ISCOM PARIS lance son startup challenge auprès de ses 451 étudiants

Les futurs diplômés des programmes de 5e année à ISCOM PARIS (Institut Supérieur de Communication), participent depuis hier à l’Audacity Week, un challenge visant à créer sa startup en une semaine. Entièrement effectué en anglais, ce challenge de 30 startups vise à promouvoir l’esprit d’entreprise parmi les Iscomiens et à nourrir le parcours d’entrepreneuriat de l’ISCOM PARIS. Il donnera lieu, ce vendredi 7 juillet, au pitch de 5 projets finalistes devant un jury d’investisseurs.

Du 3 au 6 juillet : un bootcamp encadré par des professionnels de l’entrepreneuriat

À l’image de l’émission entrepreneuriale américaine « Shark tank », les jeunes entrepreneurs de 30 startups auront 10 minutes pour pitcher leur projet le jeudi 6 juillet. Un format innovant qui oblige les étudiants à se dépasser et à faire preuve de conviction.

Pour les aider, ils bénéficieront pendant toute la semaine de l’accompagnement d’experts comme :

  • Pascal Condamine, Project Evangelist chez Indiegogo
  • Ève Chegaray, Chroniqueuse Entrepreneuriat & Innovation chez BFM Business
  • Catherine Torterat, Chargée de mission chez Union des Couveuses de France

Les startups présenteront de nombreux projets, dans des secteurs aussi divers comme le secteur sportif, le milieu médical ou les nouvelles technologies.

À l’issue de cette pré-sélection, 5 finalistes pourront défendre leur startup face à de vrais investisseurs, le lendemain, le vendredi 7 juillet.

Vendredi 7 juillet : une finale devant des investisseurs à ISCOM PAris

Les 5 startups finalistes pitcheront devant un jury d’investisseurs (BPI, Initiative France, Frenchtech Normandy, NFactory, etc.) et tenteront de décrocher un soutien (financier et/ou en accompagnement) pour lancer leur projet.

ISCOM, école supérieure de communication et publicité, forme ses étudiants à des postes à responsabilité, impliquant vision stratégique et maîtrise opérationnelle de la fonction communication dans l’entreprise. L’école les dote d’une culture managériale humaniste, associée à la conscience du résultat et au sens de l’intérêt collectif.

ISCOM a intégré de manière systématique l’entreprise à sa pédagogie, dont les spécialisations couvrent l’ensemble des métiers de la communication : communication globale des entreprises et des marques, marketing/publicité, communication et création numérique, relations publiques, presse, événementiel.

ISCOM, 1 réseau de 7 écoles en France : Paris, Lille, Lyon, Montpellier, Rouen , Strasbourg et Toulouse

Finale le vendredi 7 juillet à 13h00 à ISCOM PARIS
4, Cité de Londres, 75009 Paris

ISCOM PARIS

6 mesures pour accroître l’attractivité des établissements d’enseignement supérieur

Pour la première fois et pour répondre à un contexte international de plus en plus concurrentiel, la Conférence des Présidents d’Université (CPU), la Conférence des directeurs des écoles françaises d’ingénieurs (CDEFI), la Conférence des grandes écoles (CGE) et le Forum Campus France proposent conjointement à la Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation six mesures pour accroître l’attractivité des établissements français d’enseignement supérieur auprès des étudiants étrangers.

Pour plus d’attractivité des établissements français d’enseignement supérieur

Ces propositions présentée à Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, par les trois conférences et le forum Campus France portent sur :

  • le renforcement des bourses du gouvernement français ;
  • une campagne mondiale de communication ;
  • une augmentation des moyens alloués aux établissements pour l’accueil des étudiants et chercheurs étrangers ;
  • une simplification des processus de candidature et le développement de formations innovantes ;
  • une simplification du séjour des étudiants et jeunes chercheurs étrangers ;
  • le développement de la mobilité sortante des étudiants français.
Frédérique Vidal enseignement supérieur
Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (photo du Gouvernement)

Le texte commun détaillant chacune de ces six mesures a été remis ce matin à Frédérique Vidal, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, à l’occasion des Rencontres de la Recherche et de l’Innovation de Campus France. Cet événement se tient du Lundi 3 Juillet au Mercredi 5 Juillet à la Cité des sciences et de l’industrie à Paris.

Pour information : selon l’Unesco, le nombre d’étudiants en mobilité diplômante dans le monde a été multiplié par deux en douze ans, passant de 2 170 000 en 2002 à 4 300 00 en 2014. Après plusieurs années, comme troisième pays de destination, derrière les USA (842 000 étudiants) et le Royaume-Uni (428 000), la France vient de passer à la quatrième place derrière l’Australie (266 000).

Chiffres clés de la mobilité internationale des étudiants

PJ : la note commune CPU/CDEFI/CGE/Forum Campus France sur les mesures nécessaires pour accroître l’attractivité des établissements français d’enseignement supérieur

  • À propos de la CPU
    Fondée en 1971, la Conférence des présidents d’université (CPU) rassemble les dirigeants exécutifs des universités et établissements d’enseignement supérieur et de recherche afin de porter la voix et les valeurs des universités dans le débat public. Elle comprend actuellement 130 membres (présidents d’université, directeurs d’écoles normales supérieures, d’INP, d’INSA, administrateurs généraux) mais également des membres associés.
    Force de proposition et de négociation auprès des pouvoirs publics, des différents réseaux de l’enseignement supérieur et de la recherche, des partenaires économiques et sociaux et des institutions nationales et internationales, la CPU réagit aux évolutions du monde de l’enseignement supérieur et de la recherche et propose des éléments de transformation.
    Dans un contexte de profondes mutations du secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche, la CPU a également un rôle de soutien aux présidents dans leurs nouvelles missions et de promotion de l’Université française et de ses valeurs en France et à l’étranger.
    Pour en savoir plus : www.cpu.fr
  • À propos de la CDEFI
    Fondée en 1976, la CDEFI (Conférence des directeurs des écoles françaises d’ingénieurs) réunit l’ensemble des directeurs et directrices des établissements ou composantes d’établissements, publics ou privés, accrédités par la Commission des titres d’ingénieur (CTI) à délivrer le titre d’ingénieur diplômé. Elle a pour principale mission d’étudier tous sujets relatifs au métier et à la formation des ingénieurs, ainsi qu’au développement de la recherche et à la valorisation de celle-ci. Elle a, de plus, vocation à promouvoir l’Ingénieur de l’école française, dans le monde comme en France. Ainsi, la dimension internationale est au cœur de ses préoccupations, notamment dans l’espace européen de l’enseignement supérieur et de la recherche.
    Pour en savoir plus : www.cdefi.fr 
  • À propos de la CGE
    Créée en 1973, la Conférence des grandes écoles (CGE) regroupe 223 établissements d’enseignement supérieur et de recherche français et étrangers, représentant tout le spectre des formations supérieures en Grandes écoles de niveau Master et au-delà. Assurant une formation de masse (41 % des Masters délivrés chaque année en France) et de recherche intensive, les Grandes écoles mettent en cohérence un projet pédagogique en fonction du profil de l’étudiant et des débouchés professionnels. Think tank pour l’enseignement supérieur et la recherche, et défenseur des intérêts des Grandes écoles, la Conférence accrédite aussi des formations (MS, MSc, BADGE, CQC). Les 265 membres de la CGE (Grandes écoles, entreprises et organismes) permettent à la France de proposer une offre de formation et de recherche à déclinaisons multiples.
    Pour en savoir plus : www.cge.asso.fr
  • A propos du Forum Campus France
    Prévu par le décret constitutif du 30 décembre 2011, le Forum Campus France permet l’association la plus large de tous les établissements français susceptibles de représenter à l’étranger la qualité et l’originalité de notre enseignement supérieur.
    Les établissements d’enseignement supérieur, regroupés au sein de ce Forum, sont chargés d’émettre des recommandations au conseil d’administration pour la promotion à l’international de l’enseignement supérieur français.
    La coordination des travaux du Forum Campus France, est assurée par un Bureau, présidé par un représentant de la Conférence des Présidents d’Université (CPU) et de deux vice-présidents issus respectivement de la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) et de la Conférence des Directeurs des Ecoles Françaises d’Ingénieurs (CDEFI).
    Aujourd’hui, le Forum est constitué de 342 établissements d’enseignement supérieur français.
    Pour en savoir plus : www.campusfrance.org

Moda Domani Institute : Anne Kieffer Bouvier nommée à la direction

Moda Domani Institute, la business school des métiers du luxe de la mode et du design, membre de IONIS Education Group, créée par l’ISG en 2014, a accueilli sa directrice générale : Anne Kieffer Bouvier.

Moda Domani Institute change de direction

Anne Kieffer Bouvier.
Anne Kieffer Bouvier.

Anne Kieffer est en charge de diriger Moda Domani Institute (formation post-bac en 5 ans), de la faire rayonner dans les milieux concernés, de travailler avec les professionnels pour inventer et animer sa pédagogie vers une recherche d’excellence au service des 3 valeurs de l’établissement : ouverture, passion et initiative.

« Je suis convaincue que Moda Domani Institute sera l’acteur de référence de la formation aux métiers du luxe d’aujourd’hui et de demain, à travers son ouverture sur le monde, sa culture proche des nouvelles technologies et sa pédagogie innovante en mode agile qui panache cours structurants et projets en équipe pour répondre aux exigences des jeunes générations. La digitalisation du monde du luxe ouvre des horizons encore inconnus et ce challenge me passionne », déclare Anne Kieffer, directrice générale de Moda Domani Institute.

Parcours et formation

Diplômée d’un DESS de marketing à la Sorbonne, Anne Kieffer possède une solide expérience de 25 ans passés dans le conseil en marketing, la stratégie de communication, la culture, au sein de grands groupes internationaux (FCB, Saatchi, Lowe, Leo Burnet, Havas).

En 2002, elle a créé, au sein du groupe Havas chez Havas media, la première agence de communication par l’art pour les marques autour d’un nouveau modèle économique (« l’art est un media »), puis en 2012, elle a choisi de fonder sa propre structure pour se spécialiser dans le conseil en communication digitale et la formation. À ce titre, elle a assuré de nombreuses missions pédagogiques à Bordeaux pendant 3 ans en tant qu’intervenante au sein d’établissements d’enseignement supérieur positionnés sur le digital.

Elle a également participé à de nombreuses publications dans la presse et est auteur de 3 ouvrages : « Mettez de l’art dans votre com’» (publié en 2003 chez Eyrolles), « Histoire de la peinture des origines à nos jours » (Studyrama), « L’indispensable de la culture générale » (Studyrama).

Moda Domani Institute

Pascal Brunelet élu nouveau Président de Silver Valley

Silver Valley, l’écosystème francilien réunissant 300 acteurs de la Silver économie change de gouvernance. L’Assemblée Générale des adhérents de Silver Valley qui s’est réunie le vendredi 23 juin 2017 à Silver Innov’ a élu Pascal Brunelet au poste de nouveau Président. Ce dernier occupera cette fonction pendant les trois prochaines années, succédant à Jérôme Arnaud.

Une page se tourne pour Silver Valley : Jérôme Arnaud, Président du cluster francilien depuis 2012, quitte officiellement ses fonctions. C’est le deuxième grand changement dans la carrière de Jérôme Arnaud au cours de cette année. En effet, au mois de février 2017, il quittait également la présidence du Groupe suédois Doro – leader mondial de la téléphonie pour les seniors. Un choix stratégique qu’il jugeait nécessaire pour pouvoir se concentrer sur le lancement de sa propre structure : Silveraje Consult, cabinet de conseil en stratégie dédiée à la Silver économie.

Le nouveau Président de Silver Valley, Pascal Brunelet, est diplômé de l’ESSEC Business School et possède une expérience de plus de vingt-cinq ans à des postes exécutifs dans les univers de l’hôtellerie, de l’agro-alimentaire ou encore celui de la santé.

Dans les différentes fonctions de Direction Générale occupées, Pascal Brunelet a développé une réelle expertise et de multiples compétences associées à des résultats tangibles en France et à l’étranger. Aujourd’hui, il est également Président de Link Care Services : société développant des solutions technologiques dédiées au bien vieillir. La mission de l’entreprise s’inscrit dans une volonté de maintenir l’autonomie des personnes âgées, par la liberté d’aller et venir en sécurité.

Durant les dix années qui ont précédé son arrivée chez Link Care Services, Pascal Brunelet a été Directeur Général Délégué du Groupe Colisée. Ce dernier, avec plus de soixante établissements (Ehpad et SSR) et 2 500 collaborateurs, est le cinquième opérateur de maisons de retraite médicalisées en France.

Pascal Brunelet, nouveau Président de Silver Valley, commente ainsi son élection : « C’est un honneur d’avoir été élu et je tiens à remercier l’ensemble des membres de Silver Valley ainsi que le conseil d’administration. Nous allons poursuivre les actions engagées et développer ce beau projet à dimension sociétale et économique, afin de créer une dynamique vertueuse et pérenne de création de valeur et d’emplois autour de la Silver économie, permettant à chacun de nos membres et au territoire Francilien de gagner en visibilité, compétitivité et expertise.
Cette dynamique vertueuse sera rendue possible par la mise en réseau des compétences croisées et par l’interaction entre nos membres qu’ils soient start-up, scale-up, PME, Grand Groupe ou administration publique ».

Pascal Brunelet Silver Valley
Pascal Brunelet, nouveau Président de Silver Valley

À propos de Silver Valley

Créé en 2013, Silver Valley est un écosystème qui rassemble l’ensemble des acteurs de la filière Silver économie en Ile-de-France. Pour ce faire, elle met en place les conditions propices au développement de projets d’innovation et d’entrepreneuriat pour l’ensemble des acteurs publics et privés sur le territoire de l’Ile-de France afin de répondre aux besoins et aux usages des seniors et de leurs proches

E2C : création de la première École de la 2e Chance en Normandie

Une nouvelle École de la 2e Chance (E2C) a été officiellement inaugurée en Normandie, à Hérouville Saint-Clair, ce jeudi 29 juin. Édith CRESSON, ancien Premier Ministre et Présidente de la Fondation Edith CRESSON pour les E2C était présente à cette occasion au côté d’Hervé MORIN, Président de la Région Normandie et de Rodolphe THOMAS, Vice-président de la Région Normandie et Maire d’Hérouville Saint-Clair.

E2C École de la 2e Chance en Normandie Édith CRESSON

Le Réseau E2C France poursuit son développement en Normandie

Ouverte depuis janvier 2017, l’E2C Normandie a déjà accueilli et accompagné 62 stagiaires. Rappelons que les Écoles de la 2e Chance aident chaque année près de 15 000 jeunes sans qualification ni emploi à trouver une solution durable d’insertion sociale, citoyenne et professionnelle.

Déjà 118 sites-Écoles en métropole et Outre-mer

À ce jour, il existe 118 sites-Écoles répartis en métropole et outre-mer. Avec l’aide des principaux partenaires et financeurs (Régions, État, Fonds Européens, collectivités locales et territoriales, Taxe d’Apprentissage, entreprises), 8 nouveaux sites ont été ouverts depuis octobre 2016 : à Bergerac, à Toulon, à Fréjus, à Laval, à Lyon mais aussi à Hérouville Saint-Clair, à Fourmies et au Moule en Guadeloupe.

Alexandre SCHAJER
Alexandre SCHAJER

Pour Alexandre SCHAJER, Président du Réseau E2C France : « Le maillage national se poursuit, en un an le Réseau E2C France est passé de 110 à 118 sitesÉcoles. Plusieurs projets d’ouvertures sont en cours à Onet-le-Château (Rodez Agglomération) et à Marseille pour une deuxième École. Des projets sont également en cours d’études en Guyane, en Charente, dans l’Indre, le Var, les Alpes-de-Haute-Provence et dans les Pyrénées-Atlantiques. L’intention est de disposer d’une couverture homogène de l’ensemble du territoire français afin d’offrir à tous les jeunes adultes sortis du système scolaire sans diplôme ni qualification (NEETS), une égalité d’accès et de droit à une deuxième chance. Cette évolution, si les financeurs le souhaitent et la soutiennent, pourrait concerner un accompagnement à terme de 24 à 25 000 jeunes adultes dans un dispositif caractérisé par l’alternance en entreprise et l’externat. »

L’ensemble des coordonnées des 118 sites-Écoles du dispositif E2C sont accessibles via la cartographie interactive du site du Réseau E2C France : https://reseau-e2c.fr/cartographie-des-e2c

Le 19e  prix d’histoire François Bourdon remis à Anaïs BERTRAND

Pour la 19e édition du prix d’histoire de l’Académie François Bourdon-Le Creusot et de la Fondation Arts et Métiers : « François Bourdon, Techniques, entreprises et société industrielle », les membres du jury ont décidé de ne pas attribuer de prix pour la première catégorie (thèse, ouvrage, manuscrit d’une HDR) contrairement à l’an passé, mais on remarqué les travaux de madame Anaïs BERTRAND.

Anaïs BERTRAND récompensée

Le prix jeune chercheur a été attribué à Anaïs BERTRAND pour son mémoire de Master 2, LES MAISONS DE CHAMPAGNE REMOISES PENDANT LA GRANDE GUERRE. Produire et vendre des vins de luxe dans la « Ville-martyre » – (août 1914 – mars 1918.), Université de Reims Champagne-Ardenne

Comme le veut le principe du prix, le dix-neuvième jury était composé d’industriels et d’universitaires. Participaient à ce jury mesdames Claudine Cartier, Conservateur général honoraire du patrimoine, Anne Dalmasso, professeure d’histoire à l’Université de Grenoble-Alpes ; Nadège Sougy, Chercheuse associée ; Dominique Varinois, IA-IPR, rectorat de Bordeaux;, Gérard Chrysostome, ingénieur centralien ; Nicolas Coupain, Directeur du patrimoine chez Solvay, Jean-Claude Daumas, professeur émérite à l’Université de Franche-Comté ; François Labadens, ancien secrétaire général d’USINOR ; Philippe Mioche, professeur d’histoire émérite à Aix-Marseille Université ; Pascal Raggi, maître de conférences en histoire à l’Université de Lorraine ; Serge Wolikow, professeur d’histoire émérite à l’Université de Bourgogne;

Anaïs BERTRAND, LES MAISONS DE CHAMPAGNE REMOISES PENDANT LA GRANDE GUERRE. Produire et vendre des vins de luxe dans la « Ville-martyre » – (août 1914 – mars 1918.), Université de Reims Champagne-Ardenne

Pendant la Première Guerre mondiale, la ville de Reims connaît 1051 jours de bombardements et est détruite à près de 90% à l’issue du conflit. La « cité des Sacres » devient « ville-martyre » ; l’incendie de sa cathédrale en septembre 1914 devient un des symboles de la « barbarie allemande ». Les vins de Champagne, qui assurent un prestige et une force économique à la ville depuis le XIXème siècle, sont directement impactés par le conflit. Les sites de production sont détruits, les dirigeants et ouvriers mobilisés, les voies de circulation coupées. Pourtant, les maisons de négoce rémoises parviennent à maintenir une activité durant tout le conflit. Le mémoire de recherche propose ainsi de découvrir comment les familles de négociants, les cavistes et les vignerons sont parvenus à maintenir une production et une commercialisation d’un vin de luxe durant la Grande Guerre.

Académie François Bourdon
Cour du Manège-Château de la Verrerie
BP 60031
71201 Le Creusot Cedex
Tél. : 03 85 80 81 51

www.afbourdon.com

Anaïs BERTRAND prix d'histoire de l’Académie François Bourdon

iaelyon : le Master Management et Commerce International accrédité EPAS

Le 6 juin 2017, l’accréditation EPAS, EFMD Programme Accreditation System, a été renouvelée pour le Master Management et Commerce International de l’iaelyon – Université Jean Moulin pour 5 ans, soit la durée maximale.
L’iaelyon obtient ainsi la confirmation de la reconnaissance accordée par l’EFMD à ce Master depuis 2008.

L’accréditation confirme la perspective internationale du diplôme et des carrières auxquelles il prépare, l’équilibre entre rigueur académique et dimension professionnelle des enseignements ainsi que la qualité du niveau des étudiants et des enseignements. Les auditeurs ont particulièrement souligné l’agilité et la culture de développement de projets de l’iaelyon dans un contexte universitaire public français ainsi que la densité des partenariats socio-économiques de l’école de management sur ses territoires.

Le Master Management et Commerce International : 5 parcours de formation

Le Master Management et Commerce International constitue une des treize mentions de masters de l’iaelyon. Ce diplôme forme des managers experts en actions et décisions en contexte international.  Il propose 5 parcours de formation : Commerce Extérieur, Management des Activités Internationales, Manager des Affaires Européennes, International Business Realities (entièrement dispensé en langue anglaise) et un parcours individualisé (dispositif de formation à la carte à l’international).

Les activités conduites par les enseignants-chercheurs au sein de l’axe de recherche Management International du Centre de recherche iaelyon Magellan contribuent aux enseignements qui intègrent les avancées majeures des connaissances dans ce domaine.

Le Master Management et Commerce International est organisé en deux ans, avec deux parcours (langue anglaise ou française) durant la première année. Il forme 200 diplômés par an, dont 30% d’étudiants internationaux. La dimension internationale du Master est très présente tant par la diversité des profils des étudiants et des intervenants que le caractère international des contenus de cours et des études de cas.

Les partenariats spécifiques développés avec l’Université VSE à Prague (accréditée EQUIS et EPAS), l’Université de Turin, l’Université de Bamberg, l’Université de Tamkang (Taiwan) et l’Université de Bilbao permettent aux étudiants de préparer des double-diplômes. Cette formation est également proposée à Canton en partenariat avec l’Université Sun Yat Sen, à Casablanca et Tanger avec HEM Business School, à Abidjan avec l’Université Félix-Houphouët-Boigny, et au Burkina Faso avec l’Université de Ouagadougou.

Une reconnaissance des parties prenantes du diplôme

La démarche d’accréditation inclut la constitution d’un dossier d’auto-évaluation et un audit impliquant des entretiens avec plus de soixante-dix personnes durant deux journées : équipe de direction, enseignants, étudiants, diplômés, entreprises partenaires, services support (carrières et relations entreprises, international, qualité, communication). Dans une logique d’amélioration continue, cette démarche permet l’identification de points de progrès, conduisant à être « chaque jour meilleur » dans la réalisation des activités et la conduite des projets du diplôme.

Le renouvellement de l’obtention du label EPAS confirme les entreprises dans leurs choix de recrutement des diplômés, valorise les alumni et augmente l’attractivité du diplôme, tant sur le plan national qu’international. En interne, la démarche constitue un levier de changement pour l’ensemble de l’iaelyon, au-delà de la seule formation accréditée.

Cette reconnaissance conforte l’iaelyon dans ses objectifs de développement, pour continuer à rayonner et à compter, au plan national et international, parmi les écoles de management internationalement reconnues.

Une accréditation qualité internationale délivrée par l’EFMD et partagée par une centaine de programmes de formation à travers le monde

EPAS est un système international d’accréditation qualité de l’EFMD, the Management Development Network. Organisme dont l’action est reconnue dans le monde de l’enseignement supérieur international, l’EFMD joue un rôle clé dans l’approche de l’enseignement supérieur de la gestion et du management en travaillant à l’élaboration de standards internationaux de qualité. Le label EPAS est une évaluation internationale de diplômes de management, garantissant que leurs contenus et modes d’organisation sont conformes aux plus hauts standards internationaux.

L’EFMD est l’un des deux principaux organismes mondiaux de certification qualité des Ecoles de Management et Universités d’Entreprises. A ce jour, l’EMFD compte près de 900 membres dans 86 pays ; 172 Ecoles de Management bénéficient du label qualité EQUIS à travers le monde, et 102 diplômes de 76 Ecoles de Management sont accrédités EPAS.

Master Management et Commerce International iae lyon

WayzUp lance l’initiative de l’éco-bonus covoiturage

Pendant 3 mois, 65.000 salariés pourront covoiturer gratuitement pour aller travailler. Dans le cadre de la semaine du développement durable, qui aura lieu du 30 mai au 5 juin prochains. WayzUp, la startup française du covoiturage domicile-travail, propose une initiative d’écomobilité inédite à ses 60 entreprises partenaires : l’éco-bonus covoiturage.

WayzUp veut l’éco-bonus covoiturage

Pendant 3 mois et partout en France, les entreprises partenaires de WayzUp vont pouvoir offrir les trajets en covoiturage à leurs salariés afin de les encourager à partager leur voiture et ainsi découvrir les avantages du covoiturage domicile-travail à la fois sur le plan économique, environnemental et de la qualité de vie au travail.

De grandes entreprises comme La Poste, Carrefour, Veolia, Renault, VINCI ou encore BNP Paribas participeront à l’opération, à partir du 30 mai et jusqu’au 30 août 2017.

L’ADEME, la Fabrique des Mobilités, programme d’accélération dédié aux projets de transports et mobilités, The Shift Project, think-tank engagé pour la transition énergétique et Le Lab RH, association des acteurs innovants dans les ressources humaines sont également partenaires de l’initiative.

« Notre cible, ce sont les « autosolistes », ces automobilistes qui prennent tous les jours leur voiture seuls pour aller au travail. Pendant 3 mois, nous leur proposons de laisser leur voiture au garage et de covoiturer gratuitement en tant que passager. Pour les faire franchir le pas, c’est WayzUp, en partenariat avec leur entreprise, qui paie leur conducteur ! » s’enthousiasme Julien Honnart, Président et Fondateur WayzUp.

Dès 2015, WayzUp avait été le premier opérateur à avoir mis en place avec la filiale informatique de l’énergéticien Engie une « prime covoiturage » pour récompenser les salariés les plus actifs en covoiturage.

Un premier pas vers un « chèque covoiturage » en entreprise

À partir du 1er  janvier 2018, la loi sur la transition énergétique oblige les entreprises à réaliser des plans de mobilité et à encourager le covoiturage de leur salarié.

Mais les entreprises qui souhaiteraient réellement le faire en donnant un coup de pouce financier aux salariés qui covoiturent seraient amenées à le payer en charges sociales supplémentaires, ce qui les décourage. Pourtant, le remboursement du transport en commun et depuis 2016 le remboursement du vélo, sont eux exonérés de charges sociales.

L’objectif affiché de WayzUp est de sensibiliser le nouveau gouvernement aux vertus que pourraient avoir un cadre législatif plus favorable au covoiturage domicile-travail, qui en a besoin pour se développer et devenir une vraie alternative à la voiture individuelle.

Il suffirait en effet de supprimer 1 à 3 voitures sur 10 pour éradiquer la congestion partout en France. Sans aucun coût d’infrastructure ni investissement supplémentaire, simplement en utilisant les places disponibles dans les voitures qui circulent.

« L’ADEME et la Fabrique des Mobilités soutiennent les démarches visant à développer le covoiturage quotidien dans tous les territoires. La Fabrique travaille sur plusieurs communs identifiés dans le domaine des incitatifs car ils jouent un rôle clé. L’action de WayzUp avec son éco-bonus nous semble importante pour développer des masses critiques et accompagner les changements de pratique de mobilité au quotidien. » déclare Gabriel Plassat, fondateur de la Fabriques de Mobilités et spécialiste des questions de transport à l’ADEME.

« Dans son rapport à paraître prochainement sur les alternatives à la voiture individuelle dans les zones périurbaines, The Shift Project conclut que le covoiturage présente l’un des meilleurs potentiels de réduction des émissions de CO2 dans ces zones (jusqu’à – 30 %), pour un coût très faible et des gains économiques importants pour les ménages. Ceci à condition de trouver les leviers de son développement : réaffectation de l’espace routier et des financements (Versement Transport, indemnités kilométriques, ou encore Certificats d’Economie d’Energie), incitation pour que les employeurs mettent en place un Plan de Déplacement Entreprise, avantages divers pour les covoitureurs réguliers, etc. L’éco-bonus proposé par WayzUp fait partie de cette palette de leviers possibles. » analyse Francisco Luciano, Coordinateur du Groupe de Travail de The Shift Project.

« Cette initiative unique vise à développer massivement le covoiturage en entreprise. WayzUp permet de créer un nouvel espace d’interactions entre collègues en aplatissant, le temps d’un trajet, la pyramide hiérarchique. Cela permet de créer plus de diversité, de favoriser l’innovation et d’améliorer la qualité de vie au travail des salariés » explique Alexandre Delmas, Ecosystem Builder Le Lab RH.

1  « Nous militons pour une « indemnité kilométrique covoiturage », sur le modèle de l’indemnité kilométrique vélo, afin de faire « sauter les bouchons ». Aujourd’hui, nos covoitureurs sont des précurseurs, mais ils sont encore trop peu nombreux pour avoir un véritable impact sur la qualité de vie en ville. Si demain, nous voulons convertir au covoiturage la « masse » des automobilistes, nous avons besoin d’un argument financier imparable. Ne plus prendre sa voiture doit devenir un réflexe et un réflexe qui rapporte, car c’est la société toute entière qui en bénéficiera. » conclue Julien Honnart.

WayzUp covoiturage

Appel à projets de recherche franco-irlandais « Ulysses »

« Ulysses » est le programme de coopération scientifique franco-irlandais. Il permet d’initier un partenariat sur la base d’un projet de recherche commun entre les deux pays en finançant les frais de déplacement des chercheurs. Il est mis en œuvre en Irlande par l’Irish Research Council, et en France par l’Ambassade de France à Dublin avec le concours de l’opérateur Campus France.

Ulysses 2017

L’appel à projet, qui est lancé annuellement, concerne les laboratoires de recherche rattachés à des établissements d’enseignement supérieur, à des organismes de recherche ou des entreprises qui sont désireux de développer des coopérations avec des partenaires irlandais.

Tous les domaines scientifiques sont éligibles à ce programme à l’exception de la médecine clinique.

Les dossiers sont à déposer avant le 15 septembre 2017, auprès de CAMPUS FRANCE pour l’équipe française et auprès de l’Irish Research Council pour l’équipe irlandaise.

Présentation du programme : http://www.campusfrance.org/fr/ulysses

Contact : science@ambafrance-ie.org

CAMPUS FRANCE Ulysses

Appel à proposition d’articles pour un dossier pour la revue Communication

La revue Communication, la revue du département d’information et de communication de l’Université Laval, lance un appel à proposition d’articles pour un dossier.

Des nouvelles dynamiques médiatiques dans les zones périphériques

Numéro thématique coordonné par Vindicien V. KAJABIKA (Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle), Alain KIYINDOU (Université Bordeaux-Montaigne) et Catherine GHOSN (Université Toulouse 1 Capitole/Université Paul Sabatier Toulouse 3

Voilà une décennie ou presque que les sociétés contemporaines pratiquent intensivement des activités communicationnelles intégrant technologie, interaction sociale entre individus ou groupes d’individus et création de contenu numérique généralisé, obtenu de façon simplifiée et banalisée sans nécessairement requérir des compétences particulières. Le recours aux TIC s’étant, depuis lors, généralisé, des nébuleuses humaines — des proches ou d’inconnus — se mettent en place, à travers ce qu’il convient désormais de qualifier de réseau social numérique (Cardon, 2011).

Thomas Stenger et Alexandre Coutant (2009 ; 2010) notent que l’audience et la popularité des réseaux sociaux numériques, tels que Facebook, Hi5 ou Myspace, soulèvent de multiples questionnements, dont celui de leurs usages et de leurs configurations sociotechniques sur le web. L’émergence de ces réseaux pose des défis à tous les secteurs d’activités de la société, y compris les secteurs de la production de l’information et des œuvres de fiction.

Serge Proulx (2002) a relevé les multiples trajectoires d’usages des technologies de l’information et de la communication comme des formes d’appropriation d’une culture numérique devenue un enjeu de la société du savoir. Cette culture numérique ne serait qu’une illusion idéologique masquant le jeu de logiques sociales opérant dans la société sur l’entraide, le don, la coopération et le support social. Plusieurs enjeux découlent de cette généralisation et appropriation des TIC : on citera notamment la question de la représentation de soi et de la représentation numérique (Georges, 2009), de la surveillance et du bien-être (Alloing, 2012), de l’humanisme numérique (Doueihi, 2011). Le recours massif et enthousiasmant aux TIC et par extension aux réseaux sociaux numériques a notamment entraîné la banalisation de l’accès et de la conception de l’information et des œuvres de fiction.

Cet appel à contributions est essentiellement focalisé sur les nouvelles dynamiques médiatiques nées du développement des technologies de l’information et de la communication en phase avec l’usage sociétal très prononcé de l’internet par rapport à certaines pratiques des médias classiques, tout particulièrement dans les zones « périphériques » (les Amériques, l’Afrique, les pays arabes).

Il y a lieu de noter que dans plusieurs pays, aussi bien développés qu’en voie de développement, ces médias classiques jouent encore un rôle non négligeable dans les médiations sociales. Ils sont, dans certaines situations, toujours considérés comme outil privilégié d’informations, de création artistique, de publicisation, de médiation, de débat politique et de mobilisation citoyenne (Livingstone et Lunt, 1994 ; Lochard, 1994). Cependant, il faut reconnaître que, de nos jours, le fonctionnement de ces médias classiques rencontre beaucoup de concurrences de plus en plus récurrentes. Aux nombreux obstacles et contraintes aussi bien politiques, institutionnels, sociaux, culturels, économiques que techniques, s’ajoutent dorénavant ceux que représentent le développement et les usages des réseaux sociaux numériques dans nos sociétés contemporaines.

En effet, l’essor de l’internet et des médias et réseaux sociaux numériques a bouleversé et/ou transformé profondément les pratiques de production médiatiques. En l’occurrence, internet facilite les mobilisations citoyennes en introduisant dans l’espace public des questions sociales oubliées par les médias classiques (Bennet et Segerberg, 2012) et l’inclusion de nouveaux membres habituellement écartés de la participation (Wojcik, 2011). Internet, en outre, modifie ostensiblement les relations sociales, les rapports de pouvoir, l’action et les médiations rendant possible un nouvel ordre social, politique et démocratique (Cardon, 2010).

Il s’agit d’examiner comment et en quoi les réseaux numériques impactent les pratiques des médias « classiques » par rapport au journalisme d’information tout particulièrement dans les zones « périphériques ». Ces nouveaux rapports entre les médias numériques et les médias classiques seront-ils marqués par la concurrence à outrance, la complémentarité, la transformation, l’adaptation ? Et ces nouveaux rapports sauront-ils s’imposer de façon uniforme ou s’ajusteront-ils aux différents contextes locaux, régionaux ou nationaux ?

Ce dossier voudrait privilégier l’analyse de l’information et ses pratiques journalistiques dans les zones « périphériques » (les Amériques, l’Afrique, les pays arabes), par rapport aux pays développés. En quoi la présence du journalisme open source, par exemple, et du darkweb et le dark journalisme en phase d’expansion ou les nouvelles formes de participation et d’engagements politiques en ligne, tout comme hors ligne (Théviot et Mabi, 2014), vont-ils modifier les pratiques des journalistes ?

Soumission d’une proposition pour ce numéro de la revue Communication

Les propositions d’article doivent compter entre 1 200 à 1 500 mots (bibliographie non comprise).

Elles présenteront le titre, la problématique, la méthodologie et la base empirique utilisés, ainsi que les principaux résultats qui seront développés.

La proposition doit être anonyme. L’auteur indiquera ses noms, institution d’appartenance et coordonnées directement dans le courriel.

La longueur de l’article final, si la proposition est retenue, sera de 40 à 60 000 signes, espaces non compris (ceci inclut les notes mais exclut la bibliographie).

Merci d’envoyer vos propositions par courrier électronique aux trois coordinateurs avant le 21 août 2017.

vuninga@yahoo.fr

alain.kiyindou@msha.fr

catherine.ghosn@gmail.com

La réception de chaque proposition donnera lieu à un accusé de réception par courriel.

Calendrier

21 août 2017 : Date limite d’envoi des propositions d’articles. Les propositions seront évaluées par le comité scientifique en regard de leur pertinence pour le dossier thématique et de leur qualité scientifique.

18 septembre 2017 : Notification d’acceptation ou de refus

11 décembre 2017 : Envoi des articles complets directement à la revue Communication revue.communication@com.ulaval.ca. Les consignes rédactionnelles sont disponibles à l’adresse http://communication.revues.org/6159. Chaque article sera évalué en double aveugle par un comité de lecture indépendant.

12 mars 2018 : Retour aux auteurs sur l’article. Le comité de coordination en consultation avec l’équipe éditoriale de la revue Communication décidera, à la lumière des évaluations, de l’acceptation en l’état, de la demande de modifications ou du rejet.

21 mai 2018 : Remise de la nouvelle version de l’article directement à la revue Communication revue.communication@com.ulaval.ca. Le comité de coordination vérifiera si les modifications apportées répondent aux recommandations du comité de lecture indépendant.

11 juin 2018 : Retour aux auteurs sur la nouvelle version.

Juin-septembre 2018 : Révision linguistique et retour aux auteurs

Automne 2018 : Publication électronique.

Comité scientifique

Noble AKAM, Abdel BENCHENNA, Charles BOYOMO, Stefan  BRATOSIN, Etienne DAMOME, Djamil Jean-Marc DHAKLIA, Jean Chrétien EKAMBO, Boyomo Essala ESSTIC, Marie-Soleil FRERE, Marc KAISER, Aimé KAYEMBE, Annie LE NOBLE BART, Edgar Charles MBANZA, Arnaud MERCIER, Pierre MOEGLIN, Isaac NAHON-SERFATY, Ouahmi OULD-BRAHAM, Nicolas PELISSIER, Sandrine RODRIGUEZ, Mihaela Alexandra TUDOR, Jacques WALTER.

Références bibliographiques

  • ALLOING, Camille et Julien PIERRE (2012), « Construire un cadre d’analyse avec les SIC pour comprendre les pratiques et les enjeux de la réputation en ligne (des individus et des organisations) », Actes du colloque de la SFSIC 2012, Rennes.
  • BENNET, Lance et Alexandre SEGERBERG (2012), « The Logic of Connective Action », Information, Communication and Society, 15(15) : 739-768.
  • BOURDIEU, Pierre (1979), La distinction : critique sociale du jugement, Paris, Éditions de minuit.
  • BUDDENBAUM, Judith M. (dir.) (2001), Religion and the Popular Culture: Studies on the Interaction of Worldviews, Ames, Iowa State University Press, p. 49-60.
  • CARDON, Dominique (2010), La démocratie Internet : promesses et limites, Paris, Seuil.
  • CAREY, James W. (2002), « Preface to the inaugural issue », The Journal of Media and Religion, 1 : 1-3.
  • DOUEIHI, Milad (2011), Pour un humanisme numérique, Paris, Seuil, 2011.
  • GEORGES, Fanny (2009), « Représentation de soi et identité numérique. Une approche sémiotique et quantitative de l’emprise culturelle du web 2.0 », Réseaux, 2(154) : 165-193.
  • HOOVER, Stewart M. (2001), « Religion, media and the cultural center of gravity », dans Daniel A. Stout et Judith M. BUDDEMBAUM (dir.), Religion and the Popular Culture: Studies on the Interaction of Worldviews, Ames, Iowa State University Press, p. 49-60.
  • LIVINGSTONE, Sonia et Peter LUNT (1994), « The mass media, democracy and the public sphere », dans Talk on Television: Audience Participation and Public Debate, London, Routledge, p. 9-35.
  • LOCHARD, Guy (1994), « Les imaginaires de la parole télévisuelle. Permanences, glissements et conflits », Réseaux, 63(12) : 13-38.
  • MABI, Clément et Anaïs THÉVIOT (2011), « S’engager sur Internet. Mobilisations et pratiques politiques », Politiques de communication, 3(2) : 5-24.
  • MATTELART, Armand (2009), Histoire de la Société de l’Information, Paris, La Découverte.
  • STENGER, Thomas et Alexandre COUTANT (2009), « La prescription ordinaire sur les réseaux socionumériques : Un moteur pour l’activité en ligne », Médias 09, entre communautés et mobilité, Aix-en-Provence, France, p. 1-24.
  • STENGER, Thomas et Alexandre COUTANT (2010), « Les réseaux socionumériques : des discours de promotion à la définition d’un objet et d’une méthodologie de recherche », Hermès, 440.
  • THOËR, Christine et Joseph Josy LÉVY (2012), « Quand mon personnage préféré consomme : usages et représentations des médicaments et des drogues dans la websérie Skins », Drogues, santé et société, 11 : 48-69.
  • TUDOR, Miheala Alexandra (2015), « Multidimension et événement religieux : le cas de la campagne d’évangélisation “L’horizon de l’espérance” de Hope Channel Romania (Speranta TV) », Tic & société, 9(1-2) : 2-35.
  • WOJCIK, Stéphanie (2011), « Participer… et après ? L’expérience des Consultations européennes des citoyens 2009 », Politique européenne, 34(2) : 135-166.
  • WOJCIK, Stéphanie (2011), « Prendre la démocratie électronique au sérieux. De quelques enjeux et controverses sur la participation politique. De quelques enjeux et controverses sur la participation politique en ligne », dans Elsa FOREY et Christophe GESLOT (dir.), Internet, machines à voter, démocratie ?, Paris, L’Harmattan, Coll. « Questions contemporaines », p. 111-141.

revue Communication

Livre blanc Arpejeh : propositions pour les jeunes en situation de handicap

Chez Arpejeh il n’y a ni tapis rouge, ni palme d’or, mais cette association est toutefois fiers de présenter LE CLIP de l’événement de lancement du Livre blanc Arpejeh : « Pour un accès effectif des jeunes en situation de handicap aux études supérieures et à l’emploi » et ses 7 propositions d’actions.

L’Arpejeh fait des propositions

Rappelons-le, ce Livre blanc est le fruit d’une série d’entretiens avec divers acteurs du monde éducatif, associatif, politique et économique ayant pour but de construire une véritable synergie dans les domaines de la formation et de l’insertion des jeunes en situation de handicap.

… Et après des jours d’une longue attente – dixit l’association agréée au niveau national par le Ministère chargé de l’Education nationale au titre des associations éducatives complémentaire de l’enseignement public – l’heure est enfin venue pour vous de découvrir le clip qu’Arpejeh a défendu tout au long de cette édition 2017.

Livre blanc Arpejeh présenté en vidéo

http://www.arpejeh.com/site/show-video.php?id=4201

Livre blanc Arpejeh bertrand signé

24e colloque du Centre d’éthique économique

Le 24e colloque du Centre d’éthique économique se déroulera à Aix-en-Provence les 15 & 16 juin 2017 dans la Salle des Actes de la Faculté de Droit et de Science Politique (3, Avenue Robert Schuman – 13628 Aix-en-Provence Cedex 1).

Programme du 24e colloque du Centre d’éthique économique

Jeudi 15 juin 2017

Séance d’ouverture

  •  9 h 30         Accueil café
  • 10 h 00        Accueil des participants et ouverture du colloque, par le Professeur Philippe BONFILS, Doyen de la Faculté de Droit et de Science Politique d’Aix-Marseille
  • 10 h15         Présentation du colloque, par Gil CHARBONNIER, Maître de conférences à la Faculté de Droit et de Science Politique, Directeur du Centre d’Éthique Économique, codirecteur du Magistère JCO (Journalisme et Communication des Organisations), Membre du CIELAM, AMU
  • 10 h 45        L’analyse économique de la famille : réductionnisme appauvrissant ou percée féconde ?, par Serge SCHWEITZER, Économiste, Faculté de Droit et de Science Politique, AMU,CDS EA 901 ;  ICES
  • 11 h 45        Discussion
  • 12 h 15        Pause déjeuner
    Le regard des juristes
    Président de séance :  Hervé ISAR
    Professeur à la Faculté de Droit et de Science Politique d’Aix-Marseille
    Vice-Président d’Aix-Marseille Université
    Directeur du LID2MS (Laboratoire Interdisciplinaire de Droit des Médias et des Mutations Sociales)
  • 14 h 30        Le droit de la famille : une perspective historique, par Jean-Philippe AGRESTI, Professeur à la Faculté de Droit et de Science Politique d’Aix-Marseille, Vice-Président d’Aix-Marseille Université
  • 15 h 00        Éthique et droit actuel de la famille, par Vincent EGEA, Professeur à la Faculté de Droit et de Science Politique d’Aix-Marseille, Aix-Marseille Université
  • 15 h 30        Famille et liberté éducative, par Éric DE LABARRE, Maître de conférences de droit public à l’Université de Bordeaux, Président de l’ICES (Institut Catholique d’Études Supérieures de la Roche-sur-Yon)
  • 16 h 00       Discussion
  • 16 h 30       Pause-café
    Table-ronde : Religion et famille
    Animée par Jean-Yves NAUDET
    Professeur émérite de la Faculté de Droit et de Science Politique
    ancien directeur du Centre d’Éthique Économique et des Affaires, Aix-Marseille Université
  • 17 H 00        Participants : Mgr Christophe DUFOUR, Archevêque d’Aix et d’Arles, Jean-Marc CHOURAQUI, Professeur Aix-Marseille Université, Directeur de l’Institut Interuniversitaire d’Études et de Culture Juives (IECJ), Denis GRIL, Professeur émérite, Aix-Marseille Université, IREMAM (Institut de Recherches et d’Études sur le Monde Arabe et Musulman)
    La table ronde sera suivie d’une discussion
  • 19 h 00        Cocktail, offert à tous les participants, dans le Patio de l’Université

Vendredi 16 juin 2017

  •  9 h 30          Accueil Café
    Le regard des économistes
    Président de séance : Dominique AUGEY
    Professeur à la Faculté de Droit et de Science politique d’Aix-Marseille
    Directrice du Master JCO, codirectrice du Magistère JCO (Journalisme et Communication des Organisations), Aix-Marseille Université
    Adjoint au Maire d’Aix-en-Provence, Conseiller régional Provence Alpes Côte d’Azur 
  • 10 h 00        Famille et protection sociale, par Jacques BICHOT, Professeur émérite à l’Université Lyon III
  • 10 h 30        Dette publique et générations futures, par Pierre GARELLO, Économiste, Professeur à la Faculté de Droit et de Science Politique, AMU
  • 11 h 00        Famille et fiscalité, par Maître Jean-Philippe DELSOL, Avocat fiscaliste, Président de l’IREF (Institut de Recherches Économiques et Fiscales)
  • 11 h 30        Discussion
  • 12 h 15        Pause déjeuner
    Le regard des littéraires,
    Président de séance :  Michel VAN DER YEUGHT – Professeur à la Faculté des Arts, Lettres, Langues, Sciences Humaines (ALLSH), Aix-Marseille Université, Directeur de la MIRREL (Maison interdisciplinaire des ressources et recherches en langues)
  • 14 h 30         Malaise dans la famille chez Pierre DRIEU LA ROCHELLE, par Gil CHARBONNIER, Maître de conférences à la Faculté de Droit et de Science Politique, Directeur du Centre d’Éthique Économique, Membre du CIELAM, AMU
  • 15 h 00         Marcel ARLAND : en haine de la famille, par Yvon HOUSSAIS, Professeur à l’Université de Besançon
  • 15 h 30        S’endetter est-il moral ? Familles endettées dans les romans de Charles DICKENS, par Nathalie VANFASSE, Professeur à la Faculté des Arts, Lettres, Langues, Sciences Humaines d’Aix-Marseille, Aix-Marseille Université, Membre du LERMA
  • 16 h 00        Discussion
  • 16 h 30        Pause-café
    Séance de conclusion
    Président de séance : Gil CHARBONNIER,
    Directeur du Centre d’Éthique économique et des affaires,
    Codirecteur du Magistère JCO (Journalisme et Communication des Organisations)
    Aix-Marseille Université
  • 17 h 00         La famille, creuset de la formation éthique de la personne, par Jean-Yves NAUDET, Professeur émérite de la Faculté de Droit et de Science Politique, ancien Directeur du Centre d’Éthique Économique et des affaires, AMU
  • 17 h 45        Discussion
  • 18  h 00       Clôture du colloque

ORGANISATION DU COLLOQUE

Responsables scientifiques : Gil CHARBONNIER & Jean-Yves NAUDET

Renseignements et Inscriptions : Françoise BENSAKKOUN – Centre d’Éthique économique et des affaires

Faculté de Droit et de Science Politique – AMU
3 avenue Robert-Schuman
13628 AIX-EN-PROVENCE cedex 1
Bureau 310 (3e étage bât Pouillon)
Tél : 04 42 17 28 73
mail : francoise.bensakkoun@univ-amu.fr ou fdsp-centre-ethique@univ-amu.fr

Tarifs
Personnes privées : 20 €
Étudiants : gratuité
Représentants des entreprises et institutionnels :  100 Є
Les tarifs indiqués comprennent l’inscription au colloque, les diverses pauses café et le cocktail du jeudi soir
Chèques à l’ordre de MME l’Agent Comptable d’Aix-Marseille Université

Centre d'éthique économique

Appel à candidature pour l’édition 2017 des talents de l’outre-mer

Vous êtes Originaire des Outre-mer français, par naissance ou par filiation. En fin de cursus, jeune diplômé ou déjà dans la vie active, et vous avez suivi en Métropole ou dans le monde une formation d’excellence, dans une discipline intellectuelle ou manuelle, ou bien encore dans une discipline relevant de la musique, du chant ou de la danse classiques.

185 talents de l’outre-mer à ce jour

Rejoignez les 185 “Talents de l’Outre-mer” déjà distingués par le CASODOM depuis 2005 qui rayonnent à travers le monde. Déposez sans tarder votre candidature pour la sélection des Talents de l’Outre-mer 2017.

Soit dans la catégorie des «Jeunes Talents», Si vous êtes étudiant, en fin de cursus, jeune diplômé ou jeune actif

Et vous recevrez si vous êtes lauréat une récompense de 2000 €

Soit dans la catégorie des «Talents confirmés»

Si vous êtes déjà reconnu dans le milieu professionnel

Clôture des inscriptions le 31 juillet 2017.

Le CASODOM, association reconnue d’utilité publique, est depuis 1956 l’interlocuteur social de référence des ultramarins en métropole. L’initiative des Talents de l’Outre-mer, qu’il a lancée en 2005, a pour objectifs de mettre en valeur les parcours d’excellence des Ultramarins, de les promouvoir en exemples pour démontrer aux Jeunes qu’il n’y a pas de fatalisme qui s’opposerait à leur ascension sociale, et de donner à nos concitoyens une image plus positive de nos Outre-mer que celle que certains pourraient s’en faire

REMISE DES PRIX LE 15 DÉCEMBRE 2017AU PALAIS D’IÉNA,

siège du Conseil Économique, Social et Environnemental à Paris

Informations et Dossier de candidature sur le site www. casodom.fr

Contact : CASODOM, 7 bis rue du Louvre 75001 Paris

Tél. 01 42 36 24 54

casodom.75@gmail.com

talents de l'outre-mer

Le nombre d’entreprises en EdTech en augmentation de 47% depuis 3 ans

MOOC, adaptive learning, cours à distance, campus étendu, student analytics, réalité mixte, intelligence artificielle sont autant d’usages qui viennent transformer l’éducation de demain. Dans ce contexte, Deloitte Digital en collaboration avec la Caisse des Dépôts, publie l’observatoire en EdTech, une filière d’entreprises innovantes dédiées au secteur de l’éducation et de la formation.

EdTech et chiffres

Cette filière dynamique compte 242 structures : des start-up en très grande majorité mais aussi des PME historiques et des associations.

  • L’organisation EdTech est jeune, parisienne et de petite taille : l’âge moyen des structures est de 4 ans, 50% d’entre elles sont situées à Paris intramuros, et seuls 31 acteurs ont plus de 20 employés
  • 95% des entreprises de l’EdTech ont un chiffre d’affaires inférieur à 500 000 euros
  • La filière est plutôt BtoB : 44 % des structures s’appuient sur ce modèle uniquement
  • 50% des levées de fonds dans l’EdTech sont inférieures à 300 000 euros

La filière EdTech mobilise des compétences très diverses

37% des entreprises de l’EdTech offrent des outils de gestion pour l’éducation et la formation, elles proposent également des services permettant le développement de compétences liées au digital (36%) ainsi que le développement de compétences techniques et professionnelles spécialisées (33%). En outre, les technologies les plus plébiscitées par les utilisateurs sont les contenus innovants (49%), les games et learning apps (35%), et les solutions de distribution (33%) que sont les MOOC (formation en ligne ouverte à tous) et SPOC (cours en ligne privé).

La start-up éducative est de petite taille puisque 181 structures de l’EdTech comptent moins de dix collaborateurs et 73% des organisations créées entre 2014 et 2017 sont composées de un à cinq employés.

Les EdTech s’adressent en priorité aux établissements d’enseignement (62%) et aux entreprises (60%). Mais si la filière s’est structurée initialement autour du BtoB, ce modèle économique tend à s’amoindrir au profit du modèle BtoC. Ce modèle double en volume depuis 3 ans, avec une majorité d’utilisateurs adultes (56%), 40% sont des enfants et 37% des étudiants.

Comme dans d’autres filières tech, l’étude constate une diminution de la présence des technologies historiques (Learning Management de diffusion et de distribution (+8%). Néanmoins, la croissance pressentie des technologies liées à l’apprentissage (adaptative learning, learning app) n’est pas confirmée : le nombre de start-up qui mettent en avant des technologies telles que l’iOT ou la réalité virtuelle progressent moins rapidement que prévu et stagnent à 6%.

Des levées de fonds tardives et relativement faibles

Les start-up de l’éducation font face à une véritable difficulté à grandir : le modèle économique, les services proposés, les cibles adressées ne semblent pas avoir d’impact significatif sur la capacité à lever des fonds. Seulement 50% des fonds sont levés avant la deuxième année d’existence de l’organisation et pour des montants plutôt faibles. 1 levée de fonds sur 2 est inférieure à 300 000€.

La grande majorité des start-up ayant déjà levé des fonds (93%) ont également eu recours aux subventions publiques, avances et prêts. Néanmoins, quelques belles levées de fonds témoignent d’une certaine vitalité de la filière et d’un potentiel qui reste à exploiter.

L’EdTech : une filière dynamique en attente de consolidation

Le développement des start-up de l’éducation s’accélère avec une multiplication des structures (+ 47% depuis trois ans), ainsi qu’une diversification des offres et des cibles. Elles couvrent la majorité des segments : étudiants, établissements de l’enseignement, particuliers, individus en reconversion ou sans emploi. Malgré leur petite taille et leurs faibles revenus, ces entreprises sont agiles et parviennent à proposer une offre riche et équilibrée : elles s’investissent dans le développement des compétences techniques spécialisées, académiques et digitales, sans oublier le champ de la gestion de l’éducation et de la formation ou celui de l’accompagnement scolaire.

Cependant, la filière n’est pas encore consolidée et connait une croissance relativement lente. Elle existe depuis plus de 10 ans, pourtant 95% des entreprises qui en sont issues disposent d’un chiffre d’affaires inférieur à 500 000 euros.

En France, la culture de l’achat de services numériques doit évoluer en s’ouvrant à des acteurs aux modèles économiques mélangeant BtoC et BtoB, ou privilégiant des modèles économiques innovants. Bien que le niveau de maturité de la filière n’ait pas encore atteint celui observé dans certains pays comme les Etats-Unis ou le Royaume-Uni, elle devrait se structurer dans les années à venir. Les levées de fonds à plusieurs millions d’euros se multiplient depuis 2016, le rythme de nouveaux projets ne faiblit pas, et les acteurs majeurs du secteur s’investissent de plus en plus dans l’animation et la structuration de l’écosystème.

L’accompagnement à la scolarité et l’orientation, l’offre de formation relative aux métiers du numérique, la découverte de la culture et des sciences pour les plus jeunes, la certification de compétences et l’apprentissage des langues ne se conçoivent plus aujourd’hui sans l’apport des start-up de l’EdTech. Sur ce marché au fort potentiel où la formation professionnelle représente 30 milliards d’euros et où les dépenses d’éducation avoisinent les 150 milliards d’euros, il est primordial de renforcer le lien entre les entrepreneurs et les acteurs de l’enseignement, voire les acteurs de l’entreprise.

EdTech

Première revue francophone de management – Revue gestion REVUE GESTION Revues de Gestion