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Study in France Virtual Fair 2017

40 établissements d’enseignement supérieur français participeront au 1er salon virtuel de l’enseignement supérieur français « Study in France Virtual Fair 2017 » du 6 au 15 novembre prochains organisé par Campus France. Il fera rayonner l’excellence des formations supérieures en France au sein de 14 pays européens (Allemagne, Autriche, Croatie, Danemark, Estonie, Pologne, Finlande, Hongrie, Islande, Lettonie, Lituanie, Norvège, Roumanie, Suède).

Ouvert à tous les lycéens et étudiants, cet événement exceptionnel est une opportunité unique pour les étudiants de s’informer et  de rencontrer virtuellement les représentants des établissements de l’enseignement supérieur français.

Une plateforme interactive dédiée a été créée  afin d’orienter les étudiants dans le choix d’un cursus adapté et de leur expliquer les différentes procédures d’inscription à l’université, en écoles d’ingénieur, d’art et de commerce en France.

Ils auront également accès aux informations sur la vie d’étudiant en France, les frais d’inscription, le logement, les bourses accessibles.

Les établissements d’enseignement supérieur et les Espaces Campus France dans les pays concernés répondront en direct aux questions des étudiants européens au travers des Facebook Lives.

Enfin, un concours carte postale “Promote France as a study destination” est organisé jusqu’au 15 novembre et récompensera les étudiants les plus créatifs.

Les établissements participant au salon Study in France

Universités :

  • Université d’Angers
  • Université de Lorraine
  • Université de Bordeaux
  • Université franco-allemande
  • Université Catholique de Lille  -European School of Political and Social Sciences (ESPOL)

Ecoles d’ingénieurs :

  • Institut National Polytechnique Toulouse – Ecole Nationale d’Ingénieurs de Tarbes (INP-ENIT)
  • Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse (INSA Toulouse)
  • Isara Lyon
  • Ecole Supérieure des Techniques Aéronautiques et de Construction Automobile (ESTACA)
  • EPF Graduate School of Engineering
  • Institut Textile et Chimique du Lyon (ITECH Lyon)
  • Institut Supérieur de l’Aéronautique et de l’Espace (ISAE SUPAERO)
  • EURECOM
  • Ecole Supérieure du Bois (Groupe ESB)
  • Ecole Centrale Lyon

Ecoles de commerce et de management :

  • ISG International Business School
  • ICN Business School
  • IESEG School of Management
  • HEC Paris
  • Toulouse School of Economics (Université Toulouse 1 Capitole)
  • ESSCA School of Management
  • EDHEC Business School
  • ESSEC Business School
  • ESDES Business School (Université Catholique de Lyon)
  • Aix-Marseille Graduate School of Management – IAE (Aix-Marseille University)
  • CNAM – International Institute of Management
  • ESDES Business School of Université Catholique de Lyon

Ecoles d’art :

  • Strate School of Design
  • Brassart, école supérieure de Design graphique et digital
  • Autograf
  • The Sustainable Design School
  • Mod’Spé Paris Fashion Business
  • Istituto Marangoni Paris
  • Mod’Art International

Ecoles spécialisées :

  • FERRANDI Paris
  • Institut Paul Bocuse
  • ISIPCA

Ecoles de langue :

  • Inflexyon
  • Fondation Robert de Sorbon
  • Azurlingua – Nice

Study in France

Jean-Claude Trichet nouveau président du GRAND JURY du PRIX TURGOT

Jean-Claude Trichet succède à Michel Bon à la présidence du GRAND JURY DU PRIX TURGOT du meilleur livre d’économie financière de l’année

Jean-Claude Trichet succède à Michel Bon

Après 10 années de présidence du grand jury du prix TURGOT présidé par Jean-Louis Chambon, et après avoir fêté le 30e anniversaire de ses éditions en mars dernier à Bercy en distinguant le prix Nobel Jean Tirole et les économistes Francis Kramarz et Philippe Tibi, Michel Bon souhaitait passer le témoin à Jean-Claude Trichet, ancien président de la Banque centrale Européenne, qui l’a accepté.

Jean-Claude Trichet présidera donc au jury de la 31e qui se tiendra à Bercy le 29 mars 2018.

Le président du Prix, Jean-Louis Chambon et les membres du jury, comme ceux du cercle TURGOT, ont tenu à remercier très chaleureusement Michel Bon qui restera membre du jury, pour son exceptionnelle contribution apportée à la notoriété du prix TURGOT et accueillent avec beaucoup d’honneur et d’émotion  l’arrivée du président Jean-Claude Trichet. Ce dernier ouvre une nouvelle page du rayonnement du prix TURGOT devenu le grand rendez-vous annuel de la littérature économique nationale.

Cercle TURGOT

Association régie par la loi du 1er Juillet 1901
Siège social : 14, rue Pergolèse – CS 11655 – 75773 PARIS Cedex 16

Centre de réflexions et d’analyses financières traitant des grands sujets économiques et sociaux, il a pour vocation d’encourager les auteurs, de favoriser la recherche fondamentale et appliquée dans ces domaines, la pédagogie, principalement en économie financière et de promouvoir les jeunes talents, économistes, auteurs et chercheurs.

L’association édite des ouvrages, des rapports, organise ou participe à des colloques, séminaires, conférences ou débats.

L’Association se compose, outre les membres d’honneur, de membres Fondateurs, Associés, Actifs, des lauréats des éditions du prix Turgot (27), des représentants de l’économie, de la finance et de l’Entreprise.

Les membres sont des esprits libres qui, à partir de points de vue pluralistes font connaître leurs réflexions dans des tribunes individuelles ou collectives, dans des conférences et dans des parutions collectives :

  • Repenser la planète finance sous la direction de Jean-Louis Chambon – 2009
  • Rigueur ou Relance, le dilemme de Buridan sous la direction de Nicolas Bouzou – 2010
  • La Chinamérique, sous la direction de Jean-Louis Chambon – 2011
  • Grandeur et Misère de la finance moderne, sous la direction de J-J. Pluchart et J-L.Chambon 2012
  • Après la récession, Inflation ou Déflation, sous la direction de Pierre Sabatier – 2013
  • Désordre dans les monnaies sous la direction de François Meunier et J-L. Chambon – 2014
  • Le shadow banking avec le labex de la Sorbonne sous la direction de J-J. Pluchart et Consatantin Melios – 2015 parues chez Eyrolles.

Le Cercle soutient l’événement annuel du prix Turgot du meilleur livre d’économie financière créé sous le haut patronage du ministère de l’Économie et des Finances, et le Prix FFA-Turgot de la Francophonie en étroite liaison avec l’Association des élèves et anciens élèves de l’Institut de haute finance, IHIFI institut créé par le président Pompidou en 1972.

  • Président d’Honneur et Fondateur : Jean-Louis CHAMBON
  • Président en exercice : François PEROL
  • Vice Présidents : Patrick COMBES – Philippe DESSERTINE – Nicolas BOUZOU
  • Secrétaire Trésorier : Michel GABET
  • Administrateurs : Michel BON – Frank BOURNOIS – Pascal BLANQUÉ – Jacques-Henri DAVID – Jean-Gilles SINTES – Jean-Bernard MATEU – Jean-Jacques PLUCHART – Pierre SABATIER – Michel SCHELLER – Yves MESSAROVITCH – Hubert RODARIE – Christian WALTER

Jean-Claude Trichet prix turgot

RIUESS Modernité des idées et pratiques fondatrices de l’économie sociale et solidaire

Colloque organisé par RIUESS sur le thème : « Modernité des idées et pratiques fondatrices de l’économie sociale et solidaire » du 16 au 18 mai 2018 au Campus Villejean à Université Rennes 2 par Pascal Glémain (Rennes 2) et Odile Castel (Rennes 1).

Laboratoire organisateur : Laboratoire interdisciplinaire de Recherches en Innovations Sociétales – LiRIS EA 7481 – Université Rennes 2

L’économie sociale et solidaire (ESS), bien qu’elle apparaisse aujourd’hui au cœur de nouveaux débats et de postures, demeure encore mal connue. Malgré cela de plus en plus nombreux sont celles et ceux qui s’en revendiquent, ou qui se positionnent par rapport à elle. L’économie collaborative ou de partage, le « social business », le financement par la foule (crowdfunding), l’aspiration à un modèle économique plus éthique, plus humain et, à une société plus saine, plus conviviale, sont autant d’expressions contemporaines qui viennent mettre à mal le débat séminal entre les tenants d’une économie sociale « historique » – celle des grandes familles institutionnelles (associations, coopératives, mutuelles et fondations) – et ceux qui défendent l’idée d’une économie solidaire qui ne repose pas seulement sur des statuts juridiques, mais également sur des assises à la fois sociales et politiques (économie communautaire aux États-Unis d’Amérique, économie populaire en Amérique Latine ou en Afrique), par exemple. Les deux mouvements interrogent les périmètres de l’ESS contemporaine, et nécessitent que les acteurs comme les citoyens y voient « plus clair » à son sujet.

L’objectif de notre colloque RIUESS 2018-Rennes est de contribuer à clarifier la vision de ce qu’est ou devrait être l’économie sociale et solidaire du XXIème siècle.

Pour cela il nous semble nécessaire de revenir sur les idées et les pratiques fondatrices, portées par les associations, les systèmes d’autogestion(s) et les stratégies et les principes d’émancipation, en interrogeant leur modernité dans le contexte du XXIème siècle. Dès le début du XIXème siècle, les ouvriers se regroupent dans des sociétés de secours mutuels, des associations de production, des 2 associations de consommateurs,… afin de mutualiser les risques, le travail, la demande,… Les mouvements ouvriers et paysans convergent en pensant la coopération contre le capitalisme et la concurrence.

La mutualisation et la coopération demeurent-elles encore des valeurs qui fondent les organisations de l’ESS ? Quid des associations, des mutuelles, des coopératives et des organisations de solidarités confrontées d’un côté au désengagement de l’État-providence du champ de la solidarité et d’un autre aux logiques de marchandisation. Historiquement, l’autogestion a été adoptée par les associations ouvrières et paysannes dès les débuts de la révolution industrielle. Cette pratique fortement présente dans les organisations de l’ESS, peut aussi concerner des entreprises à but lucratif. Comment l’autogestion est-elle pratiquée dans les organisations de l’ESS et dans les entreprises commerciales aujourd’hui ? S’émanciper, c’est s’affranchir d’un joug, se libérer de la servitude dans tous les domaines : moral, intellectuel, politique, économique et sociale. Les premières expériences ouvrières revendiquaient une volonté d’émancipation des ouvriers. L’émancipation est-elle encore au cœur des actions mises en œuvre par les organisations de l’ESS ? Ainsi, le colloque tentera d’apporter des réponses aux questions suivantes : En quoi, les organisations de l’ESS du XXIème siècle sont-elles les héritières de ces premières expériences fondées sur l’association, l’autogestion et l’émancipation ? Comment les organisations de l’ESS mettent-elles en œuvre aujourd’hui ces fondamentaux ? Comment ces fondamentaux ont-ils traversé deux siècles d’histoire à travers le monde ?

Axe 1 : S’associer      Axe 2 : S’autogérer Axe 3 : S’émanciper

Calendrier

La date limite de réception des propositions de communication est fixée au 22 janvier 2018. Ces propositions, de 1200 mots au maximum, doivent préciser le sujet, la méthodologie et le cadre théorique, et, être envoyées à odile.castel@univ-rennes1.fr en précisant l’axe auquel elle est destinée.

Chaque proposition sera évaluée en double aveugle par le comité scientifique. Les propositions devront posséder deux éléments distincts :

  •  Une fiche d’identification précisant le nom du ou des auteurs, ses qualités, le titre de l’intervention et un acronyme de cinq lettres.
  • La proposition proprement dite de 1200 mots au maximum identifiée par son seul acronyme précisant l’axe et comprenant une bibliographie indicative d’au moins cinq références.

Le comité scientifique fera parvenir sa réponse, acceptation ou refus, aux auteurs avant le 12 mars 2018. Les textes définitifs devront être envoyés au plus tard le 4 mai 2018.

Nous encourageons vivement les doctorants de troisième année de doctorat à soumettre une proposition de commission.

Un atelier doctoral se tiendra le mercredi 16 mai 2018 matin. Les résumés de thèse doivent être adressés selon les mêmes modalités de calendrier que ci-dessus à christianelolita.memdjofengtoche@etudiant.univ-rennes2.fr et yelome.kpodekon@etudiant.univ-rennes2.fr

Des numéros spéciaux ou des soumissions de papiers de recherche à des revues à comité de lecture sont envisagés (Politiques & Management Publics, RECMA-revue internationale d’économie sociale, 5 ENSO, entre autres), ainsi qu’un ouvrage collectif dans la collection « économie, gestion et société » des Presses Universitaires de Rennes. Les soumissions éligibles seront signalées à l’issue du colloque.

Comité local d’organisation Alain Aminstas, Amélie Bellion, Julien Bouillé, Odile Castel, Simon Cornée, Frédérique Chédotel, Pascal Glémain, Annie Gouzien, Esther Kpodekon, Madeg Le Guernic, Anne-Laure Le Nadant, Catherine Malecki, Michel Renault, Sandrine Rospabé, Lolita Toche, Jennifer Urasadettan.

Comité scientifique RIUESS Michel Abhervé, Alain Amintas, Julien Bouillé, Elisabetta Bucolo, Gilles Caire, Odile Castel, Frédérique Chédotel, Josette Combes, Simon Cornée, Eric Dacheux, Hervé Defalvard, Sandrine Emin, Laurent Gardin, Patrick Gianfaldoni, Pascal Glémain, Laëtitia Lethielleux, Thomas Podlewski, Vincent Lhuillier, Carmen Parra, Michel Renault, Jennifer Urasadettan, JeanLaurent Viviani.

Comité scientifique Jérôme Blanc, Marie Bouchard, Catherine Deffains-Crapsky, Jean-Laurent Viviani, Jacques Defourny, Danièle Demoustier, Jean-François Draperi, Marc Humbert, Jean-Louis Laville, Jorge Munoz, Henri Noguès, Marthe Nyssens

Membres internationaux invités (à confirmer) Pr. Marc Labie –CERMi Université de Mons Belgique, Pr. Richard McIntyre – Université de Rhodes Island-Etats Unis d’Amérique, Pr. Andréa Bassi – Université de Bologne Italie, collègues de l’Université de Yaoundé au Cameroun, Pr. Luisa Esteban, Université de Saragosse en Espagne.

Partenaires connus Caisse de Dépôts et Consignation, Banque de France, Groupe MAIF, Groupe Up (ex-chèque déjeuner), Crédit Coopératif, CDC, Région Bretagne, Conseil départemental d’Ille-etVilaine, Collège Coopératif en Bretagne, CRESS Bretagne.

Pour tous renseignements

  • Odile Castel, Maître de Conférences en Economie, Chercheure au LiRIS EA 7481, Université de Rennes (Rennes 1) odile.castel@univ-rennes1.fr
  • Pascal Glémain, Maître de Conférences-HDR en Gestion, HDR en Economie, chercheur et codirecteur du LiRIS EA 7481, Université de Rennes (Rennes 2) pascal.glemain@univ-rennes2.fr

Contacts institutionnels Laboratoire interdisciplinaire de Recherche en Innovations Sociétales –LiRIS EA 7481 Maison de la Recherche en Sciences Sociales. Université Rennes 2. Place du Recteur Henri Le Moal. CS24307 35043 Rennes cedex

  • Elise Ramos, Gestionnaire de Recherche, elise.ramos@univ-rennes2.fr /02 99 14 17 13
  • Catherine Malecki, Professeur des Universités en Droit, co-directrice : catherine.malecki@univ-rennes2.fr
  • Pascal Glémain, MCF-HDR en Gestion et HDR en Economie (ESS), co-directeur : pascal.glemain@univ-rennes2.fr

Appel complet sur http://www.univ-reims.fr/minisite_92/media-files/8371/appel-a-com-riuess-2018-rennes.pdf

La doctrine sociale de l’Eglise face aux mutations de la société

L’Académie catholique de France organise un prochain colloque aux Bernardins à Paris le samedi Samedi 16 décembre 2017- de 9 h 30 à 18 h 00 – sur le thème : « La doctrine sociale de l’Eglise face aux mutations de la société ». Sous le haut patronage du Cardinal Peter Turkson, président du dicastère.

Programme complet – Inscription

Rerum novarum pour les entreprises

Jean-Yves Naudet précise : « Depuis Rerum novarum, l´Eglise offre aux hommes de bonne volonté le trésor de son enseignement social. Le magistère en a posé les principes et tiré les conséquences face aux mutations de la société. Ainsi, selon Benoît XVI : « La doctrine sociale de l´Eglise éclaire d´une lumière qui ne change pas les problèmes toujours nouveaux qui surgissent » (CIV § 12). Pour cela, le magistère fait appel aux diverses disciplines du savoir. »

Nouvelle doctrine sociale de l’Eglise

L´Académie catholique de France souhaite apporter sa contribution à cette recherche des mutations prévisibles de nos sociétés. Dans ce but, elle a créé un groupe de travail pluridisciplinaire et organise, en lien avec d´autres institutions, un colloque, présidé par le cardinal Turkson, débouchant sur des publications et des propositions. Elle a retenu huit domaines en mutation, que la Doctrine sociale devra prendre en compte.

______________
Académie Catholique de France : la doctrine sociale de l’Eglise
Collège des Bernardins
20 rue de Poissy, Paris Ve

Harcèlement : 82% des Français pensent qu’il n’est plus possible de séduire au travail

Qapa.fr, partenaire emploi de tous les français, a interrogé* plus de 4,5 millions de Français sur les graves et complexes questions du harcèlement sexuel sur le lieu du travail. Un phénomène qui au-delà du caractère tragique et condamnable pose également des problèmes de comportements liés à la séduction. 

  • 45% de femmes et 36% d’hommes ont été harcelés par un(e) supérieur(e) hiérarchique
  • 52% Français trouvent l’opération #BalanceTonPorc bénéfique
  • 27% des hommes avouent avoir déjà été accusé d’harcèlement
  • Le projet de loi en 2018 de la secrétaire d’Etat à l’Egalité des femmes et des hommes, ne changera absolument rien pour 73% des femmes et 70% des hommes interrogés

Qui harcèle qui au travail ?

Le monde du travail n’échappe pas à la règle sur la grave question du harcèlement sexuel… 52% des femmes déclarent y avoir été victimes, ce qui est également le cas pour pratiquement 1 homme sur 3 (27%). Pour la grande majorité, c’est un ou une supérieur(e) hiérarchique qui en ait la cause (45% pour les femmes et 36% pour les hommes).  A noter que 54% des hommes s’estiment également avoir été harcelés par un ou une collègue.

Avez-vous déjà été victime de harcèlement sexuel sur votre lieu de travail ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 52% 27%
Non 48% 73%
Si oui, par quelle personne ?
Réponses Femmes Hommes
Un(e) collègue 33% 54%
Un(e) client(e), partenaire 22% 10%
Un(e) supérieur(e) hiérarchique 45% 36%

On en parle… mais sans dénoncer légalement !

Si 72% des femmes avouent en avoir parlé à quelqu’un seulement 4% déclarent avoir été jusqu’au dépôt de plainte. De leur côté, les hommes restent plus renfermés puisque seulement 33% ont brisé le silence et seulement 1% ont déposé plainte.

En avez-vous parlé à quelqu’un ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 72% 33%
Non 28% 67%
Avez-vous déposé une plainte ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 4% 1%
Non 96% 99%

Dénoncer sans jugement : c’est bien ou mal ?

L’affaire Weinstein et les mouvements sociaux type #BalanceTonPorc autour de la dénonciation des harceleurs sous la forme d’une tribune populaire, divisent les Français. Si la plupart en ont entendu parlé (72% des Français), 58% des femmes et 45% des hommes trouvent ces initiatives bénéfiques. Pour les autres, 25% des femmes et 37% des hommes considèrent ces actions problématiques et voire dangereuses pour 17% des femmes et 18% des hommes.

Sur les réseaux sociaux, avez-vous entendu parlé du mouvement #BalanceTonPorc, afin de témoigner d’actes ou d’expériences d’harcèlements sexuels ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 71% 72%
Non 29% 28%
Ce genre de tribune populaire est pour vous :
Réponses Femmes Hommes
Bénéfique 58% 45%
Problématique 25% 37%
Dangereux 17% 18%

Qui a été harceleur(se) ?

Pour tout harcelé(e), il existe irrémédiablement un ou une harceleuse. Pourtant, seulement 7% des femmes avouent avoir été qualifiées de ce terme alors que 19% des hommes disent avoir été accusés d’harcèlement.

Avez-vous déjà été qualifié(e) par quelqu’un d’harceleur(se) face à une incompréhension de la personne ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 7% 19%
Non 93% 81%

Une loi ! Pour quoi faire ?

Pour la grande majorité des Français, le projet de loi déposé en 2018 par la secrétaire d’État à l’Égalité des femmes et des hommes, ne changera absolument rien. C’est ce que déclarent 73% des femmes et 70% des hommes interrogés.

Le projet de loi qui sera déposé en 2018, par la secrétaire d’Etat à l’Egalité des femmes et des hommes, va-t-il changer la donne ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 27% 30%
Non 73% 70%

La peur des transports

S’il existe au travail, c’est dans les transports que les Français ont le plus peur du harcèlement. Il s’agit du pire endroit pour 45% des femmes et 39% des hommes, devant le bureau avec 29% pour les femmes et 33% pour les hommes.

Où avez-vous le plus peur d’être harcelé(e) ?
Réponses Femmes Hommes
A mon domicile 8% 3%
Au travail 29% 33%
Dans les lieux publics, ou la rue 18% 25%
Dans les transports 45% 39%

La fin de la drague au boulot ?

A la question  » Pensez-vous qu’il est encore possible de draguer sur le lieu de travail ? », 85% des femmes et 78% des hommes interrogés pensent que non ! Et pour les rares optimistes, seulement la moitié des femmes (54%) pensent pouvoir encore séduire en toute sérénité alors que les hommes ne sont plus que 48% à y croire.

Pensez-vous qu’il est encore possible de draguer sur le lieu de travail ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 15% 22%
Non 85% 78%
Si oui, allez-vous encore oser draguer en toute sérénité ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 54% 48%
Non 46% 52%

* Méthodologie : sondage effectué par e-mailing auprès de 4,5 millions de candidats actifs sur la base Qapa.fr entre le 10 et 18 octobre 2017. Profils des personnes interrogées : 51% de femmes et 49% d’hommes. Toutes les informations mises en avant sont déclaratives. Tranches d’âges : 2% de 18-24 ans, 20% de 25-34 ans, 44% de 35-44 ans, 32% de 45-54 ans et 2% de plus de 55 ans.

15e Université d’Hiver de la Formation Professionnelle (Biarritz)

L’Université d’Hiver de la Formation Professionnelle (UHFP) aura lieu à Biarritz du 31 janvier au 2 février 2018, sur le thème : Compétences, transitions, pratiques : le défi de l’innovation.

Organisée par Centre Inffo tous les 2 ans, l’UHFP est le rendez-vous incontournable des acteurs et des professionnels de la formation. C’est le lieu idéal pour échanger sur les enjeux et sur les pratiques de l’orientation et de la formation professionnelle.

Rappelons que Centre Inffo, référent en matière d’information et de documentation sur la formation continue, développe à la fois une offre de formation professionnelle, une expertise juridique et documentaire, une dimension d’ingénierie et de conseil ainsi qu’un rôle d’animateur du débat public. Pour cela, il dispose d’une équipe d’experts, juristes, consultants, documentalistes, journalistes et professionnels du multimédia. Cette édition 2018 se tiendra alors même que le Gouvernement aura envisagé les bases d’une réforme de la formation professionnelle.

Transformation numérique et innovation solidaire

L’impact de la transformation numérique sera analysé dans une série de conférences et d’ateliers : la place de l’intelligence artificielle dans la formation ; les Nouveaux supports pédagogiques (MOOC, SPOC, blendedlearning). Autant de sujets fortement débattus par les professionnels alors que les nouvelles technologies transforment rapidement les métiers et les formations. Autre sujet : l’innovation solidaire, avec plusieurs thèmes de réflexions : Comment favoriser l’insertion et la reconnaissance par des nouveaux parcours pédagogiques ? Comment favoriser l’accès de tous à la formation ?

Les neurosciences au cœur de la formation de demain

Le jeudi 1er février, une conférence s’interrogera sur la manière dont les neurosciences peuvent contribuer à améliorer nos modèles d’apprenance. Alors que de nouvelles méthodes permettent d’explorer les différences de fonctionnement du cerveau d’un individu à l’autre, l’avenir est peut-être à des formations 100% personnalisées et accessibles à tout moment.

Récompenser les projets innovants

Autre nouveauté: les 1ers Innov’Trophées. Créés par le Fonds Paritaire de Sécurisation des Parcours Professionnels (FPSPP), le Copanef, en partenariat avec Centre Inffo, ces Trophées de l’innovation en Formation récompenseront des pratiques, des méthodes et des expériences très innovantes dans le domaine de la formation.

Plus d’infos : http://www.centre-inffo.fr/uhfp/#accueil

Richard Thaler reçoit le Nobel d’économie

Richard Thaler est professeur de l’économie comportemental  au sein de l’Université de Chicago Booth School of Business.

La conférence

Richard Thaler récompensé pour la théorie la manipulation bienveillante

L’Académie royale suédoise l’a honoré pour sa contribution sur la recherche sur l’économie comportementale, un domaine relativement nouveau qui comble l’écart entre l’économie et la psychologie.

L’auteur des best-sellers Misbehaving: The Making of Behavioral Economics (2015) et Nudge (2008), à travers ses recherches a démontré comment des caractéristiques humaines affectent les décisions individuelles et les orientations des marchés.

Richard Thaler devient ainsi 89e chercheurs de l’Université de Chicago Booth School of Business à recevoir le Prix Nobel. En plus de Richard Thaler, cinq membres actuels du corps professoral de l’école sont des lauréats du prix Nobel en économie : Eugene Fama et Lars Hansen (2013), Roger Myerson (2007), James Heckman (2000) et Robert E. Lucas Jr. (1995).

Richard Thaler Nobel d'économie 2017

 

« Les coopératives : produire, commercer, consommer autrement »

Séminaire sur les coopérations marchandes

Equipe « Stratégies de marché et Cultures de consommation » CEREGE –MSHS

Le jeudi 9 novembre 2017

9H -17H 

École de Management de Normandie 
Campus de Paris
64 Rue du Ranelagh
75016 PARIS

Métro (Ligne 9 – Station Ranelagh) ou RER C (Station Boulainvilliers)

NOTE D’ORIENTATION

Le modèle coopératif est varié et se manifeste aux différents stades de l’activité marchande. Les entreprises coopératives représentent la 7e économie mondiale. Des formes multiples coexistent    (coopératives agricoles, de commerçants, de consommateurs, SCIC etc.). Les organisations coopératives marchandes se distinguent en termes de valeurs d’entreprises, tant en gestion interne (gouvernance, GRH…) qu’en relations externes (économie locale, formation du consommateur …).

A la suite du succès du premier séminaire sur les coopératives de consommateurs tenu le 2 juillet 2015 à la MSHS de Poitiers, l’équipe SMCC du CEREGE (Université de Poitiers), et l’Association pour l’Histoire du Commerce (AHC), organise un second séminaire sur le thème de l’évolution et de la prospective des modèles d’affaires de la coopération marchande dans toutes ses composantes : production, commerce, consommation.

Ce séminaire se déroulera en deux séquences principales : a) des communications de recherches académiques multidisciplinaires consacrées à l’histoire, à la gestion, à la sociologie économique et politique, et aux stratégies des coopératives. ; b) deux tables rondes réunissant des professionnels et des chercheurs sur des thèmes prospectifs concernant les nouvelles formes de coopérations marchandes

Table Ronde 1 : 11H-12H30 : Le modèle coopératif et le marché : quelle gouvernance, quels modèles d’affaires, quelles modalités d’intégration-confrontation avec le modèle socio-économique libéral ?

Table Ronde 2 (après-midi) : L’avenir des modèles coopératifs du commerce dans l’économie mondialisée et numérisée : défis et solutions, notamment pour le e-commerce

ORGANISATION

  • Les propositions de communication de 15 min doivent être envoyées pour le 4 octobre
  • Une participation aux frais de la journée de 20 euros à l’ordre de l’Association pour l’Histoire du Commerce est demandée lors de l’inscription.

MODALITÉ DE SOUMISSION

Proposition de communication : Le résumé de 1 à 2 pages comprendra la présentation des auteurs (nom, prénom, statut et institution), le descriptif de la problématique étudiée, la méthodologie, les principaux résultats, et une bibliographie indicative.

SUIVI ADMINISTRATIF ET INSCRIPTION
Maxine Johnson | johnson@iae.univ-poitiers.fr
Tél : 05 45 21 23 26

SUIVI SCIENTIFIQUE ET INFORMATIONS
Magali Boespflug | magali.boespflug@univ-poitiers.fr

17e conférence internationale de gouvernance – 4 et 5 juin 2018 à Nice

La 17e Conférence Internationale de Gouvernance (CIG) de l’Association Académique Internationale de Gouvernance (AAIG) réunira les chercheurs en gouvernance à Nice  (France) les 4 et 5 juin 2018.

Cet événement est organisé par le Groupe de Recherche en Management (GRM) en collaboration avec l’IAE de Nice et l’EDHEC Business School, Université Côte d’Azur.

Tous les travaux relatifs à la gouvernance des organisations seront considérés avec bienveillance, quels que soient les cadres d’analyse (économie, management, droit, sociologie, etc.), les approches (travail analytique, étude empirique, étude de cas, revue de littérature), les thématiques (conseil d’administration, rémunération des dirigeants, marché des prises de contrôle, rôle des diverses parties prenantes, responsabilité sociale des entreprises, etc.), et les cibles (dirigeants, investisseurs, autres parties prenantes, régulateurs, communauté académique).

Les papiers pourront être soumis en français ou en anglais à l’adresse suivante : walliser.iae.nice@free.fr au plus tard le 18 février 2018 (une version complète incluant le nom et l’affiliation des auteurs et un résumé, ainsi qu’une version anonyme).

Le comité scientifique communiquera la décision finale aux auteurs à partir du 18 mars 2018.
Des informations complémentaires seront disponibles sur le site internet de l’association : www.aaig.fr.

Elisabeth WALLISER (GRM, IAE de Nice) et Daniel HAGUET (GRM, EDHEC Business School).

Comité scientifique : ALBOUY Michel Grenoble Ecole de Management ALLEMAND Isabelle Université Bourgogne Franche-Comté, ESC Dijon-CEREN ANDRE Paul HEC Lausanne AUBERT Nicolas Université Aix-Marseille AUDOUSSET-COULIER Sophie Université Concordia BARNETO Pascal IAE, Université de Bordeaux BARROSO Raul IESEG Paris BATTEAU Pierre IAE, Université Aix-Marseille BAUWERAERTS Jonathan Université de Mons BÉDARD Jean Université Laval – Québec BERTHELOT Sylvie Université de Sherbrooke BESSIERE Véronique IAE, Université de Montpellier BESSIEUX-OLLIER Corinne Montpellier Business School BONNET Christophe Grenoble Ecole de Management BOISSELIER Patrick CNAM Paris BOZEC Yves HEC Montréal BROYE Géraldine EM Strasbourg BURKERT Michael  Université de Fribourg CABY Jérôme ESCE International Business School Paris CHARLETY Patricia ESSEC Business School CHARLIER Patrice EM Strasbourg CHARREAUX Gérard IAE, Université de Bourgogne CHOLLET Pierre MRM, Université de Montpellier COLOT Olivier Université de Mons CORMIER Denis UQAM DEFFAINS-CRAPSKY Catherine  Université d’Angers, UBL DE LA BRUSLERIE Hubert Université de Paris Dauphine DESBRIERES Philippe IAE, Université de Bourgogne DONG Minyue HEC Lausanne DOUKAKIS Leonidas HEC Lausanne DUBOIS Michel Université de Neuchâtel FRANCOEUR Claude HEC Montréal FILIP Andrei ESSEC Business School FINET Alain Université de Mons GIRARD Carine  Audencia Business School GIRERD-POTTIN Isabelle IAE, Université Pierre Mendès France Grenoble GODARD Laurence IAE, Université de Franche Comté GODOWSKI Christophe IAE, Université de Toulouse GOMEZ Pierre-Yves EM Lyon GUERY Loris Université de Lorraine, ISAM-IAE HAGUET Daniel EDHEC Business School Nice HIRIGOYEN Gérard Université Montesquieu Bordeaux IV  OLLANDTS Xavier Université d’Auvergne ISAKOV Dusan Université de Fribourg JENY Anne ESSEC Business School LAURIN Claude HEC Montréal LEDOUX Marie-Josée UQAM LE MAUX Julien HEC Montréal MAATI Jérôme IAE, Université de Lille 1 MAGNAN Michel Concordia University MARD Yves IAE, Université Clermont-Auvergne MARION Alain Université de Lyon MARMOUSEZ Sophie HEC Montréal MARSAL Christine IAE, Université de Montpellier MARSAT Sylvain IAE, Université Clermont-Auvergne MARTINEZ Isabelle Université de Toulouse III MISSONIER Franck Université de Fribourg MONACO Carole  Université de Mons MOULIN Yves ISAM-IAE, Université de Lorraine MOUSSU Christophe ESCP Europe OLIVERO Bernard Université Côte d’Azur, IAE, GRM PEREZ Roland Université de Montpellier PESQUEUX Yvon Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) PIOT Charles IAE, Université Pierre Mendès France Grenoble PORETTI Cédric Ecole hôtelière de Lausanne RAFFOURNIER Bernard HEC, Université de Genève POULAIN-REHM Thierry IAE, Université de La Rochelle ROGER Patrick Université Louis Pasteur, Strasbourg ROTH Fabrice IAE de Lyon, Université Jean Moulin Lyon 3 SCHATT Alain HEC Lausanne SERRET Vanessa  Université de Bretagne sud SERVE Stéphanie Université Paris-Est Créteil STEPHANY Eric IAE, Université de Montpellier STEVENOT-GUERY Anne Université de Lorraine – CEREFIGE VIVIANI Jean-Laurent IAE, Université de Rennes 1 WALLISER Elisabeth Université Côte d’Azur, IAE, GRM WIRTZ Peter Université Jean Moulin, Lyon 3 ZENOU Emmanuel Université Bourgogne Franche-Comté, ESC Dijon-CEREN

EBS Paris : Lamia Rouai nommée Directrice Générale

Lamia Rouai, nouvelle Directrice Générale de l’EBS Paris, prendra ses fonctions le 1er septembre 2017 et succède ainsi à Delphine Manceau qui rejoint Neoma Business School.

Lamia Rouai

Lamia Rouai : « la plus high-tech des écoles de management« 

Jusque-là Directrice Générale Déléguée de l’ECE Paris, Ecole d’Ingénieurs du Groupe INSEEC, Lamia Rouai connaît bien l’EBS Paris puisqu’elle a construit le partenariat et le double cursus entre l’EBS et l’ECE. Docteur en Physique de l’Université Pierre et Marie Curie (spécialité nanophysique), experte sur les sujets de pédagogie, elle est une spécialiste du secteur de l’enseignement supérieur dans lequel elle exerce ses activités depuis 15 ans.

La nomination d’une scientifique, rompue au management des écoles d’ingénieurs, pour piloter une école de management, est un signal fort, en parfaite cohérence avec l’identité de l’EBS Paris autour de l’international mais aussi de la nouvelle économie avec l’axe EDIC (Entrepreneuriat, Digital, Innovation, Créativité).  « Ce choix marque la volonté de notre école de rentrer dans la nécessaire interdisciplinarité. L’ADN pionnier demeure et je m’en réjouis » indique Catherine Lespine, Présidente du Groupe INSEEC.

« Je suis ravie de rejoindre l’EBS Paris et de poursuivre sa stratégie de développement en France et à l’international, notamment en accélérant le développement des programmes sur le campus de San Francisco. Il s’agit de faire de cette belle institution la plus high-tech des écoles de management » conclut Lamia Rouai.

Prix CILAC / Jeune chercheur.se en patrimoine industriel, scientifique et technique

Institué en 2011, le « Prix Cilac/Jeune chercheur.se en patrimoine industriel » est un encouragement à la recherche, à la valorisation et la prise d’initiatives innovantes dans le domaine du patrimoine industriel. Réalisé avec le soutien de la Société d’encouragement pour l’industrie nationale et de la Fondation EDF, le Prix CILAC a pour vocation de rendre compte de la vitalité de l’enseignement et de la recherche, théorique et appliquée, dans le vaste champ du patrimoine industriel, scientifique et technique. Il s’adresse donc aux étudiant.e.s dans les domaines des sciences humaines et sociales, des sciences de l’ingénieur, de l’architecture, de l’urbanisme et des arts plastiques, de la conservation/restauration.

Ouvert aux étudiant.e.s de toutes disciplines, de niveau Master 1 et 2 et aux doctorants, ce prix vise à promouvoir des travaux innovants, en cours ou récemment achevés, par leur méthodologie, leur objet, leur mise en œuvre et/ou leur forme finale. Pour les élèves des écoles d’architecture, le niveau minimum requis est le master 2, avec un travail innovant concernant l’analyse et la reconversion du patrimoine industriel. Les travaux pouvant être présentés sont le projet de fin d’études ou le mémoire (niveau post-diplôme, type DSA Architecture et Patrimoine).

Doté d’un montant de 800 €, le Prix CILAC/Jeune chercheur.se peut être accordé dans deux catégories : recherche théorique et recherche appliquée.

Le Prix Cilac/Jeune chercheur.se aura lieu le 2 décembre 2017,

à la Société d’encouragement de l’Industrie Nationale,

Place Saint-Germain-des-Prés, à Paris

Les lauréats seront proclamés à l’issue de cette journée.

La date limite d’envoi des dossiers de candidature est fixée au 16 octobre 2017 par voie électronique au CILAC : cilac@cilac.com

Le dossier doit comporter :

  • Le titre du projet/travail et sa présentation (2 pages)
  • Un poster format A0 (80×115 cm) sous forme électronique
  • Le CV et la copie de la carte d’étudiant.e
  • Le cas échéant, le mémoire ou résultat final correspondant.

Déroulement du Prix CILAC Jeune chercheur

16 octobre 2017 : Envoi d’un dossier de présentation et d’un projet de poster

Les candidat.e.s doivent constituer un dossier de présentation et un projet de poster  au format A0 (80×115 cm) récapitulant leur travail d’une façon synthétique et efficace, en employant les ressources de la photographie, du graphisme, etc. Les candidats recevront une réponse définitive au plus tard le 15 novembre 2017.

2 décembre 2017 : participation à la journée d’étude, présentation publique du projet

Le CILAC finance la venue à Paris des étudiant.e.s dont la candidature sera retenue sur dossier afin de présenter leurs travaux et de débattre avec des spécialistes de ces questions. Une somme maximale par projet est allouée pour le transport. Les communications feront éventuellement l’objet d’une publication dans Patrimoine industriel.

Cette aide constitue le premier encouragement donné par le CILAC aux étudiant.e.s.

La présentation se fera sous la forme d’un exposé oral de 20 minutes, avec diaporama.

Le prix est remis à l’issue des délibérations du jury, à la fin de la journée d’étude.

Les lauréats dans chacune des deux catégories Recherche et Recherche appliquée se verront remettre à l’issue de la journée un prix d’un montant de 800 euros.

Le jury prendra en compte le dossier, la présentation orale, la qualité du poster et des échanges avec les candidat.e.s.

Les dates à retenir:

  • 16 octobre: envoi du dossier de candidature
  • 15 novembre: réponse du jury
  • 2 décembre : journée d’étude à la Société d’encouragement et remise du prix

Prix CILAC

Augmentations salariales 2017 en baisse selon Deloitte

Dans son étude annuelle sur les rémunérations, Deloitte apporte un éclairage sur les évolutions salariales en 2017 et sur les perspectives d’augmentations pour 2018. Pour cette 6e édition, le cabinet a analysé les données de 503 entreprises représentant 886 500 bulletins de paie, faisant de cette étude l’une des plus représentatives de France.

  • 2,5% d’augmentation en 2017 pour les cadres et 2,1% pour les non-cadres
  • Hausse du gel salarial (9% à 13% vs 4 à 7% en 2016)
  • Forte progression (5 à 7%) de la part variable individuelle
  • Le bonus représente de 5 à 30% du salaire de base selon le niveau de responsabilité et la famille de métier
  • Forte progression de l’épargne salariale en 2017 : + 7 à 10%
  • Prudence avec 1,8% de budget d’augmentation prévisionnelle pour 2018

Des pratiques de rémunération différenciées

Les augmentations en 2017 ont été de l’ordre de 2,5% pour les cadres et 2,1% pour les non-cadres, ce qui est légèrement en baisse par rapport à 2016. Hors promotion, les augmentations ont été entre 1,9% (non-cadres) et 2,2% (cadres).

Parmi les tendances observées :

  • La pratique du gel salarial est plus développée cette année, tant pour les non-cadres que pour les cadres (9 à 13% contre 4 à 7% en 2016)
  • Les fortes augmentations (>10%) sont également plus nombreuses cette année. Elles concernent en moyenne 6% de la population en 2017, contre 4% en 2016.
  • Malgré l’importance des enjeux sur la discrimination salariale, les écarts salariaux subsistent encore entre les hommes et les femmes (entre 2,3% et 7,7% selon le niveau de responsabilité). Conséquence des campagnes de rattrapage, les pratiques d’augmentations sont légèrement supérieures pour les femmes (+0,2 pt).
  • L’écart de rémunération entre l’Île-de-France et les régions se maintient cette année entre 6% et 7%. L’écart entre les régions (hors Île-de-France) marque une amplitude maximum de 7 points, tant en salaire de base qu’en rémunération totale.
  • Comme les années précédentes l’écart de rémunération entre les grandes entreprises (plus de 1 milliard d’euros de CA) et les PME (moins de 50 millions d’euros de CA) est de l’ordre de 10 points, en salaire de base. En prenant en compte l’impact des régions, cet écart est alors de 14 points entre les grandes entreprises parisiennes et les PME régionales.
  • L’écart de rémunération entre les filiales de groupes internationaux et les sociétés françaises est de 5% à 6%, conséquence d’une pratique de part variable plus dynamique pour les cadres et de pratiques d’augmentation plus forte pour les non-cadres (+0.5 Pt).

Forte augmentation de la part variable individuelle

La rémunération variable individuelle (bonus et commission) ne concerne pas tous les salariés : 66 % des cadres en bénéficient et près de 80% des cadres supérieurs. Les non-cadres sont tout de même 51% à être concernés (principalement sur les rôles de ventes terrain).

Après une hausse en 2016 de l’ordre de 10% à 12%, les montants de rémunération variable individuelle continuent de progresser fortement cette année : +5% à 7% par rapport à 2016.

Selon les niveaux de responsabilité et la famille de métier, le bonus représente de 5 à 30% du salaire de base. Le pay-out (rapport entre le bonus versé et le bonus cible) est cette année de 89%, légèrement supérieur à 2016 (86%).

L’épargne salariale reprend des couleurs

L’épargne salariale progresse dans les entreprises : près de 84% (contre 83% en 2016) des entreprises du panel étudié ont versé de la participation, et 79% (contre 76% en 2016) de l’intéressement.

Après une diminution depuis plusieurs années, l’épargne salariale (intéressement et participation) progresse fortement cette année, de l’ordre de 7% à 10% ce qui représente une hausse moyenne de 200 à 300 euros.

Des prévisions d’augmentations prudentes

« Les prévisions d’augmentation pour l’année prochaine sont, à nouveau, extrêmement prudentes, de l’ordre de 1,8%. La prévision d’inflation 2017 à 1,3% risque d’entraîner une moindre augmentation du pouvoir d’achat cette année que l’année dernière. », déclare Jean-Philippe Gouin, Associé Capital Humain chez Deloitte.

Un seuil symbolique se confirme depuis 2 ans autour de 1,2% (1er quartile) avec presque aucune pratique d’augmentation en dessous de ce seuil, mais une très grande diversité entre 1,2% et 1,8%. Un plafond psychologique se dessine également autour de 2% (3e quartile) avec une très faible dispersion entre la médiane et le 3e quartile.

CPME : « Le recrutement dans les PME doit être la priorité du quinquennat d’E. Macron »

Selon un sondage réalisé par Harris interactive pour Indeed* : « 91% des Français jugent que le recrutement dans les PME doit être une priorité du quinquennat d’Emmanuel Macron. »

Le recrutement comme priorité

La CPME se réjouit de cette prise de conscience collective du rôle et de la place des PME dans l’emploi et l’économie française. Mais cela marque également une forte attente vis-à-vis des réformes en cours, notamment en matière sociale.

S’il est indéniable que la création d’emplois est avant tout liée au carnet de commandes, il est impératif de créer les conditions permettant aux entrepreneurs d’être suffisamment confiants pour embaucher. Le coût du travail, la stabilité des textes et des normes tant en matière sociale que fiscale ou environnementale sont, à cet égard, déterminants. De même, il est essentiel que les règles applicables soient le plus simple possible et prennent en compte la réalité des PME.

La réforme du Code du travail sera sur ce point un test grandeur nature.

Les PME continueront à recruter si l’embellie économique se confirme, si on leur redonne de la souplesse et qu’on allège les carcans fiscaux et sociaux qui freinent leur développement.

Les Français l’ont compris, aider les PME est un enjeu prioritaire.

On se demande alors pourquoi, suite à ce communiqué de la CPME, François Asselin comme président de la CPME n’aura pas souhaité soutenir l’action menée à l’occasion de la présidentielle concernant le projet de relance économique proposé par Michel Leclerc visant au retour au plein-emploi en France, et donc faciliter l’embauche dans les PME du pays en supprimant toutes les cotisations sociales des fiches de salaire tout en maintenant l’intégralité du financement de la protection sociale… Il s’agit de ce que Michel Leclerc appelle le plan TRES, emprunté à Charles de Gaulle.

* Sondage « les 100 jours d’Emmanuel Macron » réalisé du 8 au 10 août 2017 sur un échantillon de 994 personnes représentatif des Français âgés de 18 ans et plus.

CPME recrutement François Asselin

Les salaires dans la fonction publique de l’État

En 2015, un salarié de la fonction publique de l’État (FPE) perçoit en moyenne 2 495 euros nets par mois en équivalent temps plein ; cette moyenne prend en compte tous les agents civils des ministères et des établissements publics, fonctionnaires ou non.

Une hausse plus faible des salaires dans la fonction publique

Entre 2014 et 2015, le salaire net moyen augmente de 0,4 % en euros constants. La moitié de cette progression provient de l’évolution des qualifications des emplois dans la FPE. Par ailleurs, un agent en 2015 perçoit en moyenne 0,2 % de plus qu’un agent de mêmes grade et échelon en 2014. Le salaire net moyen des fonctionnaires de la FPE augmente de 0,3 %, porté par la hausse du salaire moyen des catégories C à la suite des revalorisations de leur échelonnement indiciaire. Il augmente moins que celui des non-fonctionnaires (+ 0,5 %).
Le salaire net moyen s’établit à 2 544 euros dans les ministères, soit +0,3 % par rapport à 2014 ; il s’élève à 2 343 euros dans les établissements publics administratifs (+ 0,8 %), en lien avec la forte présence de catégories C dans ces établissements.
Les disparités salariales dans la FPE augmentent très légèrement en 2015. Le salaire net des femmes est inférieur de 14,4 % en moyenne à celui des hommes, mais l’écart se réduit à 3,2 % à âge, grade, catégorie et statut égaux.
Pour les salariés présents toute l’année en 2014 et en 2015 chez le même employeur et avec la même quotité de travail, soit près de deux salariés sur trois dans la fonction publique de l’État, le salaire net moyen augmente de 1,8 % en euros constants. Ceci reflète la progression de leur ancienneté et de leur carrière.

Source INSEE

fonction publique