L’objectif de cette recherche sur le contrôle interne, réalisée par Tawhid Chtioui et Stéphanie Thiéry Dubuisson, est de montrer, à travers une revue exhaustive de la littérature sur le sujet, que maîtriser une organisation ne peut se limiter aux aspects formels du contrôle (hard controls) et que les aspects informels (soft controls) sont à la fois délicats à définir et complémentaires pour couvrir au mieux les risques.
Tawhid Chtioui
La structure de la recherche sur le contrôle interne
La première partie de cet article est consacrée à la définition et à la mise en place, parfois inflationniste, de strates de contrôles formels, ainsi qu’aux problèmes liés à l’ajout successif de ces réglementations. La seconde partie tente de définir ou, du moins, d’approcher, les aspects des contrôles informels, afin d’aboutir, dans une dernière partie, à la question de la nature de l’interaction entre les deux aspects du contrôle interne.
Le Crédit Agricole Provence Côte d’Azur a déployé le moteur de recherche européen Qwantsur son parc informatique. Qwant devient le moteur de recherche par défaut sur les postes de travail de 2.400 collaborateurs.
Qwant pour une meilleure protection de la vie privée
Par ce choix, le Crédit Agricole Provence Côte d’Azur démontre sa volonté de participer à une meilleure protection de la vie privée, des données personnelles et du secret professionnel et bancaire. Il contribue activement au développement de l’indépendance numérique européenne. En choisissant Qwant, la banque met en œuvre ses engagements de confidentialité et de respect du secret professionnel vis-à-vis de ses clients, personnes morales ou physiques.
Proche des valeurs et de l’éthique du Crédit Agricole, Qwant porte haut et fort ses engagements de protection de la vie privée des internautes, et promeut un modèle de minimisation de la collecte des données personnelles, conforme aux prescriptions du RGPD. Il ne conserve et ne transmet aucune donnée personnelle liée à ses utilisateurs.
Ainsi, le déploiement de Qwant est effectif depuis le 10 avril 2019 sur l’ensemble des 3.000 postes de travail de l’entreprise. Ceci permet à tous les collaborateurs du Crédit Agricole Provence Côte d’Azur d’effectuer leurs recherches sur le web avec la garantie de ne pas être traqués et que leur historique de requêtes ne soit pas conservé et analysé par le moteur de recherche.
Pour José Santucci, Directeur Général du Crédit Agricole Provence Côte d’Azur, « Dans le respect de la charte déontologique du Groupe Crédit Agricole, j’ai souhaité que le moteur de recherche Qwant – entreprise de notre territoire dont la proximité est source de confiance – soit paramétré par défaut sur tous nos postes de travail afin que chaque salarié de la Caisse Régionale l’utilise dans ses recherches professionnelles. Nos 900.000 clients nous font confiance au quotidien pour gérer leurs comptes. Aussi, est-il essentiel pour nous d’avoir la garantie que les données générées lors de nos recherches restent confidentielles… »
« Le Crédit Agricole Provence Côte d’Azur est à nos côtés depuis le début et a su croire et soutenir ce projet d’envergure, qui lui sera désormais utile au quotidien. Nous portons ensemble une vision européenne du Web portée par des valeurs de respect des utilisateurs et de leurs droits, pour permettre à un internet éthique et durable de se développer. Le Crédit Agricole y participe avec nous. ».
Propos d’Eric Léandri, Président et co-fondateur de Qwant
Regarder des films en VO améliore considérablement la compréhension de l’anglais, mais les Français préfèrent les films doublés.
City, University of London
Finalement les français aiment bien le français 😉
Selon une nouvelle étude réalisée par le professeur Albert Banal-Estañol de la City University of London en collaboration avec des universitaires de plusieurs établissements européens, les habitants des pays non anglophones qui diffusent des programmes de télévision en VO sous-titrés ont de meilleurs résultats dans les tests de compétence en anglais, en comparaison avec les habitants des pays diffusant les films doublés.
Dans le
cadre de ce projet de recherche, les universitaires ont utilisé les données
combinant : les compétences en anglais, le mode de traduction, les
variables démographiques et éducatives pour la période 2008-2015, ainsi que les
données historiques de l’époque du cinéma sonore. 135 pays du monde, où
l’anglais n’est pas la langue officielle, ont participé à l’étude.
Doublage ou sous-titrage ?
Les
disparités dans la maîtrise de l’anglais entre les pays non anglophones sont
considérables. Les chercheurs ont souligné l’existence de deux groupes de pays.
Au sein du
premier groupe, comprenant à titre d’exemple les Pays-Bas, le Danemark et la
Suède, plus de 80 % des citoyens déclarent pouvoir tenir une conversation en
anglais. Ce taux est de 60%, dans le deuxième groupe de pays, y compris en
Autriche, en Allemagne et en France. Il s’avère que, parallèlement, le
sous-titrage à la télévision et au cinéma est largement répandu dans le premier
groupe de pays.
Du point de
vue historique, dans les années 1930, Paramount Pictures a doublé des films
dans 14 langues européennes, dont le français et l’espagnol, mais aussi le
néerlandais et le suédois. Quelques années plus tard, certains pays sont passés
au sous-titrage tandis que d’autres ont poursuivi le doublage. La littérature
sur l’histoire du cinéma explique ce changement par deux raisons.
Premièrement,
il existe des arguments au niveau d’économie d’échelle. « Les pays peu
peuplés, comme la Suède ou la Grèce, sont passés au sous-titrage comme mode de
traduction principal, le doublage étant beaucoup trop coûteux dans le cas de
pays de petite taille », explique Albert Banal-Estañol, le professeur de la
City University of London.
Deuxièmement,
il semble y avoir des motifs politiques. Dans les années 30, des pays comme
l’Allemagne, l’Italie, le Japon et l’Espagne, avaient des régimes autoritaires
qui cherchaient à renforcer l’identité nationale. Il se peut que les dictateurs
aient fait la promotion de la langue locale pour renforcer la fierté nationale
et qu’ils aient ainsi favorisé le doublage. A titre d’exemple, en Italie,
Mussolini a introduit une loi qui stipulait que tous les films étrangers
doivent être doublés en italien, avec l’idée d’utiliser le cinéma comme
promotion de la langue commune.
Dans les
pays de l’OCDE, le choix du mode de traduction effectué dans les années 30,
qu’il s’agisse du doublage ou du sous-titrage, a persisté jusqu’à nos jours.
Comparaison entre les pays
Dans le
cadre de cette étude, les chercheurs ont mesuré les compétences en anglais des
personnes (non-anglophones) qui ont passé le test TOEFL (Test of English as a
Foreign Language). Les chercheurs ont observé des différences considérables
dans la maîtrise de l’anglais entre les pays utilisant le sous-titrage et ceux
utilisant le doublage. Ainsi, les habitants des pays privilégiant les
sous-titres obtiennent, en moyenne, 3,4 points de plus aux examens du TOEFL.
« Nous observons que les méthodes de traduction à la télévision et au
cinéma peuvent expliquer en partie le déficit de compétences en anglais dans
certains pays. En général, nous avons constaté que l’impact du sous-titrage
correspond à 16,9% du score global au TOEFL », souligne le professeur
Albert Banal-Estañol.
Les
chercheurs ont analysé le cas particulier de l’Autriche et des Pays-Bas. Il est
pertinent de comparer ces deux pays parce qu’ils ont une taille et des revenus
analogues, mais, en même temps, des approches en matière de traduction des
œuvres audiovisuelles différentes.
Selon
l’étude, en Autriche, où les programmes sont couramment doublés en allemand, la
capacité de tenir une conversation en anglais est de 53%. Aux Pays-Bas, où les
films et les programmes anglophone sont sous-titrés, 87 % des habitants peuvent
tenir une conversation en anglais.
Les
résultats de l’étude ont été ventilés par type de compétences (lecture,
écriture, écoute et expression orale). Il apparaît que les sous-titres à la
télévision, bien qu’ils améliorent toutes les compétences en anglais,
fonctionnent particulièrement bien pour améliorer la compréhension orale de la
langue de Shakespeare.
Les Français préfèrent le doublage
L’étude a
également révélé que les avantages que présente le sous-titrage pour progresser
en anglais, n’étaient pas un critère de choix du mode de traduction des œuvres
audiovisuelles. En effet, le sous-titrage peut même être considéré comme
indésirable parce qu’il force le public à lire.
Selon une
enquête récente de la Commission Européenne, plus de 90 % des personnes
interrogées en Suède, en Finlande, en Norvège, au Danemark et aux Pays-Bas sont
d’accord avec la déclaration suivante : « Je préfère regarder des films et
des programmes étrangers sous-titrés plutôt que doublés. » Seuls, environ
30 % des Français, des Espagnols et des Italiens et moins de 20% des Allemands
sont d’accord avec cette affirmation.
Les chercheurs suggèrent que les gouvernements pourraient promouvoir le sous-titrage comme moyen d’améliorer la maîtrise des langues étrangères. « Il est surprenant de constater que très peu de personnes (environ 12% des Européens dans une récente enquête de la Commission Européenne) pensent que la télévision est un outil efficace pour apprendre les langues étrangères. J’espère que notre recherche pourra aider à sensibiliser les gens aux avantages du sous-titrage », conclut le professeur Albert Banal-Estañol de la City University of London.
Les auteurs de cette étude sont :
Albert Banal-Estañol – School of Arts & Social Sciences, City, University of London et Universitat Pompeu Fabra, Espagne.
Augusto Rupérez Micola – Luxembourg School of Finance, Luxembourg
Ainoa Aparicio Fenoll – Collegio Carlo Alberto, Italy; University of Turin, Italie
Niveau requis : thèse obligatoire Type de contrat : contrat à durée déterminée Durée : 6 mois (3 mois renouvelables une fois) Début souhaité : 1er septembre 2019 Quotité : 100 % Rémunération brute : 2466 € /mois
Laboratoire d’accueil : UMR 7303 TELEMMe (AMU-CNRS) Maison méditerranéenne des sciences de l’homme 5, rue du Château de l’Horloge BP 647 13 094 Aix-en-Provence
Le/la chercheur.e post-doctorat travaillera au sein de l’UMR 7303 TELEMMe
dans le cadre du projet TIME-US (https://timeus.hypotheses.org/). Coordonné par
Manuela Martini, professeure à l’Université Lumière Lyon 2, et financé par
l’appel à Projets générique 2016 de l’ANR (Convention ANR-16-CE26-0018), le
projet traite des différents aspects des usages du temps et de la rémunération
des femmes, des hommes et des enfants dans le textile en France de la fin du
XVIIe siècle au début du XXe siècle.
Activités
Recherche, collecte de documents et d’informations bibliographiques pour le projet de recherche.
Préparation du travail préalable pour des rapports de recherche écrits, pour disséminer les résultats du projet et pour organiser des activités liées à la valorisation de ces résultats.
Participation active à des séminaires, colloques, publications et autres activités de développement du projet TIME-US.
Contribution au développement du projet de recherche.
Coordination de ses recherches avec les autres chercheurs afin d’optimiser le travail de l’équipe.
Participation à la mise en place et à l’alimentation du site internet du projet TIME-US.
Collaboration avec les étudiants, les personnels administratifs et les chercheurs de l’UMR TELEMMe (Aix-Marseille Université-CNRS), ainsi que de l’université Lyon 2 et du laboratoire LARHRA hébergeant la coordination du projet TIME-US.
Expériences et compétences requises
Diplôme de Master et Doctorat en histoire moderne ou contemporaine (histoire économique et sociale, histoire des techniques)
Capacité de travailler en équipe mais également de mener une recherche de manière autonome
Disponibilité à effectuer des recherches dans différentes bibliothèques et archives locales, régionales et nationales (Lyon et Paris) sur les XVIIIe et XIXe siècles
Expérience directe des méthodes de recherche qualitative et quantitative
Compétences souhaitées en modélisation des données en lien avec les sources historiques et archivistiques (EAD et TEI), si possible avec une connaissance des technologies de standardisation de la langue
Bonne connaissance de l’anglais, prérequis indispensable pour le recrutement
Modalités de candidature : Envoyer par e-mail en un seul fichier
.pdf
une lettre de motivation
un CV détaillé
les noms et adresses de deux répondants pouvant être contactés par le jury de sélection
Date limite pour l’envoi des dossiers : 10 mai 2019
Contact Anne Montenach (anne.montenach@univ-amu.fr, TELEMMe-MMSH, 5 rue
du Château de l’Horloge, BP 647, 13 094 Aix-en-Provence)
Manuela Martini (manuela.martini@univ-lyon2.fr; LARHRA-Institut
des Sciences de l’Homme 14, avenue Berthelot, 69007 Lyon)
Jean Mader s’est éteint dans la matinée du vendredi 19 avril 2019, à l’âge de 97 ans. Il était le Doyen de l’ISG.
Le dynamisme du Doyen, le Dr Jean Mader
« Doyen du Corps Professoral de l’ISG, Délégué auprès de l’ONU pour le développement Industriel, il a été un guide, en particulier dans ses développements internationaux, un stimulant par l’importance qu’il donnait puis qu’il faisait donner à l’esprit entrepreneurial. La dimension internationale qui souffle plus que jamais au sein de l’ISG doit beaucoup à son doyen, lui qui osa le premier initier le voyage d’une école en Chine au cours des années 70. De même, la vie associative de l’école, sous son influence, a vite dépassé son cadre traditionnel pour devenir l’autre école, l’autre ISG, faites d’ambitions et de passions et que bien des diplômés ont encore en mémoire.
Le dynamisme du Doyen, le Dr Jean Mader, ont permis à l’ISG de devenir, en 1989, titulaire et bénéficiaire des statuts consultatifs de l’UNIDO (Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel, comprenant 171 états membres et dont le siège est à Vienne, Autriche) en tant qu' »ONG statutaire ». L’ISG a participé à toutes les Assemblées Générales de l’UNIDO depuis la 4e session de 1991.
Pas
une cérémonie, pas une remise des diplômes, pas un évènement majeur sans la
présence du Doyen Mader, son éternel sourire, son obsession de nouvelles
conquêtes et de nouveaux développements pour l’école, son exceptionnelle
capacité à dialoguer et à réfléchir au futur avec des jeunes diplômés ou étudiants…
Le
Doyen Mader avait un secret qui rencontre l’époque. Il avait compris bien avant
Facebook et Linkedin ce que représentait l’importance du réseau professionnel.
Il avait surtout cette avance qui fait que les liens qu’il tissait avec les
gens, quel que soit le domaine, le pays, le profil, étaient tout autant le
partage de passions et de projets que des liens du cœur. C’était un doyen
respecté. C’était une personne qu’on aimait aimer.
Pour
les anciens étudiants comme pour les 3500 jeunes au sein de l’école pour la
direction de l’ISG à Paris comme dans les 7 villes dans lesquelles
l’institution est implantée, pour ses enseignants et intervenants, c’est
l’incarnation d’une figure très populaire, proche des jeunes même la barre des
90 ans franchie, toujours prêt à apporter son aide et à faire agir ses réseaux,
à conseiller et à innover.
Cette disparition affecte particulièrement les Anciens, celles et ceux qui ont eu la chance de connaître le Doyen dans ses années d’intense activité et l’Association des Diplômés de l’ISG s’associe étroitement à la direction du Groupe IONIS et à celle de l’ISG dans cet hommage. »
«Nous étions tellement habitués à l’enthousiasme de notre Doyen, à ses projets novateurs, à sa passion communicative, à sa vision d’un monde pacifique et fraternel, lui qui n’avait rien oublié des affres de la seconde guerre mondiale, qu’on ne pouvait que remarquer sa moindre présence ces derniers temps. Voilà quelques mois encore, il m’appelait plusieurs fois dans la journée pour me proposer une nouvelle et belle idée et ce n’était pas un homme à lâcher sur ses convictions. Nous perdons un doyen, une figure emblématique de l’ISG. Mais, et celles et ceux qui ont connu personnellement Jean Mader le comprendront bien, nous perdons un exemple, celui d’un esprit entrepreneur, d’un homme ouvert sur le monde, qui considérait qu’être bon n’était pas un signe de faiblesse, que la concurrence était saine quand elle se jouait dans le respect, que l’Europe des peuples et des amitiés avait bien plus de valeur et de futur que celle des frontières et des antagonismes.»
Marc Sellam, président-fondateur du Groupe IONIS et Président de l’ISG
Crédit d’impôt recherche : les entreprises réalisant moins de 100 millions d’euros de dépenses de recherche sont dispensées de l’obligation de dépôt de l’annexe décrivant la nature des travaux en cours.
Crédit d’impôt recherche simplifié
Une simplification administrative
Afin d’améliorer l’information sur la nature des dépenses financées par les entreprises bénéficiant du crédit d’impôt recherche (CIR), l’article 151 de la loi de finances pour 2019 a abaissé de 100 à 2 millions d’euros le seuil de l’obligation de déclarer l’état annexe à la déclaration de CIR, décrivant les travaux de recherche en cours (formulaire n° 2069-A-1-SD).
L’accès au CIR constitue un enjeu fort de financement pour les entreprises qui engagent des dépenses de recherche et développement. Dès lors que cette nouvelle obligation déclarative pourrait constituer une charge administrative significative, en particulier pour les petites entreprises ou les entreprises en phase d’amorçage, une mesure de tolérance administrative est mise en œuvre en 2019.
Afin de faciliter les démarches des entreprises, celles ayant engagé des dépenses de recherches comprises entre 2 et 100 millions d’euros sont dispensées du dépôt de l’état annexe 2069-A-1-SD en 2019. Il s’ensuit que seules les entreprises engageant plus de 100 M€ de dépenses de recherche restent soumises à cette obligation déclarative.
Le formulaire n° 2069-A-1-SD et sa notice en ligne sur impots.gouv.fr ont été aménagés en ce sens
Thales et deux grandes écoles d’ingénieurs brestoises, ENSTA Bretagne et ISEN Yncréa Ouest, ont officialisé, le 5 avril 2019, la création de la chaire de recherche et d’enseignement « Transnum » qui vise à disposer de nouveaux systèmes autonomes pour l’observation et la surveillance du milieu marin.
L’OCDE prévoit en 2030 le doublement de l’économie maritime, en cohérence avec la stratégie européenne pour la croissance bleue. L’exploitation des ressources marines et la maritimisation de l’économie impliquent une connaissance approfondie et une surveillance systématique du milieu marin, pour garantir un développement pacifique, écologique et durable.
La chaire répond au besoin de Thales
d’accélérer l’innovation technologique et l’intégration des dernières
recherches en menant des programmes de recherche appliqués, associant
l’industrie et le milieu académique.
Un des objectifs est par exemple de démontrer la faisabilité de permettre à un drone de surface ou sous-marin de naviguer de manière sécurisée dans le trafic maritime. La chaire Transnum vise aussi à former les futurs ingénieurs aux innovations technologiques à venir en robotique marine et systèmes d’observation marins, afin de préparer le haut niveau de compétence attendu par l’industrie de demain dans ces domaines d’expertise. »
La thématique générale de la chaire concerne les ensembles coordonnés de robots autonomes et leur utilisation à des fins d’observation et de surveillance des espaces maritimes. Pour y parvenir la chaire se décline en plusieurs objectifs scientifiques : améliorer les performances des réseaux de capteurs en localisation, détection et identification automatique ; concevoir des systèmes robotiques autonomes ; garantir la performance en autonomie de mission, la sécurité de la navigation en mer et la sûreté des systèmes autonomes, etc.
Plus de la moitié des salariés français (58%) réalise régulièrement des heures supplémentaires non rémunérées. C’est ce que révèle l’étude The Workforce View in Europe d’ADP (Automatic Data Processing), après avoir interrogé 10.585 salariés en Europe, dont 1.410 en France, sur leur sentiment à l’égard de leur environnement professionnel. La situation est similaire pour tous les pays Européens.
Pour les salariés européens
Le problème est particulièrement répandu en Allemagne (71%), en Espagne (67%)
et au Royaume-Uni (66%), par rapport à la Pologne (43%). Près d’un quart (22%)
des salariés anglais disent travailler gratuitement au moins 10 heures
supplémentaires par semaine, soit plus du double que dans les autres pays
européens.
La question de l’équilibre entre vie personnelle et professionnelle est
primordiale et régulièrement évoquée pourtant depuis de nombreuses années. Les
résultats du rapport suggèrent pourtant que les attentes qui pèsent sur les
collaborateurs sont parfois irréalistes et que certains modes de travail
peuvent obliger à travailler plus que ce qui est prévu dans leur contrat sans
être rémunérés en conséquence.
« Malgré de nombreux rapports et mesures très médiatisés montrant l’importance de la reconnaissance et du bien-être des salariés (droit à la déconnexion, chartes, télétravail…), il semble que des employeurs ne parviennent pas toujours à trouver le juste équilibre entre l’engagement des collaborateurs, le nombre d’heures effectuées et le sentiment d’une juste rétribution. Au-delà du risque d’épuisement auquel peuvent être exposés certains salariés, ce sont des situations qui génèrent des pertes de motivation avec des conséquences négatives à long terme sur la santé, la productivité et donc la performance globale de l’entreprise. »
Carlos Fontelas de Carvalho, Président d’ADP en France et en Suisse
En France les plus jeunes font de la résistance
En France, 58% des salariés pratiquent des heures supplémentaires. Il s’agit pour eux d’exercer leur activité en moyenne près de cinq heures (4h37) par semaine sans contrepartie, et 12% disent même travailler plus de 10 heures sans rémunération supplémentaire.
Cette tendance s’observe de manière moins significative chez les plus jeunes. En effet, 7% de la génération Z (16 à 24 ans) déclare en effectuer plus de dix heures par semaine, soit deux fois moins que leurs ainés de la génération Y (16% des 25-34 ans).
Les salariés français du secteur du bâtiment et de l’ingénierie sont les plus enclins à travailler régulièrement au moins cinq heures non rémunérées par semaine (59%). Ceux évoluant dans les secteurs des arts et de la culture, ainsi que dans l’informatique et les télécommunications comptent le plus d’heures de travail : la majorité réalise en effet plus de 10 heures supplémentaires par semaine (respectivement 23% et 22%).
Le rapport « The Workforce View in Europe 2019 » étudie les comportements et l’état d’esprit des salariés face au monde du travail actuel ainsi que leurs attentes vis-à-vis de leur futur environnement de travail. Les recherches ont été menées en octobre 2018 par Opinion Matters, agence indépendante d’études de marché. L’échantillon représente 10 585 salariés dans huit pays à travers l’Europe : France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Pologne, Espagne, Suisse et Royaume-Uni.
Jusqu’à la loi « Avenir professionnel », la formation en situation de travail (FEST) relevait de pratiques informelles, mais n’existait pas au sens du droit. En 2014, la DGEFP a lancé l’idée d’une expérimentation AFEST, Noria LAROSE, Directrice de Nell & Associés, une agence de formation digitale nous expose sa vision sur cette question.
Noria LAROSE, Directrice de Nell & Associés, nous évoque sa vision de l’AFEST (Formation en situation de travail)
« Cette expérimentation a été officiellement mise en place en novembre 2015 avec le soutien du FPSPP et du Copanef – et depuis du Cnefop – avec l’appui de 13 OPCA et du réseau Anact-Aract, et s’est achevée en juin 2018. Les résultats de cette expérimentation ont convaincu les législateurs de reconnaître officiellement l’AFEST en tant qu’action de formation, ce qui ne peut qu’encourager les entreprises et les organismes de formation à développer cette modalité. »
Quels sont les avantages des AFEST pour les entreprises,
pour les salariés ?
« Nous avons participé à cette expérimentation aux côtés de l’INHNI, l’Institut National de l’Hygiène et du Nettoyage Industriel, l’organisme de formation de la Fédération des Entreprises de Propreté. En effet, cette branche professionnelle représente des entreprises de tailles diverses, dont une grande part sont des très petites entreprises. Or, on le sait, les très petites entreprises sont souvent réticentes à laisser partir en stage leurs collaborateurs. Nous avons ainsi pu observer les apports de l’AFEST, tant pour l’entreprise que pour les salariés.
L’AFEST
permet à l’entreprise de former plus facilement ses salariés, et pour un coût
réduit : ils sont mobilisés moins longtemps, et acquièrent des
savoir-faire sur le lieu et sur le temps de travail. En reposant sur un binôme
composé d’un référent (lui-même dûment formé) et d’un apprenant, elle permet
aussi de valoriser les managers et d’améliorer les relations entre managers et
collaborateurs. Il existe aussi des savoir-faire rares et spécifiques pour
lesquels les entreprises trouvent rarement à l’extérieur des formations
adaptées. L’AFEST permet de les sauvegarder.
L’AFEST permet de faciliter l’accès à la formation des personnes qui ne bénéficiaient pas ou très peu de formations. Et son format, plus concret et opérationnel, sur le mode du learning by doing, avec l’observation par le manager, l’analyse de sa pratique, et l’échange, répond mieux aux attentes d’un salarié qui aurait des réticences à aller en formation : il a le droit à l’erreur et il peut s’exprimer. »
Quelle place pour le digital dans les AFEST ?
Chaque dispositif AFEST est spécifique à un contexte, précise Noria LAROSE : « Pour l’INHNI, dont le nombre de salariés à former est massif (40 à 50.000 salariés par an), nous avons conçu et mis en place un des premiers dispositifs de formation digitale AFEST. Nous avons créé un parcours de 9 modules permettant de former et d’évaluer les agents de service au poste de travail sur des temps courts, adaptés au rythme et aux situations professionnelles. Les managers, préalablement formés, dispensent ces formations sur site à l’aide d’une tablette. Nous avons constaté que les managers et les apprenants étaient très satisfaits de cette modalité qu’ils jugent attrayante, valorisante et efficace. Nous avons pensé l’ensemble du dispositif spécifiquement pour ce mode d’apprentissage et pour cet environnement de travail. Nous sommes convaincus que le digital dans les AFEST est tout à fait approprié pour de nombreux contextes. »
43% des Français ont moins de 100 relations sur les réseaux sociaux et seuls 14% des d’entre eux voient dans leur ‘communauté sociale’ un moyen de booster leur carrière.
LinkedIn comme premier réseau professionnel en France
LinkedIn, premier réseau professionnel en France et dans le monde, révèle aujourd’hui les résultats d’une nouvelle étude sur comment les Français vivent leur recherche d’emploi. C’est vrai que depuis longtemps cette question est un sujet central pour le développement économique en France.
L’étude révèle notamment que le processus de recherche d’emploi est
considéré comme fastidieux, trouver le bon poste auquel postuler constituant la
part de temps la plus importante (24% des interrogés) du processus de
recherche.
Alors que
43% des Français ont moins de 100 relations sur les réseaux sociaux, ils sont
en effet seulement 14% d’entre eux à voir dans leur communauté sociale un moyen
pour booster leur carrière et de trouver un emploi. Cependant, 42% d’entre en
eux pensent que cela est un réel avantage de connaitre des personnes via des
amis dans le secteur d’activité ou entreprise dans laquelle on postule.
L’étude a également permis d’identifier les principaux freins à la
recherche d’emploi auxquels les Français sont confrontés. Plus d’un tiers (33%)
des personnes interrogées déclarent craindre que leur candidature soit rejetée
par un employeur potentiel, tandis que 24% trouvent le processus de recherche
d’emploi stressant et 24% éprouvent un manque de confiance en eux pour
postuler. Par ailleurs, 44% des personnes interrogées pensent que ce sont les
différentes expériences professionnelles qui font la différence dans
l’obtention d’un job.
« A l’heure des médias sociaux, l’idée de communauté a pris un nouveau sens. Nous assistons à l’émergence de la génération C, un état d’esprit qui désigne les personnes connectées numériquement et qui sont totalement immergées dans un monde de connexions sociales et de contenus partageables. Pourtant, l’étude révèle que les Français sur les réseaux ne sollicitent pas spontanément leurs relations sociales établies sur les réseaux pour faire avancer leur carrière et les aider à trouver un emploi. Avec LinkedIn, le processus de recherche d’emploi est similaire à la manière dont on interagit plus largement avec son environnement social physique. En partageant, en postant et en se connectant à son réseau professionnel LinkedIn, cela permet de trouver plus facilement l’emploi que l’on souhaite vraiment. » précise Esther Ohayon, porte-parole de LinkedIn France.
Une campagne de publicité LinkedIn
LinkedIn a lancé une nouvelle campagne de publicité en France qui met en avant des membres de la communauté LinkedIn qui ont réussi à trouver l’emploi qu’ils souhaitaient grâce à leur réseau sur LinkedIn.
* Étude
par YouGov pour LinkedIn auprès de 1022 adultes en France du 12 au 14 février
2019 et a été réalisée en ligne. Les chiffres ont été pondérés et sont représentatifs de tous
les adultes français (âgés de 18 ans et plus).
Le 57e remise des Prix et Médailles de l’Académie des Sciences Commerciales – sous l’égide de François Momboisse, Président de la FEVAD, Fédération du e-commerce – aura lieu le jeudi 11 avril 2019 à partir de 17h À l’IGS .
Avec à ses côtés Fabrice Bardèche, vice-président exécutif et Marc Drillech, directeur général, Marc Sellam, président-fondateur, continue le travail de renforcement de sa direction opérationnelle de IONIS Education Group. En 2020, à l’occasion des 40 ans de sa création, le Groupe représentera un effectif global proche des 30.000 étudiants, une présence dans 14 villes en France, 10 campus à l’étranger, le positionnant comme leader de l’enseignement supérieur privé en France.
À la suite
de la nomination de Lucile Morel en tant que directrice financière et
d’Esther-Laure Sellam au poste de directrice des ressources humaines, trois
nouvelles nominations soulignent l’intention du Groupe IONIS d’amplifier ses
dynamiques de développement dans les univers de l’enseignement online, de la
formation continue et du numérique.
Stephane Zibi devient le nouveau directeur de IONISx, la edtech du Groupe IONIS
Après des études en informatique à La Sorbonne, Stéphane Zibi commence sa carrière en 1994 comme consultant dans un cabinet de conseil. Puis, il intègre Pierre Frey, cabinet d’avocats dans lequel il supervise les affaires liées aux nouvelles technologies. En 1998, il rejoint Arte et deux ans plus tard, l’agence web Babel@Stal. En 2003, il devient manager du studio de Doctissimo pendant 4 ans, avant d’intégrer Keyrus en tant que directeur eBusiness. Stéphane Zibi se consacre ensuite au lancement des activités en France de Fjord, agence rachetée depuis par Accenture et spécialisée dans l’innovation et le design de services. Puis, il rejoint Emakina.fr et organise son développement commercial. Il intègre ensuite le comité de direction de Valtech à Paris en devenant directeur de l’innovation, du marketing et du business development. Depuis 2015, avec sa société de conseil Nessim & Associés, il accompagne des sociétés dans leur transformation numérique. Il a pris ses fonctions à la tête de IONISx en décembre 2018.
Gilles Lodolo prend la direction de la formation continue et de l’alternance au niveau du Groupe IONIS
Ingénieur ENSEM en électronique, complété d’un DEA en mathématiques et d’un Executive MBA de l’Essec, Gilles Lodolo a démarré sa carrière chez Philips à des fonctions de direction générale de sites industriels en France et à l’étranger. Après avoir conduit des missions de développement et de restructurations au sein de ce groupe, il a repris une entreprise de sérigraphie qu’il a cédée en 2009 avant de rejoindre l’UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie) dont il a été le directeur en charge des questions d’emploi et de formation professionnelle. Il a notamment participé aux travaux de préparation de la loi « choisir son avenir professionnel » publiée le 5 septembre dernier. Il a animé le réseau de formation de l’UIMM (48 000 alternants et 150 000 salariés en formation continue) et géré des CFA. Il a rejoint le Groupe IONIS en février dernier pour prendre en charge le développement de la formation professionnelle.
Yannick Lejeune, directeur Internet du Groupe est nommé Chief Digital Officer de IONIS Education Group
Diplômé de l’EPITA en Sciences Cognitives et Informatique Avancée et titulaire d’un Master de Recherche en Sciences de Gestion de l’IAE Paris en collaboration avec HEC, Yannick Lejeune a pris ses fonctions de directeur internet du Groupe IONIS en 2006. Auparavant, il a exercé en tant que consultant en stratégie digitale auprès de start-up ou de grandes structures telles que Microsoft ou l’Elysée, a travaillé pour divers éditeurs (IBM, Lotus…), en SSII et a fondé, puis dirigé jusqu’en 2005 l’Institut d’Innovation Informatique de l’EPITA (3IE), structure mêlant cellule de veille et laboratoire de recherche appliquée. Il est également directeur de collection de bandes dessinées aux éditions Delcourt.
« Ce renforcement notable des directions opérationnelles du Groupe va nous permettre tout d’abord de développer notre potentiel d’innovation dans un monde fortement marqué par la transformation numérique. Et aussi, d’étendre notre activité dans l’univers de la formation continue qui reste encore trop peu irrigué par l’expérience de nos écoles et de leur modernité.Et enfin, d’accroître la performance intrinsèque de nos établissements. Plus que jamais, je veux que notre Groupe soit un moteur constant d’innovation et de transformation de la pédagogie au service de la réussite durable de nos étudiants et de nos diplômés. »
Sur des marchés devenus hyper compétitifs et incertains où le digital rebat les cartes des business models, les dirigeants doivent savoir en permanence revoir ou ajuster leur stratégie. Pour leur apporter de nouvelles réponses, l’association étudiante S-KUBE constituée autour du programme MSc International Strategy & Influence de SKEMA Business School organise le 11 avril 2018 à Paris la deuxième édition du sommet de la stratégie : le SKEMA StrategySummit.
Logo du SKEMA STRATEGY SUMMIT
Keynotes et table-rondes au cœur des problématiques de l’entreprise
exposés par des experts et des praticiens
Réalisé en
partenariat avec la plateforme LeBonCoin (Groupe Adevinta) qui héberge
l’événement, le SKEMA Strategy Summit 2019 rassemble un panel d’experts en
stratégie d’entreprise et d’entrepreneurs qui interviendront sous différents
formats interactifs en conférences et tables-rondes.
Après l’ouverture de
la journée par Alice Guilhon,
directrice générale de SKEMA Business School, Didier Bonnet, Senior Vice-President & Global Practice Leader
Digital Transformation de CapGemini Invent animera une keynote d’une heure sur
le futur de la stratégie.
Plusieurs autres keynote
speakers et personnalités sont également au programme de la journée :
le philosophe et président du laboratoire d’idées « Génération Libre » Gaspard Koenig, le président de
l’Autorité de la concurrence et économiste Emmanuel Combe, le stratégiste Guy Mamou-Mani, fondateur du groupe Open, Alain Bauer, le président du Conseil Supérieur de la formation et
de la Recherche Stratégiques ainsi qu’Alain
Juillet, le président de l’Académie de l’Intelligence Économique.
Des tables-rondes
réuniront tout au long de la journée des experts et praticiens en Stratégie,
Géopolitique, Intelligence Économique, Intelligence Artificielle, etc.
Pour s’inscrire et
visualiser l’intégralité du programme, c’est ici
C’est quoi S-KUBE ?
Fortement
sensibilisés sur des problématiques relatives à la stratégie d’entreprise
telles que la sécurité économique ou le management de la connaissance, les
étudiants du Master of Science Stratégie & Influence de SKEMA Business
School ont décidé de fonder l’association loi 1901 S-KUBE qui a pour objet la
diffusion des dernières pratiques et tendances de la stratégie d’entreprise.
Ils ont fait le pari en 2018 de lancer le premier Sommet de la stratégie. Suite
au succès de la première édition, c’est avec une grande fierté que l’équipe
S-KUBE 2018/2019 reprend l’organisation de l’évènement 2019 en restant fidèle à
l’esprit de convivialité, d’interdisciplinarité et de rigueur dans l’analyse.
Le Master of Science International Strategy and Influence a été créé par des experts de SKEMA, des entreprises leaders dans le domaine de l'intelligence économique, de la stratégie et du consulting tels que Boston Consulting Group, Capgemini Consulting, l'Institut National des Hautes Etudes de la Sécurité et de la Justice. Le programme est dirigé par Christophe Bisson.
« … Ce grand rendez-vous annuel de la littérature et de la pédagogie Economique met à l’honneur, à la fois des personnalités de notoriété mondiale, auteurs confirmés, et de nouveaux talents très prometteurs : Des éclairages lumineux, humains, sociaux, théoriques et économiques pour relever les défis du « Nouveau Monde » et lutter contre la pauvreté et les inégalités… ».
La 32e édition du Prix Turgot a eu lieu à Bercy le 14 mars 2019, comme nous l’annoncions, sous le Haut Parrainage de Bruno Lemaire, Ministre de l’économie et des finances, et Jean-Claude TRICHET, Président du Grand Jury, a proclamé :
Grand Prix d’honneur de la 32e édition
Monsieur le Gouverneur Michel CAMDESSUS Ancien Directeur Général du FMI Auteur de « Vers le Monde de 2050, ce que l’avenir nous réserve » chez Fayard
LAUREAT de la 32e édition du PRIX TURGOT
Monsieur Guillaume PITRON pour son ouvrage « La guerre des métaux rares » – Les liens qui libèrent remis par Laurent MIGNON – Président du groupe BPCE – Président en exercice du Cercle Turgot
PRIX du JURY
remis par Patrick COMBES – Président du groupe Viel et Cie
Gilles DUFRENOT – Les pauvres vont-ils révolutionner le XXIe siècle – Atlande
Mentions d’honneur :
Jean-Pierre ESTIVAL – La malédiction des comptes extérieurs de la France – L’Harmattan
Bernard RAFFOURNIER – Théorie de la comptabilité financière – Economica
Marie-Anne VALFORT et Stéphane CARCILLO – Les discriminations au travail – Presses de Sciencespo
remis par Catherine LESPINE Présidente du Groupe INSEEC-U
Prix Spéciaux : avec Philippe DESSERTINE – Directeur Général de l’Institut de Haute Finance IHFI
Prix Turgot des Ouvrages Collectifsremis par Serge MASLIAH DG de KYRIBA « Le financier, le juriste et le geek » – Maxima – dirigé par André-Paul BAHUON – Président de CCEF et Jean-Jacques PLUCHART, Professeur émérite -ae IHFI
Prix Turgot du Jeune Talent remis par Philippe LEGREZ délégué général de la fondation Michelin Sylvestre FREZAL –Quand les statistiques minent la France et la société – l’Harmattan
Prix Turgot de la Pédagogie Economique remis par Alain DEMAROLLE, Président de My Money Bank Antonin BEREAUD – Gilbert CETTE – Rémy LECAT – Le bel avenir de la croissance – Odile Jacob
Prix des Directeurs Financiers TURGOT – DFCG remis par Bruno de LAIGUE Président DFCG Pierre-Antoine DONNET – Quand la Chine achète le monde – Ed. Piquier Mention Spéciale à Bernard RAFFOUNIER – Théorie de la comptabilité financière – Economica
Prix de la Francophonie – FFA- TURGOT remis par le Président Steve GENTILI Bruno METTLING – Le temps de l’Afrique digital – b. Africa Mentions Spéciales Monsieur l’Ambassadeur KEREKOU Moïse Tchando – Vision Africaine – l’Harmattan et Hillel RAPOPORT – Repenser l’immigration en France – Rue d’ULM.
L’affiche du Prix Turgot
Première revue francophone de management – Revue gestion REVUE GESTION Revues de Gestion