaître son offre de services. L’objectif principal étant d’inciter les entreprises à faire plus régulièrement appel à la formation continue ainsi qu’aux services et financements proposés par le FAFIEC.

Chacune des dix antennes régionales est chargée d’animer ses 10 réunions d’information en favorisant le partage d’expériences entre entreprises et la convivialité. Il s’agit en effet de réunir un maximum de 15 personnes issues des TPE et PME de la Branche (dirigeants, responsable des Ressources Humaines, personne en charge de la formation professionnelle) pour développer une relation de proximité, et inscrire l’échange dans une dynamique qualitative.

Avec ces rendez-vous, les entreprises du secteur de l’ingénierie, de l’informatique, du conseil et des foires et salons peuvent découvrir tous les services du FAFIEC, et plus particulièrement les solutions de financement de la formation professionnelle.

Les entreprises invitées peuvent profiter de ces rencontres pour faire part de leurs projets de formation aux conseillers FAFIEC.

Les prochaines dates :

Le 14 avril à Chartres

Le 24 avril à Colomiers

Le 28 avril à Metz

Renseignements et réservations : tremplins@fafiec.fr

 

Executive MBA Management hospitalier et des structures de santé

Ouverture septembre 2009

L’Ecole de Management Strasbourg ouvre en septembre 2009 un Executive MBA Management hospitalier et des structures de santé. Les établissements de santé,
publics ou privés, sont confrontés aux réformes du financement et de la nouvelle gouvernance, à une normalisation croissante et à une tension accrue sur l’accès aux ressources humaines et
matérielles. Ces mutations nécessitent de développer en leur sein les compétences managériales requises pour mettre en œuvre un pilotage stratégique assurant la pérennité et la performance.
L’Executive MBA s’appuie sur les travaux de recherche développés depuis une dizaine d’années par l’équipe du Professeur Thierry Nobre en coopération avec les établissements de santé.

 

Un Executive MBA en phase avec les mutations du secteur

L’Executive MBA Management hospitalier et des structures de
santé proposé par l’EM Strasbourg vise à :

          Développer les compétences managériales des différentes catégories
d’acteurs qui participent à la prise de décision stratégique dans les établissements de santé.

          Accompagner la transition des pratiques de gestion pour mettre en œuvre
les réformes du système de santé dans les établissements (introduction d’un management de la performance, prise en compte de la transversalité des problématiques et intégration de la place du
patient dans les processus managériaux)

          Contribuer au développement d’une culture managériale transversale
permettant de croiser les perspectives.

 

Des méthodes pédagogiques interactives

L’équipe pédagogique de l’Executive MBA se compose
d’intervenants universitaires, de professionnels du secteur et d’intervenants étrangers. Les enseignements se fondent sur des méthodes interactives, notamment des études de cas et des échanges
reposant sur des lectures thématiques qui permettent d’appréhender la complexité des évolutions à l’œuvre en matière de pratiques managériales hospitalières. 

 

Un diplôme en formation continue pour les professionnels

Cette formation est délivrée uniquement en formation
continue et s’adresse aux différents acteurs impliqués, sous différentes formes, dans la prise de décision stratégique au sein des établissements de santé publics et privés (médecins
hospitaliers, chefs de service, responsables de pôles, coordonnateurs de réseaux, pharmaciens, ingénieurs biomédicaux, directeurs et membres des équipes de direction des établissements publics ou
privés, cadres supérieurs de santé). A ces profils spécifiques du secteur de la santé peuvent s’ajouter des professionnels de tous secteurs désireux d’intégrer le secteur de la santé. Les
candidats à l’entrée sont titulaires d’un bac+4/5 et possèdent au minimum 4 ans d’expérience professionnelle. A défaut, ils peuvent bénéficier du dispositif de la VAP et de la VAE. 

Les cours, organisés sur 3 jours mensuels,  sont planifiés en fin de semaine afin de permettre à des personnes de la France entière  de suivre cette formation
(grâce au TGV et aux nombreux vols intérieurs, la  capitale de l’Europe est accessible en 2/3h).

 

Modalités d’inscription et tarifs

Inscriptions : jusqu’au 10 juin 2009

Début des cours : septembre 2009

Tarifs : 8500 euros auxquels s’ajoutent les droits d’inscription à l’université de Strasbourg (environ 220 euros)

Frais
d’examen de candidature
 : 55
euros

Innovation dans les méthodes d’évaluation : vers la fin des notes ?

L’école des Mines de Nantes innove dans les méthodes d’évaluation, vers la fin des
notes ?

 

L’École des Mines de Nantes complète le système traditionnel de notation sur 20 par une nouvelle méthode
d’évaluation des élèves reposant sur un référentiel détaillé de 40 compétences à acquérir. Ce faisant, elle donne aux futurs ingénieurs une meilleure visibilité sur leurs aptitudes et les
familiarise avec les méthodes d’évaluation des entreprises. Après une expérimentation réussie en 1re et 2e années, l’École envisage son extension aux 3e et 4e années (graduate school) dès la
rentrée prochaine.

 

À pédagogie nouvelle, méthode d’évaluation originale. À l’étroit dans la notation traditionnelle sur 20, l’École des
Mines de Nantes a mis au point une méthode d’évaluation qui donne à l’élève ingénieur une vision plus précise de ses capacités en rapport avec ses futures situations professionnelles.

Testée dans le cycle de base depuis la rentrée 2005, cette « démarche compétence » répertorie précisément 40
capacités qu’il doit posséder, afin qu’il les développe tout au long de sa formation. Ce référentiel répond à deux impératifs : être généraliste et en accord avec les standards familiers aux
industriels et recruteurs. Il cadre avec le contenu de la formation, très axé sur l’initiative, le travail en groupe et la conduite de projets ; la démarche a été l’occasion de faire évoluer les
exercices et tous les actes pédagogiques pour accentuer encore cette cohérence.

 

Un véritable outil d’autoévaluation

Plus que le seul savoir académique, ce que demande l’entreprise à un ingénieur désormais c’est de faire preuve de
capacités d’adaptation, d’audace, d’intégration et de leadership ; il doit être apte à discerner et mobiliser les moyens utiles à la résolution d’un problème. Ce nouveau mode d’évaluation aide
l’ingénieur à acquérir ce type de compétences non académiques ; le référentiel se répartit en effet en 4 grandes catégories :

• Compétences scientifiques et techniques

• Compétences en ingénierie

• Compétences interpersonnelles

• Compétences intrapersonnelles

 

Une telle évaluation donne aussi bien à l’équipe pédagogique qu’à l’élève une vision plus fine de ses aptitudes. Si
la note traditionnelle prétendait les synthétiser toutes dans une appréciation globale, la grille constituée par l’École les passe en revue en les distinguant. Elle ambitionne notamment de
séparer ce qui relève des connaissances acquises et du comportement personnel.

Plus complet, ce mode d’évaluation se veut également plus proche des systèmes d’évaluation utilisés en
entreprise.

C’est enfin pour l’élève un véritable outil d’autoévaluation lui permettant d’identifier ses insuffisances pour les
combler et ses aptitudes pour mieux en tirer profit ; il se révèle particulièrement utile lorsque le futur ingénieur constitue l’e-portfolio qu’il soumettra aux recruteurs, résumant ses points
forts et ses projets.

Cette nouvelle méthode d’évaluation complète par là le dispositif qui, à l’École des Mines de Nantes, rend l’élève
acteur de sa propre formation.

 

Quelques exemples de compétences

Voici à titre d’exemples 8 des 40 compétences évaluées dans les 4 domaines concernés en cycle de base.

• Compétences scientifiques et techniques

• Acquérir une visibilité sur les relations entre la discipline et d’autres, utilisatrices ou non

• Capacité à mobiliser et mettre en œuvre les connaissances et savoirs dans des situations identifiées

• Compétences en ingénierie

• Capacité à combiner la théorie et la pratique pour résoudre un problème d’ingénierie

• Capacité gérer, planifier et réaliser le projet en mobilisant les ressources, en respectant les spécifications et en répondant aux besoins

• Compétences interpersonnelles

• Capacité à s’engager au sein d’une équipe

• Capacité à communiquer efficacement avec toute personne impliquée dans un problème d’ingénierie

• Compétences intra-personnelles

• Capacité à capitaliser sur ses expériences personnelles

• Capacité
d’engagement personnel

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