Le Sénat vient de rejeter l’article 61 du projet de loi Pacte sur l’intérêt social et la raison d’être des entreprises. Croire que retirer cet article protège les entreprises est un contresens total précise le Cetnre des Jeunes Dirigeants. Le CJD demande d’ailleurs la réintroduction intégrale de cet article.
D’après le sénateur Jean-Marc Gabouty, les entreprises ont comme seul objet de « produire des biens et des services, pas de faire la philosophie » et pour leurs dirigeants, penser à la raison d’être peut « se terminer mal parce que c’est l’expression d’un état dépressif » (séance publique du Sénat, 11 février 2019).
Un
discours pareil est aujourd’hui totalement irresponsable. Ce qui motive un
entrepreneur, c’est le sens et la mission. Faire croire que son seul horizon
est le profit est une insulte à lui-même, à ses collaborateurs, à ses
clients et à ses actionnaires.
L’article
61 donne justement les moyens aux entrepreneurs d’exprimer leur sens des
responsabilités. Le CJD demande donc sa réintroduction intégrale.
Cet article n’est que le début de la reconnaissance de la responsabilité des entreprises. On ne peut plus faire comme si les fractures sociales et l’urgence écologique n’existaient pas. Nous devons transformer en profondeur notre économie pour la mettre véritablement au service de l’Homme.
Avec cette nomination de Pierre-Antoine Balu, PwC consolide son pôle d’expertises en matière d’organisation, de changement de culture, de leadership et de gestion des talents.
Le cabinet réaffirme ainsi sa place de cabinet de référence en matière d’innovation et de conseil sur les enjeux liés à l’avenir du travail et la transformation par l’humain.
Pierre-Antoine Balu
Pierre-Antoine Balu, 45 ans, est diplômé de l’ESC Toulouse, de l’IAE et d’un MBA ESCP Europe. Il débute sa carrière à Londres dans le conseil puis rejoint les Etats-Unis en tant qu’attaché commercial en ambassade. Il a ensuite travaillé comme consultant pour plusieurs cabinets à Paris et à Bruxelles, se spécialisant sur les enjeux de transformation et de réorganisation auprès de l’industrie bancaire. Il intègre PwC France et Afrique francophone en 2008 en conseil, puis est nommé associé en 2012.
Passionné par les enjeux des pays émergents, il a contribué activement au développement des activités conseil de la firme en Afrique. Basé ces 4 dernières années à Casablanca, il pilotait l’industrie Financial Services au sein des activités de conseil de PwC en Afrique du nord et francophone. Pierre-Antoine Balu prend aujourd’hui la tête des activités de conseil du pôle People & Organisation de PwC France et Afrique francophone.
Le Prix académique de la Recherche en Management, en partenariat avec la FNEGE, récompense les meilleures publications de recherche, ainsi que le meilleur ouvrage de management de l’année.
En 9 ans, ce Prix est devenu une référence
dans le monde académique, plébiscité par les chercheurs en sciences de gestion
qui considèrent son obtention comme une véritable opportunité de valorisation
de leurs travaux auprès du monde de l’entreprise et de développement de leur
notoriété.
Consult’in France, syndicat professionnel des
métiers du Conseil en Management et la FNEGE, vous invitent à participer à ce
concours dédié aux enseignants-chercheurs de l’enseignement supérieur, dont les
établissements sont localisés en France, quelle que soit leur nationalité.
Cette initiative a pour objectif de renforcer les liens entre la profession du
Conseil en stratégie & Management et le « monde académique » en favorisant
la rencontre d’Hommes et d’Idées neuves.
C’est aussi l’opportunité d’offrir une
fenêtre sur la profession et ses enjeux d’innovation aux professeurs des
options ou spécialités Conseil de dernière année d’études de master ou de
diplôme de Grande École.
Trois catégories de prix
selon vos thèmes de recherche :
«
Refonder la relation Entreprise et Société vers de nouveaux modèles de
croissance »
« Ré-inventer le Management »
« Accélérer la transformation digitale des
affaires et des organisations »
La remise des prix se déroulera en mai / juin 2019 (date à venir).
François Châtel et Thomas Froehlicher, respectivement Président et Directeur Général de Rennes School of Business ont dévoilé ce vendredi 7 décembre le nouveau plan stratégique et pédagogique 2018-2023 de l’École, à l’occasion de l’inauguration du nouveau campus international.
Nouveau campus de Rennes School of Business
Rennes School of Business poursuit son développement réussi depuis plusieurs années. Son ADN international et son ancrage dans une métropole rennaise attractive et ouverte au monde lui permettent de figurer parmi les meilleures écoles de management.
L’ambition de
l’École à 5 ans : devenir l’une des business schools les plus novatrices
et multiculturelles en Europe. L’École entend doubler son budget (70 millions
d’euros en 2023), capter de nouveaux étudiants étrangers (+50%) de 100
nationalités différentes, étendre les programmes d’Executive Education (de 8 à
12% du budget) et favoriser l’alternance.
Une mission : explorer les nouveaux territoires
Rennes SB a dégagé 3
grands axes, 3 grands chantiers, 3 grands territoires :
Les nouveaux territoires de demain : appréhender les enjeux professionnels à travers des expertises distinctives, des cursus innovants et de nouvelles alliances d’excellence. Rennes SB a identifié 4 territoires d’excellence en collaboration avec l’International Scientific. Committee Thriving Through Complexity ǀ IA-Driven Economy ǀ Green, Data & Demand Driven Supply Chain Management ǀ Agri(o) Business
Les nouveaux territoires du monde : réinventer l’immersion des étudiants dans un contexte international tout au long de leur cursus
Les nouveaux territoires pédagogiques : réinventer le modèle d’éducation et de transmission du savoir des écoles de management.
L’École tient à
renforcer son ancrage dans l’écosystème régional en favorisant l’installation
sur son campus rennais de 7 grands partenaires internationaux (les deux
premiers partenaires provenant de Chine et d’Inde) en conjuguant cette présence
avec de nouvelles alliances stratégiques (IMT Atlantique, B<>Com,
Agrocampus Ouest, INRA), et en favorisant le multiculturalisme (parcours
immersifs bilingues, généralisation du double-diplôme PGE-MSc, lancement d’un
Global Bsc).
Un nouveau campus international
Pour accompagner ce
nouveau plan stratégique, Rennes School of Business a agrandi et transformé son
campus. Plus « smart » et plus centré sur les espaces de vie comprenant des
services à valeur ajoutée. Ce nouvel ensemble de 21 000 m² est composé
de 4 bâtiments d’enseignement, d’espaces de co-working, d’espaces extérieurs de
convivialité, d’un terrain de sport et d’une résidence pour accueillir les
étudiants internationaux.
Une nouvelle signature de marque
Le nouveau plan
stratégique 2018-2023 voit déjà plus loin et s’accompagne d’une nouvelle
identité de marque qui sera déployée plus largement à partir de mars 2019. Le
logo évolue légèrement et la signature de marque devient #Unframed
Thinking.
À propos de Rennes
School of Business
Rennes School of
Business est une école internationale de management située en Ille-et-Vilaine,
en Bretagne. Rennes School of Business, c’est la possibilité d’expérimenter des
pratiques diversifiées de management dans les différentes zones du monde et de
développer des compétences indispensables mises au service des entreprises.
École de management cosmopolite – 91 % des professeurs et 53 % des étudiants
sont internationaux – Rennes School of Business a pour mission de préparer des
managers responsables et innovants à agir efficacement dans un environnement
globalisé.
Accréditée EQUIS, AACSB, AMBA ǀ 4513 étudiants ǀ 260 universités partenaires sur les 5 continents.
L’équipe française du projet ANR-DFG Democracy and its futures – between governance and counter-publics (DemoFutures) recrute un.e post-doctorant.e (36 mois, mi-temps) du 1/3/2019 au 28/2/2022
Vous trouverez
ci-dessous la description du projet DemoFutures.
DemoFutures analysera les tendances actuelles et les
avenirs possibles de la démocratie à moyen et à long terme, en réunissant des
analyses sociologiques et philosophiques dans une perspective critique. Le
projet mettra l’accent sur le contraste entre, d’une part, la logique
instrumentale de la gouvernance qui domine la plupart des politiques démocratiques
institutionnelles et, d’autre part, la logique expressive et subjective des
critiques et des protestations publiques.
Les citoyens vivent
une «crise d’érosion» des pratiques et des institutions démocratiques. L’un des
facteurs sous-jacents est la logique de plus en plus puissante de la
gouvernance, qui va du niveau local au niveau mondial, et qui se superpose et
remplace souvent les formes démocratiques de prise de décision. Cela conduit à
un sentiment d’inauthenticité et à l’expérience d’un manque d’alternatives à
cette situation. Néanmoins, nous pouvons également observer la mobilisation
publique, la critique et la protestation, qui se cristallisent souvent autour
de questions spécifiques, par exemple des projets d’infrastructure locaux. Ils
conduisent au développement de publics critiques hors des sentiers battus de
l’espace public dominant. La délibération qui prend place dans ces
mobilisations offre le potentiel de se transformer en contre-publics, dans
lesquels des futurs alternatifs peuvent être imaginés. Il est à noter,
cependant, que la dynamique de ces protestations et mouvements en France et en
Allemagne prend des dynamiques assez différentes, ce qui nécessite une analyse
plus approfondie.
Afin de comprendre
les avenirs possibles de la démocratie, deux dimensions de ces mouvements
doivent être comprises: leur logique subjective et leurs significations
expressives perçues – qui sont explorées par la sociologie critique – et les
pratiques et institutions de délibération – qui sont explorées par les théories
délibératives. DemoFutures vise ainsi
à réunir une équipe de chercheurs français et allemands issus de ces deux
disciplines. Des chercheurs juniors et seniors de l’Université Paris Descartes
– Université Paris Sorbonne Cité et de la Hochschule für Politik an der
Technischen Universität München collaboreront à une série de recherches
parallèles et interconnectées ; ils organiseront un certain nombre
d’événements afin de créer un réseau franco-allemand qui travaille sur l’avenir
de la démocratie.
Le projet développera
une approche interdisciplinaire dans lequel les perspectives sociologiques et
philosophiques sont intimement liées ; il analysera également des «cas
exemplaires» en France et en Allemagne dans une perspective comparative. Une attention
particulière sera portée aux conditions générales de l’espace public numérique
ainsi qu’aux relations entre experts et acteurs de protestation. Ainsi, les
synergies franco-allemandes se feront à la fois au niveau des méthodes et des
approches, et au niveau des objets de l’analyse.
Une étude menée par Cybersecurity Ventures estime que,
d’ici 2021, les dommages liés aux cyberattaques pourraient atteindre 6
milliards de dollars. Pour se prémunir, les entreprises doivent faire de la
cybersécurité une priorité. De nombreuses solutions existent : outils de
protection, bonnes pratiques à mettre en place, etc. Parmi celles-ci, une, plus
atypique, consiste à avoir recours à un hacker éthique. Un métier qui a le vent
en poupe et qui pourrait bien, demain, révolutionner le marché de la
cybersécurité.
Hacker, un métier pas comme les autres
On les appelle les “White Hats”. Dans les séries
américaines, ils sont souvent interprétés comme des hackers qui ont changé de
camp. La réalité est un peu différente. Profils passionnés, compétences
pointues, certifiés « éthiques » à l’international : ces hackers
2.0 sont encore rares mais ô combien passionnés par leur métier pas tout à fait
comme les autres.
La profession est relativement récente et elle n’a
rien de standard. Ici, pas de diplôme universitaire, pas de formation
institutionnelle si ce n’est le CEH (pour Certified Ethical Hacker) : une
semaine pour valider les connaissances de base du hacking, et certifier ses
bonnes intentions pour rassurer les entreprises.
Leur rôle ? Attaquer un système informatique de façon
bienveillante pour cartographier les vulnérabilités d’une entreprise et la
pousser à se protéger davantage. À l’inverse de leurs homologues
« classiques », ces profils mettent leurs compétences au service de
la cybersécurité en effectuant des tests de pénétration en conditions réelles.
Un marché fertile
Avec Wannacry et Petya, la cybercriminalité a passé un
nouveau cap. Les attaques, de plus en plus ciblées et sophistiquées, s’avèrent
difficiles à enrayer, notamment pour les ransomwares : une fois les
données cryptées, le virus est inarrêtable. Les hackers éthiques ont pour
objectif d’anticiper ces attaques de façon légale en vérifiant les SI et en
détectant de potentielles failles de sécurité. Une solution de protection mal
configurée peut, par exemple, manquer d’alerter suite à une intrusion.
Les évènements et les séminaires autour du hacking
éthique se multiplient. Aux Etats-Unis, la « Black Hat », salon
dédié à la sécurité informatique, présente les nouvelles failles et attaques
qui montent sur le marché noir. Ce concept s’exporte aussi au niveau européen :
à Paris, la « Nuit du hack » rassemble ingénieurs et codeurs en tous
genres durant une nuit, avec un objectif unique : hacker le système d’une
grande entreprise. A la clé, le prix de l’année, et une certaine reconnaissance
sur ce marché naissant.
Qui de mieux que les hackers pour contrer les hackers ? Les compétences des hackers éthiques ne sont pas nouvelles. Nombre d’entre elles sont déjà intégrées à des postes d’ingénieur sécurité recherchés par les grandes entreprises. Il y a donc fort à parier que l’on verra de plus en plus ces profils dans les prochaines années. Jusqu’à démocratiser la pratique d’ici 5 à 10 ans ? Difficile à dire. Car si l’on a besoin de ces compétences pour comprendre comment les cyberattaquants s’immiscent dans les systèmes informatiques, celles-ci demeurent rares… et onéreuses.
Pierre Guesdon, Ingénieur Avant-Vente chez Exclusive Networks
Une idée neuve, comme le bonheur, selon la formule de Saint-Just, remis au goût du jour par quelque révolutionnaire d’antichambre, telle est aussi, comme on l’a vu dans le précédent numéro, le
MANAGEMENT.
Il nous a donc paru cohérent
pour terminer l’année
2018, d’en explorer deux autres aspects afin de rester dans une démarche propédeutique.
Rappelons que pour l’essentiel des TPE et PME, le management
reste une idée vague, mal comprise et parfois rejetée comme propre
aux « gros » ou aux « grands » !
Telle n’est pas notre
conviction et les articles que nous proposons à la lecture,
permettent une grille
de lecture éclairante
et adaptable à toutes les organisations, petites
et grandes.
Le premier dossier : Contrôle et droit des entreprises, rappelle que le droit
n’est pas autre chose qu’un
élément de gestion de l’entreprise, même
si dans de nombreux enseignements de gestion, on l’oublie…Le droit
n’est pas que l’affaire
du spécialiste, et nombre d’entrepreneurs l’apprennent souvent
trop tard. Ivan Tchotourian et Jérôme Turcotte, de l’Université de Laval au Canada, en
décrivant « Le droit des sociétés au
service d’une gouvernance d’entreprise sociétalement responsable », ne décrivent pas seulement des sociétés et un droit qui nous seraient étrangers, ils démontrent que tout cela est le fruit d’une idéologie « qu’il convient
de remettre en cause
pour que les entreprises de demain soient
vectrices de progrès économiques, environnementaux et sociétaux. » Voilà
bien un apport concret
à un Débat national, aux questions biaisées
de mauvais marketeurs, qui oublient, mais savent-ils réellement ce qu’est le management, les
vraies questions fondées sur de
vraies compétences. Emmanuel Bayo, l’un des
meilleurs connaisseurs français du droit des coopératives, souvent
de petites et moyennes tailles, indique que celles-ci semblent mieux résister
aux défaillances que les sociétés
financières, pourtant seul
modèle de Bruxelles et de ses sectateurs les
plus zélés. Y aurait-il des solutions de pérennité des PME qui seraient
plus profitables à l’économie que celles
des adorateurs du « veau
d’or » du courant dominant ? Une jeune
chercheuse, enfin, a le courage, en s’appuyant sur la littérature et des entretiens avec des professionnels du secteur agroalimentaire, de proposer des solutions pour une gestion
durable de la chaîne logistique. Au moment où les scandales du lait, de la viande
de cheval, et bien d’autres cachés ou à venir,
viennent démontrer les limites de la
régulation par le marché, pourtant seule solution
vantée comme la panacée par des
candides et sans doute beaucoup de pervers
!
« Réflexions sur la prise de décision » en découle
logiquement. Le management a bien pour fonction de « faire avancer dans une direction
précise ». Que la planification puisse être une échelle de mesure avec
son apport multidimensionnel, ou que l’africanité
puisse avoir une incidence sur la prise en compte de la RSE dans la performance
globale, posent des modèles et
tentent d’apporter des « boîtes à outils », au manager. Deux chercheurs de
cette nouvelle Lotharingie souhaitée par Charles le Téméraire (Université de
Franche-Comté et de Université de Bourgogne), démontrent le rôle de l’attractivité affective du pays d’origine dans la démarche d’achat et ouvrent ainsi
des pistes au marketing international ! L’histoire et les rêves territoriaux ne sont donc pas vains
! Les deux derniers articles du dossier[1], ont été sélectionnés
lors de la 9è édition de l’International Finance
Conference qui s’est tenue à l’ISC Business
School[2] que nous présentions dans le numéro précédent, se sont parfaitement insérés. Le premier, par une étude de cas, nous apporte une vision un peu moins officielle sur l’indépendance et la
compétence des comités d’audit de nombreuses d’entreprises françaises. Le second analyse le dispositif de Bâle 2
concernant la détermination du capital réglementaire des banques. Tous
ces éléments qui importent
à la prise de décisionhttps://thema.u-cergy.fr/IMG/pdf/lfc9_official_program.pdf.
Muriel PÉNICAUD, Ministre du Travail, et Jean-Marie MARX, Haut-Commissaire aux compétences et à l’inclusion par l’emploi, ont signé une convention de partenariat avec le Réseau E2C France (Ecoles de la deuxième chance) dans le cadre du Plan d’Investissement dans les Compétences. Cette signature a eu lieu à la suite de la visite d’Alméa Formations Interpro de la Marne à Châlons-en Champagne, ce vendredi 30 novembre 2018. Alméa est l’organisme gestionnaire du CFA Interpro de la Marne et de l’E2C en Champagne Ardenne.
Signature de la convention de partenariat entre Reseau E2C et Etat. Deg. à d. : Alexandre SCHAJER, Président du Réseau E2C Franc ; Muriel PÉNICAUD, Ministre du Travail, et Jean-Marie MARX, Haut-Commissaire aux compétences et à l’inclusion par l’emploi.
Développement des E2C dans le cadre du Plan d’Investissement des Compétences (PIC)
Le dispositif E2C est un acteur incontournable pour l’inclusion des jeunes sans qualification ni emploi, en s’appuyant sur un triptyque basé sur l’acquisition de compétences, l’expérience en entreprise et l’accompagnement à l’inclusion. Ses résultats positifs, cités en exemple dans plusieurs études et rapports institutionnels, ont conduit à des propositions de développement dans le cadre du Grand Plan d’Investissement 2018-2022 du Gouvernement.
Lors des 20 ans du dispositif E2C, organisé en juin dernier, la ministre du Travail a annoncé le soutien du gouvernement pour accompagner le développement des E2C. Cette annonce sera officialisée le vendredi 30 novembre avec la signature d’une convention de financement se déclinant en 3 axes :
le financement de nouveaux parcours entre 2019 et 2022 ;
un soutien à la mise en oeuvre de l’Approche par compétences ;
et à l’ingénierie des Systèmes d’Information du Réseau E2C France.
Pour Alexandre SCHAJER, Président du Réseau E2C France : « La signature de cette convention entre le gouvernement et le Réseau E2C France, qui s’inscrit pleinement dans les objectifs du plan d’Investissement dans les Compétences (PIC), prévoit un renforcement quantitatif et qualitatif du dispositif pour une intégration dans le monde des métiers des jeunes en difficulté. Avec leur approche pédagogique par les compétences, la pratique de l’alternance et l’accompagnement post parcours, les E2C sont aujourd’hui un complément des efforts de l’enseignement initial sur les décrocheurs, une passerelle vers les contrats de travail en alternance et un outil des politiques publiques de réinsertion des jeunes sans emploi et sans qualification. »
Rencontre avec des jeunes bénéficiant de l’apprentissage et de l’alternance
La journée du 30 novembre a permis aux représentants du gouvernement de rencontrer des apprentis du CFA Interpro de la Marne, ainsi que des jeunes en parcours à l’E2C en Champagne-Ardenne. Les temps forts de cette journée sont les suivants :
visite du centre Alméa Formations Interpro 51 et échanges avec des apprentis au sein des laboratoires alimentaires et des ateliers mécaniques. Alméa est le 1er centre de formation en alternance de la Région Grand Est ;
visite de l’E2C en Champagne-Ardenne avec découverte de différents ateliers et échanges avec des stagiaires en parcours ;
signature de la convention entre les représentants du gouvernement et Alexandre SCHAJER, Président du Réseau E2C France.
Les associations membres de la Confédération des Jeunes Chercheurs, réunies en assemblée générale à Paris, se prononcent fermement contre le projet gouvernemental d’augmentation considérable des frais d’inscription en doctorat pour les étrangers extra-communautaires.
La question posée sur les frais d’inscription en doctorat
« Nous craignons qu’avec ce projet, le gouvernement s’engage dans une course sans fin à la hausse des frais d’inscription derrière les modèles britannique et américain, où la plupart des étudiant-es et doctorant-es s’endettent lourdement pour respectivement se former et travailler.
Que cette hausse massive des frais d’inscription soit à ce stade limitée aux étranger-es non communautaires ne constitue qu’un élément aggravant. Les doctorant-es étranger-es sont déjà sélectionné-es par l’établissement d’enseignement supérieur dans lequel ils ou elles souhaitent s’inscrire, par l’employeur qui souhaite les recruter, par les services leur délivrant des visas, et payent un nombre conséquent de taxes et frais de dossiers pour venir travailler en France. L’argument de l’attractivité internationale de l’enseignement supérieur français est fallacieux. Des pays ayant mis en place ce type de barrière financière ont connu dans les années suivantes une baisse importante du nombre de leurs étudiants et étudiantes internationales. Cet argument camoufle mal la volonté d’éviction des jeunes chercheur-es, étudiants, et étudiantes internationales venant de pays en développement, en particulier des pays francophones du Maghreb et d’Afrique subsaharienne. Appliquer des frais d’inscription dix fois supérieurs aux étrangers extracommunautaires revient en effet à réserver l’accès à la formation à la recherche aux plus fortuné-es en provenance de ces pays, hormis quelques rares élu-es à qui sera attribué une “aide sociale” stigmatisante. Les doctorant-es étranger-es faisant le choix de venir se former par la recherche en France ne sont pas un coût pour notre pays, ils et elles apportent beaucoup à sa recherche et à son économie. Penser qu’ils et elles ne font le choix de la France que par calcul financier est méprisant à leur égard et infamant pour la recherche française.
La Confédération des Jeunes Chercheurs appelle l’ensemble des jeunes chercheur-es de France à rejoindre les différentes mobilisations initiées contre ce projet. Nous mettons à disposition des jeunes chercheur-es élu-es dans les conseils de laboratoire, d’école doctorale, d’organisme de recherche, de composante universitaire ou de conseils centraux d’établissements d’enseignement supérieur, des propositions de motion à déposer dans ces différentes instances, afin de rendre visible le rejet de ce projet par la communauté de l’enseignement supérieur et de la recherche. Nous appelons également l’ensemble des associations ou collectifs formels ou informels de jeunes chercheur-es de France souhaitant se mobiliser contre cette mesure, à entrer en contact avec la confédération afin de nous coordonner. Nous mettrons nos outils et notre structure à disposition de tous les collectifs de jeunes chercheur-es souhaitant converger dans cette mobilisation. »
Deux propositions contre cette hausse des frais d’inscription en doctorat
Proposition de motion type à faire voter en conseil de composante, d’unité, de laboratoire, ou d’école doctorale Le conseil [du laboratoire/de l’unité/de l’école doctorale/de l’UFR/de l’école…] X se prononce fermement contre la hausse discriminatoire des frais d’inscription dans l’enseignement supérieur, ciblant les étrangères et étrangers extra-communautaires, annoncée par le Premier ministre Édouard Philippe. Il adresse toute sa solidarité aux étudiantes et étudiants, doctorantes et doctorants étrangers qu’il accueille aujourd’hui ou souhaite accueillir à l’avenir. De même, il soutiendra les mobilisations des étudiantes et étudiants comme des personnels opposés à cette hausse.
Proposition de motion type à faire voter en conseil central d’établissement d’enseignement supérieur (université, COMUE, grand établissement…) [Le conseil d’administration/Le conseil académique/La commission de formation et de vie universitaire/La commission de la recherche/tout autre conseil central d’établissement d’enseignement supérieur] de X se prononce fermement contre la hausse discriminatoire des frais d’inscription dans l’enseignement supérieur, ciblant les étrangères et étrangers extra-communautaires, annoncée par le Premier ministre Édouard Philippe. Il/Elle adresse toute sa solidarité aux étudiantes et étudiants, doctorantes et doctorants étrangers que notre établissement accueille aujourd’hui ou souhaite accueillir à l’avenir. Il/Elle souhaite que [l’université, la COMUE, l’établissement…] X refuse pour sa part d’appliquer cette réforme, et maintienne l’application des frais d’inscriptions nationaux à tous ses usagers et ses usagères, sans discrimination de nationalité, comme il/elle est en droit de le faire.
LinkedIn, le plus grand réseau professionnel en France et dans le monde, révèle aujourd’hui les listes des Top Voices 2018 pour la France.
LinkedIn se félicite de ses auteurs
Établies pour la troisième année consécutive, elles mettent à l’honneur les 10 Influenceurs et les 25 membres les plus influents sur LinkedIn en France – et sont établies selon leur activité sur l’année écoulée (articles, partages, commentaires et vidéos).
Michel-Edouard Leclerc, Président de E.Leclerc, fait une ascension fulgurante dans le classement puisqu’il passe de la 10e à la 1re place ; il est suivi par Emmanuel Faber, Chairman & CEO de Danone. Également dans le trio de tête, Isabelle Kocher, à la tête d’Engie et unique femme directrice générale d’un groupe du CAC40, qui reste sur le podium cette année encore.
Top 10 des Influencers sur l’année 2018
Michel-Edouard Leclerc, President de E.Leclerc
Emmanuel Faber, Chairman & CEO de Danone
Isabelle Kocher, Directrice Générale d’Engie
Emmanuel Macron, Président de la République française
Frédéric Oudéa, Directeur général de la Société Générale
Laurence Paganini, Directrice Générale de Kaporal
Anne-Sophie Pic, Chef triplement étoilée de la Maison Pic
Bertrand Piccard, Pilote et fondateur de Solar Impulse
Frédéric Mazzella, Président-fondateur de BlaBlaCar
Clara Gaymard, Co-fondatrice du fonds Raise France
LinkedIn met également à l’honneur les membres qui suscitent le plus de conversations, en partageant leur expertise et en valorisant leurs connaissances sur LinkedIn.
La liste complète des 25 membres LinkedIn Top Voices
Ces membres appartiennent à des secteurs aussi divers et variés que :
La santé et le sport : Anne Beinier (Conseillère-Experte auprès de la Ministre des solidarités et de la santé), Laila Hamdouni (Infirmière à l’hôpital Tonnerre), Benjamin Louis (Fondateur de Cœur Handisport) et Benjamin Carlier (Directeur associé chez Olbia Conseil).
L’économie et la finance : Nicolas Bouzou (Économiste et Directeur fondateur d’Asterès), Isabelle Job-Bazille (Directrice des Études Économiques du groupe Crédit Agricole), Philippe Waechter (Chef Économiste chez Ostrum Asset Management) Pierre Paperon (Fondateur de Solid), Stéphanie Villers (Chef Économiste à Humanis) et Olivier Goy (Fontateur et PDG d’October France, ex-Lendix).
Les RH : Stéphanie Carpentier (Fondatrice de DR.RH&CO), Isabelle Deprez (Coach de Dirigeants), Christel de Foucault (Fondatrice de Conseil en Recherche d’Emploi) et Catherine Testa (Fondatrice de L’optimisme.com).
Les médias et la communication : David Abiker (journaliste à Europe 1), Cyrielle Hariel (journaliste à Yahoo Green, Europe 1 et Ushuaïa TV) et Olivier Cimelière (Fondateur de Heuristik Communications).
« LinkedIn est devenu le lieu privilégié de conversations et de partages d’informations dans l’univers professionnel, explique Sandrine Chauvin, rédactrice en chef de LinkedIn en France. Cette année, nous constatons une percée des membres qui travaillent dans le domaine de la santé, ou des experts du développement durable. La diversité de la communauté LinkedIn se reflète ainsi dans la variété des sujets abordés et les échanges d’analyses qu’ils suscitent. »
La méthode
Pour établir ce palmarès, l’équipe éditoriale de LinkedIn a agrégé des données chiffrées et des signaux éditoriaux. Cela inclut l’engagement (likes, commentaires, partages, posts vidéos et commentaires) ainsi que la croissance du nombre d’abonnés a également été prise en compte, ainsi que la qualité des contenus et la diversité des secteurs et des profils. Toutes ces activités ont été mesurées sur une période de 12 mois, de septembre 2017 à septembre 2018. Comme pour tous les classements LinkedIn, les employés de LinkedIn et de sa maison-mère, Microsoft, n’ont pas été pris en considération.
Les fonctions commerciales et marketing évoluent et se transforment dans un contexte marqué par la globalisation et la digitalisation, c’est la raison d’être de ce nouveau Bachelor Digital Innovators. L’ICD et l’EPF anticipent pour répondre aux nouvelles demandes des entreprises en proposant aux étudiants une collection de Bachelors « Future Innovators ». Élaborés sur 3 ans, exclusifs, hybrides et professionnalisants, ils explorent les nouveaux territoires de développement des entreprises pour répondre aux demandes émergentes mondiales.
Le Bachelor Digital Innovators, ou comment former des experts du marketing 4.0
Former des spécialistes du marketing, capables de manier les données et d’introduire l’intelligence artificielle dans leurs actions, tel est l’objectif du nouveau Bachelor Digital Innovators créé par l’ICD et l’EPF. La révolution DATA que vit aujourd’hui le secteur du marketing, s’accompagne de l’émergence de nouveaux métiers pour lesquels des profils dotés de compétences hybrides en marketing et en informatique sont nécessaires. Le Bachelor Digital Innovators permettra à ces digital Marketeurs de demain de savoir collecter, valider, décrypter la DATA afin d’opérer une segmentation des marchés sur des bases statistiques et informatiques et de monter des campagnes de communication et marketing quasiment automatisées (blockchain, marketing automation) pour une meilleure fidélisation par du contenu et des offres personnalisées. Dans l’enseignement proposé par l’ICD et l’EPF une part importante sera également accordée à la créativité et la culture (art, design, cinéma…) afin de cultiver curiosité et ouverture sur le monde.
Le Bachelor Tech Sales Management devient le Bachelor Business Innovators
Premier né de la collection « Future Innovators » le Bachelor Tech Sales Management est aujourd’hui rebaptisé Business Innovators. Ce programme créé en septembre 2016, verra sa première promotion diplômée en juin 2019. Conçu dans l’objectif de proposer une formation unique à double compétence ingénierie et business, le Bachelor Business Innovators a pour vocation de former des spécialistes capables de développer, de gérer et de déployer la vente de biens et services techniques tels que du matériel, des équipements scientifique ou industriel ; des systèmes d’information ou de production, des services informatiques, de télécommunications, énergétiques et d’électricité à destination des entreprises, des collectivités territoriales ou des Etats, sur le marché national et international.
Ce bachelor est le premier résultat d’une hybridation totale entre formations polytechnique et commerciale pour former les managers des ventes technologiques de demain.
Les points forts des Bachelors Digital Innovators et Business Innovators :
Programme conjoint école de commerce / école d’ingénieur-e-s,
Cursus en 3 ans,
Semestre à l’international,
Enseignement 100% en anglais dès la 2e année,
Alternance en 3e année,
10 mois d’expérience professionnelle,
Une approche transversale,
Accessible aux bacheliers S, STI2D, STMG, ES et L spé Maths,
Inscription sur parcoursup.fr,
Poursuite d’études à Bac+5 programme Grande Ecole ou MBA à l’ICD. Possibilité d’intégrer le cycle ingénieur de l’EPF, sous réserve du niveau académique (soumis à étude du dossier et jury).
Pour une différenciation
« Nous avons décidé de co-concevoir des programmes différenciants qui allient stratégie et technicité fondés sur nos expertises respectives en commerce et en ingénierie. Ils permettent de répondre aux demandes croissantes des start-up et des entreprises investies dans des domaines d’activités à fort potentiel de développement » explique Benoît Aubert, Directeur de l’école ICD, International Business School,
«Le futur appartiendra à ceux qui se saisiront des opportunités d’un monde qui se réinvente sans cesse.C’est pourquoi nous avons conçu une collection de formations exclusives pour accueillir les grands défis technologiques et économiques de demain. Future Innovators s’adresse à celles et à ceux qui souhaitent écrire cet avenir » ajoute Jean-Michel Nicolle, Directeur de l’EPF, Ecole d’ingénieur-e-s.
« J’ai intégré le Bachelor Business Innovators en 2e année après une réorientation en prépa ingénieur. Je souhaitais faire une formation très concrète. Ce cursus est passionnant car il fait le lien entre deux mondes qui doivent se comprendre pour travailler ensemble. La double compétence de la formation permet d’une part d’apprendre à mesurer les besoinset les enjeux économiques à travers les enseignements «commerce», et d’autre part, à travers les enseignementsingénierieàcomprendre les technologies, leurs impacts et trouver des solutions techniques»souligne Laurène Armandon, étudiante 3e année Bachelor Business Innovator. »
Du 6 au 16 juin prochain aura lieu l’Armada 2019 à Rouen, un rendez-vous incontournable en Normandie. Cette édition sera la 7e organisée sur les quais de Seine. Attendue par des milliers de visiteurs, l’Armada 2019 promet d’être un événement au programme exceptionnel. Les plus beaux et plus grands voiliers du monde mais aussi des bâtiments de guerre modernes, des voiliers école, des vieux gréements et autres bateaux d’exception remonteront la Seine à partir du 6 juin pour rejoindre la capitale de Normandie et se rendre disponible à la visite gratuitement. Pendant 10 jours, les quais de Seine seront animés tout comme le centre historique de Rouen. La Grande Parade clôturera le dimanche 16 juin par la descente du fleuve jusqu’à son estuaire.
Pour la première fois, les acteurs économiques et touristiques se saisissent, ensemble, du plus grand rassemblement de voiliers au monde pour en faire un accélérateur et un facilitateur de l’attractivité de Rouen, sa métropole et sa région.
L’Armada comme accélérateur de l’économie
En 2019, l’Armada fêtera son 30e anniversaire sur des quais transformés, symbole d’une ville qui se modernise. L’agence de développement Rouen Normandy Invest propose aux acteurs économiques de saisir cette belle occasion pour affirmer collectivement l’attractivité économique de Rouen et de sa région, et de changer une image floue et ancienne qui ne correspond pas à la réalité d’aujourd’hui. Ce projet s’inscrit donc dans la continuité de l’enquête de notoriété (IFOP) mené par l’agence qui avait souligné que l’Armada était un événement connu par 62% des personnes interrogées. En juin 2018, la mobilisation a été lancée. Des outils sont mis à disposition de tous les acteurs économiques pour faire rayonner Rouen et sa région et attirer les futurs talents.
Moteur du développement touristique
Cette édition 2019 de l’Armada amorce un virage inédit : celui de la convergence des investissements privés et publics. Un dynamisme qui voit sortir de terre de nouveaux projets autour des quais de Seine, de l’Eco-Quartier Flaubert et du centre historique. L’hébergement marchand est particulièrement régénéré à Rouen avec le renouveau du parc hôtelier et l’installation de nouveaux concepts (Share & Cheers…).
Cet intérêt s’accompagne de nombreuses distinctions e (9e destination à ne pas manquer en 2019, par Lonely Planet, 4e destination touristique pour partir en week-end, par l’Express…), fruit du travail amorcé depuis de nombreuses années pour accueillir les touristes dans un Rouen nouveau, à la fois plus moderne et plus soucieux de son patrimoine.
Dynamiser les moments d’apprentissage et favoriser la mémorisation par le jeu. L’entreprise française Sparkup et l’ICD, école de commerce, de business développement et de marketing du Groupe IGS, annoncent la signature d’un partenariat pour permettre aux étudiants d’apprendre autrement et de devenir acteurs de leur parcours.
Sparkup sur téléphone mobile
Avantages pour l’ICD
Un professeur de marketing qui peut à tout moment vérifier la bonne compréhension de ses enseignements. Des étudiants qui apprennent en s’amusant et osent poser des questions lorsqu’ils n’ont pas compris le cours. Un rêve aujourd’hui devenu réalité grâce à l’utilisation des outils collaboratifs Sparkup par l’ICD.
« Sparkup favorise un engagement cognitif plus fort de nos étudiants et une implication soutenue dansl’acte pédagogique » précise Benoît Aubert, Directeur de l’ICD, International Business School.
Sparkup, depuis 2017, réforme ainsi le monde du travail et de l’éducation grâce à son logiciel SaaS traduit en 17 langues et disponible dans 47 pays sera désormais utilisée par l’ICD lors de :
conférences
colloques
forums
journées Portes-ouvertes
cours
laboratoire
À tout moment pendant son cours, un professeur de l’ICD pourra vérifier la bonne compréhension de son discours. Les étudiants pourront, quant à eux, soumettre leurs questions à leur intervenant directement via leur ordinateur ou leur téléphone.
Sondages, votes, quiz, nuages de mots … : la plateforme Sparkup propose une quinzaine d’activités idéales pour rythmer une session de cours, capter l’attention d’un groupe et valider les acquis. De quoi renforcer la pédagogie et faciliter la mémorisation des messages.
Quelques usages de Sparkup
Sparkup est accessible par une simple Web App. Voici quelques-unes des fonctionnalités de l’outil et d’usages possibles :
Mur de questions : « Posez vos questions librement »
Il permet aux étudiants de poser leurs questions en temps réel sans interrompre le cours. Les questions apparaissent instantanément sur un écran et les participants peuvent voter pour les questions qui les intéressent le plus. Les professeurs peuvent également prendre quelques minutes à la fin du cours pour répondre aux interrogations et commentaires.
Brainstorming : « Quels sont les événements historiques majeurs de la période 1914 à 1990 ? »
Sur cette activité, les professeurs peuvent demander à leurs élèves de lister tous les événements qui leur viennent à l’esprit dans la période de l’Histoire étudiée. Cela permet aux enseignants de connaître leurs connaissances existantes. Ils peuvent en outre organiser rapidement les événements listés par période historique et débriefer des résultats.
Challenge : « Histoire du XXe siècle »
Le professeur peut, à tout moment sur un sujet donné, stimuler la participation et tester la mémorisation des élèves au travers d’un quiz de rapidité pour transformer son cours en intense compétition.
Pour Vincent Bruneau, CEO de Sparkup, « Le digital dans l’éducation permet de dynamiser les moments d’apprentissage. Un outil ludique commeSparkup favorise la mémorisation car le jeu a un pouvoir référentiel très important pour l’apprentissage.Pour les étudiants, utiliser un outil qui facilite le travail collaboratif est une opportunité d’être mieuxpréparé aux attentes et aux méthodes du monde du travail. »
Le Groupe IGS, expert de la formation et Nathan, acteur référent dans les domaines de l’éducation et de l’édition, s’associent pour accompagner les jeunes dans la réussite de leurs projets avec un enseignement connecté, original et performant. My e-BTS est un dispositif pédagogique, sur deux ans, qui articule 4 jours en entreprise avec 1 journée de formation en e-learning par semaine.
Logo de My e-BTS
My e-BTS pour une autre approche
My e-BTS développe une expérience inédite qui s’appuie sur la combinaison de différents modes d’apprentissage : un cross-apprentissage avec des classes virtuelles, des manuels interactifs, des entraînements en ligne, des regroupements en présentiel, un coaching personnalisé et renforcé. La pédagogie multi-modale/blended learning correspond à un jour dédié au e-learning (à distance) avec un accès, espace en ligne 24h/24h. « Mye-BTS correspond à une volonté commune, avec Nathan, de trouver une solution adaptée pour des jeunes qui se trouvent à distance des centres de formation» souligne Jean-Philippe Leroy, Directeur Général Adjoint en charge de l’alternance et de l’apprentissage du Groupe IGS.
Le Groupe IGS collabore aujourd’hui avec plus de 9 000 entreprises. Plus de 89% de celles-ci sont prêtes à recruter un apprenant du Groupe IGS.
«Nous sommes fiers du lancement de « My e-BTS » qui concrétise l’aboutissement d’un projet pour lequel les équipes du Groupe IGS et Nathan ont œuvré de concert pendant plusieurs mois.Cette nouvelle offre s’inscrit parfaitement dans l’esprit des réformes en cours, et nous sommes convaincus que « My e-BTS » saura séduire aussi bien les étudiants que les entreprises à la recherche d’un modèle d’apprentissage différent et novateur.« My e-BTS » est aussi l’occasion pour Nathan d’aller plus loin encore dans l’accompagnement et la digitalisation des enseignements dispensés, tout en s’appuyant sur des contenus de qualité qui ont déjà fait de notre maison d’édition la référence leader en BTS » explique Sylvain Fayol, Directeur de Nathan Technique Supérieur Formation Adultes.
«Nathan apportetoutes les ressources dont il dispose pour l’enseignement des BTSà distanceen phase avecla dernière réforme de la formation professionnelle,et nous, notre connaissance du dispositif de l’alternance. Ce travail mené en commun nous a permis de donner à nos enseignants des cours de référence adaptés à la réforme des BTS et de se servir de cet enseignement en ligne pour aider aussi nos apprenants présents sur nos campus à avoir un support disponible à tout moment. Nous nous engageons par ce dispositif à maximiser leur réussite aux examens » précise Jean-Philippe Leroy, Directeur général adjoint en charge de l’apprentissage et de l’alternance.
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