Stabilisation de l’emploi salarié et hausse du PIB au 3e trimestre

Selon les estimations provisoires publiées ce matin par l’INSEE, l’activité en France aurait une
nouvelle fois progressé au 3e trimestre (+0,3%) alors que l’emploi salarié se serait pratiquement stabilisé (-5.500).

Christine LAGARDE, Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, prend note avec satisfaction
de l’évolution de l’emploi salarié au 3ème trimestre, dont le repli est très sensiblement plus contenu qu’au 2ème trimestre (-85.400) et qu’au 1er trimestre
(-185.900). Par ailleurs, la croissance est une nouvelle fois positive et comparable à celle du trimestre précédent (+0,3%).

Procédure de sélection du Rédacteur en chef de la RAM

Chers Collègues,

 

Le mandat de Jean-Louis Chandon comme Rédacteur-en-Chef de RAM s’achève en août prochain. Il a indiqué qu’il ne
souhaite pas poursuivre un second mandat. Nous apprécions le travail qu’il a pu fournir pour maintenir la réputation de la revue et nous l’en remercions vivement.

Le bureau de l’AFM a mandaté Hubert Gatignon pour présider le comité de sélection du nouveau Rédacteur-en-Chef. Sur
sa proposition, le bureau a adopté la composition du comité suivante :

 

-Hubert Gatignon

-Alain Jolibert

-Christian Pinson

 

La procédure de sélection décrite dans le document ci-dessous a été validée par le bureau de l’AFM du 16 octobre
2009. Ce document contient également une description des critères de sélection.

Nous vous invitons à nous aider dans ce processus de sélection en proposant un ou plusieurs candidats qui vous
paraissent correspondre au profil du poste.

Vos propositions doivent être accompagnées du CV de la personne concernée ainsi que d’une brève présentation des
raisons qui expliquent votre proposition. La qualité de membre de l’AFM n’est pas requise pour les candidats et il n’est pas exclu de proposer sa propre candidature.

Vos propositions doivent parvenir à Hubert Gatignon (hubert.gatignon@insead.edu) avant le 15 Décembre 2009.

 

Cordialement,

 

 

Hubert Gatignon

Président du Comité de Sélection

 

 

 

1. Objectifs et procédure de nomination du comité de sélection

Ce document décrit la procédure à suivre pour sélectionner et nommer le Rédacteur-en-Chef de la revue scientifique
de l’Association Française du Marketing, Recherche et Applications en Marketing.

Le président du comité de sélection est nommé par le bureau de l’association, sur proposition de son Président. Le
président du comité de sélection constitue alors le comité avec deux autres membres de son choix, choisis de préférence parmi les anciens rédacteurs-en-chef.

Bien que consulté dans le processus (voir ci-dessous), le rédacteur-en-chef en fonction ne peut être membre du
comité. La composition du comité de sélection est approuvée en bureau.

Au terme de sa mission, le comité de sélection transmet son choix au Président de l’AFM qui fait entériner ce choix
par le bureau et prononce la nomination officielle du nouveau Rédacteur-en-chef.

Le Rédacteur-en-chef est nommé pour une période de deux ans (renouvelable) normalement débutant au
1
er septembre suivant sa
nomination.

Un Rédacteur-en-chef peut être démis de ses fonctions sur décision d’une commission à la demande du bureau de
l’association. Cette commission est constituée selon une procédure identique à celle de nomination d’un Rédacteur-en-chef.

 

2. Composition du comité de sélection et appel à candidatures

Les membres du comité de sélection ne peuvent en aucun cas être candidats, ni nommés au poste de
Rédacteur-en-chef.

Les membres du comité doivent avoir une expérience éditoriale confirmée (ancien Rédacteuren-chef de RAM ou d’une
autre revue scientifique de niveau académique identique ou supérieur, ou avoir été Rédacteur-en-chef invité d’un numéro spécial de RAM, ou, au minimum, membre du comité de lecture de RAM depuis
plusieurs années).

Le Président de l’AFM est responsable, au nom du bureau de l’AFM, du respect du processus de sélection et de
nomination décrit ici. En cas de désaccord entre les membres du comité, il est chargé de résoudre ces désaccords. Dans un tel cas, étant donné la forte probabilité d’information négative sur
certains candidats, toute discussion sur la procédure et sur les désaccords éventuels doit rester totalement confidentielle.

Dès l’entrée en fonction du comité de sélection, celui-ci rédige une annonce en vue de la recherche d’un nouveau
Rédacteur-en-chef de RAM. Cette annonce est communiquée à tous les membres de l’Association. Les membres sont appelés à adresser au président du comité de sélection des propositions motivées de
candidatures, incluant le CV de la personne proposée. La qualité de membre de l’AFM n’est pas requise pour les candidats. Il n’est pas exclu de pouvoir proposer sa propre candidature.

 

3. Processus de sélection

Le comité de sélection choisit les candidatures à étudier. Il peut être amené à rassembler toute information sur les
candidats potentiels que ses membres considèrent utile, et ce, en toute confidentialité. Le Rédacteur-en-chef en titre doit être consulté et les anciens rédacteurs-en chef sont une ressource
naturelle pour le comité.

A ce stade, le comité de sélection peut demander à quelques personnes sérieusement considérées, ou de préférence à
une seule personne (la plus sérieusement considérée), un CV à jour et une note d’intentions pour la revue. Toutefois, ces personnes doivent être informées clairement que cette demande ne peut en
aucun cas être assimilée à une offre ferme et qu’elle doit rester strictement confidentielle. Les membres du comité de sélection doivent également garder cette information strictement
confidentielle.

A l’issue de cette étape, le comité de sélection choisit celui (ou celle) qu’il juge être le meilleur candidat pour
le poste. Le comité prend alors contact avec ce candidat et lui demande si il (ou elle) accepte cette responsabilité. Le candidat doit avoir le temps nécessaire pour prendre sa décision, en
particulier pour vérifier avec son institution les arrangements possibles par rapport aux questions pratiques d’organisation (secrétariat de rédaction notamment). Au cas où le candidat
refuserait, le comité choisit un autre candidat en suivant la même procédure. En aucun cas deux ou plusieurs candidats ne peuvent être approchés en parallèle par le comité.

En revanche, il est envisageable que le résultat final aboutisse à la sélection de deux corédacteurs-en-chef.
Cependant, ceci ne peut se produire qu’après la sélection d’un premier candidat qui serait alors impliqué dans le choix d’un co-rédacteur-en-chef.

Suite à l’acceptation du ou des candidats, le comité de sélection rédige un rapport écrit résumant la procédure
suivie, les critères utilisés et le choix final du comité. Ce rapport est adressé au Président de l’AFM. Le Président de l’AFM communique alors la décision du comité au bureau de l’AFM qui
l’entérine sans débat ni vote (respectant en cela la confidentialité de la procédure et la décision du comité nommé par le bureau). Cette nomination est définitive et ne peut être révoquée (sauf
procédure spéciale décrite ci-dessus).

Les noms des autres candidats qui auraient pu être considérés lors du processus ne peuvent être rendus publics. Les
membres du comité de sélection s’interdisent toute discussion sur les

autres candidats en dehors du comité.

 

4. Critères de sélection et d’évaluation d’un candidat

 

1) Expérience du Candidat :

a) Réputation professionnelle dans le domaine de la recherche (visibilité, crédibilité,

réseaux…etc) en France et, idéalement, à l’étranger. Cette réputation découle principalement des publications du
candidat dans des revues scientifiques de très bon rang, non seulement dans RAM mais dans les meilleures revues internationales. En effet, le profil du Rédacteur en chef a un impact important sur
sa capacité à constituer/gérer un comité de lecture de qualité, à attirer des auteurs potentiels, à faire respecter ses décisions, à promouvoir la revue etc.

b) Expérience éditoriale

c) Ouverture d’esprit sur les champs de recherche en marketing et dans les

disciplines connexes. Ceci est particulièrement important dans la gestion des numéros spéciaux, des rubriques «
fenêtre sur » et « sélection internationale » et dans la constitution du comité de lecture.

d) Capacité à identifier, encourager et orienter les auteurs potentiels. C’est une question de vision, de motivation
(temps à investir) mais aussi de réseaux.

e) Bonne connaissance de l’anglais. car le rédacteur en chef est, de plus en plus, en ligne directe avec les bases
de données internationales ainsi que les revues étrangères (rubrique « sélection internationale »). Les traducteurs, le copy editor, le correcteur technique ont aussi fréquemment besoin
d’un avis ou d’une décision urgente sur tel ou tel point technique qu’ils n’arrivent pas à résoudre, de même que les auteurs.

f) Capacité à utiliser une application de gestion électronique des soumissions et des

évaluations d’articles

 

2) Disponibilité:

a) Limitation des engagements extérieurs qui pourraient interférer avec la responsabilité de
Rédacteur-en-chef.

b) Disponibilité pour effectuer les déplacements nécessaires à la gestion de la revue, y compris la présence
épisodique aux réunions du Bureau de l’AFM.

c) Réduction de charge de la part de l’institution du rédacteur-en-chef.

 

3) Personnalité du Candidat :

a) Ethique. réputation de probité, impartialité, respect de la confidentialité des dossiers etc. Il doit être
irréprochable sur ce plan.

b) Capacité à s’investir, à travailler sous stress et en continu. Il est nécessaire de consacrer un temps
considérable à RAM. Le respect des délais de parution impose un suivi régulier et permanent.

c) Capacité à trancher en cas d’avis contradictoires des lecteurs et à assumer ses choix particulièrement lorsqu’ils
sont politiquement difficiles à cause de la stature ou de « l’insistance » de certains auteurs et/ou lecteurs.

d) Compétences « managériales » en matière d’édition : goût pour l’éditorial, sens de l’organisation, respect des
délais…

 

4) Vision:

a) Adhésion avec la mission et le positionnement de RAM. Le Rédacteur en chef ne doit pas avoir de complexes ou
d’états d’âme vis-à-vis des revues étrangères de rang inférieur et être capable de défendre RAM chaque fois que cela est nécessaire.

b) Point de vue sur l’évolution éventuelle à apporter à l’organisation du processus d’évaluation (par exemple sur le
comité de lecture ou l’utilisation de rédacteurs associés).

c) Stratégie pour accroître le nombre de soumissions.

d) Marketing de la revue.

e) Changement éventuels du format de la revue.

 

5) Soutien institutionnel :

 

a) Moyens de fonctionnement. Le secrétariat de rédaction nécessite la présence d’un (ou un)) assistant de rédaction,
d’un bureau équipé (ordinateur, imprimante, téléphone, scanner, meubles de rangements etc.) de fournitures de bureau, avec prise en charge des frais de téléphone, fax, emails, photocopies,
affranchissement etc.

 

b) Financement de cet(te) assistant(e) de rédaction. Le travail d’assistant(e) de rédaction exige un engagement à
mi-temps d’une secrétaire bilingue confirmée dans les conditions actuelles (une réduction peut être envisageable en cas de passage à un système électronique du processus d’évaluation). Le profil
souhaitable pour un(e) assistant(e) de rédaction est décrit ci-dessous.

 

c) Engagement du Doyen ou Directeur de l’institution du Rédacteur-en-chef.

 

Assistant(e) de réaction (profil souhaitable)

1) Solide expérience en matière de secrétariat. Compétences techniques de base, fiabilité, capacité à prendre des
initiatives, sens de la discrétion.

2) Capacité à utiliser une application de gestion électronique des soumissions et évaluations.

3) Très bonne connaissance de l’anglais (écrit et parlé). La personne doit être sur ce plan parfaitement
autonome.

4) Forte implication personnelle. Capacité et motivation à suivre les dossiers urgents en dehors des heures de
bureau « officielles ».

5) Etre très organisé(e), méthodique, rigoureux(se). Strict respect des normes de publication, des délais, des
processus, de la confidentialité des dossiers.

6) Capacité à interagir, le plus souvent, sous contrainte de temps, sur des tâches

très différentes et avec des individus très variés : auteurs, lecteurs permanents et occasionnels, correcteur
technique, traducteurs et superviseurs de ceux-ci, copy editor, photocomposeur, éditeur, bases de données françaises et étrangères, revues étrangères (autorisations de reproduction de la
sélection internationale) demandeurs d’informations (étudiants, enseignants, agences de presse…). Dans toutes ses relations, nous ne sommes pas en position de force, donc il faut obligatoirement
combiner persuasion/doigté et insistance/persévérance.

7) Goût pour l’édition.

Maurice Thévenet, Prix du Livre d’Entreprise du Rotary International

Pour la 14e édition du Prix du Livre d’Entreprise du District 1660 du Rotary International, le jury a choisi de décerner le Prix 2009 à Maurice Thévenet pour
son ouvrage « Manager en temps de crise », publié aux Editions d’Organisation (Groupe Eyrolles).

René Grange, Gouverneur 2009-2010 du District 1660 du Rotary International, lui a remis le Prix vendredi 20 novembre 2009 à 20 h au
Press Club de France en présence des auteurs, éditeurs, journalistes et personnalités du monde économique.

Créé en 1992, ce Prix récompense un ouvrage de management, écrit par un auteur francophone, dont le contenu s’attache à valoriser
l’homme dans l’entreprise, respectant les critères d’éthique rotarienne et la responsabilité sociale.

Le jury a apprécié l’analyse concrète et lucide de la crise actuelle et de ses implications sur les modes de management, avec une remise
en cause des méthodes technocratiques, notamment en Ressources Humaines. L’auteur donne des pistes pour l’avenir en insistant sur l’évolution impérieuse des comportements des managers : nécessité
de partage d’une vision à long terme, besoin d’éthique de proximité (présence, exemplarité, cohérence). Comme l’a souligné Jean-Claude de Schietere, Président du jury, Maurice Thévenet délivre,
au total, un message d’un optimisme réaliste qui replace l’homme au coeur de l’entreprise

Agrégé des Facultés en sciences de gestion, Docteur ès Sciences de gestion, licencié en droit, licencié en
théologie, diplômé de l’Essec, Maurice Thévenet est professeur au Cnam et à Essec Business School. Auteur de nombreux ouvrages sur le management, il a été cofondateur d’Holodis, directeur de
l’Essec et président de l’AGRH (Association francophone de Gestion des Ressources Humaines).

Les nouvelles initiatives du journalisme

Les nouvelles initiatives du journalisme
1er débat CELSA-ACP-Journalisme, un métier à réinventer
Jeudi 26 novembre de 18h à 20h
Celsa – 77 rue de Villiers – 92 200 Levallois Perret
Rue89, la Revue XXI, Bakchich, Polka, Suite101, ACP… Ils inventent de nouveaux modèles pour faire vivre un journalisme de contenu. Quelle a été leur impulsion première, quels sont leur
nouveaux fondamentaux, quelles sont les clés de la réussite… ?
– Pierre HASKI – Rue89
– Nicolas BEAU – Bakchich
– Jeremy REBOUL – Suite101
– Judikael HIREL – ACP
débattront et échangeront avec la salle autour de ces questions et à partir de leurs initiatives.
Avec la participation de Arnaud LE GAL – L’Entreprise magazine
Un débat animé par Bruno FUCHS.
Les résultats de l’enquête CELSA – ACP Le journalisme vu par les plumes de demain seront annoncés à l’occasion de ce débat. Etudiants ou récents promus
d’une des 13 écoles de journalisme homologuées par le CNEPJ, ils feront le journalisme de demain. 272 d’entre eux ont accepté de répondre à l’enquête réalisée par le CELSA et l’ACP du 6
au 18 novembre 2009 pour dire comment ils vivent l’information aujourd’hui, comment ils l’imaginent demain.
Journalisme, un métier à réinventer – une série de 3 débats
En 2009/2010, le CELSA et l’ACP s’associent pour organiser Les débats CELSA – ACP, Journalisme, un métier à réinventer. Ancrés dans la réalité du métier, ces débats donnent la parole aux
professionnels pour y développer leur vision du métier et échanger sur leurs propositions d’avenir.
Novembre : Les nouvelles initiatives du journalisme
Février : Les mutations technologiques, vision des patrons de presse
Avril : Le statut de journaliste, une copie à revoir ?
L’ACP : Première agence de presse de l’ère numérique, l’Agence Centrale de Presse proposera aux médias abonnés, dès janvier 2010, via sa plate-forme
sécurisée, des articles en anglais ou en français, prêts à paraître, émanant d’une communauté internationale de contributeurs freelance, l’ACP fait partie du groupe Imacom.

Emploi des cadres : une « sortie de crise » à haut risque

Eclairage sur la crise :

recrutement à -50%, management de transition à -20%

 

Selon les informations recueillies par ProCadres International auprès d’un certain nombre
d’acteurs du marché de la recherche de cadres, la
diminution du chiffre d’affaires
des sociétés du secteur, sur la période septembre 2008/août 2009, a été fonction de la
répartition de leurs activités : le
recrutement a baissé de 50% et le management de transition ne s’est replié que de 20%.

Pour Olivier SPIRE, Président de ProCadres International : « La baisse des recrutements a résulté du blocage des investissements, alors que le repli du management de transition était alimenté par le freinage des dépenses mais
catalysé par l’augmentation des opérations de restructuration, les chantiers d’amélioration des performances, la mise aux normes des systèmes d’information et la nécessité de pallier l’absence
des recrutements
 ».

 

Analyse de la « sortie de crise » :

recrutement bloqué, management de transition en nette reprise

 

Pour aller plus loin dans l’analyse, ProCadres International fait remarquer les points
suivants :

·                     Les taux mentionnés ci-dessus correspondent à la période septembre 2008/août 2009, mais en réalité la baisse
n’a vraiment commencé qu’en décembre 2008.
La baisse a donc été beaucoup plus forte sur
janvier/juillet 2009
.

·                     Depuis septembre 2009, le recrutement stagne à -50% mais le
management de transition est en phase de reprise
.

Olivier SPIRE précise : « Chez ProCadres,
nous constatons que les entreprises restent dans un grand attentisme concernant les investissements, notamment le recrutement, en raison de leur manque de visibilité. En revanche, nos activités
de management de transition, qui étaient à un niveau de -30% par rapport à l’année antérieure sur la mauvaise période janvier/juillet 2009, se sont situées à -15% seulement en septembre 2009 et à
-5% pour octobre 2009 ».

 

Une situation dangereuse

 

Cette « sortie de crise » pose beaucoup de problèmes, socialement et
économiquement :

·                     Beaucoup de jeunes cadres restent confrontés à de fortes difficultés d’embauche. Cette situation creuse le fossé qui les sépare de l’entreprise traditionnelle. Elle renforce leur
indépendance et est à l’origine d’une remise en cause du modèle social.

·                     Le malaise des cadres confirmés est omniprésent : stratégies imposées par les actionnaires financiers, position de
fusibles, perte de pouvoir d’achat, craintes pour leur avenir. En plus, on leur demande de gérer les plans sociaux…

Pour Olivier SPIRE : « Les sentiments d’amélioration de la conjoncture s’inscrivent dans la foulée
d’une anticipation favorable de la Bourse, avec une reprise des profits et de la spéculation dans les banques à peine sauvées du désastre, sur une toile de fond de licenciements qui continuent,
d’emploi qui ne s’améliore pas, de jeunes cadres qui ne trouvent pas de postes pérennes et de cadres confirmés mal dans leur peau. Les mesures de lutte contre les discriminations, absolument
nécessaires et dont on parle beaucoup en ce moment, ne sont pas de nature à générer à court terme une reprise des recrutements. Par ailleurs, la sortie de la crise ne peut être solide que si la
confiance est restaurée, par une meilleure concertation, par la mise en œuvre de politiques de gestion prévisionnelle de l’emploi et des compétences, ainsi que par un accompagnement efficace de
l’encadrement ».

Une filière d’ingénieurs TIC et santé

Une filière d’ingénieurs TIC et santé ouvrira à Montpellier à la rentrée 2010 avec l’Institut Télécom et l’Université Montpellier 2

A l’occasion du DigiWorldSummit, l’Institut Télécom et l’Université Montpellier 2 ont signé un accord-cadre visant la création d’une filière Technologies de l’information et de la communication pour la santé. Ce projet sera développé en partenariat avec l’Université Montpellier 1 et l’Ecole des Mines d’Ales, et soutenu par le Conseil Régional Languedoc-Roussillon et la communauté d’agglomération de Montpellier.

Une filière de dernière année d’ingénieur en 2010, un projet d’école en 2012

Dès la rentrée 2010, les élèves ingénieurs des écoles de l’Institut Télécom et des écoles partenaires pourront suivre leur dernière année de formation à Montpellier sur le campus de l’UM2 et obtiendront le diplôme de leur école d’origine.

La formation comprendra une période de compréhension et d’appropriation des enjeux du monde de la santé puis 4 blocs
d’enseignement appliqué : traitement et analyse des données, robotique médicale, TIC pour le médicament, système d’information…

Parallèlement, deux demi-journées par semaine seront réservées à la réalisation d’un projet proposé par une entreprise ou un laboratoire de recherche, réalisé en alternance entre le lieu de formation et l’organisme qui a proposé le sujet.

Le second semestre sera consacré à un stage, d’une durée de 5 mois au minimum, en entreprise ou au sein d’un laboratoire du secteur de la santé ou dans un service hospitalier.

Le parcours est conçu pour permettre aux
diplômés d’exercer les fonctions habituelles de l’ingénieur : recherche et développement, architecture système, chef de projet, conseil, créateur d’entreprise ou d’activité … Les diplômés ont également la capacité d’exercer des métiers spécifiques liés à la santé tels que robotique médicale, architecture de SI hospitalier, imagerie médicale, fouille de données médicales, génie génétique, conception de médicaments.

Cette nouvelle filière préfigure le développement d’une école de plein exercice qui proposera à terme une formation d’ingénieurs TIC pour la santé, des formations supérieures de type Master, des programmes de formation continue et des activités de recherche et développement.

La santé, un domaine d’avenir pour les TIC

Le domaine de la santé est l’un de ceux où les technologies de l’information et de la communication connaissent un fort développement. L’Institut Télécom en a fait une de ses priorités en formation et recherche, et l’Université Montpellier 2 et les autres acteurs académiques et industriels de Montpellier et de la Région rassemblent déjà un fort potentiel de compétences dans ce domaine.

Cela permet à ce programme d’être basé sur la mise en commun de complémentarités pédagogiques et scientifiques de haut niveau de la part des partenaires. Les partenaires locaux, UM2, UM1, école des mines d’Alès apportent leur maîtrise du domaine du vivant, de la santé, de l’informatique, de la robotique et des micro/nanotechnologies. L’Institut Télécom offre quant à lui son expertise en communication (technologies, contenus, services, usages).

Les industriels et les centres de recherche publics et privés ainsi que les collectivités locales, régionales et territoriales participent à ce programme.

A propos de l’Institut Télécom

L’Institut Télécom est un organisme d’enseignement supérieur et de recherche en sciences et technologies de l’information et de la communication (STIC), acteur européen de référence dans le domaine. Il regroupe les grandes écoles Télécom ParisTech, Télécom Bretagne, Télécom SudParis et Télécom Ecole de Management ainsi que deux filiales Télécom Lille1 et EURECOM soit 5400 étudiants, 600 enseignants-chercheurs et 820 doctorants, post-docs et sabbatiques. Depuis mai 2008, l’Institut Télécom compte également deux écoles associées : Télécom Saint-Etienne et l’ENSPS.

L’Institut Télécom a été labellisé Institut Carnot avec sa filiale EURECOM en 2006 pour la qualité de sa recherche partenariale. Il crée en moyenne près de 50 start-up par an dans ses 5 incubateurs.

A propos de l’UM2 www.univ-montp2.fr

La DFCG blog complètement

Des auteurs de renommée internationale : Richard Posner, Andrew W. Lo, Richard Layard…

Dix mois après son lancement, le Blog de la DFCG, premier blog des professions financières, rencontre un véritable succès !

Consacré à l’actualité des professionnels de la fonction finances-gestion, celui-ci est animé par le Comité scientifique de notre association. N’hésitez pas à le consulter régulièrement et à prendre part aux débats qui y sont lancés en commentant les articles publiés !

« Remise du 11e Prix du Livre d’Economie » par Christine Lagarde

Christine Lagarde, Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, remettra avec Philippe Séguin, Premier
président de la Cour des Comptes, le 11ème Prix du Livre d’Economie le vendredi 4 décembre à 12 h30, au Centre de Conférences Pierre Mendès France.

 

Le lauréat ou la lauréate sera désigné(e) parmi  les
trois finalistes :

 

Daniel Cohen, la Prospérité du Vice, éd. Albin Michel

Dominique Nora, Les Pionniers de l’Or vert, éd.Grasset

Jean-Marc Vittori, L’Effet sablier, éd. Grasset

 

Auparavant, Yann Algan, Nicolas Baverez, Alain Bauer, Pierre BergÉ, Daniel Cohen, André Comte-Sponville, Mercedes Erra, Gérard
Longuet, Michel Rocard et Louis Schweitzer, entre
autres personnalités, auront débattu autour du thème : « Chaos global, crises locales : quel nouveau monde économique pour la France ? »

 

Programme

 

9h : discours inaugural, allocution de Jean-Paul
REDOUIN, Premier sous-gouverneur de la Banque de France

 

9h15 : présentation d’un sondage par Brice Teinturier

 

9h30-12h30 : tables rondes

 

12h30 :
remise du prix

HEC Paris à nouveau en tête du classement général

des « business schools » européennes du Financial Times 2009

 

Pour la 4e année consécutive, HEC Paris est en tête du classement général annuel des
« business schools » européennes, publié ce lundi 7 décembre 2009 par le Financial Times (sur 70 écoles listées). Il confirme ainsi l’excellence des
programmes diplômants et de formation continue d’HEC Paris.

Ce classement général est une synthèse des 5 « rankings » publiés chaque année par le Financial Times : le MSc/programme Grande Ecole (2e mondial, 1re business school classée), le MBA full time (29e mondial),
l’Executive MBA (2e mondial) et les programmes de formation continue (2me mondial pour les programmes sur mesure).

« Le classement général du Financial Times qui distingue tous les programmes d’HEC confirme le
bien-fondé de la stratégie de changement exprimée par la modernisation et le développement du campus HEC dans lequel s’investit la CCIP
»
commente Pierre Simon, Président de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris.  

Cette première place confirme à nouveau la réussite
exceptionnelle des diplômés d’HEC grâce à l’excellence académique du corps professoral et à la véritable proximité de l’école avec les entreprises. 
En quelques années, HEC Paris est devenue une école de réputation mondiale, offrant à plus de
4.000 étudiants des parcours internationaux prestigieux ainsi que la possibilité de nombreux doubles diplômes en partenariat avec les plus grandes business schools mondiales.

« La
présence en France d’une école de management de réputation mondiale est un enjeu essentiel pour la compétitivité de notre pays et constitue un atout considérable pour nos entreprises. Le résultat
du classement du FT encourage l’ambition d’HEC Paris et souligne la gestion performante de son Directeur Général, Bernard Ramanantsoa et de l’ensemble de son équipe », 


ajoute Henri Proglio, Président du Conseil d’Etablissement d’HEC.

Aucun enjeu électoral ne justifie qu’on mette en péril la reprise

Christian Estrosi : « Aucun enjeu électoral ne justifie qu’on mette en péril
la reprise d’Heuliez et l’avenir de ses 600 salariés »

 

Christian Estrosi, ministre chargé de l’Industrie, déplore  la mise en scène politicienne du
prétendu sauvetage d’Heuliez hier, à l’issue de l’assemblée extraordinaire sur l’avenir de l’entreprise. Ce genre d’attitudes et de déclarations fait courir des risques considérables pour
l’avenir d’Heuliez et de ses 600 salariés. Or, aucun enjeu électoral ne justifie qu’on mette en péril la reprise de cette PME innovante et créative  comme l’avenir de ses 600
salariés.

Le ministre chargé de l’Industrie rappelle que le Tribunal de Commerce de Niort a validé le 8 juillet
dernier un projet de reprise d’Heuliez par Bernard Krief Consulting (BKC) avec, sur le plan financier : 17 M€ de fonds propres apportés par le repreneur (1 M€ apporté par BKC et 16 M€ par
Midex Airlines, partenaire de BKC dans l’opération), 10 M€ de fonds propres apportés par le FSI, 5 M€ de fonds propres apportés par la Région Poitou-Charentes, 2,3 M€ d’Oséo.

Or, à ce jour, BKC n’a apporté que 1 M€ sur les 17 M€ prévus. C’est pour cette raison que le 8
décembre dernier, Christian Estrosi a appelé solennellement BKC à tenir ses engagements. C’est aussi la raison pour laquelle le FSI a demandé un audit et n’a pas participé à l’assemblée générale
d’hier à laquelle M. Petiet, président de BKC, n’était lui-même pas présent.

La vigilance du FSI et de l’Etat s’impose dans le contexte des réserves exprimées par le président de
Tribunal de commerce de Niort  dans son jugement du 8 juillet: « Sur le plan financier, le plan proposé est séduisant mais le concret de ce jour à l’audience est décevant. Dans une
stricte optique juridique, je devrais conclure au rejet de l’offre aujourd’hui, étant donné la faiblesse des garanties financières concrètes ». Sans l’engagement déterminant de l’Etat, via
le FSI, à hauteur de 10 M€, le Tribunal de commerce n’aurait jamais validé le plan de reprise proposé par BKC. Aujourd’hui, l’enjeu n’est pas d’obtenir un nième engagement de M. Petiet, mais de
voir BKC passer aux actes avec l’apport effectif des 16 M€.

Christian
Estrosi appelle l’ensemble des acteurs de ce dossier à revenir au sang froid et à la rigueur qu’exige le traitement de ces dossiers délicats de reprises industrielles. Pour sauver Heuliez, Etat et
collectivités ont le devoir de parler d’une seule voix, sans considération égocentrique, partisane ou  électorale. Quand l’avenir des salariés, de l’entreprise et d’un territoire est en jeu,
toute autre attitude est indigne et irresponsable.

L’Institut français d’histoire en Allemagne aide la recherche

Installé depuis peu à Francfort, l’Institut français d’histoire en Allemagne succède à la Mission Historique Française en Allemagne qui était implantée à Göttingen. En particulier, il propose chaque année des postes aux chercheurs qui travaillent sur le monde germanique. À partir de l’été 2010, c’est notamment une bourse annuelle d’aide à la mobilité qui est offerte pour des doctorants, sur le modèle des bourses d’aide à la recherche que fournissait la Mission Historique.

Les dossiers de candidature des doctorants susceptibles d’être intéressés doivent être postés avant le 31 décembre 2009.

Institut français d’histoire en Allemagne

Senckenberganlage 31 PF 141

D-60325 Frankfurt am Main

Tél.: +49 69 798 31 900

ifha@institut-francais.fr

Remise du rapport « Promouvoir et Développer l’Alternance »

et lancement des ateliers de l’apprentissage et de l’alternance

 

Henri PROGLIO, Président Directeur Général d’EDF, a remis jeudi 10 décembre à Laurent WAUQUIEZ,
Secrétaire d’Etat chargé de l’emploi, le rapport « Promouvoir et Développer l’Alternance », dans le cadre de la mission qui lui a été confiée par le Président de la République en avril
dernier.

Laurent WAUQUIEZ a tenu à féliciter Henri PROGLIO et les grandes entreprises pour leur participation à
la mobilisation générale pour soutenir l’alternance pendant la crise, qui a permis la signature de 150 000 contrats d’alternance en septembre et octobre, soit un niveau équivalent à celui de
la rentrée 2008 alors que la baisse était au premier semestre de – 20 % pour les contrats d’apprentissage et de – 40% pour les contrats de professionnalisation.

Le Secrétaire d’Etat à l’emploi a fait part de son souhait de mettre en œuvre le plus rapidement
possible certaines des propositions du rapport, telles que la promotion de l’alternance dans les clauses d’exécution des marchés publics ou encore la création d’un grand portail de l’alternance
pour rapprocher l’offre et la demande.

D’autre propositions devant être approfondies et discutées dans un champ élargi d’acteurs (centres de
formations, jeunes apprentis, chambres consulaires etc), Laurent WAUQUIEZ a annoncé le lancement d’ateliers de l’apprentissage et de l’alternance. Ces ateliers, dont les conclusions sont
attendues en février, devront permettre de lever les freins structurels qui entravent le développement de l’alternance en France et d’atteindre l’objectif ambitieux fixé par le Secrétaire
d’Etat : 1 jeune sur 5 en alternance à l’horizon 2015.

Il s’agira ainsi d’apporter des réponses concrètes à trois questions :

o        comment aider le jeune en alternance dans sa vie quotidienne (aide à trouver une entreprise, aide au logement ou à la mobilité, aide à trouver la bonne
formation…) ?

o        comment développer l’alternance partout et pour tous (dans tous les métiers et pas seulement les métiers manuels, à tous les niveaux de diplôme et donc y compris dans les
grandes écoles, pour tous les employeurs y compris les employeurs publics) ?

o        comment aider enfin les entreprises à s’engager encore davantage dans les formations en alternance en simplifiant les démarches et les financements ?

Les trois ateliers de travail, qui seront installés dans les prochains jours, seront pilotés par des
praticiens : Didier MALAMAS, DRH du groupe Eiffage, Christian DAPILLY, DRH adjoint de Veolia Environnement, Gilles VERMOT-DESROCHES, Directeur du développement durable de Schneider
Electric.

 

http://www.economie.gouv.fr

A l’issue du conseil d’administration de l’ENA

Eric WOERTH fait un premier bilan de la réforme de
l’ENA

 

Le dernier conseil d’administration de l’ENA de l’année au cours duquel a été présenté et
approuvé le contrat d’objectifs et de performance de l’ENA pour la période 2009-2011 a permis de faire un bilan sur l’avancement de la réforme de l’ENA.

Partant des deux missions principales de l’ENA, recruter et former, le contrat traite
notamment de la modernisation des concours et de la formation, de la diversité de la politique de sélection, du nouveau mode d’affectation, conformément aux quatre axes de réforme présentés en
Conseil des ministres le 25 mars 2009 par Eric WOERTH :

          promotion de la diversité des talents et l’égalité des chances ;

          rendre la scolarité plus opérationnelle et réduire sa durée totale ;

          créer une meilleure adéquation entre, d’un côté, les besoins des administrations et, de l’autre, les compétences et aspirations des élèves ;

          développer le rôle de l’ENA dans l’accompagnement et la formation des hauts fonctionnaires.

La réforme de l’ENA fait écho aux annonces faites par le Président de la République le
11 janvier 2008 à Lille et le 17 décembre dernier à l’Ecole Polytechnique.

En matière de diversité, Eric WOERTH a ouvert le 7 octobre 2009 la
scolarité de la première classe préparatoire au concours externe de l’ENA le 7 octobre, en présence de Fadela AMARA, secrétaire d’Etat chargée de la Politique de la ville, de Martin HIRSCH,
Haut-commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté et Haut-commissaire à la jeunesse, et de Yazid SABEG, Commissaire à la diversité et à l’égalité des chances.

Les 15 élèves, sélectionnés par un jury sur 150 candidatures sur la
base de critères sociaux, de leur niveau d’études, de leur personnalité et de leur motivation, ont ainsi entamé une formation de préparation d’un an aux épreuves du concours externe de
l’ENA.

En ce qui concerne la scolarité, un décret qui va être publié d’ici la fin de l’année va
permettre de conduire la réforme des concours, des cycles préparatoires, de la formation et des évaluations.

Les limites d’âge seront supprimées. La durée de la scolarité sera ramenée de 27 à 24 mois et
son contenu sera professionnalisé. Ainsi, les stages en situation de responsabilité représenteront au moins la moitié de la scolarité. Un des trois stages sera réalisé en
entreprise.

Le nombre des évaluations sera réduit et les élèves pourront par des bilans personnalisés
construire leur projet professionnel.

Quant à la procédure de sortie, conformément aux engagements pris et grâce aux travaux de la
commission présidée par Jean-Pierre JOUYET, une procédure de sortie ouverte et transparente a été redéfinie. Les élèves, à l’issue de leur formation, ne seront plus affectés en fonction d’un
classement mais recrutés par les employeurs sur la base d’un dossier d’aptitude et des préférences des élèves. Il s’agit d’assurer une meilleure adéquation entre, d’un côté, les besoins des
administrations et, de l’autre, les compétences et aspirations des élèves. Cette nouvelle procédure respecte les principes fondamentaux en matière d’accès aux emplois publics : égalité de
traitement et appréciation comparée des mérites. Le caractère anonyme des candidatures en début de procédure et le caractère collégial des délibérations finales apportent les garanties
nécessaires.

Cette nouvelle procédure a été approuvée par le Conseil d’administration de l’ENA ainsi que
par les représentants des élèves. Elle a également été validée par le Conseil d’Etat dans un avis du 3 novembre. Ce dernier a toutefois relevé une difficulté concernant le recrutement des
auditeurs du Conseil d’Etat dont les modalités sont fixées par un article législatif du Code de justice administrative. Afin de garantir la sécurité juridique de la réforme, Eric WOERTH a fait le
choix de reporter la mise en œuvre de cet aspect de la réforme afin de permettre de résoudre la difficulté soulevée par le Conseil d’Etat. Son entrée en vigueur interviendra dès l’adoption
définitive de l’amendement de clarification déposé par le Gouvernement dans la proposition de loi de simplification et d’amélioration de la qualité du droit qui a déjà fait l’objet d’un vote à
l’Assemblée nationale le 2 décembre dernier.

Dans le cadre du renforcement de la formation continue, l’ENA a redéfini le séminaire de prise de poste
prévu pour chaque nouveau Directeur d’administration centrale, désormais sur 4 jours. Le 16 décembre  prochain, un cycle d’animation trimestrielle des
directeurs d’administration centrale sera inauguré par Eric WOERTH.

Le
contrat comporte également un volet sur la gestion de l’ENA. Un projet de réorganisation doit être mené par l’ENA qui vise notamment à regrouper deux directions pédagogiques. Il est également prévu
que l’école s’engage dans des actions de simplification, de modernisation et de rationalisation pour une gestion plus efficiente (ressources humaines, budget, systèmes d’information,
publications).

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