OFFICE PARLEMENTAIRE D’EVALUATION DES CHOIX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES

Audition publique

Investissements d’avenir : un nouvel élan pour la recherche française

Mardi 17 janvier 2012

INVESTISSEMENTS D’AVENIR : UN NOUVEL ELAN POUR LA RECHERCHE FRANCAISE

Claude Birraux, Député de Haut-Savoie
Premier vice-président de l’OPECST

Le dispositif de grande ampleur des investissements d’avenir vient apporter un élan supplémentaire à la recherche
française.
Au moment où une grande partie des lauréats sélectionnés à la suite des appels à projets est connue, il semble important à l’Office parlementaire d’évaluation des choix
scientifiques et technologiques, qui s’intéresse de longue date au développement de la recherche française, de faire un premier état des lieux à ce sujet.

L’OPECST organise donc une audition publique qui présentera les principaux opérateurs des investissements
d’avenir
ainsi que les différents types d’actions financées, illustrées par des projets concrets. L’audition entend donner une vision d’ensemble des
investissements d’avenir, afin de mesurer leur impact sur la recherche française.

BEM s’associe aux journées nationales des cordées de la réussite

Forte de ses valeurs et de son engagement en faveur de l’ouverture sociale, BEM s’associe les 20 et 21 janvier 2012 aux journées nationales des cordées de la réussite.

L’école a obtenu fin 2011 le label Cordées de la Réussite pour l’ensemble de son dispositif d’actions.

Trois dispositifs pour une cordée

Ce label salue l’action de BEM aux côtés de lycées, de classes préparatoires et d’un partenaire universitaire, afin d’accompagner les lycéens et étudiants qui en ont les capacités et la motivation, vers les parcours d’excellence.

BEM est la seule école à avoir mis en place trois types d’initiatives :

·Une cordée pour la filière technologique avec des actions de tutorat par les élèves de BEM auprès des préparationnaires Technologiques et des actions d’information sur la classe préparatoire ECT dans 4 établissements classés Politique de la Ville.

·Course en cours, initiative qui réunit les étudiants de BEM et ceux de l’Institut Universitaire Technologique, département Génie Mécanique Productique pour un tutorat de collégiens et lycéens en Région : ensemble, ils doivent concevoir, construire et faire courir une mini-voiture de course électrique.

· »Une Grande Ecole, pourquoi pas moi ? », programme dont bénéficient des étudiants de Première et Terminale, qui propose une formation complémentaire aux apprentissages scolaires, centrée sur un accompagnement d’ouverture sociale et culturelle. L’objectif est de rehausser leur niveau d’ambition et de les inciter à rejoindre des filières d’excellence.

Le respect de la personne, l’intérêt pour des personnalités originales et l’ouverture dans toutes ses dimensions (sociale, intellectuelle, relationnelle, culturelle) sont des éléments identitaires de BEM, qui souhaite impliquer ses étudiants, son personnel et ses diplômés dans cet engagement.

Les journées nationales des cordées de la réussite sont l’occasion pour l’école de renforcer son action en sensibilisant encore davantage ses publics.

Google et HEC Paris lancent la Chaire Google@HEC

Bernard Ramanantsoa, Directeur Général d’HEC Paris ; Daniel Bernard, Président de la Fondation HEC ; Jean-Marc Tassetto, Directeur Général de Google France et
Jean-Paul Vermès, Premier vice‐président de la CCIP, chargé de l’enseignement ; ont le plaisir d’annoncer le lancement de la Chaire « Google@HEC ».
La création de cette Chaire par Google France est une première mondiale pour Google, l’entreprise de Mountain View, qui n’avait, jusqu’à présent, jamais financé de chaire dans une école de
management. Elle souligne l’implication d’HEC Paris dans le développement des connaissances et de la formation en e-business et traduit la volonté de Google d’être un partenaire actif dans le
développement de l’e-business en France et en Europe. Selon Daniel Bernard : « Le partenariat entre Google et HEC Paris répond à l’impératif d’intégrer dans la formation de notre Ecole un secteur
devenu incontournable pour de jeunes entrepreneurs et managers. Nous sommes fiers d’accueillir un des géants de l’économie numérique parmi les partenaires de la Fondation HEC ».
« Nous sommes très heureux de ce partenariat avec HEC né de notre ambition de partager nos connaissances pour mieux former les jeunes talents qui seront les décideurs de demain et contribuer
ainsi au développement du numérique en France », a déclaré Jean-Marc Tassetto, Directeur Général de Google France.

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Conférence Retrouver la croissance en période de récession

Les Dirigeants Commerciaux de France,
1er réseau des managers de la fonction commerciale,

Jacques BENN, président national,
Pierre GUEPET, président de la région
IdF
et Patrick VITAL,
président des DCF91,

ont le plaisir d’annoncer le
lancement de l’association

Dirigeants Commerciaux de France – Essonne
Jeudi 9 février 2012 de 17h00 à 20h00 à la
CCI Essonne
2 Cours Monseigneur Roméro, 91000 EVRY

Une conférence sera animée par Benoit Sarazin, consultant, conférencier et auteur, spécialiste de
l’innovation de rupture autour du thème :
“Retrouver la croissance en période de
récession.
Redynamiser votre marché grâce à l’innovation de rupture.”

Cette conférence sera suivie d’un cocktail, offert par les DCF.
Afin de mieux vous recevoir, merci de confirmer votre venue avant le 27 janvier 2012 par e-mail à l’adresse :
inaugurationdcf91@dcf-essonne.fr
ou par téléphone au : 01 70 58 39 39

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2012, année présidentielle !

À moins de 100 jours du premier tour des élections présidentielles, les campagnes se mettent en place. Afin de mieux comprendre les différents enjeux de ce scrutin, Forum Events, l’association et tribune étudiante de BEM, a décidé de réunir à la même table
six leaders de la Jeunesse des partis politiques pour débattre :

Benjamin Lancar, président des Jeunes Populaires,

Rama Sall, secrétaire générale du Mouvement des Jeunes Socialistes,

Adrien Debever, vice-président des Jeunes Démocrates,

Julien Rochedy, président des « Jeunes avec Marine » et porte-parole du Front National de la Jeunesse,

Wandrille Jumeaux, secrétaire fédéral des Jeunes Ecologistes,

Maxime Verner, président de l’Association des Jeunes de France et candidat à l’élection présidentielle.

Ils feront valoir les positions de leurs partis politiques respectifs au cours d’un débat qui abordera les problématiques de la jeunesse sous l’angle économique, sociétal et des relations européennes.

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La gouvernance même simplifiée, selon Alain Martel de l’Institut Français des Administrateurs

Une gouvernance, même simplifiée, est gage de réussite pour l’entreprise

Par Alain Martel, Secrétaire général de l’Institut Français des Administrateurs

Parmi les multiples difficultés couramment rencontrées par un dirigeant lorsqu’il se lance dans l’aventure de la création d’entreprise (en plus de celles liées à l’activité elle-même), figure sans doute celle concernant le manque de recul et de réflexion globale, pourtant nécessaires au bon développement du projet.

Pris dans le quotidien de son activité, le chef d’entreprise oublie souvent de prendre le temps de réfléchir à sa stratégie. Or, il ne doit pas s’enfermer dans un schéma où il s’occupe et décide de tout, pour le bien de son entreprise, évidemment, mais aussi pour le sien ; de nombreux dirigeants reconnaissant souffrir d’un sentiment de « solitude ».

Etre sûr de soi, croire en son projet, y être viscéralement attaché, sont les qualités qui ont permis au dirigeant de devenir entrepreneur. Elles peuvent se changer en défaut, au cours des premières années d’existence de la société. Aussi brillant soit-il, l’entrepreneur peut faire des erreurs. Combien de chefs d’entreprise ont déposé leur bilan faute de n’avoir pas assez écouté les conseils extérieurs… ?

En choisissant le statut de SAS (Société par Actions simplifiée), qui présente de multiples avantages, le créateur
de société n’a pas l’obligation de créer de Conseil d’administration. Pourtant, organiser un minimum de gouvernance au sein de son entreprise, sous la forme d’un conseil exécutif ou stratégique,
peut être une excellente chose. Une prise de décisions stratégiques faisant suite à une réflexion partagée avec d’autres professionnels expérimentés a beaucoup plus de chance d’avoir pris en compte tous les paramètres du projet…

Un conseil stratégique peut ainsi être créé, dés le démarrage d’une SAS. Il suffit de le prévoir dans les statuts.
Il préfigure, le cas échéant, la création d’un Conseil d’administration (ou d’un Conseil de surveillance) une fois que l’entreprise aura atteint une taille plus importante. Pour être performant, ce conseil doit associer des personnalités externes connaissant bien le secteur d’activité ou les domaines d’intervention de l’entreprise, sélectionnées pour leurs expertises en matière juridique, financière ou marketing.

Les avantages de la mise en place d’une structure comprenant des « administrateurs indépendants » sont multiples : cette preuve d’ouverture rassure les banques et autres organismes financiers et représente un atout décisif pour la mise en place de partenariats. Par ailleurs, bien souvent la création d’une entreprise associe des membres de la famille, qui, au fil du temps, peuvent avoir des angles de vues très différents sur la stratégie à mener. En présence de membres extérieurs à la famille fondatrice, les débats sont dépassionnés et l’on s’éloigne d’un climat d’émotivité qui imprègne les discussions d’affaires.

De nombreuses sociétés, y compris les plus petites, multiplient les initiatives liées à la protection de l’environnement. Parce qu’elles ont une conscience que l’enjeu est important, bien sûr, mais aussi parce qu’elles savent que leur image en sera grandement améliorée. Instaurer une gouvernance plurielle, même légère, et montrer ainsi que l’on est attaché à de bonnes pratiques, est également un facteur d’amélioration de l’image d’une société ; Le chemin du développement durable passant
aussi par là…

www.ifa-asso.com

Forum de la Formation Continue à l’IAE Lyon le 2 mars 2012

Le 2 mars 2012, l’IAE Lyon, organise son 4e Forum de la Formation Continue,
destiné aux 
professionnels souhaitant obtenir un diplôme en gestion et management (Master ou licence professionnelle) par la
formation continue ou la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE). 
Cet événement est organisé en partenariat avec AGEFOS PME
Rhône-Alpes, OPCALIA Rhône-Alpes, APEC et Nouvelle Donne.

OBJECTIF DU FORUM DE LA FORMATION CONTINUE
Après plusieurs années d’activité les salariés éprouvent souvent l’envie ou la nécessité de reprendre une formation pour consolider leurs acquis
et obtenir un diplôme. Toutefois, beaucoup d’entre eux hésitent à faire le pas car vouloir concilier vie professionnelle, vie personnelle et reprise d’études peut sembler être un pari risqué au
départ.

Par ailleurs, les professionnels ont parfois du mal à identifier les étapes incontournables d’un projet de formation réussi et à repérer les
interlocuteurs clés pour le faire aboutir. 
Partant de ce constat et s’appuyant sur son expérience d’accompagnement des candidats
professionnels, l’IAE Lyon, école universitaire de management organise pour la troisième année son Forum de la Formation Continue.

L’édition 2012 se déroulera le vendredi 2 mars 2012 de 10h à 17h sur le site universitaire de la Manufacture des
Tabacs. 
Le Forum de la Formation Continue s’adresse à tous les professionnels désireux d’obtenir un diplôme de Licence
Professionnelle (Bac + 3) ou Master (bac + 5) par la Formation Continue ou la validation des acquis de l’expérience (VAE) dans le domaine de la gestion et du management d’entreprise.

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En 2011, les TPE ont détruit des emplois

Cette 45e édition du Baromètre des TPE, l’enquête de conjoncture trimestrielle réalisée par
l’IFOP pour FIDUCIAL auprès des Très Petites Entreprises, révèle que l’année 2011 a vu une part plus importante de patrons réduire leurs effectifs que les augmenter. 

Destruction de postes dans les TPE en 2011 et peu de créations prévues en 2012

Alors que les TPE sont un formidable vivier d’emplois, ces entreprises ont détruit des emplois en
2011.
Les déséquilibres économiques et financiers continuent de fragiliser les TPE.

En 2011, 82 % des patrons de TPE ont stabilisé leurs effectifs. Mais 10 % les ont réduits quant seulement
7 % les ont augmentés
.

Ces chiffres sont à comparer avec l’indicateur de situation financière* qui ne cesse de chuter depuis juillet. Cet
indicateur se situe aujourd’hui à -18 contre -15 en octobre et -9 en juillet. Les TPE n’ont pas contribué à la croissance du PIB de la France, car seules 20% déclarent
pour 2011 une augmentation de leurs recettes supérieure au taux de l’inflation.

2012 serait heureusement moins mauvaise que 2011 en termes d’emplois. 9 % ambitionnent d’augmenter leur nombre de salariés, quand 3 % pronostiquent une diminution. Les embauches viseraient
prioritairement à pourvoir des postes techniques (74 %) plutôt que des postes à vocation commerciale (29 %) ou administrative (20 %). Les prévisions auraient pu être meilleures, 56 % des patrons
de TPE s’étant résignés à stabiliser leurs effectifs en 2011 embaucheraient s’ils en avaient les moyens financiers.

Les TPE voudraient verser plus de salaires, mais n’en ont pas les moyens.

Le salaire des employés des TPE aurait progressé en moyenne de 1,7 % en 2011, avec de fortes disparités. 18 % des TPE
employeurs n’ont pas revalorisé les salaires l’an dernier et la même proportion revendique une augmentation moyenne supérieure à 4 %. L’année 2012 s’annonce encore moins
prolifique
, puisque les TPE prévoient une hausse moyenne des salaires de 1,2 %, avec un tiers d’entre-elles n’entendant pas les revaloriser.

Les patrons de TPE (96%) affirment pourtant essayer de donner le maximum à l’ensemble des salariés. 86 % proposeraient des augmentations plus
importantes s’ils en avaient les moyens. Mais leur situation financière les oblige à privilégier surtout ceux qui travaillent dur (81 %).

La loi TEPA n’a pas modifié les équilibres en termes de temps de travail

La loi TEPA d’août 2007 sur les heures supplémentaires n’a pas enrayé la progression des
35 heures au sein des TPE. En octobre 2007, 44 % des TPE avaient un horaire hebdomadaire de travail inférieur ou égal à 35 heures, contre 49 % aujourd’hui. 21 % proposaient un horaire supérieur à
39 heures par semaine, contre 10 % en janvier 2012. Au cours de la même période, le nombre d’entreprises dans lesquelles les salariés effectuaient régulièrement des heures supplémentaires n’a pas
varié (47 %, à – 1 point).

La loi TEPA a en revanche infléchi les modes de rémunération des heures supplémentaires. Alors qu’il y a cinq ans seules 45 % des TPE les rémunéraient selon le barème légal, elles sont aujourd’hui 82 %. Cette « régularisation » s’est faite au détriment des récupérations (- 8 points), du
versement de primes exceptionnelles (- 2 points) ou d’autres moyens (- 10 points). En cinq ans, le nombre de salariés manifestant le souhait d’effectuer plus d’heures supplémentaires a doublé (55
%, contre 26 % à l’époque).

Difficile de recruter pour une TPE

Pour les deux tiers des patrons de TPE, il est difficile de recruter. 53 % imaginent que cela l’est tout autant pour une grande
entreprise.
Ils déclarent qu’il est difficile de recruter du personnel à un salaire adapté aux moyens de la
TPE (72 %), du personnel motivé (69 %) et du personnel compétent (51 %).

Pourtant, les patrons de TPE estiment que les entreprises de petite taille ont des atouts à faire valoir :
l’autonomie accordée aux salariés (48 % des citations), la souplesse de l’organisation
(46 %), l’écoute et la reconnaissance des dirigeants (35 %) ou encore la proximité et l’entraide entre les collaborateurs (34 %). A 79 %, ils jugent attractives les rémunérations qu’ils
versent.

On peut noter que les TPE recourent toujours majoritairement aux jeunes. En effet, 65 % des dirigeants de
TPE ayant des salariés emploient au moins une personne de moins de 30 ans
dans leur entreprise.

Méthodologie de l’Etude :

Echantillon de 1 002 dirigeants de TPE de 0 à 19 salariés (hors auto-entrepreneurs) raisonné sur les critères secteur d’activité de
l’entreprise, taille de l’entreprise, région d’implantation de l’entreprise, et interrogé par téléphone du 19 janvier au 1er février 2012. Des résultats nationaux
représentatifs
: redressement selon les données INSEE pour la meilleure représentativité de cette composante du tissu économique français.

* indicateur de situation financière : % des TPE constatant une amélioration de leur situation financière par différence au % de celles
enregistrant une dégradation.

Piloter la performance Achat

Conférence Achat 2012
Mardi 3 avril 2012, Cité Internationale, Lyon

Crop and co organise sa 7e Conférence Achat à Lyon le 3 avril, en présence des directeurs achats de grandes sociétés et d’établissements publics. Cette journée de formation et de mise en réseau est destinée à un public professionnel (entreprises, collectivités, établissements hospitaliers…).

Contact : Baptiste Manson. Tél. 04 72 67 99 80. Mail :
baptiste.manson@cropandco.com

 

8 Mars 2012 : Les femmes sont à l’honneur à l’ESG Management School :  » Femmes en entreprise : obligation, contrainte ou atout ? »

En pleine campagne électorale et pour le 30e anniversaire de l’officialisation de la journée de la femme en France, le thème de l’égalité
professionnelle entre les femmes et les hommes sera ré-exploré à l’occasion d’une conférence organisée le 8 mars 2012 de 19 heures à 20 heures 30 dans le grand amphithéâtre de l’ESGMS, 25 rue
Saint Ambroise 75011 Paris.

Cette conférence brossera un portrait des apports juridiques et sociologiques comme incitations ou freins à la mise
en place de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Elle nous éclairera également sur la situation réelle des femmes dans l’entreprise afin d’imaginer le parcours d’une
étudiante qui sortirait aujourd’hui d’une école de commerce comme l’ESGMS.

Quel rôle jouera l’entreprise dans son évolution de carrière pour lui permettre d’intégrer un jour, peut-être, le
comité de direction d’une entreprise du CAC 40 ? Suite à une nouvelle intervention du législateur menaçant d’une sanction financière l’entreprise de 50 salariés et plus, avons-nous vu se dessiner
des mesures concrètes en faveur des femmes lors de la réalisation des plans d’actions ?

Alors qu’en période de conjoncture économique difficile la tendance devrait être de ne faire que de fausses
intentions masquées derrière des mesures sans coût financier pour l’entreprise et sans ambition, nous réaffirmerons l’intérêt d’un management ouvert sur l’égalité professionnelle entre les femmes
et les hommes avec des propositions simples ou ingénieuses.

Cette conférence est organisée par Anne-Catherine Antunes.

Participants :

Intervention : « Retours d’expérience des entreprises en matière d’égalité professionnelle entre les femmes
et les hommes »
Intervenante : Marie-José BATLLE, consultante APEC, agence pour l’emploi des cadres Intervention : « Contexte juridique et plan d’action en matière d’égalité
professionnelle entre les femmes et les hommes »
Intervenante : Anne-Catherine Antunes est responsable du département droit à l’ESG MS. Conseil et professeur de droit social, spécialiste
de l’égalité professionnelle femmes/hommes. Intervention : « Témoignage d’un chef d’entreprise venant de finaliser un plan d’action en matière d’égalité professionnelle entre les femmes
et les hommes »
Intervenant : Philippe Grellard, Président du groupe G-FIT, SSII intervenant pour une clientèle grand compte.

Intervention :  » Le parcours professionnel type d’une jeune femme diplômée d’une école de commerce
jusqu’aux comités de direction « 
Intervenante : Véronique Sinsheimer a été directrice et Conseillère en Investissement de la filiale française de Nippon Life. Intervention :  »
Les TIC : outil de confinement ou de conciliation pour la femme cadre ? » Intervenante : Catherine Lejealle est sociologue et professeur associé l’ESGMS – Ingénieur Telecom et
docteur en sociologie, elle s’intéresse aux usages des TIC dans la famille et l’entreprise

Intervention :  » Les inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes, symptômes de nos croyances
à la base de nos relations de pouvoir « 
Intervenant : Xavier Fougerat est directeur d’IDEI, cabinet conseil en droit social et RH et spécialiste de la maîtrise de l’information et du
changement de mentalité.

L’entrée à cette conférence est libre.

ESG Management School 25, rue saint Ambroise – 75011 Paris

Métro Ligne 9 Saint Ambroise ou Métro Ligne 3 Saint Maur

http://www.capcampus.com/img/u/150199/logo-esg-home.png

L’ESGF inaugure sa nouvelle salle de marchés

Le 29 mars prochain, l’ESGF (Ecole Supérieure de Gestion et de Finance) inaugure sa nouvelle salle de marchés en
présence de Romain Soulard, Amundi France et Caroline Engel, Bloomberg.


12 postes de travail doubles écrans, équipés du logiciel et des claviers Bloomberg
, ont été installés dans des infrastructures dédiées. Les étudiants de l’ESGF ont
accès, en temps réel, à toutes les données économiques et financières sur l’ensemble des produits financiers (actions, obligations, dérivés, indices, fonds d’investissement…) pour tous les
marchés, mais aussi à des statistiques macroéconomiques, à de nombreux outils d’analyse et à un service de nouvelles.

En utilisant Bloomberg dans le cadre des cours et des travaux de recherche, les étudiants de l’ESGF
ainsi que les étudiants du pôle ESG peuvent désormais se familiariser avec un outil, considéré aujourd’hui comme une référence indispensable et ainsi acquérir une compétence
supplémentaire
très appréciée des professionnels de la Finance.

Les étudiants ont également la possibilité de préparer et de valider la certification Bloomberg puisque le partenariat
prévoit l’intervention de Bloomberg en journées de formation. L’accord prévoit également la présence de Bloomberg aux conférences métiers de l’Ecole, l’organisation de visites des locaux de
Bloomberg à Londres et Paris, la présentation des opportunités d’emploi et de stage chez Bloomberg.


http://www.formation-et-cours.com/wp-content/uploads/2010/02/ESGF-ecole-commerce-gestion-finance.jpg

« L’entrepreneur et la peur »

63% des entrepreneurs interrogés par Valexcel, ne ressentent pas la crise actuelle comme une menace*
Le jeudi 2 février a eu lieu le colloque organisé par le cabinet de conseil Valexcel,
autour du thème « L’entrepreneur et la peur ». Cet événement a accueilli près de 200 entrepreneurs et a permis d’ouvrir la réflexion sur ce que sont les réalités de l’entrepreneuriat français
aujourd’hui.  A cette occasion, une enquête a été réalisée auprès des entrepreneurs. Ses enseignements vont à l’encontre de certaines idées reçues : si les peurs font légitimement partie de
l’environnement de l’entrepreneur, la crise n’est en revanche pas perçue comme un évènement négatif. De quoi insuffler un vent d’optimisme pour l’ensemble des agents économiques
français…

Les retours d’expérience | La peur vue par les dirigeants

Pour Olivier Menu, associé fondateur de Valexcel et initiateur du colloque, les peurs du
dirigeant d’entreprise existent indépendamment d’un contexte économique donné. « On peut s’apercevoir que le chef d’entreprise rencontre ses propres peurs, structurelles, lors du lancement ou
même de la transmission de son entreprise. Cette démarche est comparable à un retour sur-soi : beaucoup de questionnements, des doutes et un chemin vers quelque chose d’inconnu, donc d’anxiogène
».

Lors du colloque, Elodie Brasile, jeune créatrice de l’agence de communication
Freetouch, a fait part de ses peurs très pratiques, mais constructives. « J’ai rencontré la peur à plusieurs étapes de la vie de mon entreprises, à l’occasion d’un contrôle fiscal ou de
levées de fonds périlleuses. Jusqu’à présent, je l’ai toujours partagée avec mon équipe de travail pour puiser les ressources nécessaires et rebondir. A chaque fois, la peur s’est révélée comme
un tremplin pour réinventer le modèle de l’entreprise et avancer !
»

Christophe Caupenne, ex-Commandant chef de groupe Négociation au Raid, a défini la peur
de l’entrepreneur dans ces composantes physiologiques, la comparant aux ressorts à l’œuvre lors des interventions de ses équipes sur des théâtres d’opérations. « La peur doit aider à
identifier les sources de risque
, explique-t-il. Et elle ne peut être dépassée que par le collectif. C’est alors qu’elle devient un levier pour mener à bien une mission (ou un projet
entrepreneurial) ».

Corinne Pichard, dirigeante de SSIRCA, dont l’activité est fondée sur la gestion
des problématiques humaines dans l’environnement professionnel, affirme que «
les peurs reflètent la vision du monde de
chacun et révèlent en creux leurs propres envies. Le rôle du dirigeant consiste dès lors à co-construire un projet entre des individus dont les peurs reflètent des visions et des envies
différentes, à accompagner les collaborateurs dans leurs propres peurs et de ne leur transmettre que la peur « utile », celle où ils disposent d’une réelle marge de manœuvre

».

De son côté, Vincent Gruau le Président de Majencia a livré une réflexion
iconoclaste :
« il n’y a pas de place pour la peur chez l’entrepreneur » estime t-il. « Dès lors que
le chef d’entreprise commence à ressentir la peur dans son expression la plus physique, par le blocage de la réflexion, de la décision et de la mise en action, c’est qu’il doit passer la main. Ma
pire crainte est finalement de ne pas déceler ce signal, ce moment clé!
».

Cette approche du rapport à la peur est en partie partagée par, Pierre Moret
dirigeant de Verand’Art, qui a décidé de reprendre l’entreprise à un moment où tout son entourage le lui déconseillait vivement. «
Là où mes proches décelaient un risque, je percevais, moi, une opportunité ». Pierre Moret reconnaît percevoir encore la peur à certains moments chez ses salariés. Lui n’a pas
particulièrement peur pour son entreprise au regard du contexte économique. «
Mon unique peur est relative à l’humain, à
l’intégrité physique des mes équipes sur les chantiers. Mon rôle de dirigeant est de protéger mes salariés pour qu’ils rentrent entiers chaque soir ».

Le Chiffre | 63%*

Pour 63% des entrepreneurs
interrogés, la crise actuelle n’est pas ressentie comme une menace. Ils sont même 53% à considérer que la crise constitue une réelle
opportunité.

Si les entrepreneurs ne se sentent pas particulièrement exposés à l’angoisse eux-mêmes
(54%
d’entre eux disent ne pas avoir été sujet à l’angoisse dans
le cadre professionnel, au cours de ces derniers mois), ils ont en revanche conscience de l’environnement anxiogène actuel. En effet, une très large majorité (74%) observe régulièrement des manifestations de peur autour d’eux, dans leur environnement professionnel.

* Enquête qualitative réalisée par Valexcel du 23/01/2012 au 02/02/2012 dans le cadre du colloque « L’entrepreneur et la
peur », auprès de 69 entrepreneurs
.

http://www.market.ch/uploads/pics/valexel_logo.JPG

Une presse professionnelle en phase avec ses lecteurs

La FNPS (Fédération nationale de la presse d’information spécialisée) rassemble et défend les intérêts de sept syndicats de presse professionnelle et spécialisée : SPPRO (presse professionnelle), SPEJP (presse économique, juridique et politique) auquel La Revue des Sciences de Gestion adhère depuis de nombreuses années, SPEPS (presse des professions de santé), SNPAR (presse agricole et rurale), SPCS (presse culturelle et scientifique), SPS (presse sociale), et le SPMS (presse magazine et spécialisée). Elle représente près de 600 éditeurs et 1600 titres papier et en ligne tel larsg.fr que notre lectorat électronique connaît bien. Une étude* réalisée pour cette fédération professionnelle auprès des actifs de catégories moyennes et supérieures, montre que la presse professionnelle dans son ensemble recueille des jugements très positifs et répond de manière tout à fait adaptée aux exigences et aux attentes de ses lecteurs :

  • La presse professionnelle est le principal moyen qu’ils utilisent pour s’informer sur l’actualité de leur profession (devant internet, les congrès et salons spécialisés ou les autres formes de presse) et bénéficie d’une excellente image auprès de ses lecteurs réguliers, avec 94 % de bonne et très bonne opinion.
  • Son sérieux est largement reconnu : les professionnels la qualifient de crédible et fiable (92%) et utile dans l’exercice de leur métier (89%). Elle leur permet de se tenir informés des innovations et expériences (88%), de progresser dans leur pratique professionnelle (78%) et elle contribue à leurs besoins de formation (73%).
  •  Ses lecteurs se disent très attachés à la lecture de leurs titres (81%), et signe de l’intérêt qu’ils leur portent, ils souhaitent davantage d’informations dans leur domaine d’activité (82%) et en recommandent même la lecture à leurs collègues et confrères (78%). En conséquence, 65% ne pourraient pas se passer de la lecture de la presse professionnelle et ils considèrent appartenir à une communauté de personnes lisant les mêmes titres qu’eux (61%).

La consultation des sites Internet des titres de la presse professionnelle apparaît très répandue (84%). Au même titre que leurs équivalents papiers, ces sites web bénéficient de jugements très positifs : 95% les jugent « riches en informations », et 94 % « crédibles et fiables », bénéficiant certainement du crédit accordé à la marque papier. Complémentaires par rapport aux titres papiers que les personnes consultent (93%), les sites web se révèlent également utiles dans l’exercice de leur métier (91%), plutôt faciles à utiliser (90%) et esthétiques (73%).

www.fnps.fr

* Méthodologie :
Etude réalisée par l’IFOP pour la FNPS. Echantillon de 592 lecteurs de la presse professionnelle, issu d’un échantillon représentatif de 2065 Français de catégories professionnelles moyennes et supérieures âgés de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Les interviews ont eu lieu par questionnaire auto-administré en ligne (CAWI – Computer Assisted Web Interviewing), du 6 au 16 décembre 2011.

L’Abbaye de Saint-Jacut-de-la-Mer accueille LES FRERES JEAN

L’Abbaye de Saint-Jacut-de-la-Mer accueille

vendredi 30 mars 2012 à 21h, en direct et en public depuis la Salle de l’Arbre la célèbre émission d’ArmorTV, LES FRERES JEAN autrement dit l’écrivain, producteur, artiste…Jean Kergrist (http://kergrist.pagesperso-orange.fr/Jean Lebrun, producteur à France-Inter de La Marche de l’histoire.

Ils traiteront des métamorphoses contemporaines de la demande spirituelle au cours d’une émission justement intitulée « Rester zen ». Pour en parler, les frères Jean ont invité :

– Elie Geffray, prêtre du diocèse de Saint-Brieuc et maire d’Eréac ;
Jacques Morali, médecin à Saint-Jacut-de-la-Mer ;
Bernard Besret, ex-prieur de Boquen, ex-directeur de la Villette, familier du taoïsme au monastère du Qiyunshan, en Chine ;
Rozenn le Duault, psychanalyste ;
Claude Feillatre, Président de l’Association Little World Nepal France ;
Yohann Abiven, Directeur de l’Abbaye de Saint-Jacut-de-la-Mer.

Et la harpe de Myrdhin pour la musique !

Le pitch de ce direct à venir : « Tout un chacun cherche le bonheur. Les biens matériels, la fameuse trilogie métro-boulot-dodo, tant décriée en 68, la tornade des activités quotidiennes, la folie engendrée par l’immédiateté Internet, le « burn out », cet épuisement lié au stress, viennent souvent brouiller cette quête. Quand homme et femme prennent le temps de poser leur sac, ils n’ont que l’embarras du choix pour tenter ce retour à l’intériorité : religions, sagesses orientales, spiritualités confessionnelles ou laïques, coaches ou gourous… tous proposent des méthodes et des démarches diverses pour se mettre en recherche des « valeurs de l’esprit ». Ce « rester zen », axé sur le retrait, la méditation, le silence, serait-t-il vécu comme une fuite des responsabilités citoyennes ou comme une entrée en secte ? Et au fait, ces cures ne sont-elles accessibles qu’aux classes sociales privilégiées ? »

Assister à une émission de télévision, diffusée en direct sur les écrans costarmoricains et jusque partout dans le monde grâce au web qui attire un nombre croissant de téléspectateurs est une occasion rare, intelligente et amusante.

Début de la retransmission à 21h. L’entrée est gratuite, chacun pourra s’il le souhaite dîner à l’Abbaye à 19h, rencontrer à cette occasion les producteurs et les intervenants. Mais pour dîner confortablement, il faut réserver auprès de l’Abbaye : 02 96 27 71 19.

http://www.abbaye-st-jacut.com/

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